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Ce sera une incontestable première en Bourgogne Franche-Comté. La signature, ce lundi 26 octobre en matinée, d’un partenariat unissant trois des acteurs clés de la transition énergétique sur notre territoire : EDF, ENEDIS et le SDEY, le Syndicat Départemental des Energies de l’Yonne. Les bénéficiaires en seront les Icaunais eux-mêmes. Grâce à ces paraphes, tout devrait s’accentuer très vite en matière de développement énergétique durable…

AUXERRE: L’information est capitale. D’autant qu’elle s’applique à l’une des thématiques brûlantes de l’actualité économique du moment : la transition énergétique. Elle a le mérite de mettre en présence, et ce dès lundi 26 octobre, des décideurs essentiels de ce dispositif qui vise à préserver la planète et à réduire de manière drastique les économies des collectivités et citoyens au niveau de leur consommation d’énergie.

Qui d’autres que les opérateurs que sont EDF et ENEDIS auraient pu s’assoir à la table de ces négociations abouties aux côtés du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne ? Ce sont en effet les trois protagonistes de cette histoire. Ils prendront le temps de s’expliquer face à la presse des enjeux qui découleront de cet accord, un nouveau contrat de concession liant les signataires pour un bail de trente ans.

La convention favorisera le partage des données et la mise en exergue d’innovations performantes entre les trois partenaires, à l’instar du réseau d’intelligence pour le développement photovoltaïque ou l’essor de nouvelles bornes permettant de recharger les véhicules électriques.

Il sera également question de valoriser les redevances reversées au Syndicat départemental des Energies et de poursuivre la dissimulation des réseaux électriques.

 

De fructueuses négociations qui s’inspirent d’un modèle national…

 

Le fondement de cet accord tripartite repose sur un nouveau modèle national de cahier des charges de concession, édicté par la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), ENEDIS, EDF et France Urbaine. Un document qui prend en compte les coûts et les besoins de la transition énergétique, une hausse des redevances versées aux syndicats d’énergie et de nouveaux investissements garantissant une qualité optimale de la fourniture d’énergie.

Depuis 2019, le SDEY sous l’impulsion de son président Jean-Noël LOURY s’est engagé dans une fructueuse négociation avec ses partenaires afin de revoir avant son terme le document initial signé en 1999 en s’inspirant du nouveau modèle national.

 

 

 

Rappelons que cette année-là, ce qui était à l’époque la Fédération départementale d’électrification de l’Yonne avait concédé les 4 300 kilomètres de réseau basse tension du département à EDF/GDF (aujourd’hui ENEDIS) pour une période de trente ans.

De son côté, ENEDIS s’est engagé à apporter au SDEY un montant total prévisionnel de 54 millions d’euros, corrélés au montant de ses investissements.

Un premier programme pluriannuel va courir jusqu’en 2024. ENEDIS y investira 9,5 millions d’euros.

La renégociation du nouveau contrat a permis au syndicat de l’Yonne d’obtenir, étalé sur huit ans, une enveloppe supplémentaire de 3,3 millions d’euros. Elle se destinera à financer un programme de résorption des cabines hautes et des fils nus. S’y ajouteront des actions de modernisation et d’innovation.

Thierry BRET

 


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Sur ses fonds propres, l’opérateur de télécommunication déploie la fibre optique jusqu’au logement mais aussi dans les entreprises. En installant deux armoires optiques dans la localité périphérique d’Auxerre, ORANGE offre la possibilité à 330 foyers et entreprises d’être reliés au monde via la connexion optimale…

AUGY : Un « PMZ » pourrait presque s’apparenter au plan de la symbolique à la partie immergée d’un iceberg. Peu de chose à découvrir en surface, en vérité et les quatre-vingt-dix pour cent du contenu le plus intéressant étant positionnés sous la ligne de flottaison. Invisible à l’œil nu !

Ces fameux « points de mutualisation de la zone » de raccordement (c’est-à-dire les petites armoires métalliques qui bordent certaines rues des localités connectées) sont les seuls et uniques éléments visibles à ce jour qui évoquent la présence de la fibre optique dans une commune ou dans un quartier d’une agglomération urbaine.

Le 16 octobre dernier, sous la bise glaciale d’un zéphyr virevoltant, entre deux vols hésitants mais progressifs de grues dans le ciel, a été inaugurée dans la localité sise au sud-ouest d’Auxerre l’une de ces composantes au demeurant essentielles à la propagation de cette technologie.

Implantée allée des Vignes (un clin d’œil sympa au niveau de la sémantique aux vignobles environnants !), cette ossature métallique constitue l’une des deux armoires placées par l’opérateur de télécommunication engagé sur ce déploiement, à savoir ORANGE.

 

 

Un précieux fil d’Ariane dont plus personne ne pourrait se passer…

 

La fibre s’y déploie à l’instar d’une vingtaine d’autres communes du département de l’Yonne. Dans la seule communauté d’agglomération de l’Auxerrois, plus de 28 000 foyers et entreprises bénéficient déjà du très haut débit. Un déploiement qui tient toutes ses promesses en termes de réactivité et d’efficience. Il est réalisé à partir des propres deniers (les fonds propres) du leader international sur la fibre optique.

Stratégiquement, le schéma opérationnel est plutôt bien huilé. L’essor de ce réseau au modernisme stupéfiant quant à ses capacités techniques repose sur différentes strates : les études, conçues en coordination avec les équipes municipales, l’installation des fameuses armoires avant que ne soit posée la fibre dans les fourreaux de génie civil existants.

Puis, de manière progressive, ce précieux fil d’Ariane reliant l’usager au monde du numérique est déployé devant les habitations individuelles, à l’intérieur des immeubles pour pouvoir pénétrer dans chaque logement, dans les collectivités sans omettre les entreprises.

Bref, tout le monde est concerné par l’éligibilité à ce mode révolutionnaire de communication numérique. A ce jour, 69 % des foyers et locaux professionnels de la bourgade disposent de ce merveilleux sésame dont nul ne pourrait se passer désormais, après y avoir goûté !

Une fois les délais réglementaires observés, la fibre devient disponible à la commercialisation par tous les fournisseurs d’accès Internet. Naturellement, ORANGE y abat sa propre carte commerciale mais pas seulement puisque les trois autres opérateurs historiques peuvent aussi cofinancer ce nouveau réseau.

 

 

9 milliards d'euros injectés pour équiper 3 600 communes...

 

C’est le cas, en l’état, de Free dont les jarretières rouges (les gaines dans lesquelles passent la fibre) sont visibles à l’intérieur des armoires. Celles-ci restant toutefois à forte dominante orange, pour le moment.

Responsable technique chez ORANGE, Patrice DOS SANTOS expliquera à ses interlocuteurs, en l’occurrence l’édile d’Augy Nicolas BRIOLLAND, à l’écoute, et l’un de ses adjoints les finesses pratico-pratiques de ce support technologique dont beaucoup espèrent l’arrivée à leur domicile.

Rappelons pour mémoire que la fibre optique équivaut à pouvoir accéder à une nouvelle dimension de partage de données, de divertissements comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son de haute définition ou la caméra à 360° !

Depuis le discours prononcé par le président de la République lors de la conférence nationale des Territoires le 17 juillet 2017, tout doit être mis en place pour que la couverture en haut débit soit finalisée d’ici la fin 2020 en France ; il en est de même pour le très haut  débit pour tous avant le terme de 2022.

Ayant injecté 9 milliards d’euros pour couvrir 3 600 communes à l’échelle de l’Hexagone, ORANGE a fait de ce challenge sa principale priorité. Un défi motivant qui aura eu des répercussions heureuses au niveau de l’emploi avec la création de près de 15 000 postes parmi cet écosystème en pleine expansion.

 

 

En savoir plus :

Pour connaître l’éligibilité du foyer ou du site professionnel, ORANGE met en ligne une carte de couverture sur la référence suivante : reseaux.orange.fr/cartes-de-couverture/fibre

Dès que l’adresse apparaît éligible, il est possible de contacter librement le fournisseur d’accès Internet de son choix. Et pour être informé à chaque étape du déploiement, jusqu’au raccordement, il est possible de s’inscrire sur le site…

Thierry BRET

 


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Les élus auxerrois se retrouveront devant le parvis de l’hôtel de ville ce mercredi en fin d’après-midi à 18h00. Ils y marqueront un témoignage de respect et de compassion à la mémoire du professeur d’histoire/géographie, lâchement assassiné, alors que ce dernier n’avait fait que son devoir : celui d’enseigner et d’éveiller les consciences…

AUXERRE: Spontanément, plusieurs élus du conseil municipal de la capitale de l’Yonne dont ceux de l’opposition s’étaient rapprochés le 18 octobre de l’édile en place Crescent MARAULT.

Le sollicitant pour que soit organisé dès que possible un rassemblement afin de commémorer la mémoire du malheureux professeur des collèges, tragiquement disparu en fin de semaine dernière à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

La conjoncture sanitaire de l’instant aura nécessité une réaction immédiate du maire/président de l’Agglomération auprès des services de la préfecture. Et tout particulièrement auprès du préfet Henri PREVOST alors que l’interdiction de se réunir à plus de six personnes est entrée en vigueur depuis soixante-douze heures dans l’Yonne.

Devant la teneur émotionnelle de cet hommage, le haut-fonctionnaire de l’Etat ne pouvait refuser au maire la tenue de cette commémoration. Elle se déclinera donc devant le parvis de l’hôtel de ville à partir de 18 heures. 

Toutefois, COVID-19 oblige, aucun discours n’y sera prononcé par le représentant officiel de la Ville.

La cérémonie protocolaire se cantonnera stricto sensu à l’observation d’une minute de silence. Le temps de donner de la solennité à ce triste rassemblement.

Un trop court instant, il est vrai, en mémoire d’un homme, promu au grade de commandeur de la Légion d’Honneur et aux Palmes académiques, dont la volonté à vouloir éduquer à tout prix la jeune génération demeurera à jamais éternelle...

 


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Première région bénéficiant du dispositif national mis en place dans le cadre du déploiement du plan « France Relance », la Bourgogne Franche-Comté a profité de la venue de la ministre déléguée auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, jeudi à Dijon, pour annoncer une série de mesures visant une trentaine d’entreprises industrielles. Parmi lesquelles l’Icaunaise TMS Tôlerie Mécanique Service qui profitera de ces aides…

DIJON (Côte d’Or) : Modernisation des entreprises, valorisation et encouragement de l’emploi ou accompagnement dans la diversification : autant de critères qui auront permis à la Région Bourgogne Franche-Comté et à ses partenaires de sélectionner une première liste de structures entrepreneuriales.

Celles-ci, au nombre de trente, deviennent lauréates du Fonds de soutien à l’investissement dans le cadre du concept « Territoires d’Industrie ». Elles profiteront d’une manne financière intéressante, nécessaire à leur développement.

In fine, c’est une enveloppe de 150 millions d’euros qui sera distribuée au titre de ce fonds aux industries favorisant de nouveaux projets de développement. Sachant que ces projets peuvent se rapporter à la création d’emplois, à l’essor des parcours pédagogiques ou aux économies d’énergie.

 

 

L’exemple de TMS, l’une des PME soutenues par ce fonds…

 

Dans le département de l’Yonne, la société TMS (Tôlerie Mécanique Service), localisée à Stigny, dans le Tonnerrois recevra ces subsides. Opérationnelle depuis 1996, la PME est l’un des acteurs clés dans la fabrication de tôlerie fine (découpe laser, poinçonnage, pliage, soudure et usinage) de son territoire.

Dirigée par Thierry LAFARGE, TMS avait procédé à un agrandissement de ses infrastructures en 2018, soit 400 mètres carrés de surface supplémentaire.

L’entreprise icaunaise agit en qualité de sous-traitant sur des secteurs aussi éclectiques que peuvent l’être la conception de machines spéciales, les rayonnages venant équipés les grandes surfaces de vente ou encore les activités de mécanique. Son rayon d’action dépasse largement les frontières de l’Yonne : Dijon, Paris, Lyon ou Strasbourg.

Filiale du groupe Métal Déployé Résistor (Montbard), TMS pèse près de trois millions d’euros de chiffre d’affaires. La PME emploie une vingtaine de collaborateurs et devrait augmenter ses effectifs pour répondre au grossissement de son carnet de commandes. Parmi ses clients, figurent l’emblématique FRUEHAUF ou EFIRACK.

 


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Des centaines de milliers d’employés en Europe et partout ailleurs dans le monde ont découvert le télétravail depuis la pandémie du coronavirus. Cette expérience exceptionnelle de confinement a imposé cette méthode de façon brutale et souvent sans préparation. L’expérience devrait néanmoins contribuer à briser les résistances qui existaient jusqu’à présent dans les organisations et les entreprises pour proposer à leurs salariés de travailler en dehors de leurs bureaux.

TRIBUNE: Le Code du Travail donne cette définition précise du télétravail (article L-1222-9). Cela concerne toute forme d'organisation dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l'employeur, est effectué par un salarié hors de ces locaux, de façon volontaire, en utilisant les technologies de l'information et de la communication. On entend donc par télétravail toute forme de travail à distance s'effectuant notamment via une connexion Internet. Avant la Covid-19, le télétravail était réglementé dans deux situations : avec accord ou charte ou sans accord ou charte.

La menace d'une épidémie est devenue une circonstance exceptionnelle permettant d'imposer le télétravail au salarié sans son accord (article L. 1222-11 du code du travail). Il est devenu un aménagement du poste de travail rendu impératif, dès lors que ledit poste le permet, pour assurer la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés.
Dans ce cadre, la mise en œuvre du télétravail ne nécessite plus aucun formalisme particulier.

 

L'organisation du travail…

 

C’est l'accord collectif, ou à défaut, la charte élaborée par l'employeur qui précise les conditions de passage et les conditions de retour à l'exécution du contrat de travail sans télétravail. Il précise les modalités d'acceptation par le salarié des conditions de mise en œuvre du télétravail, de contrôle du temps de travail ou de régulations de la charge de travail, la détermination des plages horaires durant lesquelles l'employeur peut habituellement contacter le salarié en télétravail et les modalités d'accès des travailleurs handicapés à une organisation en télétravail.

 

Obligations et droits des parties au télétravail…

 

L’employeur, en plus de ses obligations de droit commun vis-à-vis de l'ensemble des salariés de l'entreprise, est tenu d'informer son salarié en télétravail de toute restriction à l'usage d'équipements ou outils informatiques ou de services de communication électronique. Il l’informera des sanctions en cas de non-respect de telles restrictions, et lui donnera priorité pour occuper ou reprendre un poste sans télétravail qui correspond à ses qualifications et compétences professionnelles. Il devra, en outre, porter à sa connaissance la disponibilité de tout poste de cette nature, d’organiser un entretien annuel qui porte sur ses conditions d'activité et sa charge de travail.

 

 

Malgré le contexte, recul en France de l’usage du télétravail…

 

Les télétravailleurs bénéficient des mêmes droits et avantages légaux et conventionnels que ceux applicables aux salariés en situation comparable travaillant dans les locaux de l'entreprise.

L'employeur, s’il refuse d'accorder le bénéfice du télétravail à un salarié qui occupe un poste éligible à un mode d'organisation en télétravail dans les conditions prévues par accord collectif ou, à défaut, par la charte, doit motiver sa réponse. Ce refus n'est pas un motif de rupture du contrat de travail. 

L'accident survenu sur le lieu où est exercé le télétravail pendant l'exercice de l'activité professionnelle du télétravailleur est présumé être un accident du travail au sens de l'article L.411-1 du Code de la sécurité sociale.

Le retour d’expérience du télétravail après quelques mois de confinement est le suivant : le télétravail présente de multiples avantages pour employés et employeurs, mais également des inconvénients.

Malgré la persistance du risque épidémique, on pourrait pourtant constater un recul en France de l’usage du télétravail.

 

Hausse de la productivité, baisse de l’absentéisme…

 

L’absence de trajets pour le salarié améliore son rythme de vie. Il a la possibilité de mieux gérer son  quotidien, en subissant moins de stress : il est donc plus efficace et plus productif.

Tant que le travail est fait, le télétravailleur peut organiser sa journée de travail, de façon autonome. Il a ainsi plus de temps à consacrer à sa famille, à ses loisirs, ce qui lui procure un sentiment de liberté.

C’est une culture d’entreprise à privilégier : les employeurs peuvent ainsi réaliser des économies liées à la délocalisation du travail. Nul besoin de régler les frais liés à la location d’un espace de travail, les frais d’entretien et les coûts de transports. Si la productivité augmente, le taux d’absentéisme se voit réduit.

 

La discipline est de rigueur pour que le système soit efficace…

 

S’il ne trouve pas un équilibre, l’employé travaillant chez lui rencontre quelques inconvénients tels que  le manque d’interaction, un sentiment d’isolement, un manque de confiance et une perte d’intérêt qui peuvent facilement venir envahir son quotidien.

La discipline est de mise pour éviter tout basculement. Au tout début, l’employé porte une attention particulière à son travail. Il prévoit un emploi du temps strict (heure de début, de fin et de pause). Mais il finit par se lasser et ne respecte plus son propre emploi du temps, ce qui impacte sa productivité.

Toutes les communications sont faites en général via Internet. L’employeur se retrouve dans une situation délicate, où il lui est plus difficile de faire un suivi de ses employés ainsi qu’un rendu de leur travail.

Il lui est impossible de vérifier si l’employé travaille vraiment ou s’il a des problèmes à compléter ses tâches. En conclusion, le télétravail présente autant d’avantages que d’inconvénients.

Le succès du télétravail tient à la mise en place d’un système effectif pour lequel employeur et salariés sont d’accord.

En toute discipline, cette culture d’entreprise a tout pour réussir. Même s’il n’est pas fait pour tout le monde et pour tous les types de business, le télétravail reste un mode de fonctionnement moderne à adopter.

Sandrine LHUILLIER

 

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 


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