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Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


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Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


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Le B.N.B. serait-il un principe utopique ? Une belle promesse électorale de plus ? Un rêve inaccessible ? Une réalité qui ne s’applique qu’au Bhoutan ? En France, comme partout ailleurs, on se focalise sur le P.I.B. (Produit intérieur brut). Soit la somme des richesses qui est créée par les acteurs économiques nationaux. Seul Nicolas SARKOZY a évoqué en son temps ce fameux « bonheur national brut » au cours de son mandat. Alors illusion ou opportunité ?

TRIBUNE : Depuis, la seule évolution concrète, c’est la création d’un système de climatisation gratuit dans nos ministères. On répartit d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous privent d’air !

Du « vouloir vivre », on exprime de plus en plus le « vouloir être », les « ardents » selon THEILLARD de CHARDIN. Dans sa propédeutique de la spiritualité, ce dernier les oppose aux « pessimistes » et aux « jouisseurs ». Quelle est la place de l’homme dans les choix économiques et dans l’évaluation des pays ?

En France, on recense neuf millions de pauvres, quatre millions de mal logés, 150 000 sans domicile fixe. Rien qu’en 2018, 600 SDF sont morts tristement dans la rue. De simples faits au regard de la mesure du P.I.B. !

On compare les pays grâce au sacro-saint P.I.B. Mais que vaut réellement un pays, encore mieux que vaut l’individu ? La mesure est la suivante : le PIB par habitant s’élève à 43 000 dollars américains en France. Il est de 600 $ en Centrafrique, 126 000 $ au Qatar…et 3 000 au Bhoutan.

 

Le Bhoutan, petit pays d’Asie vertueux ?

 

Ce pays de l’espace himalayen a décidé de reléguer le PIB bien après le bonheur de ses habitants. Ainsi, le B.N.B (bonheur national brut) fût décidé en 1972 par l’ancien Roi, Sigme Singye WANGCHUK. C’est une approche transversale et holistique dans les domaines concernés. Elle se base sur les techniques qui couvrent neuf domaines (vitalité, éducation, bien-être psychologique…). Trente-trois indicateurs et cent-vingt-quatre variables déclinent ces domaines.

La place de l’économie au Bhoutan est centrée prioritairement sur l’écologie (Bilan carbone négatif). L’évaluation du B.N.B. se fait par enquêtes et chaque loi doit être validée par la commission ad hoc. Celles-ci permettent de s’intéresser à la population non encore heureuse : celle dont le seuil de suffisance est atteint dans moins de six domaines et définie par un pourcentage.

 

 

 

Ledit pourcentage est donné par X. On étudie ensuite l’ampleur des insuffisances : c'est-à-dire le pourcentage des domaines en insuffisance dans cette population. Ledit pourcentage est appelé Y. La formule magique pour calculer la valeur du B.N.B. est celle-ci : 100 % - (X) (Y)]. Afin d’améliorer l’indice, il faut donc diminuer X et Y !

 

Il est grand temps de changer de paradigme…

 

On peut étudier des modèles mis en pratique qui semblent pertinents ! Le beurre oui, mais pour l’argent du beurre, il faut attendre un peu. Le Bhoutan a la réputation d’être le pays le plus heureux de la planète mais il reste très pauvre.

Pour une transposition dans nos pays, il faudra se poser la question centrale : qui est légitime pour définir ce qui compte le plus pour évaluer le bonheur du citoyen ?

Changer de paradigme, c’est transformer nos modèles et les orienter  vers une meilleure répartition des richesses. Les freins à notre bonheur sont les inégalités sociales, la crise écologique…

Autant de thèmes qui appellent de toute urgence un changement des mentalités et du cadre de référence. Le B.N.B. rappelle l’article 1 de la constitution du 24 juin 1793 : c’est-à-dire le but de la société, « le bonheur commun » !

Il n’y a pas de déductions hâtives à avoir : le chanvre pousse comme du chiendent au Bhoutan, certes, mais ce n’est pas pour autant que les bhoutanais fument du cannabis pour exprimer leur bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 


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Le renouvellement de la convention-cadre établie entre le Conseil départemental de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) ne fut que pure formalité entre ses signataires, ce vendredi 20 février à Auxerre. Tant l’évidence primait sur l’acceptation d’un accord déjà bien ancré dans la pratique de ce partenariat depuis 2008. Vingt-cinq agents de la collectivité territoriale en sont les bénéficiaires. Avantage suprême : leur employeur institutionnel leur autorise du temps pour qu’ils puissent se former et agir lors de missions dévolues à leurs tâches…

 

AUXERRE : 80 % des actions enclenchées dans le cadre de la sécurité civique reposent sur le principe éthique du volontariat. Autant dire que pour le corps des sapeurs-pompiers, il est inconcevable de négliger une telle matière première dont il est bon, avec la constance régulière d’un métronome, de raviver la mémoire et raffiner la quintessence altruiste de ces bonnes âmes lors de manifestations spécifiques.

Pensé en 2017, le Plan d’action visant à recruter des sapeurs-pompiers volontaires, voulu par Gérard COLLOMB, ministre de l’Intérieur de l’époque, n’est pas passé inaperçu dans le sérail local. Présentant un intérêt inéluctable pour les soldats du feu et les structures institutionnelles qui sont inféodées à leur mode de fonctionnement. A l’instar du Conseil départemental de l’Yonne.

Il est donc logique, voire légitime, que l’organe représentant le pouvoir politique exécutif de notre territoire fasse usage d’exemplarité dans la promotion de ce dossier vertueux.

Depuis 2008, et bien avant les opérations nationales menées à grand renfort de communication, un certain nombre de collaborateurs de la structure avait fait connaître leur intention de s’engager en faveur de cette noble et valeureuse cause. Au service de leurs concitoyens.

 

 

Elles et ils sont désormais vingt-cinq de cette vénérable maison à offrir de leur précieux temps pour renforcer les équipes de professionnels déjà en place au sein des différents centres d’intervention de l’Yonne.

Devant cet engouement volontariste à la déontologie dénuée de toute ambiguïté, le Département ne pouvait rester insensible à ces engagements salvateurs pour les services de secours de notre territoire.

D’où l’idée que l’on puisse accorder du temps supplémentaire à prendre sur sa présence au travail afin d’accroître ses connaissances techniques à la suite de formations ou pour épauler les équipes en intervention.

 

 

Un principe gagnant/gagnant pour les secours et les employeurs…

 

Très tôt, les résultats se sont avérés positifs. Si en 2017, trente-neuf sapeurs-pompiers volontaires exerçant leur activité professionnelle dans une vingtaine de sociétés publiques et privées avaient paraphé ce document (l’accord tripartite entre l’employeur, le SDIS et le Département), leur nombre devait dépasser toutes les espérances en ce début d’année.

Cent-quarante personnes, salariées dans soixante-quinze entreprises, ont rejoint les effectifs des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) de notre territoire.

A la grande satisfaction du président du SDIS, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département, et du directeur de l’instance sécuritaire, le colonel Jérôme COSTE. Ce dernier était accompagné pour la circonstance lors de cette cérémonie officielle par le colonel Pierre BEPOIX et le commandant Gilles ROGUIER.

 

 

 

Grossir les rangs des sapeurs-pompiers volontaires demeure la priorité du Département et de son président, Patrick GENDRAUD, y compris auprès de ses propres collaborateurs. A ce jour, l’Yonne en dénombre plus de mille trois cents cinquante. L’objectif est de gagner encore de la visibilité auprès des employeurs et de leurs salariés.

La mise à disposition par l’entreprise de cinq jours consacrés aux aspects pédagogiques et théoriques peut inciter les personnes intéressées à franchir le cap. Celui de l’engagement en faveur d’un acte citoyen qui peut vite devenir profitable pour l’entrepreneur lui-même si un sinistre ou un incident de travail venait à se déclarer dans ses locaux.

A bon entendeur, pour les chefs d’entreprises ou directeurs de service, qui auraient encore des doutes sur la pertinence déontologique d’une telle initiative…

 

 


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Un premier écueil vient d’être franchi par la candidate d’Europe Ecologie Les Verts qui rêve de se parer de l’écharpe tricolore d’édile d’Auxerre au soir du 22 mars. Sa liste est définitivement bouclée. Sans que la jeune trentenaire n’ait eu à éprouver la moindre inquiétude quant à l’issue de cette simple formalité. Il lui aura juste fallu laisser un peu de temps au temps comme le dit si bien la formule mitterrandienne. Avec ses quarante colistiers, la tête de liste « verte » décline un menu éclectique où prédominent des axes majeurs articulés autour de trente propositions. Garantes d’un renouveau pour Auxerre ?

AUXERRE : S’inspire-t-elle de l’œuvre maîtresse d’Igor STRAVINSKY, si déconcertante et tant critiquée dès sa représentation initiale en 1913, pour avancer pas-à-pas sur le chemin qui pourrait la mener vers la consécration ultime ?

Force est de constater que la chef de file EELV, Maud NAVARRE, soutenue par Génération Ecologie, n’a qu’une seule idée en tête en faisant acte de candidature dans la capitale de l’Yonne face à Guy FEREZ : la rupture profonde avec l’ancien système et son maire qui concoure au succès d’un quatrième mandat consécutif.

Une rupture à l’instar du fameux ballet musical avec lequel le compositeur russe cassa symboliquement les codes de la créativité instrumentale. Faisant pousser des cris d’orfraies à tous les puristes de l’art lyrique de l’époque !

Il n’est pas certain, par ailleurs, que les coreligionnaires de la journaliste de 34 ans, adjointe en charge des transports, de la mobilité et des déplacements doux dans l’actuelle mandature, aient envisagé avec son approbation l’appellation de sa liste (« Les Printemps pour Auxerre ») sous cet angle pour mélomanes avertis. Qu’importe !

Côté sémantique, chacun aura compris que ces « Printemps » symbolisent dans leur traduction liminaire la phase de renouvellement, de reprise d’activité, de sang neuf, d’allongement des jours meilleurs, bref : un aller simple vers le grand beau où le ciel azuréen auréolera l’ensemble des Auxerrois.

Comment, me direz-vous ? Par la scrupuleuse application de ce pensum qui fait aujourd’hui office de feuille de route et qui vient étayer les propositions éclectiques de la jeune femme.

 

Un pentagramme d’orientations finement ciselées…

 

Alors, ce catalogue printanier qui nourrit cette jeune équipe dont la plupart de ses composantes n’a encore jamais goûté à l’âpreté d’une campagne sur le terrain ni à ses moments de folles espérance à la veille du scrutin. Quelles en sont ses lignes maîtresses ?

Cinq axes qui in fine représentent une évidence. La santé, l’économie, l’éducation, la sécurité et, le contraire aurait surpris, l’écologie.

Lors de sa récente conférence de presse, où elle était accompagnée de sa « garde prétorienne » (la douzaine de colistiers qui peuvent prétendre obtenir un poste d’adjoints en cas de succès), Maud NAVARRE s’est inspirée de l’inventaire à la Prévert pour en expliciter le contenu. Certes, pas dans ses moindres détails, mais avec suffisamment de précisions, appuyées d’exemples, pour que l’on comprenne le sens profond de sa stratégie politique.

Ainsi, le volet sanitaire s’inscrit parmi ces sujets dont il faudra tôt ou tard trouver des solutions pérennes. Créer un centre dentaire en y embauchant des praticiens salariés cohabite parmi les suggestions avancées avec l’incitation à l’accueil de nouveaux généralistes sur le territoire.

La tenue d’Etats généraux de la santé, avec les milieux publics et privés, serait l’émergence de pistes à approfondir par la suite. Quant à la préservation de la qualité de l’eau et celle de l’air : pas de doute, cela répond aux exigences de la candidate pour renforcer le bien-être de ses futurs administrés. Dans les faits, cela se traduit par l’accélération du projet de contournement de la zone Sud de la ville, l’investissement dans les transports collectifs et le développement des déplacements vertueux (cycles).

 

 

 

 

Rendre le territoire autonome : une obligation économique…

 

Pour celles et ceux qui pourraient en douter (si, si, il y en a toujours dans le microcosme !), l’économie figure en bonne et due  place dans ce copieux programme. Toutefois, elle se verdit en proposant la lutte contre les gaspillages, l’intensification des circuits courts ou la valorisation de produits Made in Yonne.

L’aide à l’installation au commerce bénéficierait, cerise biologique sur le gâteau, d’un fonds d’investissement solidaire alimenté par des subsides publics et privés.

L’un des items plutôt insolites serait la création du concept Auxerre Plage, un petit ensemble touristique destiné à accueillir des bungalows écologiques le long de l’Yonne !

L’emploi et la formation complètent ce chapitre, à ne négliger sous aucun prétexte.

Parmi les idées fortes du volet éducatif (il englobe aussi la culture et les sports), « Les Printemps pour Auxerre » priorisent l’accessibilité à tous. Sachant que la qualité d’accueil des structures ouvertes à la petite enfance, l’enfance et à la jeunesse verrait son optimisation se multiplier.

Une nouvelle crèche associative d’une capacité d’une vingtaine de places favoriserait le désengorgement et la réduction des délais d’accueil. Une vraie sinécure pour les jeunes parents qui ne savent plus à quels saints se vouer dans leur quotidien.

Les ados profiteraient dans chaque équipement de quartier d’espaces leur permettant de se distraire ; concept qui pourrait être déclinable dans les immeubles gérés par l’Office Auxerrois de l’Habitat. Autre trouvaille : la création d’un « PASS AUXERRE » faciliterait l’accès à la culture et au milieu sportif. 

 

 

 

Un credo sécuritaire : anticiper, prévenir, éviter les délits…

 

Lutter contre l’insécurité passe notamment par la restauration de liens apaisés et républicains entre la police et les citoyens. Aussi, Maud NAVARRE n’hésite pas dans son programme à augmenter les effectifs de la police municipale tout en élargissant leurs plages horaires de présence. Des sept agents déployés d’ordinaire, l’effectif augmenterait à une vingtaine d’unités.

Mais, attention, dans ce schéma, le mot répression est à proscrire. La sécurité des Auxerrois s’effectuerait dans le cadre d’une démarche humaine et pédagogue, ouvertement concrétisée par l’écoute et le dialogue.

Une nouvelle fois, les services de l’Office Auxerrois de l’Habitat seraient sollicités (après l’espace pour ados), charge à eux de réinstaller des concierges dans leurs loges afin de gérer les incivilités entre voisins et humaniser les quartiers.

Enfin, une maison de la tranquillité destinée à l’accueil de femmes victimes de violence ou de discrimination répondrait aux situations d’urgence en cas de maltraitance.

Reste le volet écologique (le nerf de la guerre de toute liste verte qui se respecte), l’idée majeure est d’engager le territoire vers la transition écologique qui améliore la qualité de vie des citoyens.

Qualifiée « d’humaine mais pas d’urbaine » par Maud NAVARRE elle-même, cette écologie fait abstraction de tout dogmatisme et d’aspects punitifs un peu trop usités par le passé par les gouvernements pour ne s’intéresser qu’à l’essence même du concept : le citoyen.

Identification de zones énergétiques (éolien, photovoltaïque avec projets participatifs menés auprès d’entreprises…), gestion des déchets et de leur tri, végétalisation du cœur de ville… : autant de possibilités hétéroclites qui permettraient à cette gouvernance, si elle était choisie au sortir des urnes, d’obtenir le précieux label « Cit’ergie », gage de l’engagement de la collectivité dans le développement durable.

Il ne reste plus désormais qu’au chef d’orchestre, Maud NAVARRE, munie de sa partition printanière qui pourrait accréditer son « Sacre » en cas de réussite, de la jouer avec ses quarante instrumentistes auprès du plus grand nombre.

En espérant, pour elle, que les Auxerrois perçoivent la note Bleue, celle qui est absolue, de la douce musique de l’écologie rayonnante !

 

 


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