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Lumineux – il est pourvu d’un petit balcon prolongeant la perspective visuelle sur un espace arboré -, l’appartement de type F3 proposé à la location se veut très fonctionnel. Doté de deux bureaux – la confidentialité y est donc pleinement garantie -, il dispose aussi d’une salle de réunion (l’ancien séjour quelque peu réaménagé) et d’une cuisine où y règne la convivialité à certains moments de la journée. Bienvenue dans les nouveaux locaux du CIDFF 89 : le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de l’Yonne…

 

AUXERRE : C’est un nouveau monde, version la « Terre promise » en ce qui concerne l’accueil de son siège social, que vit désormais l’équipe de la structure associative auxerroise, en charge d’accueillir et d’écouter ces femmes et ces familles de l’Yonne qui sont privées de leurs droits les plus fondamentaux.

Maltraitances, violences conjugales, harcèlements…autant d’items très sérieux, à la limite du gravissime, au cœur des préoccupations quotidiennes des deux juristes qui siègent dorénavant dans les deux bureaux de cet appartement pas comme les autres.

Celui du Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles. Une entité, apparue en 1995 dans la capitale de l’Yonne, qui exerce une mission d’intérêt général confiée par l’Etat dont l’objectif est de favoriser l’autonomie sociale, professionnelle et personnelle des représentantes de la gent féminine.

Une mission ressemblant le plus souvent aux douze travaux d’Hercule, en vérité ! Tant les sujets où les femmes sont humiliées, rabaissées, anéanties, meurtries parfois dans leurs chairs…ne manquent pas.

 

 

Vingt-sept années d’interventions auprès de femmes et familles malheureuses…

 

Entre divorce complexe, harcèlements sur son lieu de travail, violences conjugales à répétition, difficultés financières en permanence, soucis de logement…, les juristes du CIDFF 89 Noémie et Ophélia n’ont malheureusement que l’embarras du choix pour exercer leurs talents en s’appuyant sur le droit, rien que le droit.

C’est sûr en vingt-sept années de pratique, toutes vécues dans ce bâtiment architectural si emblématique du quartier Sainte-Geneviève à Auxerre, « le Phare » qui sera démoli dans les semaines à venir, il a dû s’en dire des choses !

Ne parlons pas des émotions, voire des moments d’espérance, aussi pour celles de ces femmes qui osaient enfin franchir la porte de ce « confessionnal » grandeur nature pour se plaindre de la dure réalité de leur douloureuse existence.

Marie-France JEANSON, première présidente de cette structure associative qui ne fait pourtant pas la « une » des médias alors que les sujets, dont elle traite avec pertinence le contenu, s’affichent en large calligraphie sur les manchettes des journaux, s’en souvient encore. Son travail fut plus qu’honorable au fil des années.

Elle en a été remerciée chaleureusement par l’actuelle responsable, Simone PARIS, à l’occasion de cette cérémonie inaugurale, une sorte de « pendaison de la crémaillère » entre représentants des corps institutionnels – Juliette ROME, déléguée aux droits des femmes et à l’égalité, représentant la préfecture -, politiques (la sénatrice de l’Yonne Dominique VERIEN n’aurait manqué pour rien au monde ce rendez-vous) et associatifs où bon nombre de têtes connues de la place auxerroise avaient tenu à prendre part à cet évènement dont Serge LE DOUSSAL (ex-comité de la Franck Pineau), l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre Guy PARIS, président d’AMIDON 89  ou encore Monique HADRBOLEC, ancienne élue départementale et municipale.

 

 

Trop chaud l’été, trop froid l’hiver : même la météo aura bafoué les droits des femmes au Phare !

 

Le Phare, aujourd’hui vaisseau fantôme immobilisé dans la mer des Sargasses de la décrépitude en attente de sa destruction, fut largement évoqué par Simone PARIS. Non sans une once d’humour, d’ailleurs, de l’intéressée…

« Nous y avons vécu quatre déménagements contraints, car cette très belle structure architecturale, ancrée dans un quartier populaire, ouverte vers le ciel avec ses verrières remarquables et remarquées devait aussi montrer ses points de faiblesse au cours des années. Trop chaud en été, trop froid en hiver. Avec en sus, des inondations récurrentes observées dans plusieurs bureaux avec des conséquences désagréables pour ses occupants… ».

A force de déménagements successifs, l’équipe du CIDFF 89 aura fait quasiment le tour des bureaux ! Mais, toujours dans l’entente et la bonne humeur, visiblement.

Désormais, installée au 29 B du boulevard Vaulabelle, la structure va donc poursuivre son combat journalier pour que les droits des femmes et des familles ne soient plus jamais bafoués.

 

Thierry BRET

 

 


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Il a beau côtoyer de très près les membres du gouvernement, lors de ses pérégrinations professionnelles dans la capitale de l’Hexagone – à l’instar du Ministre de la Transition écologique en charge des transports, Jean-Baptiste DJEBBARI  - le président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté n’est pas un adepte de la langue de bois ! Pour éviter un scénario noir qui se profile à l’horizon en défaveur de la filière, il demande à l’Etat d’intervenir auprès des collectivités locales pour qu’elles puissent mieux affronter les dérives inflationnistes du moment…

 

BESANCON (Doubs) : C’est une partie de billard à deux bandes qui se joue à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Elle est soutenue mordicus par le toujours très médiatique président de la Fédération Régionale des Travaux Publics (FRTP) de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

Ce dernier en appelle à l’Etat pour qu’il accompagne les collectivités locales dans la neutralisation de l’inflation. Logique, car si accompagnement actif il y avait de la part de la gouvernance, cela permettrait à ces dernières de pouvoir mieux affronter la vertigineuse envolée de l’inflation, surtout celle qui s’applique à leurs coûts de fonctionnement.

Un sérieux sujet d’inquiétude pour les acteurs de la filière des Travaux Publics qui craignent une chute abyssale de l’investissement local en 2023. La résultante ne se ferait pas attendre avec le décrochage de l’activité, pouvant jusqu’à menacer l’existence des entreprises et la survie des emplois.

 

60 % de dépendance du chiffre d’affaires de la filière à la commande publique…

 

Vincent MARTIN est on ne peut plus explicite dans ses arguments qu’il a fait connaître par le biais d’un communiqué de presse : « le chiffre d’affaires de notre secteur d’activité dépend pour près de plus de 60 % de la commande publique, explique-t-il, en particulier du bloc communal, intercommunal et départemental… ».

L’inquiétude est donc très vive pour la filière qui emploie, rappelons-le pour la contrée, plus de onze mille salariés accueillis dans mille cent entreprises avec un chiffre d’affaires réalisé à la clé flirtant les deux milliards d’euros.

La source du tourment venant éprouver le charismatique leader régional de la FRTP repose sur la décision du gouvernement de ne pas indexer la dotation globale de fonctionnement (la fameuse DGF) sur l’inflation. Moyennant quoi, cela revient à amputer très sérieusement les ressources des collectivités locales en 2023, et de réduire par un effet gigogne implacable leur besoin en réalisations d’infrastructures, synonymes de chantiers !

 

 

« Or, la précédente baisse des ressources imposée par l’Etat, entre 2013 et 2016, de l’ordre de 11,5 milliards d’euros aura fait chuter l’investissement local de 18 %, et celle de l’activité des travaux publics de 20 % ! ».

Un scénario funeste que ne souhaite pas revivre le président de la puissante fédération régionale. En outre, la décision de l’exécutif tombe comme un cheveu dans la soupe car l’année 2023 correspond à la période de mi-mandat municipal, traditionnellement favorable à l’engagement de nombreux projets.

 

 

Une transition énergétique mise à mal par l’envolée des prix…

 

Autre signe de désagrément : la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). La profession craint que ce nouvel objectif ne vienne grever l’investissement local dans certains territoires ruraux et péri-urbains.

Reste la transition énergétique – au moment où le secteur est également frappé de plein fouet par les restrictions de carburant imputables aux mouvements sociaux dans les raffineries - : celle-ci, souligne Vincent MARTIN, « nécessite au premier chef le concours des collectivités locales pour réaliser des investissements de proximité sur l’ensemble du territoire ».

Si la hausse des coûts de ces produits énergétiques se poursuit – cela en prend allègrement le chemin ! – cela risque, là-aussi, de freiner les capacités d’investissement des élus locaux dans les années à venir.

« De notre côté, rappelle Vincent MARTIN, les entreprises de travaux publics continuent de s’engager avec détermination et responsabilité dans la transition énergétique. Mais, comment faire face à l’inflation et à la baisse des ressources des collectivités locales pour y parvenir ? ».

Il y a donc urgence à trouver des solutions pérennes afin de préserver le secteur. La FRTP a sa petite idée sur la question.

« Il faut que l’Etat propose des incitations fortes à l’investissement local, en particulier, la réintégration des opérations d’aménagement dans l’assiette du FCTVA et son élargissement aux travaux de sécurisation des ouvrages d’art, le déploiement rapide des crédits de paiement du « fonds vert », l’harmonisation des calendriers d’attribution de la DETR et de la DSIL, ainsi que la simplification de leurs critères d’instruction, l’actualisation des montants d’attribution pour tenir compte de l’inflation et le report des crédits non consommés sur l’année suivante… ».

Avant qu’il n’y ait réellement péril en la demeure pour la filière des Travaux Publics en France, Vincent MARTIN agit avec sa fédération en espérant des réponses concrètes et rapides de l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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Connu pour son implication environnementale et la réalisation de plusieurs documentaires en format reportage sur cet item capital pour le devenir de la planète, le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU est intervenu auprès des élèves des classes de 6ème et 5ème du collège de Saint-Joseph-la-Salle, option nature et développement durable, afin d’y évoquer son dernier opus, « Chemin de Terre et d’Eau ». La sensibilisation des enfants (et de leurs parents) expliquait sa présence…

 

AUXERRE : C’est un exercice inhabituel que celui vécu il y a peu par le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU. Un chantre de la défense environnementale et de la protection de la planète. D’ailleurs, sa dernière livraison, une commande assurée par plusieurs associations coproductrices dont « Yonne Nature Environnement » et l’ADENY qui devait aussi recevoir le soutien du Conseil départemental de l’Yonne et d’autres mécènes, ne cesse de circuler aux quatre coins de notre territoire depuis sa sortie pour y être projetée.

Limpides comme de l’eau de roche, les images captées par le réalisateur qui a jadis œuvré dans les équipes de la célèbre émission de Nicolas HULOT (« Ushuaia ») représentent une pertinente initiation pour mieux appréhender les enjeux actuels qui planent autour de l’élément aquatique qui est si cher à notre survie. Et vu le contexte actuel en matière de réchauffement climatique et de fulgurantes hausses des températures – plus de trente degrés observés à la mi-octobre dans le Sud-Ouest de l’Hexagone ! – ce n’est pas peu dire…

Ces prises de vues, agrémentées de leurs judicieux commentaires, les élèves des classes de 6ème et 5ème de l’établissement privé de la capitale de l’Yonne les ont visionnées. Logique, car ces jeunes apprenants ont choisi de suivre l’option « nature et développement durable » afin de mieux s’imprégner de la réalité environnementale de l’instant.

 

Le pouvoir des images pour mieux comprendre la bio…

 

Comprendre la bio, l’origine de l’eau et son acheminement, le potentiel économique que ce liquide indispensable à notre survie représente s’inscrivent parmi les axes prioritaires de ce cursus original que le groupe scolaire lassalien a développé depuis plusieurs saisons. Histoire d’être à la page et en connexion directe avec ce monde extérieur qui entoure la jeune génération, le plus souvent (et fort heureusement parfois) éloignée des vicissitudes de la planète. Et pas nécessairement épargnée par la cruauté des hommes.

Alors, pouvoir disserter plus d’une heure durant avec un cinéaste qui n’a pas le melon et qui croit au pouvoir de l’image afin de véhiculer des messages écologiques forts auprès de la population, cela ne pouvait qu’interpeller les jeunes têtes blondes (ou brunes !) de ce public encore dans l’âge de l’innocence.

Au-delà des informations fournies par l’orateur du jour, les élèves, plutôt attentifs et non dissipés, eurent tout le loisir de questionner un Pascal DELAGNEAU très pédagogue sur les ficelles de ce métier de réalisateur, faisant parfois rêver celles et ceux de ces jeunes gens enclins à s’émerveiller devant la toile d’un grand écran au cinéma.

 

 

Un documentaire à réaliser sur l’activité apiculture de l’établissement…

 

Derrière cette causerie, ces jeunes pousses ont la volonté, avec le concours de leurs enseignants, de concevoir leur propre documentaire sur les ruches qui sont accueillies par leur établissement scolaire et gérées par un professionnel de l’apiculture.

Un exercice technique et visuel devant leur permettre à terme de mieux sensibiliser (leurs amis, leurs parents ?) au respect des équilibres naturels et à l’importance des insectes ou la tenue de petits gestes utiles, afin d’endiguer les problématiques inhérentes au dérèglement climatique…

Profitant de cette intervention, Pascal DELAGNEAU tint à rendre hommage à son oncle, Jean-Michel DELAGNEAU, éleveur de métier, aujourd’hui disparu – il est décédé le 02 juin dernier -, qui fut un militant de la première heure en faveur de la bio et de la sauvegarde de l’environnement en France. Cette rencontre avec ces collégiens et la transmission de messages capitaux fut une excellente manière d’honorer sa mémoire…

 

Thierry BRET

 


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Le nom de code de ce projet novateur est finalement très simple à retenir. Du moins pour le moment puisque le concept devrait se délocaliser courant 2023 dans des locaux situés sur le cours Chambonas à quelques encablures de là. Dans l’absolu, la nouvelle « Maison de l’Habitat du Grand Sénonais », portée sur les fonts baptismaux par l’édile de Sens Paul-Antoine de CARVILLE, prend ses quartiers au 14 Boulevard du 14 Juillet. Un bâtiment administratif connu de tous. L’idéal pour découvrir ce lieu d’accueil se muant en guichet unique du logement…

 

SENS : Précurseur, le Grand Sénonais ? Sous la forme actuelle des choses, concernant ce projet de guichet unique dédié à l’univers de l’habitat et du logement, on ne peut répondre que par l’affirmative ! Au même titre que le dispositif qui a été mis en place un peu plus tôt, du côté de Joigny et de son bassin d’influence. 

Pour autant, tous les acteurs réunis à la conférence de presse de lancement de cette « Maison de l’Habitat » sont formels : le Sénonais innove en la matière, au service de sa population, celle qui est encline à concevoir des travaux de rénovation de son patrimoine immobilier.

Forcément, avoir des projets de travaux à réaliser et disposer dorénavant d’un espace d’accueil dédié où convergeront les grands faiseurs de cette thématique si importante pour les Français que l’on pourra consulter à loisir ou presque (uniquement sur rendez-vous) apparaît comme capital en termes d’attractivité foncière pour le nord de notre département. Un secteur qui flirte de très près avec l’Ile-de-France limitrophe et qui a vu sa démographie progresser cette année encore alors que le reste du territoire icaunais est en perte de vitesse. A l’instar de la Bourgogne Franche-Comté, par ailleurs.

 

Faire du neuf avec de l’ancien…

 

Alors, Sens et son agglomération innovent. En ciblant dans le mille pour accompagner du mieux possible celles et ceux de ses habitants qui auraient des velléités de remise à neuf de leurs appartements et maisons. A l’heure où les émissions de l’inéluctable Stéphane PLAZZA cartonnent sur les antennes de M6, c’est certain : le succès devrait donc être au rendez-vous !

Nos concitoyens ont profité des vagues successives de confinements pour bricoler et se doter d’intérieurs plus cocooning qu’autrefois, revalorisant de facto leurs habitations même les plus anciennes.

Dans les tuyaux depuis un moment, cette entité très explicite quant à son appellation – la Maison de l’Habitat – fait figure de réponse appropriée de la part de l’institution communautaire pour inciter les résidents, propriétaires, à chercher les solutions les plus adéquates afin de mieux isoler leurs logements, les rendre plus confortables, leur apporter un moyen de chauffage plus en phase avec la transition énergétique, viabiliser l’existant et presque faire du neuf avec de l’ancien !

 

 

Déjà un dossier constitué avant l’inauguration officielle !

 

Cerise sur le gâteau : tous les organismes dont le quidam a résolument besoin pour faire progresser son dossier personnel seront donc réunis sous le même toit. Ce qui est plutôt agréable lorsque l’on parle d’habitat !

Dans les faits, sont associés à ce projet pour le moins novateur, des structures comme SOLIHA (Solidaires pour l’Habitat), le CAUE 89 (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement) ou encore l’ADIL 89, l’incontournable Agence Départementale d’Information sur le Logement, très précieuse au niveau de ses renseignements juridiques et énergétiques.

On l’aura compris la présence de tous ces spécialistes n’est pas anodine dans le dispositif. Elle permettra de mieux articuler le concept autour de l’expertise, du diagnostic, de l’aide financière et de l’expérience en matière de conseils et préconisations utiles.

Un sérieux plus, côté argumentations, d’autant que tous les services proposés le seront de manière gracieuse. Preuve que le système se veut déjà pertinent, avant l’heure : un dossier a déjà été préparé de façon officielle en amont, avant même que le nouveau dispositif ne soit opérationnel. Si ce n’est pas un signe d’exemplarité, cela en a tout l’air !

Quant aux chiffres avancés par Paul-Antoine de CARVILLE et le vice-président de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais, Lionel TERRASSON, en charge de l’habitat, du logement, du renouvellement urbain, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, ils ont le mérite d’être clairs pour quantifier l’ambition de l’institution communautaire. L’opération qui s’intègre parmi le dispositif « Action Cœur de Ville » espère deux mille habitations rénovées dans l’intervalle de ces cinq prochaines années.

Forcément avec de très belles retombées économiques qui devraient ruisseler sur les artisans du secteur bâtiment du cru qui profiteront de la manne financière. Celle-ci est estimée à hauteur de onze millions d’euros par le successeur de la regrettée Marie-Louise FORT, dont trois millions seront pris en charge par l’organe communautaire. La Maison de l’Habitat ? Un accompagnement utile à bien des égards, assurément, pour rendre attractif le patrimoine immobilier du Sénonais…

 

Thierry BRET

 


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La nouvelle mission du technicien corse devrait être de très courte durée, en vérité. Le temps d’une partie opposant les Aiglons de l’OGC Nice aux Bourguignons de l’Yonne – la rencontre se déroulera dans le cadre de la onzième journée de Ligue 1 ce dimanche après-midi à l’Abbé Deschamps -, voire peut-être d’un match supplémentaire si le futur coach de l’AJ Auxerre tarde à arriver sur les bords de l’Yonne…

 

AUXERRE: On ne connaît pas encore le patronyme définitif du successeur de Jean-Marc FURLAN. Démis de ses fonctions en début de semaine, la résultante d’un geste déplacé envers le public de Clermont Foot dimanche dernier face aux caméras au terme d’une rencontre devant se solder par une défaite pour les visiteurs, le coach auxerrois a donc laissé sa place, très provisoirement à son adjoint de longue date, Michel PADOVANI.

Un garçon qui est encore tout ému de ce scénario si soudain et imprévisible à ses yeux. Il est vrai que le tandem FURLAN/PADOVANI fonctionnait en parfaite symbiose depuis onze ans. Et aujourd’hui, le coach par intérim de l’AJ Auxerre se sent quelque peu « orphelin » de ne plus avoir à ses côtés ce personnage atypique de la sphère footballistique.

« Je l’ai eu au téléphone il y a vingt-quatre heures, précise-t-il, on ne peut pas dire que cela soit la grande forme pour Jean-Marc… ».

Absent lors du déplacement en terre auvergnate dimanche dernier – Michel PADOVANI était souffrant -, le nouveau coach intérimaire du seizième de Ligue 1 s’est dit surpris, voire choqué par les sanctions. « J’ai regretté après coup de ne pas avoir été là-bas, confie-t-il aux journalistes venus l’interroger dans le sacro-saint rituel point presse de l’avant-match qui opposera Auxerre à Nice.

 

Etre entraîneur principal sur un match, c’est possible mais pas dans la durée !

 

Est-ce à dire pour autant que l’entraîneur adjoint de l’AJ Auxerre va s’installer durablement dans le fauteuil de coach principal après sa désignation par les dirigeants du club ?

Que nenni ! Michel PADOVANI ne le souhaite pas, il est en cela très catégorique. « J’ai déjà assuré par le passé des remplacements que ce soit à Bastia ou ici à Auxerre, ajoute-t-il, je n’ai pas les qualités requises pour devenir entraîneur principal. Sur un match, cela est possible évidemment mais pas sur la durée d’une saison. J’ai eu trop de pression à Bastia et je ne veux pas revivre cela… ».

D’autant que dans le club de l’île de Beauté, le cadre avait été contraint d’enchaîner une série de six rencontres sur le banc managérial aux côtés de ses joueurs !

Pour aborder cette rencontre qui sent déjà le souffre pour l’AJ Auxerre face à l’OGC Nice au plan comptable – les Azuréens ont littéralement explosé jeudi soir en seconde mi-temps en Europa Conférence face à une modeste équipe de la République Tchèque – Michel PADOVANI prône la continuité avec son staff. Même si les séances d’entraînements de la semaine ont été particulièrement toniques et intenses !

« On travaille ensemble, après le choc de ce début de semaine, le groupe qui a des valeurs humaines s’est remis au travail. Ils veulent avancer dans le même sens. J’ai parlé aux joueurs. J’ai donné quelques axes de travail. On repartira de zéro avec sûrement quelques changements en perspective… ».

Certes, mais on n’en saura pas davantage sur cette nouvelle stratégie : les joueurs eux même le découvriront en dernière minute avant de fouler la pelouse.

Se définissant comme un « faux calme », sachant se transcender dans l’intérêt du club, le nouveau promu à la fonction de coach espère renouer avec le succès dès dimanche et engranger des points ô combien salvateurs pour s’éloigner de la zone de relégation.

 

Le nouveau coach à Auxerre dès la semaine prochaine…

 

« J’aime gagner et je suis honnête, affirme-t-il, les gens qui trichent peuvent m’énerver… ». Mais, il assure un peu plus loin dans la conversation avec les médias qu’il a su se tempérer au fil des années.

Evoquant son successeur – sur lequel il n’a pas son mot à dire puisque c’est la décision des dirigeants du club -, Michel PADOVANI a bel et bien confirmé que le nouveau coach arriverait à Auxerre dès la semaine prochaine.

Quant à son propre avenir au sein de l’AJA après cette pige intérimaire de brève échéance, l’ancien joueur de Bastia s’est dit rassuré par les dirigeants : « s’il arrive un staff complet avec le nouvel entraîneur, nous serons obligés de nous entendre… ».

Sans doute, mais qu’en adviendrait-il dans le cas inverse ?

 

Thierry BRET

 

 


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