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Samedi 18 novembre, le complexe du Pantographe à VENAREY les LAUMES (Côte d’Or) accueillera en journée ce rendez-vous annuel porté par l’Association française des diabétiques de Bourgogne. Plusieurs centaines de personnes, victimes de cette pathologie sournoise, participeront à ces travaux de belle facture, en présence de nombreux spécialistes de la médecine et experts…ainsi que les professionnels des milieux sanitaires qui dévoileront leurs dernières nouveautés en matière d’aides et de soutiens aux malades.

DIJON (21) : Les chiffres sont proprement révélateurs d’une situation atypique pour la région Bourgogne. Plus de 85 000 personnes, atteintes de diabète, sont prises en charge chaque année sur l’ensemble des quatre départements du territoire, avec des taux record enregistrés dans la Nièvre (le département le plus touché par cette maladie) et son voisin, celui de l’Yonne.

Même la Côte d’Or avec plus de 2 8000 patients, demeure un département qui ne déroge pas à la règle. Avec un indice de prévalence de 5,1 %, force est de constater que la Bourgogne représente une des régions françaises les plus concernées par ce fléau.

Président régional de l’Association française des diabétiques, Robert YVRAY nous livre quelques explications : « Les deux principaux types de diabète sont les diabètes de type 1 et 2. Ce sont des maladies différentes, mais elles sont toutes les deux caractérisées par un excès de sucre dans le sang.  L’hérédité reste la première cause du diabète de type 2. Celui-ci, qui représente 90 % des personnes diabétiques, a pour autres causes principales le surpoids, l’obésité, une mauvaise alimentation, la sédentarité et une activité physique trop faible. En résumé, la pathologie doit être pris très au sérieux et traité efficacement avant que les complications annexes ne surviennent… ».

Informer sur les complications de cette maladie pas banale…

Parce que le diabète demeure un problème de santé publique qui ne cesse de croître d’année en année, l’association régionale, aidée en cela par ses antennes départementales au niveau logistique, décline à chaque automne ce colloque contenant pléthore d’informations.

L’objectif de ce rendez-vous devenu une institution dans le paysage de santé est de renseigner la population sur les méfaits de cette maladie qui nous concerne tous. « Il nous faut lutter contre la banalisation de cette pathologie, ajoute Robert YVRAY, et sensibiliser sur la réelle gravité engendrée par les possibles complications… ».

C’est en 1964 que les régimes d’assurance maladie commencent à prendre en charge le diabète à la suite de nombreuses opérations de lobbying. Première maladie chronique, le diabète est la première cause de cécité avant 65 ans, la seconde des maladies cardiovasculaires, la première cause d’amputations hors accidents (8 000 personnes par an).

Des dépenses qui ne cessent d’augmenter chaque année…

Plus de 3,5 millions de diabétiques sont diagnostiqués et traités en France (3,6 % de la population) tandis que 400 nouveaux cas apparaissent chaque jour. Plus grave : les enfants ne sont pas épargnés par les souffrances physiques occasionnées par la maladie.

Vingt mille d’entre eux sont ainsi concernés par un mal qui ne cesse d’empirer si l’on n’y prend pas garde. Enfin, et pour clore cette série de statistiques affolantes, il faut savoir que 18 milliards d’euros sont dépensés à destination de ces malades et un milliard d’euros de dépenses supplémentaires l’est chaque année pour l’assurance maladie.

Gérard RAYMOND, président de la fédération nationale, sera également de la partie lors de cette journée particulière en terre de Côte d’Or. Il présentera d’ailleurs lors d’une conférence le parcours de santé pluri-professionnels des patients chroniques. Un aperçu passionnant de la réalité thérapeutique de ces milliers de personnes, toujours en quête de l’information la plus pertinente…


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A peine désigné par le suffrage électif, à l’occasion des Journées fédérales de Dijon les 12 et 13 octobre, le nouveau président national de la puissante fédération des professionnels de l’immobilier a rendu une visite plus que de politesse aux représentants de la FNAIM de l’Yonne, un département qui est rattaché au groupement Paris Ile de France. Une manière de prendre la température de la base et de se préparer à exercer ce futur mandat où il succèdera pour une durée de cinq ans au Dijonnais Jean-François BUET en poste jusqu’au 31 décembre…

AUXERRE : Très en verve au cours de son allocution officielle, le nouveau président de la FNAIM, Jean-Marc TOROLLION, s’installera dans le fauteuil national dès le 01er janvier 2018, avec un credo bien ancré dans la tête : il souhaite « bâtir la fédération des professionnels de l’immobilier de l’avenir ». Offensif, mais également ouvert au monde économique qui l’entoure, le successeur du bourguignon Jean-François BUET est diplômé d’une maîtrise de droit notarial et de l’ICH. Il exerce depuis 1987 à Grenoble en qualité d’agent immobilier et s’est investi dès le début de sa carrière dans le syndicalisme.

Le poids du numérique fera la différence dans le réseau du « Cube Jaune »

Profondément attaché aux métiers portés par la filière, l’ancien président régional de la FNAIM Rhône Alpes (2009/2012) a ensuite brigué un mandat national en 2013, s’imprégnant du rôle de président délégué de la fédération française. Le tremplin idoine pour gravir le dernier échelon, devant le conduire au poste suprême avec 58,40 % des votes obtenus à Dijon.

D’un naturel optimiste et plein d’espoir, Jean-Marc TORRILLION n’en est pas moins un garçon vigilant qui n’accorde pas de confiance particulière au gouvernement qui réfléchit à la refonte de la loi de 1955. Celle qui régit l’ensemble de la filière…

Evoquant la nécessité d’instaurer la démocratisation du bail numérique qui deviendrait un vrai service de l’Etat, le président de la FNAIM rappelait à l’assistance, composée d’une centaine de professionnels exerçant sur le territoire de l’Yonne, dont le président Stephan SIMPSON et son prédécesseur, Guy BRUGGEMAN, que « nul ne pouvait échapper désormais à la mutation numérique indispensable au modernisme de notre pays ».

S’arrêtant quelques instants sur la stratégie de communication qu’il souhaite initier dès sa prise de fonction, Jean-Marc TORROLLION a indiqué à son auditoire attentif que la mise en place d’un compte Facebook professionnel devenait inévitable. « Nous posséderons ainsi une force de frappe exceptionnelle qui ne cessera de se démultiplier par ricochet… ». Surtout, insista-t-il, « n’ayez pas peur de le faire ! ».

Le titre d’agent immobilier nous appartient et pas aux autres !

Dans un souci de stabilité, le président sortant Jean-François BUET poursuivra sa mission en dirigeant la structure nationale jusqu’au terme de l’année civile. Mais, signe d’ouverture et de transition sereine et efficace, son successeur sera aidé pour prendre plus facilement possession de ses nouvelles fonctions et bénéficier ainsi de ses conseils.

Le nouvel homme fort de la FNAIM s’attachera également à défendre mordicus le titre d’agent immobilier, parfois dévoyé. « Ce titre professionnel est à nous et pas aux autres ! », déclarera-t-il péremptoire, avant de confirmer qu’il fera tout pour protéger ce titre distinctif par rapport aux mandataires qui exercent une concurrence parfois exacerbée sur la filière.

Quant à la loi ALUR, qui sera mise en place, Jean-Marc TORRILLION a bien rappelé qu’il n’était pas question que le gouvernement impose une masse de règles complexes sans l’aide d’une réelle protection.

Syndicat patronal pesant plus de 50 % sur le marché de l’immobilier en France et ayant un poids considérable auprès des pouvoirs publics, la FNAIM souhaite accélérer le processus d’intégration de jeunes recrues motivées et compétentes.

« La formation, c’est un marqueur essentiel pour notre corporation, c’est aussi une question d’image qualitative. Les jeunes qui nous rejoignent doivent éprouver de la fierté à l’idée d’exercer leur métier sous le sceau du « Cube jaune », le logo identifiant la FNAIM… ».

Devant conclure ses propos sur les valeurs intrinsèques de l’organisme, le futur responsable de la FNAIM rappela que « cette profession d’agent immobilier est réglementée au même titre que l’ordre des experts-comptables ». Argument de référence dont il faudra se souvenir au cours de la prochaine mandature…


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Ce sera un moment de grâce vécu les yeux grands ouverts pour la jeune et talentueuse chanteuse en ouvrant le concert de l’ancien leader des CHARTS, venu présenter sur la scène du SKENET’EAU la dizaine de titres de son nouvel opus « Liberté Chérie ». Un prélude insolite pour la jeune femme à son prochain rendez-vous, prévu au même endroit le 24 février, quelques jours après la publication de son EP, « Humeur vive », dont le premier extrait est promu sur les ondes de France Bleu…

MONETEAU : Blonde à paillettes sachant manier la tendresse des mots aux textes parfois plus acérés, le tout agrémenté de mélodies sucrées et résolument pop, la chanteuse GERVAISE dévoilera l’immensité de son talent ce jeudi 16 novembre dès 20 heures sur la scène très acoustique du SKENET’EAU.

Une chance inouïe se présente à elle : elle a été conviée, en vedette américaine, à la soirée d’exception concoctée par France Bleu Auxerre, « Direct Live ». Un concert sur invitation ayant comme tête d’affiche flamboyante, l’une des stars actuelles de la chanson française : CALOGERO.

Entière, féminine, se baladant entre strass et poésie, la jeune artiste, originaire de Puisaye, navigue entre une chanson à texte finement ciselée et des airs musicaux à la tendance pop que l’on retient instinctivement dès la première écoute.

Après SANSEVERINO et Michel FUGAIN, dont elle a assuré les premières parties, l’artiste profitera de la présence des 300 spectateurs réunis dans la salle icaunaise pour démontrer l’étendue de ses potentialités scéniques.  

Bénéficiant d’une côte d’amour en flèche de la part de ses aficionados régionaux, GERVAISE a conquis le public de connaisseurs lors de tours de chant de belle facture proposés à l’Escale de Migennes ou sur les planches du festival CATALPA à Auxerre. Mais, les scènes parisiennes ne lui sont pas étrangères, ayant déjà interprété ses morceaux agréables aux « Trois Baudets » ou dans la salle du « Limonaire ».

Le titre phare du moment, « Sans anesthésie », a intégré la playlist de référence de France Bleu depuis plusieurs semaines : ce qui offre à la chanteuse une audience importante à la dimension de ses espérances. Ce morceau est le premier single, extrait du nouvel EP, « Humeur vive », qui aura quant à lui nécessité une gestation longue de deux années après le précédent opus, « La femme mystère », publié en octobre 2014. Il sortira en février 2018.

D’ailleurs, c’est à cette époque, le 24 février précisément, que GERVAISE se produira à nouveau dans le complexe de MONETAU pour y promouvoir l’ensemble de ces chansons intimes et oniriques qui méritent amplement l’écoute…Elle y sera accompagnée de ses musiciens, Stéphane MUGNIER, à la basse et Olivier LE GALL, à la guitare.


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L’organisme de tutelle des professionnels de l’agriculture a organisé une journée de travail vécue sur le terrain afin de leur faire découvrir ou redécouvrir, grâce aux conseils prodigués par un expert de Haute-Marne, les bienfaits salvateurs du semis direct et ceux de l’agriculture de conservation. Ce fut aussi l’occasion pour le nouvel embauché, Louis GABAUD, conseiller en productions végétales, et animateur de ce nouveau groupe, d’expliquer les pratiques évolutives de cette agriculture résolument environnementale et économe…

 

LIGNY LE CHATEL : Alors que les discussions allaient bon train en préambule de cette journée de travail sur les nuisances occasionnées par la prolifération accrue des corbeaux et des corneilles au-dessus des champs (des espèces considérées par ailleurs comme nuisibles), la cinquantaine d’agriculteurs (céréaliers et éleveurs) invités à cette manifestation devaient se montrer très attentifs aux propos parfois techniques tenus autour de ce double thème, consacré aux semis directs et à l’agriculture de conservation.

Dans la pratique, deux sous-groupes se constitueront au terme de la première journée de mise en route de ce programme didactique qui appellera d’autres rencontres. L’un proposera un cycle complet aux côtés des experts et spécialistes de la question ; l’autre se focalisera plutôt, pour celles et ceux des professionnels ayant déjà quelques connaissances, à des visites approfondies parmi les plaines où le retour d’expérimentation s’effectuera via l’analyse des parcelles servant aux essais.

Comme devait l’expliciter Antonio PERREIRA, technicien expert de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, l’agriculture de conservation des sols et le développement des couverts végétaux (les fameux semis directs) facilitent la reconstitution des agrosystèmes, indispensables à la recherche de la performance des sols.

Mais, avant de parvenir à l’excellence de ces résultats, il s’agira pour le professionnel de faire face à un certain nombre de difficultés notoires, à commencer par la répartition équitable de la paille sur les sols cultivables. Chose peu aisée manifestement avec l’utilisation de machines ayant des grandeurs de coupe très disparates les unes des autres.

Haro contre les campagnols, mais présence bénéfique des vers de terre…

Nonobstant ce point de vue technique, le véritable ennemi, désigné par l’expert de Franche-Comté, n’est autre que le campagnol, petit rongeur extrêmement prolifique qui double sa population tous les deux mois et occasionne de sérieux dégâts parmi les plantations. La seule alternative à cette pullulation de l’espèce se présente sous la forme du travail des sols. Mais, en prenant certaines précautions afin de favoriser la fertilité du terrain. Il est nécessaire de développer l’élevage des précieux vers de terre, auxiliaires indirects de la réussite du développement de ces agrosystèmes si vertueux et bénéfiques à l’optimisation des sols.

« Le poids de vers de terre est un excellent indicateur de la biologie d’un terrain et de sa santé positive, commenta l’expert, il est impératif de préserver cette vie biologique mais cela demande de nombreuses compétences. Car, le système de production doit nourrir tout ce système. Sans le respect de ce processus, ce sera un échec cuisant… ».

Remplacer l’acier par des racines et le fuel par la photosynthèse…

Multipliant les exemples, Antonio PERREIRA s’incriminera contre les effets dévastateurs d’un travail réalisé trop en profondeur dans les sols. Celui-ci doit être appréhendé de manière superficielle avec l’appui du couvert végétal. Même s’il restera toujours à traiter la gestion des mauvaises herbes avec l’aide de produits chimiques tant qu’ils seront autorisés par l’Europe, la rotation des cultures ou la présence des couverts végétaux, pouvant les réduire à néant.

« Aujourd’hui, devait déplorer le représentant de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, 70 % de la destruction des vers de terre est imputable à un travail de sol trop profond induisant l’usage abusif des outils mécanisés… ».

Un autre attrait de l’agriculture de conservation et du développement des couverts végétaux reste le stockage du carbone et de l’azote dans les sols. Un enjeu environnemental essentiel à l’heure du développement durable tous azimuts.

La Politique agricole commune (PAC) européenne encourage l’essor de la pratique des couverts végétaux puisqu’elle s’inscrit dans la démarche des surfaces d’intérêt écologique (SIE). Les textes officiels sont formels : tout agriculteur doit dorénavant posséder  5 % de ses terres en SIE.

« La philosophie de ce concept se veut simple, devait conclure Antonio PERREIRA au terme de son intervention, il est nécessaire désormais de remplacer l’acier et l’abondance d’engins mécaniques par des racines et le fuel trop polluant par l’usage de la photosynthèse. Cela générera aussi de sérieuses économies en matière de consommation énergétique avec la diminution du fuel dépensé au quotidien dans les cultures… ».


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Pour l’heure, et encore en l’état de prototype prêt à inonder le marché planétaire, le devenir de la caisse enregistreuse a été dévoilé par les responsables du leader international dans la conception et la fabrication d’équipements dédiés aux espaces commerciaux. Le concept « BUTTERFLY », révolutionnaire et ergonomique à plus d’un titre, permettra à une opératrice d’assurer la gestion de trois clients de manière simultanée grâce à l’apport de la digitalisation et d’une bonne dose d’ingénierie…

MONETEAU : Fluidifier les files d’attente en responsabilisant de plus en plus le consommateur lors de son passage crucial aux caisses enregistreuses d’une grande surface n’est pas aussi simple à gérer pour le responsable d’un établissement commercial. Pourtant, le processus explicatif présenté par Régis CAO, directeur du marketing du groupe HMY France et de son chef de produits, Mathieu DAUVISSAT, devrait satisfaire à terme les attentes de ces dirigeants d’entreprises de la GMS qui redoutent toujours les heures de pointe, fatidiques au moral des troupes évoluant derrière les caisses.

Une nouvelle machine aux performances déjà éprouvées

Muni de scanner, de systèmes de caméras et d’appareils photographiques intégrés, « BUTTERFLY » ne représente pas l’archétype habituel de la caisse enregistreuse d’autrefois, voire de maintenant. Plusieurs clients peuvent y déposer en symbiose parfaite le contenu de leurs caddies sur un tapis roulant que le consommateur déclenchera lui-même. Les deux tapis se faisant face.

La caisse du futur ne supprime pas la présence de l’opératrice qui peut enregistrer en simultanée les courses qui défilent sous un imposant scanner collectant les précieuses données si utiles pour la salariée : les prix des articles.

Une fois, le premier client évalué grâce à la scrupuleuse vérification de l’appareil numérique, le second peut alors enclencher de manière tactile à partir d’un écran positionné sur l’appareil la piste qui acheminera ses produits sous le scan. Tandis que le troisième client alimentera à son tour la piste laissée vacante par la première personne, qui elle, sera en phase de règlement auprès de l’opératrice.

Pendant que se répète ce processus intelligent, et rapide, celle-ci pourra contrôler les systèmes digitaux de surveillance embarqués à bord de la machine lui permettant de détecter la moindre infraction, notamment le vol des articles, phénomène récurrent en sortie de caisse.

Pourvue d’un design impeccable, la caisse enregistreuse nouvelle génération est aujourd’hui placée dans les starting-blocks, prêtes à être commercialisée sur le marché. Mais, pas n’importe lequel dans un premier temps…

Prioriser la commercialisation vers le marché national

« Nous souhaitons vraiment que ce concept « BUTTERFLY » se démocratise en priorité en France, auprès du réseau des grandes surfaces, avant de le vendre à l’international, explique Régis CAO, en évoquant la future stratégie marketing lié au produit ; plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est (Corée du Sud, Japon…) mais également ceux de l’Amérique du Sud tels que le Brésil et l’Argentine veulent déjà miser sur ce produit et de manière très réactive. Idem de la part de la Turquie ! Or, nous attendons que les professionnels de la grande distribution française se manifestent et affichent leur plus vif intérêt vis-à-vis de notre nouvelle création… ». Ce qui ne saurait tarder puisque mi-novembre, plusieurs d’entre eux auront la faculté de découvrir sur le site de l’Yonne le dernier né de la gamme…

Malgré son appellation anglicisante, « BUTTERFLY » est bien le fruit d’une conception française. Quant à l’investissement consenti pour l’acquisition de ce type d’appareil, il n’est pas négligeable et se situerait dans une fourchette de prix oscillant entre 40 000 et 60 000 euros. La présence des atouts numériques et digitaux faisant l’attrait ultra moderne et sécurisant du produit explique en partie ce coût.

Présent depuis plus de cinquante ans aux côtés des entreprises qu’il accompagne, principalement celles du secteur alimentaire (Carrefour, Auchan…) mais aussi ADIDAS ou VODAFONE, HMY France n’a pas fini de surprendre les observateurs sur sa capacité à innover et à investir pour préserver sa place de numéro un européen sur ce segment très concurrentiel de l’agencement de magasins.

Ce gros faiseur à l’échelle mondiale réalise 500 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel via l’implantation d’une dizaine de sites industriels répartis sur tous les continents sauf l’Afrique. Il emploie plus de 4 000 collaborateurs dont 700 évoluent sur l’un des trois sites de l’Hexagone, celui de Monéteau…


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