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Ce n’est encore qu’une adolescente. Pourtant, elle a su faire fi des préoccupations habituelles des jeunes filles de son âge. La tête et l’esprit déjà bien accrochés dans les nuages. Voire au-dessus, dans le ciel. Pour mieux tutoyer les étoiles ? Peut-être ! Selya LEGENDRE ne vit aujourd’hui que pour sa passion : le vol aérien que la demoiselle vient de découvrir en solo à 16 ans, exécutant sa première sortie. En rêvant du summum : intégrer l’armée de l’air et devenir pilote de chasse…

 

AUXERRE : Il aura suffi d’un simple baptême de l’air pour enclencher au plus profond de son ADN une véritable mutation passionnelle. La fillette venait à peine de souffler les dix bougies de son gâteau d’anniversaire. Elle n’aurait pu imaginer à cet âge aussi juvénile que l’aérodrome de Branches deviendrait un jour son terrain de jeu préféré. Merci, maman et papa !

Aujourd’hui, avec la bénédiction urbi et orbi de son instructeur, Thibault ROUSSEAU, de l’Aéro-Club d’Auxerre, la jeune fille a entrevu le pallier initial qui l’amènera peut-être un jour à transformer le rêve à la réalité. Vivre professionnellement sa passion du pilotage dans le cockpit d’un aéroplane !

Mais, attention, que l’on ne s’y méprenne pas sur les intentions de cette pilote chevronnée en herbe : le but ultime ne sera réellement atteint que lorsqu’elle vivra d’intenses sensations en encaissant Mach 3 à bord d’un Mirage 2000 de l’armée de l’air tricolore !

« J’adore l’aviation, confie-t-elle, je veux en faire mon métier plus tard en devenant pilote de chasse… ».

 

Un sentiment de liberté et une autre vision sur le monde…

 

Alors que tant d’autres de ses camarades envisagent d’embrasser la carrière de coiffeuse ou d’infirmière, Selya se projette vers une toute autre dimension. Sa rentrée, elle l’effectue en première générale au lycée La Brosse. Curieux : un établissement d’enseignement agricole pour la future licenciée de la Patrouille de France ?! Ce n’est pas incompatible puisque le site l’accueille dans une série S, à composante scientifique.

Mais qu’éprouve vraiment la jeune demoiselle lorsqu’elle évolue à bord de son avion ?

« Quand on est dans les airs, explique-t-elle, plus rien n’est pareil. Je ressens une sensation de liberté, une autre vision du monde… ».

Mais, avant de se lancer seule dans cette aventure à effrayer tous les parents qui absorbent des anxiolytiques lorsqu’ils choient d’un peu trop près leur progéniture, cette émule de « l’As des As » a dû endurer bon nombre de chausse-trappes et de leçons complexes pour y parvenir.

« Il faut posséder le BIA (Brevet d’initiation aéronautique), commente-t-elle, soit la partie théorie de l’apprentissage additionnée à un certain nombre d’heures de vol… ».

A minima : 45 heures. Toutefois, il n’y a pas d’âge rédhibitoire pour commencer à voler de ses propres ailes. Du moment que l’apprenti pilote puisse atteindre les palonniers !

 

 

Le parachutisme, prochain défi de la jeune fille !

 

Sa première expérience, seule derrière les manettes, Selya l’a vécue il y a peu dans le ciel d’Auxerre. Des instants inoubliables qui resteront à jamais gravés dans ses neurones.

« Ce qui est le plus stressant dans ces conditions, ajoute-t-elle goguenarde, c’est que personne ne peut rattraper la moindre erreur à l’atterrissage ! ».

Un sentiment d’excitation extrême qui fait monter l’adrénaline dans les tours !

Pas étonnant que les géniteurs des adolescents aventuriers se repaissent continuellement de médocs anti-stress !

Prochaine étape dans ce besoin quasi viral de vivre des sensations fortes dans les airs : un saut en parachute à accomplir le 26 septembre prochain.

Avec, comme tuteur, l’un des maîtres de la spécialité en France et à l’international : le vice-champion du monde Paul GRISONI en personne qui vient de réaliser son 22 000ème saut cet été ! 

 

Thierry BRET

 

 


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Intense journée que celle de ce jeudi 02 septembre, prévue au programme de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY ! Accompagnée de la rectrice de l’académie de Dijon, l’élue se rendra le matin en Saône-et-Loire pour y visiter le lycée Mathias à Chalon-sur-Saône. Avant de converger l’après-midi vers Besançon où l’univers du lycée Jules Haag lui sera présenté…

 

DIJON (Côte d’Or) : Les distances ne semblent pas effrayées la présidente de l’exécutif régional. Bon pied, bon œil avec la reprise officielle des activités après la période estivale, Marie-Guite DUFAY vivra cette journée du jeudi 02 septembre sur un rythme passablement endiablé !

Le matin aux alentours de 10 heures, l’élue franc-comtoise se rendra en présence d’Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation en Saône-et-Loire. Précisément dans cette bonne ville de Chalon-sur-Saône où elle découvrira aux côtés de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l’académie de Dijon, les innovations apportées au lycée Mathias, un établissement d’enseignement général qui accueille près de 1 800 élèves.

Toutefois, la présidente devra surveiller son timing avec une grande minutie ! En effet, quelques heures plus tard, soit dès 15 heures, Marie-Guite DUFAY est attendue dans la cité bisontine dans le Doubs. Objectif : visiter en compagnie du recteur de la région académique régional et chancelier des universités, Jean-François CHANET, le lycée Jules Haag. Bref : une journée très active que vivront également certains conseillers régionaux invités à faire de même le jour de la rentrée dans huit complexes pédagogiques.

 

 

Un budget annuel de 419 millions d’euros à l’actif de la Région…

 

Dans l’Yonne, c’est le troisième vice-président de l’exécutif régional, Nicolas SORET, qui sera sur le pont. L’élu de Joigny se rendra au lycée polyvalent du Parc des Chaumes à Avallon où il sera accueilli par les équipes de l’Education nationale.

Ces visites servent à dévoiler les nouveautés de cette rentrée.

D’une part, il y a les divers investissements réalisés par la Région (un budget de 419 millions d’euros en 2021). En insistant sur les nouveaux locaux, les équipements professionnels et numériques, la restauration, les projets en faveur du développement durable et de la transition énergétique.

Parmi les engagements majeurs de cette rentrée, citons le maintien des aides tarification sociale pour la restauration et l'Internet, le transport scolaire régional gratuit et le nouveau dispositif de lutte contre la précarité numérique.

Sans omettre le plan de relance régional. Soit une enveloppe de 40 millions d'euros qui favorise l’accélération de la transition énergétique dans les établissements.

 

Thierry BRET

 


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D’argousin à vétille en passant par coquecigrue et billevesée, des centaines de mots ont disparu de notre langage. Faut-il les sauver pour autant ? C’est le propre d’une langue vivante, des mots meurent et d’autres font leur entrée ! Nous avons décidé de dérider un peu nos lecteurs en proposant un texte truffé de termes, disparus complètement pour certains et en voie d’extinction pour d’autres.

 

TRIBUNE : Hep ! Les argousins arrivent et les pandores font le siège de nos cités. Quand les forbans défilent, les babillards racontent des histoires d’hier, lorsque des femmes callipyges revêtaient leurs plus beaux atours…

Adieu badauderies dans les rues de l’enfance, çà et là, dans les bouges malfamés on pouvait entendre : « ola tavernier, baille-nous de ton vin et du meilleur ! ». Tandis que certains, habilles au déduit,  fredonnaient la chanson à la mode : « C’est la java la plus bath », d’autres un peu éméchés, aux calembredaines bancroches, commentaient sans barguigner les dernières frasques de leur dulcinée. Partis dès potron-minet et rentrés à la brune tombante, nos compères, afin de ne pas être brocardés en entendant crier des « crévindiou » ou des « cré Augustin », apportaient à leur légitime un brimborion ou un caraco !

Les cagots aux propos cauteleux côtoient les capons en mal de carabistouilles. Clampins et chemineaux errent le long des routes et commettent leurs méfaits, avant d’être défendus dans un prétoire. Bavards et robins s’affrontent violemment tandis que les prévenus débagoulent sans vergogne en regardant voler les coquecigrues !

Diantre, fichtre, palsenbleu ! Bigre le bougre ! Saperlipopette ! Chacun enchaîne derechef des exclamations désuètes venues d’ailleurs et d’un autre temps. Ces temps immémoriaux où l’on pouvait s’esbaudir devant un étalier, avant de s’esbigner en loucedé.

A la gare, les portefaix ont disparu, les faquins, les marauds, les coquins, les lascars et autres vauriens sont définitivement rangés dans les placards de Molière et de Zola. Brassens voulait chanter dans la langue des vieux pour les paltoquets, les bobèches, les foutriquets et les fesse-mathieux !

Nous faisons fi des fla-flas, des chichis ou tralala, c’est bon pour les flambards et quelque flandrin ! Près des vestiges des fortifs de Paris, les gandins se pressent, arborant leurs génitoires et leur air goguenard. On peut encore entendre les goualantes de la môme Piaf… les gourgandines et les hommasses, les mafflues et autres radeuses, arpentent toujours la rue Saint-Denis, laissent aller leurs suivez-moi-jeune-homme,  pour que les gommeux et les jean-foutre jettent leur gourme ou les matent par l’huis d’un lupanar.

Les gueux et les va-nu-pieds donnent aux grimauds leurs lettres de noblesse. Jocrisses et jouvenceaux, en l’absence d’écus sonnants et trébuchants, les purotins dis-je, devront faire macache. Holà manant, presse le pas, les tire-laines ne sont pas loin et la fumée matutinale monte des toits, enrobe de nostalgie tes rêves melliflus. Mâtins et mirliflores donneront à cette momerie moult sourires entendus à faire tourner la nénette et nous rendre toqués ! Opiniâtre, j’assume ces nasardes, peu me chaut, conscient de ma nitescence, je suis un ruffian…

La patache pour l’enfer va bientôt emporter les cauchemars du jour, les pauvrets et les peccamineux non repentis ! Pékins, pendards et péronnelles, pétunent et potinent allègrement sur les dernières bacchanales aux priapées fantasmagoriques auxquelles elles ont participé ! Des ragots à graver sur un torche-cul parfumé de mensonges… Ils entrent, trotte-menu, comme des tranche-montagnes qui ne renoncent pas à leurs perversités…

Lectrices et lecteurs, si vous demeurez pantois et si vous êtes à quia c’est logique. Saperlipopette, vous n’êtes pas des traine-savates, tout juste des rastaquouères qui ont fait ribote de ces bons mots de la vraie langue de Molière, d’Hugo et de bien d’autres…

Que les scrogneugneu passent leur route et gardons la sagesse dans un cénacle de vertu.  Subséquemment, la sapience seoit mieux… N’ayez pas la venette, ces vétilles deviennent turlutaines pour tous ces valétudinaires qui ont besoin de doper leur système immunitaire.

Et ne l’oublions pas, dans tous ces vieux mots, l’or y vit !

  

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…

 

AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.

Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.

Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.

 

 

 

La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.

Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.

L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.

 

 

Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…

 

Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.

Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».

Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.

« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».

Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.

 

 

Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…

 

C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.

Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.

« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.

Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.

Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.

 

Thierry BRET

 

 


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Le premier s’est distingué du lot en devenant « l’Un des meilleurs jeunes boulangers de France » dans l’Yonne. De quoi satisfaire son maître d’apprentissage, gérant du « Fournil de Seignelay ». Le second a réalisé des prouesses dans ses compositions pâtissières pour obtenir le précieux accessit qui le qualifie pour la finale régionale à Mercurey…

 

AUXERRE : Le talent n’attend pas le nombre des années. On connaît la formule linguistique. Elle s’est une fois de plus vérifiée lors de cette double confrontation mettant en scène les jeunes pousses de la boulangerie icaunaise et leurs cousins germains qui s’exercent à la délicate discipline de la pâtisserie.

Ce double concours, un rituel suivi de près par les professionnels en nombre comme à l’accoutumée au restaurant « Com’ des Chefs » du CIFA qui en assurait l’accueil, aura donc rendu son impitoyable verdict après huit heures d’une âpre compétition qui ne récompense que les plus téméraires des prétendants dans l’audace et le coup de patte.  

Et à ce jeu-là, force est de constater que les deux lauréats du jour n’ont pas usurpé leurs victoires.

 

 

Prochain rendez-vous à Dijon le 27 septembre pour Benjamin PETIT…

 

Titulaire d'un CAP en boulangerie et d'un bac pro en cuisine, ainsi que d'une mention complémentaire « dessert en restaurant », Benjamin PETIT a su se transcender pour convaincre le jury de professionnels à le placer sur la plus haute marche du podium.

Le jeune garçon, qui suit son cursus formatif en alternance dans l'entreprise « Le Fournil de Seignelay » n’a pas démérité, loin s’en faut. L’épreuve était copieuse avec la réalisation d’un pain traditionnel sur poolish (une technique spécifique qui permet d’améliorer l’élasticité du pain), un pain de campagne, un pain à caractère nutritionnel, une création boulangère salée, un croissant, pain au chocolat et création garnie (les incontournables de la viennoiserie), un assortiment de brioches et un décor basé sur le thème des sept merveilles du monde ! Huit heures plus tard, on connaît le résultat !

Le jeune homme devance son dauphin Romain PREVOST, apprenti à la maison Da Costa à Monéteau. Tous deux obtiennent leurs billets pour le concours régional qui se déroulera à l’Ecole des Métiers de Dijon le 27 septembre. Objectif : décrocher le sésame suprême permettant de vivre l’épreuve nationale disputée à Metz fin novembre. Signalons que Clément Roger BLANC termine à la troisième place de cette épreuve.

 

 

Le chocolat mis en vedette et sublimé par Clément MAMES…

 

La catégorie du Meilleur apprenti de France en pâtisserie n’a pas échappé au courageux Clément MAMES. Un jeune garçon, titulaire d’un CAP pâtisserie qui a pour maître d’apprentissage une sommité de la chocolaterie, le MOF Olivier VIDAL que l’on ne présente plus !

Concevant avec dextérité le programme qui lui a été présenté (entremets sur le thème de la bande dessinée, assortiments de petits fours, deux pièces de confiserie à base de chocolat et bonbons de la même matière), le jeune homme a remporté le trophée départemental, gagnant ainsi sa place pour disputer les finales régionales en Saône-et-Loire, au CIFA de Mercurey.

Motivé à l’idée de défendre les couleurs icaunaises chez nos voisins, Clément a devancé Flavian ROUX (un garçon accueilli chez ROY) et le duo de filles, Lilou GORNARD et Sarah BLIN.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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