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C’est le modèle à date le plus vendu par le constructeur d’Outre-Rhin. Digne successeur du fameux « GLK », cette nouvelle famille de SUV, esthétique et puissante, apparue en 2008 sur les marchés planétaires, s’est écoulée à plus de 2,5 millions d’exemplaires dans sa version initiale. Sa nouvelle configuration, dévoilée lors de multiples salons internationaux en 2022, interpelle avec sagacité les férus de la marque à l’étoile qui le découvrent en concessions. Notre rédaction a testé ce joyau de technologie, de confort affirmé et de prouesses techniques en version « off road » par temps de pluie…Un véhicule qui nous a procuré d’excellentes sensations.

 

AUXERRE : Voilà un SUV fougueux, téméraire et fiable à souhait qui ne craint pas de franchir les chemins boueux et gorgés de pluie sur un itinéraire insolite emprunté hors les murs de la ville à travers champs et forêts ! Sensations garanties et excitation assurée pour le pilote de ce modèle très confortable à l’estampille de Mercedes-Benz !

Testée en ville, sur les routes nationales et départementales mais aussi sur les chemins de traverse qui font le charme de nos paysages champêtres et bucoliques d’arrière-pays (la Puisaye-Forterre) par temps pluvieux, cette version relookée du SUV GLC de la marque allemande s’est avérée très positive pour mieux cerner le volontarisme de l’ingénierie d’Outre-Rhin. Celui de procurer un maximum de plaisir pour ses conducteurs autant en mode tout terrain que sur l’asphalte ordinaire. On suppose que sur autoroute la pointe de vitesse proposée par ce véhicule à la stabilité remarquable devait être fort appréciable également !

Troisième génération d’une famille de modèles automobiles sorties des usines de Stuttgart depuis 2008, le GLC a été officiellement lancé à l’automne dernier sur le marché consumériste. Une nouvelle variante qui marque déjà les esprits des fidèles de l’enseigne.

 

 

Un bon feeling dès la prise en main…

 

Dès l’installation sur le siège conducteur, on se sent à l’aise et sécure dans cet habitacle ciselé aux petits oignons côté esthétisme. Les explications fournies en masse par le commercial de la concession auxerroise (Etoile 89 du groupe CHOPARD) allèchent déjà les babines de votre serviteur avant même d’avoir poussé le bouton de l’incontournable « stop & go ».

Entre raffinement et soin devant satisfaire les occupants du véhicule, tant à l’avant qu’à l’arrière, un écran tactile d’une douzaine de pouces permettant de naviguer d’une simple petite pression exercée par l’index sur un copieux programme d’indications déroulant et de renseignements fort utiles au conducteur, un décorum bon teint au niveau des coloris d’ambiance – selon les goûts et les envies du jour, voire ses humeurs, l’habitacle se colore en rose, en vert, en jaune ou en violine, créant ainsi un univers chromatique décalé et original à satiété-, le contact initial avec ce véhicule, décliné ici en version diesel, est plus qu’enthousiasmant.

Même la position du pilote sur son siège mérite que l’on s’y attarde quelque peu ! L’ordinateur de bord calcule à partir de votre poids fourni par vos soins au préalable la bonne attitude à avoir derrière le volant en matière de gestuelle – l’idéal pour éviter les mauvaises postures et les contractions néfastes à la longue pour celles et ceux qui souffriraient de troubles musculaires du squelette - selon les différents segments du siège qui se règlent ainsi en autant de variantes sur mesure ! Mais, jusqu’où les ingénieux concepteurs de l’automobile ultra moderne poussent-ils les ultimes retranchements en termes de confort ?!

 

 

 

Mention bien, également, pour le volant. Agréable à la préhension, il apporte une connotation un tantinet sportive à l’ensemble. Peu commun dans les SUV. Les commandes tactiles qui y sont associées offrent au niveau de votre champ de vision l’opportunité d’obtenir d’autres renseignements ou de façons de conduire (mode économique, mode sportif, etc.). Cerise sur le gâteau : les éléments informatifs se rapportant à la vitesse du véhicule mais aussi les panneaux signalétiques rencontrés apparaissent dans le prolongement de votre regard face à la route, par simple effet de transparence sur la vitre avant. Idéal en termes de réactivité !

Le son fourni par les enceintes est de belle facture (spatialisé dans l’habitacle et provenant de toute part) et permet d’apprécier à leur juste valeur vos morceaux de musique préférés issus de votre « « Apple Car Play » à l’instar d’un vieux tube des DOORS de 1967 (« Alabama Song ») où la voix de Jim MORRISON envahit pleinement la voiture comme s’il sortait d’outre-tombe comme s’il était assis à côté de vous !

La sélection des stations radio s’effectue en déroulant les icônes représentatives des enseignes avec le doigt. Le système est pas mal, toutefois, il requiert une attention accrue lorsque l’on conduit.

 

 

Une excellente tenue de route pour affronter le tout-terrain…

 

Considéré par le constructeur germanique comme le SUV le plus dynamique sur tous les terrains, il était impensable de ne pas aller l’essayer sur des chemins cahoteux surtout par conditions météorologiques favorables, c’est-à-dire par temps de pluie et de vent. Vive les giboulées de mars qui procurent de belles sensations. La maniabilité du véhicule est de bon aloi et encourageant pour effectuer à plusieurs reprises un petit circuit à travers champs et bois avec un peu de dénivelé et des devers parfois glissants du fait de la pluviométrie salvatrice à Dame Nature.

Une plaque de boue et rien, pas le moindre signe de faiblesse du dernier-né de la gamme SUV de Mercedes qui poursuit sa progression sans coup férir.

Il suffit d’appuyer sur une petite touche et hop, le tour est joué. L’automobile se mue en mode de locomotion rassurant, pouvant aborder les obstacles – même des branchages tombés des forêts avoisinantes qui occupent le milieu du chemin – et permettre ainsi sans encombre à ses testeurs du jour de continuer leur progression aventureuse avec contentement.

 

 

Les capacités tout-terrain du modèle s’avèrent excellentes. On se sent serein derrière le volant même à l’amorce d’une forte averse et d’une traversée sans embûche d’une zone boisée où règne la pénombre. Un plus est alors observé, avec l’allumage automatique des feux avant qui apportent un éclairage optimum.

Quant aux jantes, leur largeur impressionnante assure au niveau visuel et procure une bonne stabilité du véhicule même lors de passages délicats à franchir. Cela optimise davantage l’aspect sportif de ce petit joyau de la digitalisation et de la technologie, un effet qui est renforcé avec la présence avantageuse du marchepied en acier, flatteur à l’esthétique.

Un aperçu sur le coffre. Profond, spacieux, il peut accueillir jusqu’à 1 640 litres de bagages, il suffit pour cela de coucher les sièges arrière. Idéal pour les longs déplacements requérant l’usage de nombreuses valises. De longs voyages réalisés dans le calme et l’absence de sonorisation de ce moteur diesel dont on n’entend quasiment aucun bruit. C’est tout juste si l’on se demande parfois s’il est en mode fonctionnel…

La motorisation, parlons-en, est de belle envergure. Peu consommateur en carburant malgré le volume et le poids de ce véhicule (près de deux tonnes), soit entre 6,7 et 7 l, ce moteur diesel quatre cylindres se montre puissant avec ses 197 chevaux et très réactif à l’accélération. Son couple est de 550 Nm. Le passage du zéro à cent est de 8 secondes.

 

 

Elle vous accompagne partout en lui disant « Hey Mercedes »…

 

Equipé de la seconde génération du système info divertissement MBUX, le GLC s’active de manière pratique en sollicitant vocalement l’assistant adaptatif « Hey Mercedes ». Une voix à la suavité féminine qui prend alors en compte vos desiderata opérationnels en offrant une palette de prestations pratico-pratiques à la conduite. Notons également la présence des caméras avant et arrière, indispensables aides au stationnement dans les zones urbaines.

Autre particularisme attrayant, l’assistant de distance actif DISTRONIC. Il peut maintenir automatiquement une distance prédéfinie avec les véhicules qui précèdent celui que vous conduisez. Idem pour l’assistance active de direction qui aide le conducteur à rester dans sa voie même à des vitesses pouvant dépasser les 210 km heure. Gare à l’amende en cas de verbalisation…

Voilà dans les grandes lignes – on vous laisse le soin de tester par vous-même ce joli fleuron de la marque allemande – les points séduisants de ce modèle que l’on peut toucher à partir de 60 000 euros sans les options. Certaines apparaissaient comme indispensables à l’instar du toit ouvrant.

Un SUV familial capable de très agréables prouesses sur tout-terrain, idéal pour s’amuser au volant et éprouver de belles sensations sur la route. Véhicule facile à conduire y compris en ville avec les nombreuses assistances intelligentes. Le plus jeune des testeurs, âgé de 18 ans, n’y a pas été dans la demi-mesure côté verdict, accordant un 18 sur 20 au véhicule. La vérité ne sort elle pas de la bouche des enfants dit l’adage…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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C’est un rendez-vous que les épicuriens et esthètes de la gastronomie française ne manqueront sous aucun prétexte. Une immersion de plusieurs minutes au cœur de ce groupe entrepreneurial de renommée universelle, fleuron des arts de la table de la Bourgogne Franche-Comté. TF1 diffuse ce dimanche à 18h20 dans « Sept à Huit » un reportage consacré au groupe Bernard LOISEAU, dont la pérennité est assumée aujourd’hui par ses deux filles, Blanche et Bérangère…

 

SAULIEU (Côte d’Or) : Entre deux reportages consacrés l’un au souvenir du charismatique leader de « QUEEN », Freddy MERCURY, et la violence urbaine qui se banalise à Marseille, cité endeuillée au quotidien par des assassinats crapuleux sur fond de trafic de stupéfiants, les aficionados de l’émission culte de TF1 (« Sept à Huit ») – présentée par Harry ROSELMACK depuis septembre 2010 -, se plongeront dans l’univers gourmand de l’un des temples de la gastronomie universelle, le groupe Bernard LOISEAU.

L’émission de ce dimanche 09 avril proposera à partir de 18h20 une immersion au sein de la société tenue jadis par Dominique et Bernard LOISEAU, le regretté chef qui nous a quittés il y a maintenant deux décennies dans de tragiques circonstances.

 

 

Un reportage qui ne doit rien au hasard, au-delà de l’hommage rendu à ce personnage mythique de la gastronomie hexagonale.

Car, parmi l’actualité du groupe LOISEAU, il y a l’ouverture le 21 avril prochain de « LOISEAU du Temps », un nouvel établissement sis dans la ville chère à Victor HUGO, Besançon.

Après sept mois de travaux, le groupe LOISEAU ouvrira cette nouvelle vitrine culinaire – une formule « bistrot » de chic et de charme situé dans le « Conservatoire » de la ville -, venant étoffer ainsi l’offre déjà existante, comprenant à Saulieu « Le Relais Bernard LOISEAU » avec ses deux hôtels, son spa et ses deux restaurants, à Beaune « LOISEAU des Vignes » et à Dijon « LOISEAU des Ducs ». Un cinquième établissement qui méritait bien un sacré coup de projecteur de la part de TF1, presque à l’heure du dîner…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Pourquoi le bio va mal ? Entre les producteurs, les revendeurs, la grande distribution, les consommateurs…quel est le problème majeur de la filière bio ? Dans notre tribune précédente, nous avons examiné les contraintes de l’agriculture bio. Aujourd’hui, regardons de plus près les autres causes de la chute de cette activité, à l’origine prometteuse en termes d’écologie, de santé et d’emploi.

TRIBUNE : Le principal facteur de cette décrue est évidemment l'inflation. Un produit bio reste en moyenne 44 % plus cher que son équivalent conventionnel. A titre d’exemple, la tomate ronde est ainsi 70 % plus chère que la tomate classique. En période d'inflation, peu de foyers peuvent se permettre d'acheter 100 % bio. Ils vont donc réaliser des arbitrages. 2022 a enregistré une baisse de près de 7 % de l’activité et on s’attend à une chute encore plus importante pour 2023. Chez les experts, le « bio » est aussi victime d’une expérience client peu convaincante.

Si les grandes surfaces traditionnelles connaissent un recul de 5,3 % des achats « bio », les magasins spécialisés (BIOCOOP, La Vie Claire…) marquent le pas avec 16 % d’effondrement du chiffre d’affaires ! Aujourd’hui, 54 % des Français déclarent que les produits bios sont bien trop chers par rapport aux bénéfices qu’ils apportent.

 

 

Le bio se relèvera-t-il de la crise de l'inflation?

 

Des producteurs aux consommateurs, tous les voyants de la filière bio sont au rouge. Toute la filière est mise à mal. La crise du bio, c’est le plan « hors sec » et « Defcon 3 » réunis, au point que la filière en appelle désormais la grande distribution à l'aide, après l'avoir pourtant critiquée des années durant. Dans une lettre ouverte, les trois grandes organisations du secteur (SYNABIO, FOREBio et la FNAB) prient les supermarchés de ne pas se désengager du bio.

« Dans ce contexte, vous avez, en tant que leaders de la distribution alimentaire, un rôle clé à jouer pour maintenir une offre bio qui soit visible, attractive et diversifiée, écrivent-elles en chœur. Or, nous constatons que vos enseignes tendent en ce moment à réduire le marché bio ».

Ce qui est le cas. Pour faire de la place aux produits plus accessibles, les grandes surfaces alimentaires s'en prennent logiquement aux rayons bios moins attractifs. En septembre 2022, l’offre avait reculé de 7,3 % sur huit mois, selon IRI. Un recul plus important que la baisse du chiffre d'affaires, relèvent les fédérations. Les acteurs du bio constatent un démantèlement des équipes dédiées au bio, « une dégradation du niveau d’expertise sur les produits et les filières » et craignent « de voir le bio noyé dans des catégories aux contours mal définis, comme l’offre durable ».

 

La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces…

 

Les grandes surfaces seront-elles les fossoyeurs du bio ou sont-elles le bouc émissaire facile d'une crise qui fragilise toute une filière ? Certains groupes de distribution se veulent rassurants. « Il n'y a pas de désinvestissement massif sur le bio chez Système U », assure Dominique SCHELCHER, le PDG de l'enseigne aux médias. « On pense que la baisse est conjoncturelle », déclare-t-il. « La vraie difficulté est celle de ces producteurs qui se sont convertis au bio ces dernières années et dont les débouchés se restreignent. Le coupable, c'est l'inflation qui contraint les gens à arbitrer sur ces produits-là ».

Lancés en 2018 en grande pompe sur un positionnement bio accessible (prix 30 % plus bas), les « Marchés Bio » chez Leclerc visaient quarante magasins en 2019 et 200 en 2022. Quatre ans plus tard, le groupement en dénombre péniblement dix-sept : le concept devrait être abandonné. C’est un projet mal né selon le spécialiste Frank ROSENTHAL : « Quel intérêt pour un adhérent de mettre un « Marché Bio » dans sa galerie marchande quand il a déjà un rayon bio bien fourni ?, s'interroge-t-il. La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces, pas par les magasins spécialisés ".

 

 

Une crise sur fond de mise en sommeil…

 

« Faisons le dos rond, les lendemains chanteront ». C'est en substance le discours des pro-bios actuellement. La réalité est peut-être moins idyllique. C'est en tout cas ce que pensent certains observateurs du monde de la consommation. Comme Xavier TERLET, président de « Protéines XTC » qui juge dans une tribune publiée sur le site de « LSA », que le prix du bio était déjà un frein avant la crise actuelle.

« En 2020, le magazine « Linéaires » a analysé les prix moyens en bio et en conventionnel de plus de deux cents familles de produits alimentaires recensées par Nielsen. L’écart de prix est loin de se limiter à 30 % comme on l’évoque souvent mais s'élève à 75 % en moyenne », rappelle-t-il.

« Le mois dernier, j’ai moi-même constaté chez Carrefour un écart de 94 % entre le yaourt nature de Danone et son équivalent bio », poursuit l'expert. « Presque le double ! Une grande partie des consommateurs ne regarde même plus cette offre indécente, réservée aux plus aisés d’entre nous ».

 

Produit bio ou produit bon ?

 

Si le facteur prix est évidemment central dans la désaffection actuelle, il n'est peut-être pas le seul. C'est la relation bénéfice/prix qui pousse les consommateurs à estimer qu'un produit est trop cher et à arbitrer en sa défaveur. Et c'est là, le point nodal du problème avec le bio.

« Ce n'est pas parce qu'un produit est bio qu'il est bon, il peut y avoir des produits conventionnels qui ont plus de goût par exemple », constate Frank ROSENTHAL, spécialiste du marketing de la consommation. « Les experts du bio disent qu'il s'agit du vrai goût des produits, mais si le « vrai goût » c'est de ne pas avoir de goût, les consommateurs ne sont pas satisfaits ».

Payer plus cher (voire beaucoup plus cher) pour un produit qui n'apporte pas plus de plaisir qu'un produit conventionnel passe plus difficilement en période de contrainte sur le pouvoir d'achat. D'autant que la dimension commerciale est souvent négligée, surtout par les enseignes de bio. Offre limitée, mise en scène des produits réduite à la portion congrue, information et pédagogie inexistantes... les enseignes spécialisées peinent à attirer les clients, au-delà d'un cercle de consommateurs déjà convaincus par le bio.

 

 

Y-a-t-il des solutions dans la salle ?

 

Les producteurs de bio disparaissent peu à peu, tandis que les magasins spécialisés perdent des parts de marché. La grande distribution limite de plus en plus leur offre « bio »… Le plus grave, les consommateurs ne peuvent plus s’offrir des produits bios et y trouvent un intérêt moindre pour leur santé…

Certains demandent à l’Etat d’injecter quelques centaines de millions d’euros pour soutenir une filière moribonde. Et les « Verts » dans tout ça : ils ne trouvent pas de solutions pérennes pour affronter véritablement la crise du bio. Ils devraient y réfléchir sérieusement…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le top départ de l’épreuve est donné pour une durée de huit heures ! Le 38ème concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France » (MAF), spécifique au métier de jardinier-paysagiste, se déroule dans la petite fraîcheur matinale de ce vendredi saint, juste derrière les locaux du CFA La Brosse, centre de formation agricole par l’apprentissage. Une opportunité pour les six candidats de se mettre en lumière sous l’œil scrupuleux du jury, avec l’objectif de glaner les médailles des concours départementaux et régionaux…

 

VENOY : Mais il ne s’arrête donc jamais, Marc LABARDE ! Le président départemental de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne (MOF) s’affaire déjà avec minutie et concentration derrière son écran, pianotant sur le clavier ses premières impressions de ce qu’il a vu extérieurement avec le lancement de ce nouveau concours.

Une double épreuve en vérité puisque s’organisant tant au niveau départemental que régional. Même si le nombre de candidats désireux y prétendre se résumerait presque à la portion congrue, soit six jeunes gens hyper motivés de bien faire et de réussir à décrocher – peut-être – les places qualificatives pour le national de la discipline – le métier du jour qui est concerné est celui des jardiniers-paysagistes - devant se disputer à l’automne quelque part dans l’Hexagone.

Bref, dès potron-minet, ces six là – quatre garçons du CFA La Brosse suivant un cursus en baccalauréat professionnel en aménagement du paysage et deux autres de leurs condisciples en provenance de la MFR de Gron chère à Stéphane PERENNES ! – n’ont pas hésité à braver la température frisquette et humide de ce matin blafard pour se plonger dans l’étude de cas du jour : la réalisation d’une scène de jardin originale et harmonieuse comprenant la création d’un muret conçu en pierre sèche, un dallage, un pavage, des plantations avec arbustes à fleurs, conifères et autres végétaux, un espace vert en gazon de placage.

 

 

 

Valoriser les jeunes apprentis qui osent relever le défi…

 

Un chantier prenant racine sous le regard scrutateur des membres du jury (quatre professionnels des services espaces verts des communes de Chablis et d’Auxerre notamment) et de Marc LABARDE, qui arborant comme à l’accoutumée son immuable écharpe rouge, veillait à la bonne application d’un règlement hyper scrupuleux. Normal, on participe tout de même à l’un des plus beaux concours de prestige réservé aux apprentis !

Pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY, directrice du CFA La Brosse, toute heureuse d’accueillir ce concours en ces murs, un tel évènement est indispensable car il permet de valoriser les jeunes apprenants à leur juste valeur, ils sont prêts à relever le défi. Il est vrai que de gagner un MAF dans son existence fait toujours recette sur une carte de visite remise à un employeur, un sésame plus facile pouvant aider à s’insérer dans la vie active…

 

Thierry BRET

 

 


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La raison de son succès se résume en une phrase : « il faut toujours dire la vérité aux clients ! ». Un leitmotiv, façon méthode Coué, que l’entrepreneur Yvan PERRIN, à la tête des « Charpentiers du Morvan », se plaît à décliner selon toutes les typologies de demandes faites par la clientèle depuis 1998. Grâce à son novateur concept de « mini maison », l’Avallonnais a convaincu le jury des Prix Stars & Métiers de l’Artisanat où il obtient le trophée de l’Innovation…

 

HAUTERIVE : Jubilatoire soirée pour Yvan PERRIN et son épouse, la très discrète et émue, Christelle ! Le sympathique dirigeant de la société « Les Charpentiers du Morvan » a, une fois de plus, été plébiscité pour son ingéniosité lors d’un concours, lui valant la remise d’un chèque de mille euros – la belle affaire ! - et surtout la reconnaissance objective de ses pairs, issus comme lui de l’artisanat.

Lauréat du Grand Prix de l’Innovation des Prix Stars & Métiers 2023 – le traditionnel rendez-vous cérémonial annuel à l’estampille de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, et de la SOCAMA -, le chef d’entreprise avallonnais – sa structure est localisée à quelques encablures de la sous-préfecture de l’Yonne à Magny – ne s’est pas départi de son sourire juvénile lorsqu’il a rejoint la scène où l’attendait la sémillante animatrice, Virginie PERROT. Un échange auquel était convié, sous le feu nourri des projecteurs éclairant la scène, l’épouse de l’heureux chanceux d’un soir.

 

 

Un concept totalement révolutionnaire, baptisé les « minimaisons»…

 

« Le seul établissement qui a soutenu mon projet dès le départ, c’est la Banque Populaire, soulignera Yvan PERRIN, qui plaça immédiatement les remerciements d’usage dès la phrase introductive de sa prise de parole, je leur dois beaucoup… ».

Créée en 1998 – il y a déjà un quart de siècle, comme le temps défile vite ! -, l’entité positionnée dans la construction de maisons à ossature bois fit effet de précurseur dans le landerneau – on s’en souvient encore -, habitué à faire appel aux « bétonneux », comme le précisera notre chef d’entreprise radieux.

Que de chemin parcouru, donc ! Aujourd’hui, « Les Charpentiers du Morvan » proposent un concept de maison en bois, prête à vivre et peu usuelle, les mini maisons dont la marque a été déposée, sous l’appellation logique mais simpliste au plan marketing de « minimaison », une enseigne qui commence à faire florès en Bourgogne. Notamment à Saulieu, en Côte d’Or, où deux de ces réalisations déclinables en modèles de 20 m2 et 30 m2 viennent d’être installées dernièrement.

 

 

 

Un nouveau trophée qui en appelle d’autres…

 

C’est sans doute cet argument essentiel qui a dû séduire les membres du jury des Prix Stars & Métiers 2023, ces derniers ayant choisi d’attribuer le sésame suprême par les mains de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – le garçon est aussi président de la CAPEB Yonne – à Yvan PERRIN.

Une démarche éco responsable bien dans l’air du temps qui demeure la marque de fabrique de cette belle PME du bâtiment et de l’immobilier de l’Yonne – cocorico ! -, employant dix salariés, et lauréate en 2002 du Trophée de l’Artisanat de la Chambre consulaire. Un nouveau trophée à mettre dans son escarcelle qui en appelle d’autres, assurément…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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