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L’édifice sera habillé d’un échafaudage pendant plus de huit semaines. La prise en charge des désordres observés en 2018 suite à la rénovation du bâtiment interviendra dès le 28 septembre 2020…

SENS: Le projet s’inscrit dans le plan « Action Cœur de Ville ». Rappelons que le gouvernement a lancé ce plan en 2017. Il visait à revitaliser les villes moyennes, entre 20 000 et 100 000 habitants, au nombre de 222 au total sur l’Hexagone et dont Sens fait partie. Un projet pour lequel 5 milliards d’euros ont été mobilisés sur cinq ans. Les communes bénéficiaires de ce programme ont signé un contrat-cadre qui engage la commune, son intercommunalité et les partenaires du plan.

A Sens, la rénovation de l’Hôtel de Ville s’inscrivait donc dans ce projet, à l’instar d’autres réalisations telles que la réfection des façades qui abritent le bureau de tabac « La Civette » ou encore la pizzeria « La Trattoria ».

 

Des désordres sont constatés après trois ans de rénovation

 

La réfection de l’Hôtel de Ville de Sens avait débuté en avril 2015 et s’était achevée à la fin de mai 2018. Les travaux s’élevaient à trois millions d’euros.  Ce bâtiment, du XIXème siècle typique de la Renaissance et de l’architecture classique, devait être restitué aux Sénonais en juillet, une fois débarrassé de son échafaudage.

 

 

Mais en juin de la même année, l’observation de fissures le long de la corniche et de pierre menaçant de tomber a donné lieu à la sécurisation des alentours du bâtiment, au déplacement de l’entrée principale sur le côté et au retrait des blocs de pierre fissurés à l’aide d’une nacelle. La ville a ensuite demandé un premier examen d’expertise des façades de l’édifice au maître d’œuvre, l’architecte des Bâtiments de France.

 

La municipalité n’engagera aucun frais pour les réparations

 

Le coût des travaux s’élève à un peu plus de 140 000 euros. Cependant, la municipalité ne dépensera pas un centime. En effet, la Ville de Sens a signé un protocole d’accord le 08 juillet avec la société UTB, qui a réalisé les travaux de couverture, de rénovation de la façade et de zinguerie. Une autre convention a été réalisée avec la société « OPUS 5 Architectes » qui a assuré la maîtrise d’œuvre et le suivi du chantier.

Par ce protocole, ces deux sociétés se sont engagées à assumer la totalité des frais inhérents à ces travaux des réparations du dispositif anti-volatile ainsi que la reprise de la façade sud/ouest et du campanile. Un échafaudage a été mis en place dès le 15 septembre. Les travaux débuteront le lundi 28 septembre pour une durée de huit semaines.

Floriane BOIVIN

 


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Les futures élites de la politique nationale et les cadres supérieurs à vocation commerciale seront-ils issus à l’avenir des classes préparatoires mises en exergue par le groupe éducatif lassalien auxerrois ? C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à la judicieuse initiative de l’établissement privé dans sa quête de la diversification des savoirs et de la recherche de nouvelles opportunités…

AUXERRE : Le  23 septembre 2020 est une date qui est biffée depuis très longtemps dans l’agenda déjà bien garni de Marc BESANCENEZ, responsable du groupe Saint-Joseph-la-Salle.

C’est aujourd’hui en effet que débutent les cours de la préparation au concours de Sciences politiques et à celui permettant d’obtenir le précieux sésame qui donne accès aux écoles de commerce. C’est un pas de plus vers les plus hautes sphères de l’enseignement supérieur pour le groupe pédagogique catholique auxerrois après la précédente initiative menée en 2019 : la classe préparatoire au concours de médecine.  

Il y a quelques jours, le responsable du pôle éducatif avait réuni familles et candidats potentiels à ces nouvelles sections pour qu’ils viennent humer la température ambiante. Histoire de leur présenter le mode opératoire décliné en terminale. Une cinquantaine de personnes y participait.

 

 

Selon des modules de trois heures suivi le mercredi, l’ensemble des bacheliers peut s’immiscer dans cet univers didactique de haute volée. Soit un cycle de vingt-deux semaines pour un budget de 330 euros à l’année. Toutefois, des quotas ont été mis en place, limitant l’engouement des élèves à une trentaine de places seulement.

La prépa médecine, opérationnelle depuis deux saisons, a encore enregistré un net succès avec vingt-cinq élèves.  Autre innovation : la création de cette classe préparatoire à la double connotation aura favorisé le rapprochement du groupe Saint-Joseph avec l’EGC de Sens, l’école de gestion et de commerce sous la tutelle de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, pilotée par le responsable du pôle formation consulaire, Hervé AUBERGER.

 


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Tonique et virevoltant ! Ce trio de saltimbanques à l’humour débridé devrait séduire petits et grands lors d’une représentation circassienne exceptionnelle au CHAPI PARC ce samedi 26 septembre. Morosité s’abstenir, rires garantis !

PIFFONDS : Quarante-cinq minutes non-stop de numéros de cirque qui allient dextérité et souplesse à consommer sans modération ! Voilà ce que propose le trio de choc des « Acrobates Amoureux » ce samedi dans leur représentation scénique au CHAPI PARC, antre du Cirque Star.

Un rendez-vous à déguster avec plaisir pour faire travailler les zygomatiques malgré le contexte austère que nous connaissons.

L’histoire de « Range ta tête ! » se veut simple. Une adolescente comme les autres passe son temps libre perchée sur le trapèze de sa balançoire au lieu de rester sagement allongée dans son lit.

Maïounette a le particularisme de vivre ses rêves les plus exubérants dans son jardin secret qu’elle partage avec une poupée équilibriste facétieuse et un personnage stylisé façon « Playmobil », un tantinet maniaque qui est obnubilé par le lancer de fléchettes !

Situation ubuesque garantie, à partir d’ingrédients qui vont mêler pour le plaisir des yeux et des sens les arts circassiens tels la corde à sauter, les portés, le hula-hoop, le trapèze ou la danse.

 

En savoir plus :

 

Les Acrobates Amoureux présentent leur spectacle "Range ta tête !" au CHAPI PARC

"Le Petit Launay" 89330 PIFFONDS

Tarif : Participation au chapeau

TOUT PUBLIC / Réservation vivement conseillée 

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 06.07.40.42.43

 

 


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Les supputations allaient bon train dans le sérail politique depuis plusieurs semaines. On l’attendait comme un candidat potentiel aux sénatoriales. Mais, ultime coup de théâtre !  In fine, l’intéressé ne se présentera pas à la chambre haute du parlement. Le conseiller départemental de l’Yonne et président de l’AMF 89 (Association des maires) préfère se soustraire à cette échéance automnale. Un retrait volontaire dûment réfléchi pour mieux rebondir par la suite ?

INTERVIEW : Vous étiez pressenti pour jouer un rôle dans ces sénatoriales 2020, et finalement vous y avez renoncé. Quelles ont été  vos réelles motivations pour ne pas y aller ?

D’un point de vue de la légitimité, j’ai fait des choses en faveur de notre territoire. J'ai été présent auprès des élus à chaque fois qu'ils avaient besoin de moi. Après, mon expérience de 2017 m’a montré que la légitimité, cela ne suffit pas. Puisque c'est une élection qui est bizarroïde. Les réseaux jouent un rôle important. C'est-à-dire que si quelqu'un vous aime bien, tout va bien ! Mais s’il y a quelqu'un qui ne vous aime pas et qui vous soutient, il part du principe, que rien que pour faire suer celui qui vous aime bien, il ne votera pas pour lui. Mais, ce n’est pas cela qui me gênait : j'avais de très bons échos. Très positifs…
Ensuite, est venu dans ma réflexion le fait que je venais d’être élu maire de Valravillon avec la confiance des habitants et celle du Conseil municipal. Je venais d'être porté à la présidence de la Communauté de communes de l’Aillantais en étant adoubé par mes pairs pour ce poste. Sur ce territoire, il y a tant de choses à faire. Une question m’a cependant tarabusté : est-ce que j'avais le droit de trahir cette confiance ?

Aviez-vous d’autres interrogations qui vous ont traversé l’esprit ?

Oui, une troisième question est venue dans mes pensées : est-ce qu'il faut se « prostituer » pour être élu à un poste de sénateur ? Quelque part, je réponds par l'affirmative ! Par conséquence, je ne veux pas m’engager dans une bataille en altérant mes convictions que je ne changerai jamais. Je ne joue pas dans la même catégorie que d’autres et je ne suis pas prêt à tout accepter. Je me suis dit : « tu vas être malheureux parce que tu vas rencontrer des gens qui vont te dire ceci, qui vont dire cela, mais c’est certain, ils ne te diront pas ce qu’ils pensent réellement ! ». Et moi, je ne veux pas être obligé de dire des choses que je ne pense pas pour obtenir les voix de telle ou telle personne. Je me refuse à cela.

Je ne vis pas la politique dans le mauvais sens du terme. Je pense que quand on est élu par nos concitoyens, on l’est par eux pour mieux les servir. Quand j’ai de grandes décisions à prendre, je pose la question à mon grand-père et à mon père par les forces de l’esprit. Parce que c’étaient des hommes simples et justes, des hommes durs mais profondément humains…Moi, je veux garder mon âme.

Certes, ce n’est pas une décision facile parce qu’on pourrait penser et prendre cela comme un manque d’ambition, voire une crainte. Alors que ce n'est pas du tout le cas. Dans ma vie, je me suis battu avec des victoires et des défaites. Celles-ci ne m'ont jamais arrêté et m’ont toujours permis de remonter la pente. Moi, ce qui me passionne en fait, c’est de m’investir pour mon territoire, au service des personnes qui y vivent et qui éprouvent le besoin de faire des choses.

Les élus devraient regarder d’un peu plus près comment se déroulent le quotidien de leurs administrés. Parce que si nous autres, avons des comportements pas toujours objectifs et sincères envers eux, on ne peut pas alors reprocher aux électeurs de ne pas venir voter parce qu'ils sont dégoûtés ! L’exemplarité n'est pas que dans les termes : elle doit l’être également dans les actions. Dans sa manière d’être et de se conduire, c'est assez dur comme propos, mais c'est une réalité.

 

 

Pour autant, ne pas participer à ces sénatoriales qui vous tendaient les bras ne remet pas en cause vos envies de servir. Quelles sont-elles ?

Elles sont assez simples. D’abord, au niveau de la commune : il s’agit de faire émerger l’ensemble des projets. Pour la communauté de communes, et du territoire de l’Aillantais, on a commencé à créer le pôle santé. Je voudrais qu’il soit complet avec un cabinet dentaire et j'y travaille. Sur le plan économique, je voudrais que des entreprises viennent s’installer. Je souhaite augmenter et valoriser la politique de la petite enfance. C'est quelque chose auquel je tiens énormément ainsi que mes conseillers communautaires. Au niveau des infrastructures, précisons que la construction du gymnase va démarrer. C'est un projet important et je voudrais le mener à son terme.

Mon rôle de conseiller départemental m’incite à vouloir une collaboration plus franche et prégnante entre Charny-Orée-de-Puisaye et Aillant. Chaque partie doit s’apporter mutuellement à l'autre en toute complémentarité. Quant à savoir si je serai candidat aux cantonales de mars, il est encore trop tôt pour avancer sur le sujet. J’ai cependant la certitude que je peux être utile à ce canton et au département de l’Yonne.

Reste l’AMF avec les élections du nouveau bureau en octobre…

J’y occupe la fonction de président. Il faut rappeler que c'est un poste complètement bénévole et que mon rôle est de gérer et animer une association. Il y a des gens qui confondent l'association des maires de l’Yonne avec un mandat politique ! Je présenterai une liste d’élus qui sera, je le sais déjà, féminisée avec des volontaires ayant envie d’œuvrer pour le bien de tous les élus de l’Yonne.

 

 

Que souhaitez-vous apporter au département de l’Yonne ?

Cela peut presque paraître un détail, mais c’est la vision que toutes les parties du département doivent travailler ensemble pour le bien de l’Yonne.

On a des perles rares sur notre territoire. Aujourd’hui, l'objectif est que toutes ces perles rares s’unissent pour pouvoir apporter une vraie identité à l’Yonne et la sortir de la méconnaissance de nos autres compatriotes d'une façon générale. Faire en sorte que l’on ne soit plus un département où l'on passe, mais un département où l'on a envie déjà de s’arrêter et ensuite d’avoir envie de rester.

Nous avons la chance de vivre à côté de la capitale de l’Hexagone. Or, si nous voulons attirer les Franciliens en quête de départ, il nous faut vraiment développer la présence du numérique avec l’arrivée de la fibre. Nous devons être conquérants dans nos projets et réalisations, que nous ayons des rêves qui doivent aller au-delà de ce qui existe aujourd’hui. Pour que cela aboutisse, il faut qu’il y ait une volonté des élus. Mais pas dans la seule gestion du quotidien, où on sera au final très vite dépassé.

En ce sens, le poids des communautés de communes qui possèdent les compétences économiques est indéniable. Il en existe quatorze aujourd’hui sur le territoire. Un lien important doit se créer entre ces structures et le Département. Ça me semble quelque chose d'indispensable, je prône cela depuis des années.

L’Yonne n’évoluera pas et ne bougera pas sans la force et l'adhésion des communautés de communes. Vous avez ici tout le sens politique que je veux développer à l’avenir…

En 2022, les électeurs seront appelés aux urnes pour élire leurs députés. Ces législatives occupent-elles déjà une place prépondérante de vos pensées ?

Je n’ai pas encore de réponse à l’heure actuelle. Seulement des bribes qui commencent à s’esquisser. J’aurai toutes les réponses à cette interrogation d'ici 2022 ou pas...

Propos recueillis par Maryline GANDON

 


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Ce jeu se joue à un nombre illimité de joueurs, avec un nombre illimité de cartes. Seules comptent les cartes maîtresses que chaque joueur a en main au début de la partie : un homme, une femme, un mendiant, un chef d’entreprise, un syndicaliste, un maître, un élève, un chien, son maître, un vieux, un jeune, un joker…

TRIBUNE : Le reste des cartes est là pour la figuration. Les joueurs eux-mêmes, d’ailleurs…mais passons à la règle du jeu. Il faut préciser qu’il n’y en n’a pas, de règle. Ou plutôt, qu’elle est tacite : par exemple, si un joueur abat une femme, un autre riposte par un homme et l’emporte. C’est d’ailleurs précisé dans la grammaire. Si on pioche une femme : le joueur a le choix entre la garder ou s’en séparer, la porter aux nues ou la piétiner, la déchirer ou l’échanger contre une autre. L’échange étant la solution la plus fréquemment choisie. Mais attention : les seuls échanges possibles sont avec les cartes du mendiant, de l’élève, du professeur et du vieux.

La carte du chef d’entreprise possède le pouvoir sur toutes les cartes. La carte du syndicaliste peut le bloquer deux tours, mais ensuite le chef d’entreprise continue comme avant. Le mendiant, lui, reste extérieur au jeu, à ses règles, aux cartes distribuées dès le début de la partie. Pour tout dire, la carte n’existe plus dans certaines éditions du jeu. On  conseille vivement de s’en débarrasser...

Le maître bat l’élève pendant la plus grande partie du jeu, jusqu’au moment où l’élève frappe le prof à mort. A ce moment de la partie, on introduit le joker qui permet à la victime de racheter une vie, à crédit, afin de permettre la reproduction à l’infini du circuit d’exploitation du jeu.

Si le joker est abattu par le prof, celui-ci revit et reprend son pouvoir sur l’élève. L’élève n’a pas de joker si le professeur le frappe à mort, ce qui arrive rarement malgré les provocations. Quand la carte chien est abattue en même temps que la carte « maître », il y a bataille.

En effet, on ne sait pas vraiment qui promène l’autre, qui s’attache à l’autre, qui ne pourrait vivre sans l’autre. On a vu des maîtres se coucher sur la tombe des chiens et se laisser mourir. Dans ce cas, le joker rachète une vie. Dans le cas où c’est le chien qui meurt, on rachète un chien.

Si le joueur abat un vieux, la riposte est bien évidemment un jeune. En ce cas, aucun joker n’est possible, le coût pour la pioche étant trop élevé. La carte peut être immédiatement exclue du jeu, la prochaine édition envisageant de la supprimer. On conseille vivement de s’en débarrasser...

Nous tenons à prévenir l’éventuel acquéreur d’un jeu que certains d’entre eux comportent une carte pirate. Il s’agit d’une contrefaçon. Cette carte figurerait un artiste et échapperait à toutes les règles et absence de règles. Nous nous inscrivons en faux avec ces pratiques frauduleuses et anti-commerciales. Have fun !

Corine FONTREL

 


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