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Faire montre d’exemplarité et de pragmatisme. Surtout dans le domaine de la transition énergétique afin de s’extirper de la dépendance imposée par les pays de l’OPEP. Le principe est, certes, vertueux mais aussi coûteux. Nonobstant, ce choix, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, l’assume en connaissance de cause. Car, demain, la population devra diriger ses orientations consuméristes vers le véhicule électrique. D’où, la pose de la première borne rechargeable dans sa localité de prédilection : la sienne…

MOULINS-sur-OUANNE : Associer le milieu scolaire à l’inauguration de la première borne rechargeable dans la commune est un signe empli de symboles et d’espérance. Car, l’avenir de la planète en matière de préservation de l’environnement passe par ces jeunes pousses, qui, demain, seront de potentiels utilisateurs de véhicules électriques.

Aussi, c’est entouré de deux « têtes blondes » que le président de la CC de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et le président du Syndicat départemental des énergies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY, officialisaient cette énième borne installée au cœur d’une agglomération icaunaise.

Mais, comme un bonheur ne vient jamais seul, le président hôte de cet évènementiel évoqua les efforts budgétaires consentis par la commune en vue d’améliorer son bilan carbone.

 

 

 

Faire montre d’exemplarité en optimisant les moyens…

 

Non seulement, la localité proche de Toucy a pris en charge 50 % de l’investissement nécessaire à la pose de cette borne électrique (18 500 euros –le reliquat revenant au SDEY), mais en outre, son maire et président de l’agglo en rajouta une couche, mettant en exergue le véhicule électrique de type Kangoo Renault à disposition des habitants de la bourgade.

Cofinancé avec le concours de judicieuses subventions (Leader, contrat de territoire, SDEY), la voiture n’aura en tout et pour tout grevé le budget communal que de la modique somme de 4 705 euros ! Sachant que le coût initial du véhicule s’élevait à 16 380 euros…

Autre bonne nouvelle : l’aménagement de l’éclairage public qui est bénéficiaire d’ampoules leds.

Identifiée en qualité de commune raisonnable, Moulins-sur-Ouanne fait donc le choix de combattre les émissions d’effets de serre en réalisant de conséquentes économies d’énergie.

Une orientation que la Communauté de communes a déjà fait sienne en devenant un des leaders pour la préservation du patrimoine et de l’environnement.

 

 

 

 


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L’image sympa du jour nous provient de la manifestation festive organisée au centre de loisirs de VALRAVILLON. Petits et grands ont répondu présents pour participer à une grande première : une « color run ».

NEUILLY : Près de deux cents coureurs et marcheurs, ayant hâte de découvrir l’esprit ludique de cette animation un peu particulière, ont pris part à cette grande première concoctée dans cette commune déléguée de VALVARILLON.

Les organisateurs avaient cependant bien fait les choses en remettant t-shirts blanc et lunettes de soleil aux courageux qui allaient être aspergés un peu plus tard de poudre colorée sur les divers circuits.

Trois parcours de déambulation étaient proposés : l’un pour les trois ans et plus (200 mètres), un second pour les 6 ans et plus, soit neuf cents mètres à parcourir. L’itinéraire réservé aux grands lui se déclinait sur cinq kilomètres. Ce fut une totale réussite pour les concepteurs de ce premier rendez-vous bigarré qui d’ores et déjà ont biffé sur leur agenda une nouvelle édition dès 2020, au vu de l’ambiance générale et les sourires ravis des parents et enfants…

Maryline GANDON


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Tous les Français ont appris à l’école que la nuit du 04 août 1789, les grands privilégiés de l’état, dans un magnifique élan d’enthousiasme et de cohésion nationale, ont renoncé à leurs privilèges. Cela ne s’était jamais produit auparavant. Cela ne s’est, par ailleurs, plus jamais reproduit depuis…

TRIBUNE: Qu’est-ce que les régimes spéciaux ? Ce sont des régimes qui consistent, en matière de retraite, à donner moins que l’immense majorité des Français pour recevoir beaucoup plus. Autrement dit, nous ne sommes plus en République. Nous avons fait un saut en arrière de plus de deux siècles. D’un côté se trouve la noblesse. C’est-à-dire les bénéficiaires de ces fameux régimes et, de l’autre, le Tiers-Etat, soit les adhérents de la CNAV, les employés, les artisans et professions libérales, etc.

Résumons le système : il est à l’apanage des employés des grandes sociétés appelées « les services publics » tels que de grandes structures comme SNCF, RATP, auxquelles on peut ajouter la Banque de France et autres forteresses. Il consiste, d’un côté, à payer un montant de cotisation moindre que la majorité des bénéficiaires des régimes normaux. Et d’un autre, à cotisation égale, à recevoir un montant de pension plus élevé ainsi que de bénéficier d’un âge de départ en retraite plus avancé. Mais alors beaucoup plus avancé, que celui du « pecus vulgare », le commun des mortels.

 

Une première tentative de réforme déjà avortée en 1995…

 

Alors, dira Candide, « pourquoi ne respecte-t-on pas les principes de la République et, en l’occurrence, ceux inhérents à l’égalité, voire ceux de la fraternité ? ». Oui, mais qui a l’autorité pour les faire respecter ? Le pouvoir n’est plus là où on le croit… Le pouvoir est là où l’on peut faire des grèves et des manifestations monstres à satiété comme on le vit à l’automne 1995.
Cette année-là, un gouvernement fraîchement élu décidait de réformer les retraites en commençant par supprimer les régimes spéciaux. Le chef de gouvernement l’annonce à l’Assemblée nationale. A la fin de son discours tonitruant, il reçoit une « standing ovation ».

Quelques jours plus tard, se déclenche une grève totale sur toute la France. Pendant près de deux mois, voici les beaux jours de Mai 68 qui refleurissent ! Trains, RER, métro, La Poste paralysent le pays… Le gouvernement cède et recule. Il n’y aura pas de réforme des retraites des régimes spéciaux ! La messe est dite !

Comme dans la Bible, partons du commencement. A l’origine, des compensations, et non des privilèges, ont été  accordées aux ouvriers exerçant des tâches particulièrement dures. Ceux qui conduisaient des trains à la lointaine époque des locomotives à vapeur fonctionnant avec du charbon. Puis, progressivement, ces avantages furent étendus à tout le personnel de ces entreprises.  Les   employés de bureau dont la pénibilité ne semble pas une caractéristique bénéficièrent des mêmes avantages que  les conducteurs de locomotive.

 

 

Pourquoi ces régimes spéciaux ne s’appliquent-ils pas aux secteurs du bâtiment et à l’industrie ?

 

Le monde évolua, les métiers aussi et les avantages se multiplièrent à l’infini. Comme de petits pains si agréables à manger…
Il convient de mettre en évidence un phénomène propre à la société française : si certains emplois, au sein de grandes sociétés nationales, ont été reconnus comme empreints de pénibilité, ils n’en avaient pas l’exclusive. De très nombreux métiers sont durs, notamment dans le bâtiment et les travaux publics. Les ouvriers exercent leur emploi, dehors quand il gèle à pierre fendre et quand il fait une chaleur d’enfer. N’oublions pas le labeur parfois exténuant en usine, dans l’hôtellerie-restauration, où l’on travaille jusqu’à point d’heure selon des horaires toujours décalés. Jours fériés compris. Mais, eux, ils n’ont droit à rien et doivent se taire.

Pourquoi ? Toujours pour la même raison que notre « bon fabuliste » » a exprimé : « Que vous soyez puissant ou misérable … » Autrement dit : « Que vous soyez salarié dans un service public ou dans une PME ou une TPE, vous serez un noble nanti de privilèges ou vous serez un manant… ».
Si vous pouvez bloquer le pays par des grèves et des manifestations dures vous conserverez vos privilèges. Et à l’instar de notre grand réformateur, le président de la République, le gouvernement ne souhaite pas de vagues. Il est à parier qu’in fine, il n’y aura pas de réforme des régimes spéciaux. Et ce, toujours en vertu des grands principes !

Emmanuel RACINE

 


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Et de cinq pour la Communauté de communes du Grand-Sénonais qui prendra part ce jeudi 03 octobre à une nouvelle édition des Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté ! Une excellente opportunité pour sa présidente Marie-Louise FORT de rappeler à qui voudra l’entendre le poids que représente cet incontestable « poumon économique » dans le paysage régional…

SENS : Le Grand-Sénonais ne fera pas le déplacement à vide dans la capitale de l’Yonne ce jeudi. Bien au contraire, la vénérable institution disposera d’une vitrine conséquente, visible sur le fameux évènementiel industriel, les RIDY, concoctés tous les deux ans par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

A l’instar de la précédente édition, la communauté de communes du nord de l’Yonne fera toute la lumière sur les aspects qualitatifs justifiant l’attractivité de ce secteur géographique qui profite de la proximité francilienne.

 

 

Labellisé territoire industriel, travaillant en étroite osmose avec l’Aube et la Haute-Marne, le Sénonais demeure dans les esprits le « poumon économique » de notre territoire. Il entend bien le conforter même si, plus au sud, l’Auxerrois souhaite lui contester ce titre non officiel.

Sans doute présente à la tribune inaugurale comme en 2017, Marie-Louise FORT, édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, incitera-t-elle, comme elle sait si bien le faire lors de ses élans oratoires, les investisseurs et entrepreneurs de l’Yonne et des départements limitrophes à poser leurs jalons professionnels en choisissant sa contrée. C’est aussi l’autre enjeu de ces Rencontres industrielles !

Un article réalisé avec le concours du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 

 


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Une décennie déjà que l’agence de communication auxerroise a acquis ses lettres de noblesse dans le microcosme régional. En ce mois d’octobre, l’anniversaire est doublement commémoré par le créateur de la structure, Michaël BERGIA et son équipe. D’une part, le trio bénéficie d’un nouveau siège social, et ce, dès le 07 octobre au cœur d’Auxerre. D’autre part, il s’offre ce sympathique clin d’œil à la sauce BEATLES qui fait le buzz depuis peu sur les réseaux sociaux. Démontrant qu’humour, créativité et talent vont de pair !

AUXERRE: L’agence BEESCOM (les abeilles) soufflera la bougie qui marquera sa dixième année d’existence au terme de ce mois d’octobre. N’omettant jamais d’employer l’humour dans son approche professionnelle, surtout lorsqu’il s’agit de communiquer sur sa propre entité, le trio de créateurs à l’imaginaire débridé vient de poster cette photographie pour le moins insolite via le multimédia.

Le cliché s’inspire de la pochette de l’ultime album enregistré par les Quatre de Liverpool, le légendaire « Abbey Road », entre le printemps et l’été 1969. Un opus paru néanmoins avant « Let it be » (hiver 1970) qui sera le chant du cygne des quatre musiciens anglais.

Traversant en y utilisant les mêmes codes de référence la rue Joubert de part en part, Michaël BERGIA et ses deux comparses reproduisent à la perfection et sous l’œil amusé de rares passants, le tableau de cette pochette, devenue mythique au fil des ans.

Poussant le luxe d’introduire la ressemblance à son extrême en incarnant John LENNON, vêtu de blanc, Paul McCARTNEY, pieds nus, et George HARRISON, habillé de son costume en jean.

Ne manque sur ce photo parodique que le batteur Ringo STARR, qui arpentait jadis les zébras de la fameuse rue du nord de Londres en costume sombre traditionnel.

La pochette d’ « Abbey Road » fut à l’origine de nombreuses rumeurs sur la mort de Paul, le bassiste gaucher des BEATLES. Plusieurs indices épars sur la pochette évoquaient une hypothèse peu probable qui ne fut démentie par le musicien que quelques années plus tard !

Doit-on y voir une corrélation précise dans ce nouveau cliché des BEESCOM ? En y gommant le côté morbide des choses (on s’en doute) mais en s’interrogeant, pourquoi pas, sur les personnes qui se prêtent au jeu de la photographie. Serait-ce un signe du destin montrant que l’agence BEES COM pourrait alors recruter un futur collaborateur, faisant ainsi office de quatrième BEATLES, afin de compléter la nouvelle équipe ?

 

 

 

 

 

 

 


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