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C’est l’information surprenante de la semaine. Elle émane du microcosme automobile. Le constructeur français aux losanges va ressusciter l’un de ses emblématiques modèles qui a su séduire des millions de consommateurs dans les années 70 : la R 5 ! Mais attention : que les puristes et autres collectionneurs dudit véhicule se rassurent ! Ils peuvent dormir sur les deux oreilles : la renaissance de ce modèle culte sera singulièrement marquée sous le sceau de la modernité et de la fée électricité !

PARIS : La nouvelle est tombée il y a vingt-quatre heures. Elle a eu tôt fait de se répandre comme une trainée de poudre en France ! En interpellant les aficionados de la fameuse voiture qui eut son heure de gloire dans les années de prospérité. Les années 70 !

Devenue un mythe, la R 5 va donc renaître de ses cendres. L’annonce de ce retour en  flamme a été faite par le président-directeur-général de RENAULT, Luca DE MEO lors d’une intervention à la presse ce 14 janvier.

La présentation d’un prototype imaginé par le designer Gilles VIDAL offre un aperçu de la future ligne de ce véhicule plus moderne que jamais.

Toutefois, sans renier l’âme de ses racines profondes, la nouvelle R 5 aura une toute autre vocation que de faire ressurgir le lointain passé de la nostalgie aux yeux des consommateurs : celle de démocratiser les modèles électriques à travers l’Europe.

 

 

 

 

 

Des clins d’œil au modèle originel comme base de référence…

 

Arborant une couleur vive et flashy, ce spécimen initial encore sous l’approche du prototype veut incarner la citadine compacte de demain, pleine de charme et de modernisme.

Certes, les grandes lignes de sa référence légendaire sont conservées pour l’inspiration. Mais, là s’arrête la comparaison.

La touche de modernisme inféodée à notre époque est visible dans les finitions et les matériaux choisis issus de l’univers de l’électronique, du mobilier et du sport.

Cependant, des clins d’œil à la R 5 originelle s’observent au niveau de la grille latérale, des roues et du logo placé à l’arrière.

 

 

 

D’autres éléments sources de cette inspiration envers la référence mythique cachent des fonctions modernes : la prise d’air du capot occulte la trappe de recharge électrique, les feux arrière intègrent des déflecteurs aérodynamiques tandis que les phares antibrouillard intégrés dans le pare-chocs sont devenus des feux de jour disposant de LED.

La présence d’un drapeau tricolore accentue cet aspect « French touch » qui ne devrait pas manquer de séduire les acheteurs à l’international, férus de ce modèle.

Malgré ces fantaisies créatives, la R 5 est reconnaissable de suite dès sa première vision. Même si le résultat de l’ensemble lorgne résolument du côté d’un design contemporain, voire futuriste.

La R 5 new-look devrait être produite dans l’Hexagone. Peut-être dans le nord de la France. Cette voiture 100 % électrique devrait se positionner favorablement pour tous les ménages au plan marketing, avec un prix accessible à tous.

Ce qui est le souhait de Luca DE MEO. Les premières tendances tarifaires indiquent que ce modèle ne devrait pas excéder vingt mille euros à l’achat…

 

Thierry BRET

 

 


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L’Yonne n’est pas toujours ce département qualifié de réfractaire qui ne sait pas prendre le train en marche en matière d’innovations. La preuve ? La visite, accordée ce jeudi 14 janvier par la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Brigitte KLINKERT, à Joigny l’a démontrée. L’élue du Haut-Rhin est venue étudier un dispositif d’expérimentation au service des bénéficiaires du RSA. Un procédé novateur qui est opérationnel depuis seulement quelques mois sur notre territoire…      

JOIGNY : Déployée depuis peu dans le Jovinien, à l’instar de la contrée voisine du Migennois, la mesure porte ses fruits de façon incontestable. Elle a pour objectif d’ôter l’ensemble des contraintes qui peuvent bloquer d’ordinaire le retour à l’emploi des personnes bénéficiaires du RSA.

Des freins qui sont clairement identifiés. Ils se nomment la mobilité, le logement, la formation, les soins. Autant d’items qui peuvent se révéler pernicieux et funestes pour celles et deux des allocataires du Revenu de Solidarité Active (RSA) en quête de réinsertion professionnelle.

Effectuant le court déplacement entre la capitale et l’Yonne ce jeudi 14 janvier en matinée, Brigitte KLINKERT n’aura donc pas manqué de saluer le bien-fondé de cette initiative au sortir de sa visite à l’hôtel de ville de Joigny.

Attentive aux explications fournies par les différents acteurs de l’emploi qu’elle a pu rencontrer lors d’échanges nourris, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion s’est félicitée de cette « œuvre collective adaptée aux besoins du territoire ».

 

Des explications autour de cette méthode d’intervention intensive et efficiente…

 

La présidente du Département du Haut-Rhin s’est dite satisfaite de cette complémentarité entre Pôle Emploi et les travailleurs sociaux qui accompagnent les bénéficiaires du RSA dans leurs démarches.

Le dispositif répond à la mission du service public dans le domaine de l’insertion et de l’emploi. Il a reçu aussi la bénédiction du Département, associé à son application sur le terrain.

Favoriser le retour de ces personnes vers une activité professionnelle de manière quasi immédiate en levant tous les paramètres qui en freinent le processus d’accès suppose une méthodologie d’intervention intensive qui aura été largement explicitée par les interlocuteurs de la ministre.   

 

 

 

Dans les salons de l’hôtel de ville, où participaient entre autres à cette discussion à bâton rompu la vice-présidente du Conseil régional Frédérique COLAS et le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD, l’édile de Joigny et président de la Communauté de communes du Jovinien, Nicolas SORET aura fait connaître ses observations personnelles.

« Grâce à ce dispositif, devait-il préciser, on sort de la logique où chacun court dans son couloir pour mobiliser les ressources de tous les acteurs : mairie, Communauté de communes, Conseil départemental, Etat… ».    

Et le conseiller départemental de l’Yonne de qualifier les premiers résultats déjà obtenus comme étant très positifs.

 

Un rôle d’ambassadeur national pour Nicolas SORET et Patrick GENDRAUD…

 

Des éléments informatifs qui auront été confortés un peu plus tard par les commentaires de la directrice de l’antenne de Pôle Emploi à Joigny, Isabelle ROUBY, lors de la visite du site.

Avant de clore cette rencontre ministérielle, Brigitte KLINKERT s’est adressée à Nicolas SORET et à Patrick GENDRAUD en leur demandant de devenir des ambassadeurs de ce dispositif au niveau hexagonal.

Gageons que les deux personnalités du Conseil départemental de l’Yonne s’appliqueront à endosser ce rôle avec enthousiasme !

 

Thierry BRET

 


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Alors que de sombres nuages planent au-dessus de la tête des salariés français qui s’attendent à vivre des plans sociaux et licenciements en série ces prochaines semaines, l’initiative de cette PME du Loiret a de quoi surprendre à plus d’un titre. Non seulement, elle offre à ses collaborateurs la gratuité du traditionnel café lors des pauses. Mais, cerise sur le gâteau, un jour de congé supplémentaire leur est attribué à date de leur anniversaire. N’est-elle pas belle la vie en entreprise ?

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Voilà une série de mesures plus que positives pour le moral des troupes que bon nombre d’entreprises de l’Hexagone devraient adopter de manière systématique en ces moments très délicats pour le monde du travail.

Apporter un peu de réconfort aux salariés déjà très perturbés par les vicissitudes contraignantes de la pandémie ne peut se révéler in fine qu’extrêmement positif en guise de motivation et d’acceptabilité d’une situation sanitaire qui prive aujourd’hui les forces actives de l’économie du moindre plaisir de l’existence.

L’initiative mérite que l’on s’y intéresse de près. Elle émane du groupe BELLIER, une société de menuiserie implantée non loin d’Orléans qui commercialise la marque « OEBA », des escaliers conçus sur mesure dans ses ateliers.

 

 

Sublimer les ressources humaines en les récompensant pour leur pugnacité…

 

Prônant la mise en adéquation de l’intelligence collective dans ses relations avec ses cinquante-huit collaborateurs, le directeur général de la structure positionnée entre artisanat et industrie Remzi KURBAN a décidé d’appliquer de grandes résolutions à l’amorce de cette nouvelle année. Des résolutions qu’il entend bien tenir !    

De manière concrète, le personnel de la PME aux 6,4 millions d’euros de chiffre d’affaires bénéficie depuis le 01er janvier d’un jour de congé supplémentaire à prendre à date de leur anniversaire. Ou à un tout autre jour, de surcroît, si cette célébration coïncide déjà avec un jour férié.

Une règle éminemment sympathique qui a séduit d’emblée les employés de la structure exerçant pour certains leur activité en deux fois huit. Adepte du confort absolu dans la gestion de son management, le jeune dirigeant du groupe BELLIER (major de sa promotion à l’IFAG d’Auxerre il y a quelques années de cela) a développé avec l’accord de son patron, Samuel POISSON, le concept « HUBIEN » qui a depuis fait ses preuves.

 

 

HUBIEN se décline en humilité pour HU, la bienveillance pour BI et l’enthousiasme pour la terminaison du mot, EN. Bref de la qualité avec un grand Q portée à son paroxysme, mais pas seulement pour accroître la productivité de l’entreprise qui fabrique tout de même plus de 2 500 escaliers à l’année mais aussi en direction des ressources humaines. Des ressources souvent malmenées dans le sérail professionnel actuel qui se contente d’optimiser profit et rentabilité au détriment parfois de l’humain !

En sus, la direction du groupe prend désormais l’initiative d’offrir le traditionnel café synonyme de pause à l’ensemble de ses collaborateurs. Du jamais vu ou presque dans le monde professionnel. Comme quoi, un bonheur peut en engendrer un autre même sur son lieu de travail !

 

L’ouverture au e-commerce a été profitable à l’entreprise…

 

Côté chiffres, BELLIER est sur une spirale ascendante au niveau de ses résultats. L'entité a explosé ses ventes de produits via le e-commerce avec une très nette progression observée sur le numérique en 2020.

673 000 euros de chiffre d’affaires ont été enregistrés au terme de l’exercice antérieur contre 330 000 euros l’année précédente. Ainsi, le groupe de la région Centre a pu commercialiser 329 escaliers grâce à la digitalisation à travers la France.

Disposant de trois boutiques dédiées et s’appuyant sur le concours de quatre distributeurs, BELLIER titille depuis deux ans le marché de l’exportation.

 Aux Etats-Unis, tout d’abord ou l’Arizona a été l’un des premiers états à succomber aux charmes de la French Touch où plusieurs spécimens ont été installés chez des particuliers.

En 2021, ensuite, où ce sera au tour de la Belgique de découvrir le panel de produits proposés par la menuiserie de Fay-aux-Loges. Avec de réelles opportunités d’y implanter durablement la marque.

 

Thierry BRET

 


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La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


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Que ne pourrait-on faire sans la présence de précieux mécènes à ses côtés ? Surtout quand ces partenaires altruistes interviennent avec générosité pour vous aider à acquérir de nouvelles machines, synonymes de croissance d’activités. C’est ce que vient de vivre le spécialiste de l’insertion AMIDON 89, qui grâce à l’appui de l’ADPS de Bourgogne Franche-Comté, a hérité d’une nouvelle table à repasser à la configuration ergonomique le 28 décembre dernier. Un achat annonciateur de l’arrivée d’autres équipements en 2021…

AUXERRE : Guy PARIS croit-il encore au Père Noël ? Si oui, le président de la structure associative AMIDON 89 aurait tort de le cacher. Le joli cadeau, sous la forme d’une obole bienveillante que vient de lui accorder l’Association départementale de Prévoyance Santé (ADPS), arrive à point nommé pour le confirmer !

Surtout quand il s’agit du renouvellement du parc de machines, des tables à repasser qui se révèlent être indispensables à l’employabilité des personnes en phase de réinsertion.         

La somme est plutôt rondelette : trois mille euros. Un budget que le porte-étendard de l’ADPS régionale Andrée DEBERT n’a pas hésité à investir en sa qualité de partenaire très attentif dans ce premier achat servant au repassage. L’ustensile, un modèle pro de très belle facture et de fabrication européenne, suppléera ainsi avec d’autres investissements prévus en 2021 les vétustes appareils sortis des usines transalpines dans les années 90 !

Les pannes récurrentes de ce matériel exaspéraient de plus en plus les dirigeants de l’association. Las, de ne pas pouvoir optimiser leur productivité de façon convenable. D’autant qu’un tiers de ces machines (une vingtaine au total) commençait à dépasser la limite d’âge sans connaître l’obsolescence programmée !

 

Une dizaine de machines déployées sur les trois sites de l’Yonne…

 

Qu’à cela ne tienne : il aura suffi d’être patient et de solliciter les mécènes historiques de l’entité (FAP EDF, AG2R La Mondiale et ADPS) pour se convaincre de renouveler l’ensemble. Ce sera chose faite d’ici quelques semaines. En outre, dans le cadre du plan de relance économique, la Région devrait elle aussi apporter ses subsides qui seront votés au mois de mars.

En tout, 62 000 euros seront investis par AMIDON 89 pour se doter d’un équipement flambant neuf et de qualité qui sera réparti de la manière suivante : six machines seront affectées à Auxerre au siège social place Corot, quatre seront envoyées dans l’unité de Saint-Florentin, les deux dernières étant installées à Chablis.

La trentaine de personnes bénéficiaires de contrats d’insertion allant de quatre à vingt-quatre mois sont ravies de l’aubaine.

 

 

 

 

Certaines ont déjà pu tester la table new-look, agréable à utiliser avec aisance. Il est vrai que cet objet de tant de convoitises constitue le nec plus ultra du matériel professionnel usité sur le marché. Son coût s’élève à 5 500 euros à l’unité.

Deux cent cinquante clients, des personnes physiques, profitent aujourd’hui des services de l’association dans l’Yonne. Ce qui représente en termes de volume autant de panières à linges à repasser.

 

Couture, service de livraison et circuits courts dopent les activités

 

Mais, déjà des pistes de développement pointent à l’horizon. Notamment en direction des comités d’entreprise. Ils devraient permettre à AMIDON 89 d’étoffer davantage son panel de clientèle dans un proche avenir.

Epaulé de la nouvelle directrice  en poste depuis la mi-août Sophie GOIRAND, Guy PARIS envisage cette diversification de cibles courant 2021. A défaut, dès l’année suivante.

Le service de livraison répond, lui, aux attentes des adhérents et devrait accroître son potentiel de développement au cours de la saison.

Quant à l’atelier couture, il n’aura jamais aussi bien fonctionné, à plein régime, depuis la crise sanitaire avec la fabrication de masques protecteurs très utiles pour ses usagers. La distribution de sa gamme éclectique s’appuie sur les circuits courts (LOCAVORE).

Mention spéciale,  enfin, aux singuliers tissus servant d’opercules, conçus à l’aide de cire de miel, qui rendent hermétiques les récipients de produits alimentaires (les « bees wrap ») : leur originalité est en passe de séduire des consommateurs intrigués par tant de prouesses créatives et pratiques.

Thierry BRET

 


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