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Le rendez-vous est inscrit dans le marbre. Celui de Carrare, flamboyant et solide ! Immaculé de toute aspérité qui viendrait en gêner le processus. Depuis 2018, à rythme trimestriel, employeurs et institutionnels de l’Avallonnais convergent vers un lieu commun, à l’invitation de la Mission Locale, provoquant un échange constructif lors d’un petit déjeuner. Une initiative participative au service de l’emploi…

 

AVALLON : La formule est bien rôdée. Quasi immuable et très attendue de ses participants. Des femmes et des hommes n’ayant qu’un seul objectif en tête : faire que les jeunes générations s’insèrent sans trop de difficultés dans la vie active. Vaste programme en pleine période de crise sanitaire ! Même si le chômage suit une courbe descendante, très appréciable des observateurs depuis plusieurs mois.

Nonobstant, il n’est pas si aisé pour un jeune diplômé ou de surcroît un décrocheur de se propulser vers l’emploi. Ne parlons pas des seniors, catégorie socio-professionnelle qui peine encore à faire ses preuves dans le monde du travail alors qu’ils n’ont plus rien à prouver, cela va de soi ! Eux qui, a contrario, possèdent savoir-faire et culture d’entreprise.

 

Un chef d’orchestre à la baguette de cette symphonie positive : la Mission Locale…

 

Dans l’Avallonnais, on a donc choisi le pragmatisme pour faire bouger les lignes. La recette qui n’a rien d’alimentaire tient pourtant en une série de mots appétissants: le petit déjeuner des employeurs.

Café, thé ou chocolat, assortis de leurs inévitables croissants et viennoiseries sont devenus de précieux auxiliaires pour aborder des sujets chaud brûlant sur l’actualité du travail. En pensant avant tout à résoudre l’éternelle équation se rapportant au recrutement. Le tout servi dans un état d’esprit constructif et novateur.

Une cinquantaine d’entreprises de ce bassin attractif y participent sans renâcler. Il y a du lourd (AJ Services 89, ADN Imprimeur…), voire du très lourd (SCHIEVER, Mc DONALD’S, Banque de France, Pneu LAURENT…) parmi cette représentativité à l’écoute et ouverte au dialogue. Celui que propose la Mission Locale à la baguette de ce grand orchestre qui ne veut pas jouer de fausses notes.

Quels dénominateurs communs animent ces « musiciens » ? Le besoin d’initier des partenariats utiles et efficients, de dynamiser ce réseau informel mais omniprésent, de mobiliser les jeunes sur le marché de l’emploi. Bref : une vraie mission sociétale qui pourrait presque s’apparenter à un défi de titan !

 

 

Des chiffres qui plaident en la faveur de la MILO…

 

Bras armé des pouvoirs publics s’activant au plus près de la territorialité, la Mission Locale est au cœur du dispositif mis en place à destination de la jeunesse, « 1 Jeune 1 Solution », qui obtient de vertueux résultats depuis son lancement.

Le bilan de la structure est éloquent : 849 jeunes sur les mille et une personnes contactées par la MILO ont été accompagnés par ses services ;  281 jeunes ont pu bénéficier du PACEA (Parcours d’accompagnement contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie) ; 111 d’entre eux sont entrés en Garantie Jeunes ; 132 profitent d’un plan de formation ; 554 nouveaux contrats de travail ont été signés en 2021 et 155 entreprises ont été en contact avec l’organisme au cours de cette dernière année, en proposant 71 offres d’emploi. Pas si mal, au terme de douze mois de l’existence vécue au rythme de la pandémie !

Bien que la date de la prochaine rencontre n’a pas encore été divulguée, on imagine aisément que les adhérents de ce club des employeurs très investis au sein de leur mission se satisfont déjà de se retrouver autour de ces viennoiseries, prétexte à ingérer de la nourriture beaucoup plus consistante intellectuellement pour aborder les vrais problématiques de l’emploi.

 

Thierry BRET

 


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On connaît tous la conquête de l’Ouest, symbolisée par autant de westerns qu’ils soient spaghettis ou de pure tradition, fleurant bon les paysages sauvages et l’éternelle rivalité entre cow-boys et indiens. Place désormais à la conquête vers l’Est ! Telle que la conçoit depuis plusieurs années, le groupe de grande distribution SCHIEVER. Après la Pologne et le Tadjikistan, ainsi qu’un bureau d’achats en Russie, voici l’Ouzbékistan qui rejoint ce club de moins en moins restreint où l’enseigne de l’Yonne inaugure de nouveaux commerces.

 

AVALLON : Tachkent, cela vous parle ? Pas vraiment, à première vue. Pourtant, c’est là-bas, dans cette ville faisant office de capitale de l’Ouzbékistan, ex-république de l’URSS, que vient d’être inaugurée le 13 janvier la quatrième supérette à l’estampille de « bi1 », sous l’égide du groupe de distribution SCHIEVER. Mettant ainsi, provisoirement peut-être, un terme à la série inaugurale en cours, soit quatre boutiques marchandes ouvertes depuis le mois de décembre dans l’un des quartiers de la cette métropole, forte de ses 2,5 millions d’habitants. Une véritable aubaine pour l’entreprise dont le siège social se situe en terre icaunaise. Nouvelle contrée à ajouter à son escarcelle et surtout de belles perspectives pour la structure qui poursuit ainsi avec succès son déploiement à l’international, sur la façade orientale de l’Europe et en Asie mineure.

Directeur général du groupe, Vincent PICQ, figure emblématique de l’entrepreneuriat en Bourgogne septentrionale (il est également le président du Réseau Entreprendre sur le département de l’Yonne) a effectué le déplacement sur place afin de vivre la cérémonie protocolaire d’usage, habituellement réservée aux ouvertures de nouveau magasin.

 

 

Un projet né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire local…

 

Si le patron de cet incontournable acteur de la grande distribution n’a pas défloré les détails stratégiques de la manœuvre, il n’empêche qu’il souhaite un développement rapide de l’activité dans le pays.

« Il s’agit de magasins ouzbeks dont les produits sont fabriqués localement pour leur population, précise Vincent PICQ, c’est en nous impliquant aux côtés de fabricants dans l’évolution des usages et en travaillant avec les producteurs locaux que nous répondrons aux besoins de la population. En particulier, avec une offre d’environ huit cents produits à marques de distributeur… ».

Le concept est né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire du pays. Cette chaîne de distribution repose sur deux activités à la complémentarité évidente : le commerce de détail et dans un futur proche, le e-commerce.

 

 

Des produits locaux de qualité proposés à bas prix…

 

Quant à la finalité du projet, elle est louable à bien des égards : permettre à la population d’avoir accès à une alimentation locale de qualité à bas prix. Judicieux, d’autant que le pouvoir d’achat y est faible.

Mis en œuvre depuis le début de 2021, le projet qui mobilise aujourd’hui une centaine de collaborateurs sur place et une centaine de producteurs locaux (les circuits courts applicables à la mode ouzbeks !) s’est appuyé également sur des échanges diplomatiques de qualité. Lors de ses voyages, Vincent PICQ a eu l’opportunité de s’entretenir avec le vice-Premier ministre, Adham ILHOMOVICH et le ministre des Finances, Jamshid QO’CHQOROV.

Naturellement, avec cette manne d’emplois créés sur place, la venue du groupe tricolore est perçue comme très bénéfique. L’ambassadrice de France à Tachkent, Aurélia BOUCHEZ n’a pas manqué de saluer le professionnalisme de SCHIEVER qui va proposer à la population locale une offre de produits aux meilleurs prix à partir de produits locaux de qualité.

 

 

En savoir plus :

SCHIEVER à l’international, c’est huit hypermarchés « bi1 » en Pologne et quatre au Tadjikistan,

C’est un total de 15 enseignes, 188 magasins et 7 000 collaborateurs en France, Pologne, Tadjikistan et Ouzbékistan.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans la série des acronymes novateurs dont il faut désormais se souvenir de la terminologie afin de nourrir à bon escient vos conversations lors des mondanités institutionnelles, voici le CRTE ! Cela se traduit par « Contrat de Relance et de Transition Ecologique ». A l’origine de ce concept d’accompagnement de projets au plus près des territoires : l’Etat. Sa première concrétisation applicable à un PETR (diantre !) vient d’être signée ce mercredi après-midi avec le Grand Auxerrois. Décodage utile…

 

AUXERRE : Ca y est : le premier PETR de notre territoire vient d’être signataire d’un CRTE ! Faites circuler l’information, façon micro-trottoir dans les rues de la capitale de l’Yonne pendant un court laps de temps, et il n’est pas certain que bon nombre de nos concitoyens, même les plus férus de mots croisés ou d’anagrammes, y comprennent quelque chose quant à la signification lumineuse de ce sabir usité aujourd’hui !

Pas la peine de se munir d’un Littré ou de la dernière édition toute en couleurs du Larousse (cocorico, rendons hommage naturellement au célèbre encyclopédiste de Puisaye) pour trouver la réponse à la question la plus élémentaire qu’il soit avant de poursuivre cette saine lecture : de quoi s’agit-il précisément ?

 

L’absence des représentants de la Région lors de la signature…

 

Le PETR du Grand Auxerrois n’est autre qu’une structure de coopération établie entre cinq EPCI (aïe, cela se gâte encore – Etablissements Publics de Coopération Intercommunale -), composés de 115 communes, situées dans un bassin de vie d’un seul tenant et sans enclave. Pour faire simple, cela concerne 131 724 habitants selon le dernier recensement de la population en date de 2019.

Sous-question suivante : quelles sont les communautés de communes (les fameuses EPCI) qui en sont membres à l’heure actuelle ? C’est simple : outre l’Agglomération de l’Auxerrois, on note la présence de l’Agglomération Migennoise, la CC de l’Aillantais-en-Bourgogne, Chablis Villages et Terroirs. Enfin, de manière plus aquatique côté appellation : Serein et Armance.

Bref, ces cinq entités fédérées en PETR sont porteuses du SCOT ! C’est-à-dire, comme une évidence naturelle, du Schéma de Cohérence Territoriale de ce même Grand Auxerrois. Ce dernier est d’ailleurs en cours d’élaboration et de contractualisations.

Deux exemples concrets pour bien tout saisir du rôle de ces dispositifs : le SCOT accueille en son sein le CRTE, vedette du jour placée sous le feu des projecteurs, et le Contrat de Territoire, conclu avec la Région Bourgogne Franche-Comté.

Une Région BFC, curieusement absente de cette cérémonie protocolaire officielle réunissant dans la très belle salle du conseil de l’hôtel de ville l’ensemble des signataires de ce projet.

Cela n’aura pas manqué d’interpeller le maire-président Crescent MARAULT, interrogateur sur le sujet. A l’instar de François BOUCHER, son homologue président de l’Agglomération Migennoise, qui sera d’ailleurs nettement plus sarcastique dans ses remarques, « constatant que le département de l’Yonne était délaissé… ».

 

 

Le CETR : un contrat d’accompagnement évolutif chaque année…

 

Ce furent les seules banderilles jetées en pâture durant cette manifestation. Tous les participants s’accordèrent ensuite sur le bien-fondé de ce CRTE, devant accompagner la concrétisation de projets du territoire (leur nombre équivaut à 160 dossiers en 2022 selon la précision apportée par Crescent MARAULT) et de traduire ainsi un nouveau cadre de dialogue entre l’Etat et les collectivités locales.

Validé jusqu’en 2026 (soit la durée du mandat électoral de maire), ce contrat porte sur l’ensemble des politiques de cohésion territoriale, en tenant compte de la transition écologique. Nerf de la guerre de toutes les perspectives sociétales.

Ses financements proviennent de France Relance et des dotations destinées à alimenter le bas de laine des collectivités : FNADT, DSIL, DETR, etc.

Information en sus qui possède son importance : ce contrat se veut évolutif chaque année. Un avenant au contrat peut lui permettre d’ajouter d’autres projets qui n’étaient pas nécessairement identifiés dès le début de la démarche. D’où une relative souplesse dans le mode opératoire.

 

La passe de trois côté enjeux et lignes directrices à tenir…

 

Grâce à ce nouvel outil, le PETR du Grand Auxerrois va ainsi répondre à trois enjeux en matière de cohésion territoriale et de transition écologique. Le premier se rapporte à l’attractivité résidentielle et économique. Ainsi, tout ce qui concerne l’amélioration aux services et aux soins sur le territoire sera favorisé. De même le développement des équipements culturels, sportifs et de loisirs de cette zone géographique. La mobilité en version douce et propre s’inscrira dans un schéma de déplacements multimodaux. Enfin, les espaces publics (centre-bourg à revitaliser dans les villages, ilots de fraîcheur, biodiversité en milieu urbain…) seront aménagés durablement.

Secundo, la mise en valeur du patrimoine local et sa préservation intègrent les axes prioritaires de ce contrat. Réhabilitation, rénovation, aménagement : les bâtiments publics devraient connaître une sérieuse cure de jouvence et un relookage approfondi.

La culture n’est pas omise de ce dispositif gagnant/gagnant entre l’Etat et les collectivités territoriales. Un plan de mise en valeur du patrimoine culturel sera déployé. L’environnement naturel est englobé dans la stratégie.

Enfin, et c’est le troisième enjeu de ce dispositif, la transition écologique devrait enregistrer une grande bouffée d’air frais avec la valorisation de ses ressources locales autour de l’agro-alimentaire durable, la gestion de l’eau et de l’assainissement ou encore le soutien aux énergies renouvelables. On pense immanquablement à ce qui a déjà été consenti par les organismes institutionnels en faveur de l’hydrogène, poumon vert des énergies renouvelables de notre contrée.

Au plan structurel, la gouvernance de ce contrat innovant se répartira autour de deux outils de travail : un comité de pilotage, où siègeront le président du PETR (Crescent MARAULT), l’Etat (le préfet Henri PREVOST) et les représentants des EPCI signataires et un comité technique, accueillant les spécialistes opératifs de chaque entité, membre du comité de pilotage.

Tous ces acteurs devraient se réunir d’ici la fin mars pour mettre sur pied le premier comité de pilotage qui chapeautera la feuille de route. Au terme de chaque année, un bilan du CRTE sera fait avec la possibilité de délivrer des avenants dudit contrat.

Cette fois, c’est sûr : cohésion territoriale et transition écologique tiennent le haut du pavé parmi les projets des collectivités !

 

 

En savoir plus :

Les signataires du CRTE du Grand Auxerrois :

Henri PREVOST, préfet de l’Yonne,

Crescent MARAULT, président du PETR du Grand Auxerrois,

Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne,

François BOUCHER, président de l’Agglomération Migennoise,

Mahfoud AOMAR, président de la CC de l’Aillantais-en-Bourgogne,

Yves DELOT, président de la CC Serein et Armance (absent de la manifestation),

Etienne BOILEAU, président de la CC Chablis Villages et Terroirs.

 

Thierry BRET

 

 


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Le come-back auxerrois de cet esthète de l’économie s’effectuera dans des conditions peu ordinaires, aux manettes d’un plateau audiovisuel mais sans public. Qu’à cela ne tienne ! Cela ne devrait pas perturber outre mesure l’ex-responsable de l’information économique de TF1 qui en a vu d’autres tout au long de sa carrière ! Remplaçant au pied levé son confrère Jean-Pierre PERNAUT, souffrant, Jean-Marc SYLVESTRE jouera donc les présentateurs vedette de « L’Auxerrois à la Une ».

 

AUXERRE : Décidément, entre la Ville d’Auxerre et le vivier ultra éclectique et disponible des journalistes ayant exercé chez TF1 présents sur le marché de l’animation, le filon relationnel est inépuisable !

In fine, au soir du 09 février, nouvelle date validée par les organisateurs de la cérémonie des vœux et de la présentation des grands projets structurels de l’Agglo à dix ans, ce n’est donc plus Jean-Pierre PERNAUT qui endossera le rôle de « Monsieur Loyal » face caméras mais bel et bien l’expert es économie, Jean-Marc SYLVESTRE.

Un visage connu et reconnu dans le landerneau médiatique, universitaire ayant enseigné à la faculté de Caen à ses débuts avant de converger vers le journalisme et possédant un doctorat dans sa matière de prédilection, excusez du peu !

Editorialiste durant 22 ans sur France Inter, cofondateur de LCI, promu à de hautes responsabilités au sein de TF1, Jean-Marc SYLVESTRE est loin d’être un néophyte dans sa spécialité. Celles et ceux qui suivent ses chroniques régulières sur son blog, les ondes ou sur les plateaux de télé, où la macro et la micro-économie se dévoilent au grand public avec aisance dans le verbe et plaisir de l’écoute, en savent quelque chose.

 

 

L’économie au cœur de ce plateau de télévision ?

 

Désigné par l’Université Paris Dauphine meilleur journaliste de l’année 2008, ce personnage qui aime allier la pédagogie au sens de l’analyse revient donc à Auxerre, après avoir enchanté à l’époque, c’était en janvier 2017 –nous y étions ! -, le public de décideurs économiques de la Maison de l’Entreprise lors d’une mémorable conférence inhérente à la digitalisation et ses effets. Encore un joli coup de projecteur sur Auxerre, imputable à Claude VAUCOULOUX qui dispose d’un carnet d’adresse bien construit !

Au même titre qu’un Nicolas BOUZOU ou un Christophe BARBIER, Jean-Marc SYLVESTRE propose également ses services, comme tout bon communicant qui se respecte, aux organismes consulaires, entités économiques et collectivités pour animer débats et controverses. Surtout, en ce qui le concerne, sur des sujets inhérents à l’économie et à l’évolution de la société.

Sa présence, en lieu et place de JPP (de nouveau affecté par la maladie comme cela fut annoncé en décembre par la presse), n’est donc pas une surprise en soi.

Doit-on y voir, au préalable, un réajustement des items qui seront déclinés lors de ce rendez-vous en visioconférence ? Ce n’est pas impossible. La dimension économique devrait largement dominé les interventions des orateurs successifs invités sur ce plateau de télévision locale, dont les patronymes sont encore tenus au secret. Histoire de préserver l’effet de surprise et de faire le buzz positivement le jour J ?

 

 

La flèche ironique de l’élu Mathieu DEBAIN…

 

Quoi qu’il en soit, le changement de présentateur n’a pas tardé à faire réagir les réseaux sociaux. En particulier celles et ceux qui s’offusquent toujours de la tenue de ce grand barnum, même si l’aspect ouvert au public n’est plus d’actualité, faute à la COVID.

Ironiques, les commentaires de l’élu auxerrois de l’opposition, Mathieu DEBAIN, publiés sur sa page Facebook, prêtes à sourire, si par mégarde Jean-Marc SYLVESTRE venait à annuler sa présence en dernière minute.

« Je recommande à la municipalité de choisir la célèbre journaliste de « Cash Investigations » Elise LUCET dont l’émission enquête sur les dérives financières… ».

Sacré Mathieu ! Voilà une suggestion forte à propos pour assurer la relève, sauf que la professionnelle n’a jamais exercé ses talents sur TF1 ! Ce qui n’est donc pas le bon filon en termes de choix pour la Ville d’Auxerre !

 

Thierry BRET

 

 


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L’évènement s’étale sur quatre journées. Dont deux en Puisaye, le reliquat se faisant sur le Tonnerrois. Une zone géographique qu’affectionnent les responsables de la chambre départementale agricole. Ils y ont expérimenté ces derniers mois le projet « 360 degrés » avec la communauté de communes. Mais là, du 07 au 10 février, changement de registre. Les bâtiments d’élevage seront au centre des prérogatives…

 

AUXERRE : Cinq visites d’exploitation constitueront le socle de ce copieux programme instructif. Elles seront assorties de causeries et témoignages variés autour de problématiques permettant de mieux appréhender la réalité de l’installation des jeunes agriculteurs dans l’élevage. C’est le menu non alimentaire mais pourtant très digeste que propose la semaine prochaine la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne.

Un cycle de conférences, conçu avec le précieux concours du réseau Innov’ Action et de la coopérative ALYSE, servira de solide armature à ce projet ; le premier de l’année permettant de renouer les liens de l’écoute et de la discussion. 

L’objectif du projet est simple : faire toute la lumière sur l’installation des jeunes éleveurs ayant opté pour la filière. L’une des plus complexes qui soit proposée parmi le panel de métiers issus du milieu agricole.

 

Le partage de bons trucs et astuces pour les éleveurs…

 

Ces portes ouvertes dans les bâtiments d’élevage traduiront dans les faits la nouvelle dynamique impulsée par la chambre consulaire et l’un de ses partenaires essentiels, la coopérative ALYSE. Vouloir optimiser la communication en 2022.    

Trois lieux ont été choisis pour cela : Provency, Moutiers-en-Puisaye et Noyers-sur-Serein. Accueillies dans cinq établissements tenus par de jeunes agriculteurs, ces conférences possèdent pour fil rouge un dénominateur commun : le partage d’expérience et de savoir-faire dont pourrait profiter l’auditoire.

Initié en Côte d’Or, ce cycle a rencontré un joli succès, plus que d’estime avec la présence de près d’un millier de visiteurs ! Certes, l’Yonne n’est pas comparable à son voisin méridional. 

« En fait, résume Arnaud DELESTRE, président de l’organe institutionnel, ce rendez-vous est propice au partage des bons trucs et astuces nécessaires à une installation réussie dans la filière… ».

D’autant que les renseignements sont très attendus des jeunes professionnels ayant osé franchir le pas.

 

Préparer la relève alors que les cartes vont être brassées d’ici dix ans…

 

Parmi les items de cette édition 2022, la dynamique de l’élevage de caprins et d’ovins constituera l’une des priorités de ce cycle. Une tendance exponentielle observée depuis plusieurs mois. On y parlera aussi de l’engraissement des génisses, de l’emploi d’appareillage facilitant la traite et le confort de l’éleveur, de la directive nitrates et de ses impacts sur les exploitations, voire de la transformation en élargissant la gamme de produits laitiers afin de se différencier.

Petit coup de projecteur spécifique : une animation organisée autour de la valeur ajoutée pour un néophyte de la filière qui en viendrait à créer sa propre fromagerie !

Quand on sait que 50 % des agriculteurs actuels pourront prétendre à la retraite dans la décennie à venir et que 70 % du cheptel de bovins sont détenus par des personnes âgées de plus de 55 ans, on se dit effectivement que l’anticipation permettant de bien préparer la relève devient urgente !

 

Thierry BRET

 

 


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