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Séduisante l’initiative ? Elle l’est à plus d’un titre. En témoigne le délégué départemental de la Fédération des Travaux Publics de l’Yonne, Baptiste MANSANTI. L’un des signataires de cette convention de partenariat multipartite qui réunit le Département de l’Yonne, la FFB, la CAPEB, le GRETA et l’ARIQ-BTP. Sans omettre, évidemment, la FRTP. Permettre à un public en marge de l’emploi de retrouver le chemin menant aux entreprises est du meilleur acabit. Surtout que la filière peine à recruter de la main d’œuvre qualifiée…

 

AUXERRE : L’action se nomme « Brique par brique ». Une amusante appellation qui schématise dans l’idéal ce qui va dorénavant se passer pour celles et ceux de ces personnes se situant en marge de l’emploi, bénéficiaires du RSA, désormais au centre des regains d’intérêt.

Le but avoué de la démarche portée à bras le corps par le Conseil départemental de l’Yonne et l’élue en charge, entre autres, de l’action sociale, Sonia PATOURET, est de proposer un véritable tremplin aux individus en déliquescence avec la vie active. A l’insu de leur plein gré, selon la formule consacrée.

 

L’agréable surprise de ce qui est inculquée au sein de l’EFCO Formation…

 

La finalité de ce parcours de construction, déployée depuis peu sur le territoire, est d’ériger ensemble un véritable parcours initiatique d’insertion individualisée dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, secteur qui peine à recruter alors que les postes à pourvoir sont très nombreux. Tant dans le bâtiment, stricto sensu, que du corollaire des travaux publics que maîtrise à la perfection le délégué départemental de l’Yonne, le représentant de la FRTP, Baptiste MANSANTI.

« J’ai été très agréablement surpris par la visite de l’EFCO Formation (lieu où s’est déroulé depuis Monéteau le premier cycle accueillant les bénéficiaires du RSA voués à tester ce schéma positif) et par la présentation de ce que ce public (une douzaine de personnes) a pu réaliser en l’espace de quelques semaines. Même le regard des stagiaires brillait de fierté et de reprise de confiance en soi… ».

L’un des premiers objectifs de ce parcours formatif visant à orienter les candidats vers un parcours qualifiant vers l’emploi, voire pourquoi pas vers l’obtention d’un emploi direct.

« Là où je suis conquis par la démarche, ajoute Baptiste MANSANTI, c’est qu’elle offre l’opportunité de présenter la palette de métiers que notre filière BTP propose. Avant de rapprocher ces candidats vers l’un des branches de ces métiers… ».

 

 

Une action encore en état d’expérimentation dans l’Yonne…

 

L’action « Brique par brique » tel un édifice durable qui s’élève renforçant le mur de la corporation des BTP tombe à pic à bien des égards. Elle est une des réponses appropriées à ce retour vers l’emploi des allocataires du RSA. Elle est aussi l’un moyens de résoudre la problématique récurrente du recrutement de la part d’entrepreneurs désireux de renforcer leurs équipes. Une précieuse bénédiction alors que le marché est très tendu et la recherche de salariés ne ressemble nullement à une partie de plaisir.

Pour l’heure, l’expérimentation, car cela en est encore une en l’état, ne s’applique que sur les secteurs de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre. Si elle s’avère concluante et au vu de l’enthousiasme observé auprès de tous ces acteurs partenaires, on ne voit pas ce qui devrait la contrarier, elle sera étendue à l’ensemble du département.

Un choix réaffirmé par la conseillère départementale Sonia PATOURET qui en exprime l’envie.

 

 

Des formations à la carte qui s’appuient sur de la haute technologie…

 

Pour autant, c’est l’exemple de la Fédération des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, la filière sait aussi former la jeunesse à assurer la relève. A l’aide de sa propre école qui est consacrée à la discipline.

« On a besoin de renouveler le personnel et même de se développer en amont car les carnets de commande se garnissent, souligne le délégué départemental de la FRTP, tous les corps de métiers sont concernés, que ce soit dans le transport, dans le BTP et dans toutes les strates de l'entreprise à différents postes. Ce que l’on recherche en priorité dans une telle initiative, ce sont des personnes motivées et qui possèdent un savoir-être favorable à leur intégration au sein de l’entreprise ».

Une aubaine pour la jeunesse qui peut envisager d’y faire carrière. D’autant que les travaux publics se présentent comme une corporation professionnelle où la pénibilité est de plus en plus atténuée du fait de la mécanisation, voire de l’emploi de logiciels et de technologies à la pointe du high-tech.

Les simulateurs, sorte de joujoux modernistes ultra branchés à mettre dans les mains des adeptes de consoles vidéo, y pourvoient allègrement.

« Ces nouveaux outils nous permettent d'attirer les jeunes générations. Ils s’utilisent dans bon nombre de centres de formations répartis dans la contrée ». Dont celui du CFPPA La Brosse.

Confiant pour l’avenir et ses possibilités, Baptiste MANSANTI reste néanmoins relativement prudent sur les projections à court terme. « La période sanitaire ne l’y autorise pas trop, concède-t-il, reste le domaine de la commande publique où la plupart de nos entreprises interviennent à hauteur de 70 %. Il est en train de redémarrer ».

Si une suite est à donner à cette action, elle pourrait également intégrer d’autres demandeurs d’emploi, notamment les personnes fragilisées dans leurs recherches sur le marché du travail.

On l’aura compris : « Brique par brique » est comme le fait d’ajouter une pierre à l’édifice de la vie professionnelle pour des personnes qui n’ont pas été épargnées par la vie. Une belle preuve d’altruisme et d’entraide à vocation économique. Aussi solide que du roc et forte comme peuvent l’être les constructions de la filière du BTP !

 

Thierry BRET

 


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Le 09 juin prochain paraîtra son troisième volet autobiographique aux éditions du Sarment. Il se nommera « La Valeur ». Un clin d’œil à son ancienne vie « De la banque à la rue, de la rue à la paix ». Après ses deux premiers opus « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…moi c’était dans la rue », sorti en 2011 et « Cancer, de l’espoir à l’espérance » en 2018, cet ultime ouvrage sera l’aboutissement de tous les coups durs qu’il a connu dans sa vie. Mais qui lui ont aussi permis de se trouver là où il est aujourd’hui et d’avoir enfin pu poser ses valises et retrouver une sérénité.

AUXERRE : Pour passer une retraite paisible, Jean-Paul ALLOU a choisi le sud de la France dans un petit village situé entre Grasse et Draguignan. Il y alterne son temps entre l’écriture et le bricolage, passion récente, mais nécessaire pour l’embellissement de sa maison. Pourtant lors d’une rencontre avec un compagnon du Tour de France lorsque ce dernier avait voulu lui montrer comment travailler, à l’époque cela lui semblait une perte de temps vu qu’il n’était pas très doué de ses mains ; vexé le compagnon lui avait alors rétorqué : « un homme n’est pas qu’une tête ou que des mains, mais il est un tout ».

Aujourd’hui, il va même, jusque dans les détails et en souvenir de cet apprenti qui lui avait dit « ce qui ne se voit pas, doit être mieux fait que ce qui se voit », emprunter un nouveau chemin. Celui de l’écriture, alternant textes poétiques et brèves de comptoir.

 

 

 

Inspiré de Christian BOBIN, Jean-Paul ALLOU se livre dans son dernier opus. « Journal froissé ». A l’instar des réseaux sociaux où fleurissent de petites phrases inspirantes, l’auteur nous offre ses mots « cadeaux ». Ils sont une invitation où chacun doit y puiser un message.

« Victime ou coupable, ce ne sont que des rôles que l’on a envie de jouer. On met le costume qui convient, jusqu’au jour où on décide de se dépouiller et de se parer de la joie d’aimer ». Mots glanés au comptoir : « Non, je ne porte pas de petite culotte, le temps de l’enlever et tu peux laisser passer une occasion… ».

La plupart de ses textes se veulent provocateur vis-à-vis du pouvoir mais cet ancien formateur, conférencier, coach dans le domaine de la finance, qui a connu la rue et une vie de SDF, a vécu deux ans chez les moines. Il a enfin appris à lâcher prise sous le soleil du sud, et y vit sereinement avec sa nouvelle compagne qui le soutient dans son écriture, étant elle-même artiste. Elle a d’ailleurs illustré le recueil de textes « Journal froissé ». A lire sans modération !

 

Maryline GANDON

 

 


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Un vent d’allégresse souffle au-dessus des têtes biens pleines des organisatrices de la traditionnelle animation consacrée à l’emploi au féminin. D’autant que la COVID n’aura pas eu raison de ce 24ème rendez-vous, attendu par bon nombre de femmes et de jeunes filles en quête d’un rebond professionnel. Une belle manière de débuter l’an neuf !

 

AUXERRE : C’est un ouf de soulagement poussé par la coordinatrice régionale et chargée de mission égalité au sein de FETE (Femmes Egalité Emploi) Claire DUCHET. La responsable de l’entité associative peut savourer le verre à la main et en le dégustant le liquide effervescent qui l’a met en joie à l’annonce de la confirmation de la 24ème édition de ce Carrefour des Carrières au Féminin, véritable institution dans le paysage de l’Yonne.

On s’attendait au pire comme bon nombre d’évènementiels devenus obsolètes du fait de la nouvelle variante OMICRON : il n’en sera rien puisque l’Espace culturel d’Appoigny accueillera bien en présentiel cette vitrine du savoir-faire professionnel à la sauce féminine.

D’ailleurs, la représentante de FETE dans l’Yonne n’a pas sablé le champagne toute seule ! Les membres du comité de pilotage de ce forum se sont joints à elle pour célébrer comme il se doit le maintien de ce rendez-vous.

Une manifestation conçu en partenariat avec le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, la direction régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité, l’Education nationale, le Conseil départemental de l’Yonne ou encore le Fonds Social Européen.

Ouverte à toutes les strates représentatives de la gent féminine, depuis les jeunes demoiselles qui fréquentent les collèges et les lycées jusqu’aux étudiantes et aux femmes en recherche de projet professionnel, la manifestation accueillera une soixantaine de cheffes d’entreprise trop heureuses de pouvoir témoigner sur les valeurs vertueuses du travail.

 

 

En savoir plus :

Carrefour des Carrières au Féminin

Samedi 22 janvier 2022 de 09h30 à 12h30

Espace culturel d’Appoigny

Route des Bries

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est clair pour le président de la CAPEB et de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne. Il n’existe nulle autre alternative que l’apport bienveillant de la pédagogie pour faciliter l’intégration de nouveaux compagnons au sein d’une structure artisanale. Tout cela ne serait donc qu’une affaire de temps et de volonté ?

 

AUXERRE : Présent lors de la signature de la convention multipartite portant sur les fonts baptismaux « Brique par brique », concept vertueux qui associe le Conseil départemental de l’Yonne, la Fédération départementale du Bâtiment, le GRETA 89, la Fédération départementale des Travaux Publics et l’ARIQ-BTP, le nouveau président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, et en parallèle responsable institutionnel de la CAPEB, Jean-Pierre RICHARD a fait l’éloge de la transmission des savoirs par les chefs d’entreprise.

« Dans certains corps de métiers, notamment ceux qui ont recours à une connaissance de la maîtrise technique, on ne peut motiver les nouvelles recrues qu’au travers le temps passé à leur formation… ».

 

 

Une pratique qu’adoptent de nombreux chefs d’entreprise sous couvert de la motivation et de la culture professionnelle.

« Je vois beaucoup de mes collègues entrepreneurs, petits artisans qui emploient de deux à trois salariés, prendre le temps de former leurs compagnons, devait-il expliquer à l’issue de la cérémonie protocolaire de signature.

Une démarche qui concerne également de plus en plus un public féminin, enclin à s’aventurer dans une filière artisanale devenue au fil des mois très porteuse en termes de possibilités de recrutements.

 

Thierry BRET

 


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Deux cents postes d’opticien-lunetier sont à pourvoir en ce début d’année au sein du réseau hexagonal de cette enseigne référente dans la filière. Dont sept sont à occuper en région Bourgogne Franche-Comté. Pour y remédier, le groupe dirigé par Eric PLAT innove en développant un cycle formatif en accéléré afin de faire face à la crise des vocations sur ce segment d’activité.

 

PARIS : Tout le monde a encore en mémoire le célèbre spot publicitaire, aux images un tantinet exotique, où était mis en scène le chanteur-aventurier Antoine qui vantait alors la qualité des produits lunetiers commercialisés par l’enseigne. ATOL : un nom qui ne cesse de résonner depuis dans notre inconscient nimbé de slogans empruntés au marketing qui savait faire mouche sur son cœur de cible.

Apparue en 1970, la marque s’est depuis imposée comme l’enseigne d’optique référente en matière de santé visuelle. En imprimant ses valeurs made in France à la suite de l’incubation de la start-up française, ABEYE.

A l’aune de cette nouvelle année, le groupe recherche deux cents collaborateurs à intégrer au sein de sa force de frappe. Deux cents postes disponibles de suite ou presque sur l’ensemble du réseau en France. La Bourgogne Franche-Comté, berceau de la conception de lunettes (le savoir-faire franc-comtois) ne déroge donc pas à la règle. Avec ses sept postes à pourvoir de suite.

 

 

Deux cents postes créés pour alimenter les 730 magasins du réseau…

  

Pourtant, pour faire face à la crise des vocations de cette filière, l’entreprise pilotée par Eric PLAT a conçu sa propre méthodologie lui permettant d’assurer une formation en accéléré.  

Un programme pédagogique qui a été élaboré dans le cadre d’un nouveau plan stratégique, répondant à l’appellation « Accélér’Atol 2021-2026 ». L’apprentissage de la base du métier comprend ainsi l’acquisition des notions élémentaires de la vente optique, la connaissance des conseils à prodiguer à la clientèle en magasin, la maîtrise explicative d’une prescription de l’ophtalmologiste et surtout l’assurance de pouvoir réaliser une vente pour des corrections visuelles simples.

Bref, déclinable sur une semaine, ce cursus fait également l’objet d’un accompagnement individualisé et personnalisé post formation en magasin. Une initiative bénéficiant de la présence d’un coach formateur, pur produit de la maison.

« Avoir créé cette formation sur-mesure constitue un atout pour mieux attirer de nouveaux profils, hors optique, et les former à la technique de l’optique afin de pourvoir les 200 emplois proposés par notre réseau de 730 magasins partout en France, explique le PDG d’ATOL Les Opticiens, l’enseigne entend développer son réseau sur les territoires pour rendre accessible la santé visuelle et le bien-être à tous ».

 

 

Des recrutements se faisant au niveau Bac + 2…

 

Cette formation est autant adaptée aux personnes venant d’un bac ou BTS optique qu’une personne n’ayant pas forcément les mêmes bases du fait d’allier vente/optique.

De plus, la relation client est clairement abordée, ce qui permet d’avoir moins d’appréhension lors d’une réelle mise en situation.

Concevoir son propre cycle de formation est l’une des réponses concrètes pour attirer de nouveaux talents. Comme le confirme le président-directeur-général de l’enseigne.

« Depuis une dizaine d’années, la filière optique connaît une véritable crise des vocations et peine à recruter. Conscients qu’il est aujourd’hui difficile d’attirer de nouveaux talents dans un secteur de l’optique qui souffre d’un manque d’attractivité, nous avons créé cette formation spécifique qui permet aux personnes ayant un niveau Bac +2 (force de vente) de découvrir le métier d’opticien-lunetier et d’acquérir rapidement les bases fondamentales qui seront ensuite mises en application en magasin ».

Un procédé didactique plutôt astucieux comme on peut l’observer aussi dans le domaine de l’industrie où il n’est pas rare que les acteurs de ce pan de l’économie développent en interne leur école de soudure ou de chaudronnerie afin de combler un manque évident de main d’œuvre qualifiée.

 

 

Un métier qui n’est plus dans les radars des jeunes générations…

 

Pourtant, il existe en France plus de 12 000 magasins d’optique et plus de 40 000 opticiens dont 75 % sont salariés. Depuis quelques années, on observe une légère hausse de l'âge moyen pour la profession d'opticien-lunetier, tout comme un recul continu des candidats au BTS OL.

Entre 2011 et 2020, on rapporte 33 % de diplômés en moins et 70 % des titulaires de ce BTS-OL poursuivent leurs études. Seul un quart entrera in fine  sur le marché du travail une fois le diplôme en poche, selon les sources diffusées par le magazine « Bien Vu ».

Il s’avère que le métier d'opticien-lunetier séduit moins les nouvelles générations à l'heure actuelle. La filière rencontre des difficultés à pourvoir de nombreux postes. D'ailleurs, le nombre d'annonces diffusées par Pôle Emploi et ses partenaires est passé de 13 303 en 2020 à 21 033, rien que pour les dix premiers mois de 2021. Gageons que l'heureuse initiative portée par ATOL Les Opticiens tende à inverser quelque peu la vapeur...

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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