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C’est la cinquième manifestation de la sorte. Un véritable cocktail de créativité où les échanges avec les enfants, les parents et les exposants se dégustent sans modération. Proposé avec l’aide du pôle « Femme, Mère, Enfant » du centre hospitalier de Sens, le rendez-vous délivrera moult informations et conseils afin de rassurer parents et grands-parents. En toute convivialité…

 

SENS : Tout savoir sur l’univers de bébé et de la petite enfance. Voilà un évènement familial qui nous revient comme chaque année depuis cinq saisons sous la bannière du club service féminin de Sens, le KIWANIS YCAUNAE. Avec en sus, une action sociale en guise de cerise très altruiste sur le gâteau !

En effet, toutes les recettes obtenues par le biais des entrées – un euro par personne adulte, gratuité pour les enfants – seront reversées au département « Femme, Mère, Enfant » du centre hospitalier de Sens. Un geste de pure solidarité qui sied si bien à cette manifestation à laquelle ce pôle médical spécifique n’est pas étranger puisqu’il y a aussi apporté sa plus-value organisationnelle.

Particularisme curieux, ce rendez-vous est d’ailleurs le seul de la région à se consacrer uniquement à la cause de bébé et de la petite enfance. Ainsi, les visiteurs auront tout le loisir de découvrir une variété éclectique de stands, proposant produits et services destinés aux enfants âgés de zéro à sept ans.

 

 

On y trouvera volontiers parmi les professionnels présents, les spécialistes de la puériculture, de l’accouchement, de la santé, de l’éducation. Des experts délivrant conseils et recommandations…

Côté activités, notons la présence de plusieurs espaces de jeux et des ateliers créatifs – c’est aussi cela la petite enfance ! – tandis que les adultes auront toujours la faculté de pouvoir suivre des conférences ou assister à des séances de démonstration sur des items aussi variés que la nutrition, la sécurité, l’éducation, voire la préparation à l’arrivée d’un nouveau-né. Notons également un espace de détente et relaxation avec massages !

L’endroit destiné à réchauffer les biberons est prévu à l’instar de la zone ouverte à la restauration pour assouvir les appétits des petits comme des plus grands.

 

 

En savoir plus :

Le Salon du Bébé et de la Petite Enfance organisé par le KIWANIS Sens YCAUNAE

Samedi 22 avril 2023 à la salle René Binet à Sens

Le salon est ouvert de 10 à 18 heures et la participation à l’entrée de 1 € (gratuite pour les enfants) intégralement reversée au Département Femme - Mère - Enfant de l’hôpital

 

Thierry BRET

 

 


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Loup y es-tu dans nos campagnes de Bourgogne Franche-Comté ? Visiblement, un peu trop pour les élus régionaux du Rassemblement National. Ils tirent à boulet rouge contre la présence de ce mammifère faisant peur dans les chaumières depuis la nuit des temps. Il est vrai que les agriculteurs en pâtissent puisque plus d’un millier de bêtes ont été les victimes du prédateur entre 2021 et 2022. De là à exiger un débat public lors de la session de juin dans l’hémicycle, il n’y a qu’un pas…de loup à franchir !

 

DIJON (Côte d’Or) : Haro sur une menace réelle et croissante dans nos campagnes qui perturbe les activités agricoles et horrifie de plus en plus les éleveurs d’ovins. Ces derniers comptent les cadavres de leurs malheureuses brebis égorgées après le passage nocturne du loup dans leurs champs.

Le retour en grâce du mammifère dans l’Hexagone est loin d’être apprécié de tous à l’instar de la réimplantation de l’ours dans les Pyrénées. Bien sûr, le milieu de l’agriculture pousse des cris d’orfraie devant l’évidence : le loup n’est pas un animal comme les autres, il tue pour se nourrir et provoque des dégâts parmi les troupeaux, menaçant l’écosystème pastoral. Un milieu agricole qui se met à dos, fort logiquement, la sphère des écologistes et autres défenseurs de la cause animalière…

 

L’impossible cohabitation entre éleveurs de moutons et mangeurs d’ovins !

 

Du côté politique – on aime y chasser en meute aussi pour défendre une idée ou un projet -, c’est le Rassemblement National qui met donc les pieds dans le plat. En l’occurrence par la voix du président de groupe de la Région Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Celui-ci exige des « réponses concrètes » de la part de l’exécutif pour maîtriser enfin la situation.

« Sur la question du loup, explique-t-il dans un communiqué de presse, il y a visiblement un blocage entre les positions idéologiques de la gauche et des écologistes qui croient au miracle de la cohabitation – (celle-là n’est aucunement d’ordre politique !) -, entre les éleveurs de moutons et les mangeurs d’ovins d’un côté, et l’absence de considération du gouvernement pour les éleveurs, de l’autre… ».

 

 

Quand le loup s’invite lors d’un grand débat à l’hémicycle…

 

Constatant que les attaques de la bête – elle n’a pourtant rien à voir avec celle du Gévaudan ! - augmentent ces dernières semaines de manière significative (à Nitry dans l’Yonne mais aussi en Saône-et-Loire, dans le Doubs et de l’autre côté de la frontière helvétique dans le canton de Vaud), le porte-parole du parti mariniste demande à la majorité régionale de prendre enfin ses responsabilités.

« Il est temps de rendre compte de la situation exacte devant les élus régionaux, souligne Julien ODOUL. Le choix clair de la défense de nos éleveurs, de la protection de leurs troupeaux et par conséquent de la mise en place d’une politique de régulation massive du loup dans nos territoires est notre priorité… ».

De ce fait, il réclame un débat public lors de la prochaine session de l’assemblée plénière, prévue en juin.

« Il est temps d’évoquer les conséquences économiques et sociales subies par les éleveurs de la région après autant de dévastations, ajoute le numéro cinq du Rassemblement National. Et surtout d’envisager quelles mesures sont à prendre pour lutter efficacement contre ce prédateur… ».

 

 

La nomination d’un médiateur « grands prédateurs » est insuffisante…

 

Arguant que depuis plusieurs mois, les éleveurs et la Chambre régionale d’Agriculture alertent les pouvoirs publics, les préfets et le Conseil régional sans réelle réponse coordonnée et concrète face à la recrudescence de ces attaques multiples, Julien ODOUL tel un « loup aux dents longues » pointe du doigt la responsabilité de l’exécutif. Celui-ci est selon lui, trop inféodé à ses alliés écologistes et incapable de prendre les mesures nécessaires en faveur des éleveurs et de leurs intérêts animaliers.

« La seule action régionale faisant office de réponse est de financer aujourd’hui un médiateur « grands prédateurs » : mais cela ne suffit pas… ».

Bref, le loup tient donc la vedette en ce mois d’avril dans les alcôves de la politique régionale. En sera-t-il la tête d’affiche en juin à la Région lors de débats que l’on suppose animés, nul ne le sait encore à l’heure où se rédigent ces lignes !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il est résolument optimiste, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Vincent MARTIN se satisfait de la labellisation du premier pôle de compétitivité concernant son secteur d’activité. Un sésame, ô combien précieux on s’en doute, ayant vu le jour fin mars. Se profile ainsi la perspective de belles opportunités sur ce pan crucial de l’économie. A condition que les collectivités reprennent leur politique volontariste au niveau des investissements.

 

BESANCON (Doubs) : Les indicateurs seraient-ils dans le vert chez les professionnels des travaux publics ? En tout cas, quelques bonnes nouvelles égayent le moral de leur porte-parole officiel dans la région, à savoir le président de la FRTP, Vincent MARTIN.

La première d’entre elles, concerne la labellisation du premier pôle de compétitivité inhérent au secteur d’activité. Un coup de pouce des plus sympathiques qui est survenu en mars dernier et qui a été vécu avec beaucoup de fierté de la part des dirigeants de l’entité régionale puisque l’association « ECORCE TP » – véritable pilier d’une économie en faveur du développement durable tant au niveau de sa réflexion et de sa conception jusqu’à l’exploitation des ouvrages – est précisément membre fondateur de ce pôle.

 

Des outils lancés par le gouvernement pour répondre aux attentes…

 

La seconde, provient de la représentation étatique et de la mise en exergue de plusieurs dispositifs visant à maintenir la capacité d’investissement des collectivités locales, qui comme chacun sait demeure le nerf de la guerre via la commande publique pour tout entrepreneur des TP qui se respecte !

Malgré un contexte conjoncturel on ne peut plus délicat et tourmenté – c’est le moins qu’on puisse dire ! -, les collectivités locales ont reçu des messages limpides et forts de la part de l’Etat qui leur donne des moyens de maintenir la pression sur leurs nécessaires investissements.

Noms de code de ces outils mis à disposition des élus et de leurs services techniques : la DETR (dotation d’équipement aux territoires ruraux), la DSIL (dotation de soutien à l’investissement local) ou encore le Fonds Vert dont se fait écho lors de tous ses déplacements dans les huit zones départementales de notre contrée, le préfet de Région Franck ROBINE.

 

 

Des retombées tangibles pour les acteurs de la filière BTP…

 

En sus et en guise de cerise juteuse sur le gâteau, l’Etat a annoncé la hausse de 320 millions d’euros de la dotation globale de fonctionnement. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, il est bon de rappeler que l’augmentation de l’ordre de 290 millions d’euros de l’effort de péréquation n’est pas un vœu pieu. Elle s’applique favorablement aux projets des territoires ruraux.

Autant d’éléments positifs – et c’est suffisamment rare pour les signaler ! – dont s’abreuve sans modération un Vincent MARTIN confiant pour la suite des opérations. L’équation est donc très simple : si les collectivités ont les moyens financiers et les coudées franches pour mener à bien leurs projets d’investissements structurels, c’est autant de retombées économiques palpables à mettre au profit des entreprises de travaux publics et du bâtiment qui en réaliseraient les chantiers !

Un deal astucieux et logique du rapport gagnant-gagnant dans toute sa splendeur qui existe entre ces deux mondes qui n’en font plus qu’un si toutes les conditions collaboratives sont réunies, sous le sceau du partenariat…

 

Thierry BRET

 


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L’amour de la gastronomie et de ses valeurs est un fil d’Ariane qu’ils ont en commun. Depuis 2015, l’enseigne METRO et le référent des arts de vivre à la française, le guide MICHELIN, se distinguent lors de cérémonies où se remettent les fameuses plaques au coloris rouge vif à la toque, nouvellement étoilée ou ayant su faire perdurer cette honorifique distinction. En témoigne le rituel vécu dimanche soir au Domaine de RONCEMAY par le chef Patrick GAUTHIER (« La Madeleine »)…

 

DOMAINE DE RONCEMAY : Emu, le chef de « La Madeleine » ? Sans aucun doute. En tout cas, il était profondément satisfait de se retrouver en pareille circonstance pour recevoir des mains de la direction de la Halle de METRO Auxerre cette glorieuse distinction, la plaque au coloris vermillon rappelant son étoile qui a été obtenue cette année encore, dans le fameux petit guide rouge au célébrissime patronyme universel, c’est-à-dire « Michelin ».

Un Patrick GAUTHIER qui malgré les trente ans d’exercice dans le métier qu’il affectionne tant ne cachait pas sa joie de recevoir de la part de Philippe BULANT, directeur de l’enseigne auxerroise, ce glorieux sésame à poser en devanture de la façade de l’établissement sénonais. Le restaurant « La Madeleine » a gagné cette année encore – le contraire eut été surprenant – les louanges des inspecteurs du fameux guide qui fait la pluie et le beau temps dans le sérail de la gastronomie française depuis des lustres.

 

La recherche des bons produits : le dénominateur commun…

 

Même s’il est étoilé depuis trois décennies maintenant, Patrick GAUTHIER a reçu sa plaque commémorative, dans le charmant cadre du Domaine de RONCEMAY – il sera accueilli par Thierry GARRET hôte de ces lieux -, avec toujours autant de plaisir à l’identique de celle obtenue au premier jour. Une distinction qu’il a partagée en présence de plusieurs membres de ses équipes, dont la cheffe du « Crieur de Vin », la dynamique Cécile PUECHBROUSSOUX, mais aussi les collaborateurs de METRO Auxerre, réunis autour de leur directeur, Philippe BULANT ; ce dernier devant mettre le cap, à partir du 02 mai, vers la Savoie pour y reprendre la destinée de la halle d’Albertville.

 

 

« On a tous un point commun, soulignera le chef de Sens, c’est la recherche permanente des bons produits et la découverte de ces ingrédients à travailler avec respect jusqu’au fond de l’assiette… ».

Quant à la remise collective avec l’ensemble des chefs étoilés du quart Grand-Est de l’Hexagone, assurée par MICHELIN, elle s’effectuera à Reims le 22 mai dans l’une des tables de prestige de la capitale de la Champagne, chez « LALLEMAND ». On devrait y retrouver les deux autres détenteurs icaunais de ces étoiles, « La Côte Saint-Jacques » (double étoile) et le Château de Vault-de-Lugny.

 

Thierry BRET

 

 


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Seul en scène, guitare acoustique à la main, le vieux barde de l’Yonne, défenseur de la grande chanson hexagonale, poussera de sa voix grave et rocailleuse le public vers ses ultimes retranchements, empreints de nostalgie, en l’écoutant interpréter une vingtaine de chansons du répertoire de l’auteur de « Nuit et Brouillard ». Une balade au gré des airs connus et méconnus du chanteur décédé il y a treize ans lors de deux récitals uniques. Son « Ferrat » à lui revisité, à en perdre la raison…

 

CERISIERS: Peut-être, depuis la terre ardéchoise (Antraigues-sur-Volane) où il est inhumé depuis maintenant treize ans, observera-t-il la moustache frissonnante avec une certaine délectation cette nouvelle initiative artistique du troubadour de l’Yonne, faisant honneur à ses chansons ? Ou peut-être pas ! Question de croyance à dire vrai !

Quoi qu’il en soit, l’auteur et interprète de « La Montagne » est un chanteur qui indubitablement aura compté et compte toujours pour notre Gérard-André départemental, qui ne cesse d’année en année d’évoquer sa mémoire en chansons et de réveiller nos souvenirs les plus lointains lors de tours de chant dont il a le secret, assuré avec maestria et gentillesse, accueillant les mélomanes les plus avertis…

Il en sera sans doute de même ce week-end à Cerisiers à la Ferme du Fays. Un endroit propice aux retrouvailles culturelles de belle facture.

Se présentant en solo sur la scène, accompagné de son fidèle instrument – sa guitare sèche qui lui donne le tempo et la rythmique -, sans doute affublé de sa fameuse tenue chemise rouge et gilet noir, Gérard-André réalisera encore des prouesses vocales - à faire pâlir les jeunes pousses issues de certaines émissions audiovisuelles qui s’inventent de « futurs » et surtout éphémères talents ! – en enchaînant des titres inoubliables issus du répertoire éclectique et onirique de Jean FERRAT. Il y aura aussi en ces heures sombres où le combat social refait surface à la une de l’actualité des morceaux plus engagés et humanistes.

 

Des airs incontournables et des morceaux moins connus…

 

Ainsi, le set proposé lors de ces deux concerts devrait comprendre « Potemkine », « Comprendre », « Je vous aime », « Ma France », « Une femme honnête », « Maria », l’inusable « Nuit et Brouillard », « Berceuse », « Pauvre Boris », « On ne voit pas le temps passer »…

C’est la vie quotidienne de la société française du vingtième siècle qui est dépeinte ici avec subtilité à travers ces textes, mais aussi des personnages, des artistes et des évènements qui ont marqué ce siècle...

Les puristes retrouveront les grands poèmes de Louis ARAGON, mis en musique par Jean FERRAT, qui feront également partie de cette création : « Les poètes », « Que serais-je sans toi ? », « J'entends, j'entends », « Heureux celui qui meurt d'aimer », « Aimer à perdre la raison »… Dans cette nouvelle version de son récital, Gérard-André intègre aussi d’autres chansons dont « Y aurait-il » de l’Icaunais Pierre LOUKI et « Ma Môme ».

On saluera aussi le travail de l’arrangeur, compositeur, pianiste et chef d’orchestre, Patrick VASORI qui collabore avec Gérard-André de longue date. Les bandes enregistrées l’attesteront : c’est du bel ouvrage.

 

 

En savoir plus :

 

« FERRAT à perdre la raison »

Une création de Gérard-André

De ce que j’ai vécu à ce que j’imagine.

Titre d’origine du spectacle créé à Paris en mars 2006.

Samedi 15 avril à 20h30 et dimanche 16 avril à 15h30 :

À la Ferme du Fays,

Cerisiers

9, chemin de Dilo 89320

Réservation des places, par e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. // par tel : 03.86.47.28.16

Participation aux frais : libre

 

Thierry BRET

 


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