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Les célébrations du 14 juillet auront servi de judicieux prétexte à l’antenne icaunaise de l’Oeuvre nationale du Bleuet de France de présenter sa nouvelle exposition temporaire dans le hall du marché couvert, place de l’Arquebuse. Ce fut aussi une belle opportunité pour son responsable départemental Georges GINER de recueillir quelques dons supplémentaires pour une noble cause…

AUXERRE: Rattaché au ministère des Armées, le Bleuet de France ne pouvait manquer pareille occasion de commémorer à sa manière les célébrations de la Fête Nationale lundi 13 juillet dans la capitale de l’Yonne. En y exposant une quinzaine de panneaux explicatifs sur le devoir de mémoire et le soutien aux anciens combattants, tous conflits confondus.

Avec près d’1,3 million d’euros de dons récoltés en 2017 (un million d’euros en 2019), l’œuvre nationale consacre 58 % de ces subsides aux actions sociales envers celles et ceux qui assurent notre défense sur tous les théâtres d’opération de la planète. 25 % de ces collectes sont consacrées aux actions mémorielles et 17 % à la promotion de l’œuvre.

 

 

 

 

A l’échelle de notre territoire, les rentrées de fonds sont certes plus modestes. Mais, elles ont le mérite d’exister et de renflouer les caisses lors des collectes réalisées les 08 mai et 11 novembre. Les gains s’élèvent en moyenne à 17 000 euros.

Sauf en 2018 où plus de 21 000 euros furent perçus. De quoi satisfaire pleinement le directeur départemental de la structure, Georges GINER.

Parmi les missions de l’entité qui n’est pas associative, citons la solidarité et la transmission de la mémoire. Les actions concernent les victimes de guerre ou d’attentats (une nouvelle catégorie de personnes à prendre en compte), les veuves des militaires ainsi que les pupilles de la Nation.

 

 

 

En savoir plus :

On peut effectuer des dons afin de recevoir son signe distinctif (le bleuet) sur le site www.bleuetdefrance.fr.

 

 


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Le viager mutualisé représente une réelle opportunité pour certains seniors. Ils font face à un contexte économique et social qui se dégrade de plus en plus. La baisse des retraites et les coûts du maintien à domicile, associés à l’augmentation de la durée de vie, voire additionnés à une inflation à la hausse dans les mois à venir explique cette situation délicate. Situation qui périclite pour celles et ceux qui possèdent des cheveux blancs !

TRIBUNE: A partir de ces constats, et surtout sur le fait que 74 % des retraités français sont propriétaires de leur résidence, Eric GUILLAUME, expert immobilier, crée le concept de viager mutualisé en 2019. Ce système de vente permet de céder un bien immobilier sur le long terme.

Il s’agit de transformer le bien en une rente annuelle et viagère tout en pouvant, en général, continuer à habiter son logement sans avoir d’obligation de déménagement. La vente se fait en deux étapes distinctes : après avoir effectué une estimation du bien combiné à un calcul basé sur l’âge et l’état de santé du ou des vendeurs.

Ce calcul permet d’estimer la durée du paiement des rentes mensuelles, trimestrielles ou annuelles. Lors de la signature, une première somme (le bouquet) est versée par les acheteurs (crédirentiers) aux vendeurs (débirentiers). Le reste de l’estimation est alors versé par rentes aux vendeurs.

A titre d’exemple, à Paris, il devient très difficile d’investir. D’une part, parce que le prix de l’immobilier augmente toujours. D’autre part, parce que le montant des apports personnels est de plus en plus important.

Le viager est donc un moyen de pouvoir investir sans avoir besoin d’être en possession d’une somme trop élevée. En outre, il perd de sa valeur depuis quelques années en France. Mais, une nouvelle forme de viager est apparue. Elle offre un moyen de lutter contre la baisse de son intérêt en offrant la certitude de toucher l’intégralité de la valeur du bien. Il s’agit du viager mutualisé. Un procédé  proche du viager de gré à gré à la différence que les investisseurs sont désormais des institutionnels de renom.

 

Un système lié à la longévité du vendeur…

 

Acheteurs et vendeurs ne se connaissent pas physiquement. Ce nouveau système ressemble plus à une solution technique entérinée par des experts qu’à un pari sur la mort, signé dans un viager classique. Sur ce nouveau marché constitué par le viager mutualisé, nous avons trois acteurs : le vendeur qui souhaite habiter sa résidence tout en augmentant ses revenus, l’acquéreur et une personne morale (compagnie d’assurances, caisses de retraite, Caisse des Dépôts, SCI…).

L’acquéreur souhaite diversifier la gestion de ses actifs. Les épargnants sont intéressés par l’acquisition de parts vendues par les sociétés qui achètent de l’immobilier sous la forme de viager mutualisé. Ce type de placement correspond à une recherche de rentabilité sous forme de plus-value à long terme.

Le risque de longévité du vendeur est mutualisé et neutralisé par la multiplication des acquisitions. L’effet volume lisse la performance dans la durée pour les acquéreurs. Nous avons tous en mémoire celle qui fut la doyenne de l’Humanité : Jeanne CALMENT. Elle vendit sa propriété en viager, à l’âge de 90 ans, à un notaire  qui pensait faire une bonne affaire ! Le problème pour l’acquéreur, c’est qu’elle décéda à l’âge de 122 ans et que le fils du notaire, dû régler la rente pendant de nombreuses années après le décès de son père…

Dans le cadre d’une vente en viager classique, on se réfère à un tableau des âges afin de déterminer le montant de la rente à verser. Le capital à verser, appelé bouquet, n’est pas obligatoire. Pour la vente en viager mutualisé, on définit un prix de vente qui correspond au prix du marché. Ensuite, on répartit le prix entre versement d’un capital de départ et le montant de la rente. C’est le principe « gagnant-gagnant ». Le vendeur récupérera le prix de vente estimé.  Dans un viager mutualisé, le bien est démembré : l’acquéreur est nu-propriétaire. Il paie les gros travaux et les taxes foncières, tandis que le vendeur est usufruitier. 

Il existe une autre variante des ventes en viager : c’est la vente à terme. Cette  forme de vente immobilière offre à l’acquéreur le moyen de payer le bien au vendeur de façon progressive et limitée dans le temps. Le viager classique fait peu d’émules. Retenons que si le vendeur décède dans les vingt jours qui suivent la signature, la vente est annulée.

 

Les principes de la vente à terme…

 

Contrairement à ce que l’on pourrait croire quand on lit le terme « vente à terme », l’acquéreur devient le propriétaire du bien le jour de la vente. Dans ce cas présent, c’est le paiement qui est à terme. C’est-à-dire que la durée de paiement du bien est déterminée et finie. Il s’agit donc bien d’une vente à effet immédiat. Le changement de propriétaire est effectif chez le notaire. Les impôts et les charges du propriétaire sont bien transférés à l’acheteur. Bien entendu, si l’acheteur n’honorait pas le contrat de vente à terme, alors le vendeur engagerait une procédure judiciaire de résolution de la vente pour annuler la transaction.

En fait, la vente à terme est à considérer comme un crédit vendeur. Ce dernier permet à l’acheteur d’acquérir à crédit son bien immobilier, en lui payant directement les mensualités plutôt qu’à une banque. L’acheteur fait donc l’économie de frais de dossier et des intérêts bancaires pour investir dans l’immobilier.

 

La vente à terme en viager

 

La vente à terme pour le viager offre une solution adéquate pour les vendeurs trop jeunes. En effet, en raison de leur jeunesse (âge inférieur à 70 ans), leur espérance de vie est beaucoup trop importante pour en tirer une rente correcte. De plus, l’hypothèse de vie statistique (vingt-quatre années pour un homme de 59 ans ou vingt-quatre années pour une femme de 65 ans) décourage les acheteurs d’investir dans des viagers avec des vendeurs trop jeunes. Personne ne peut se projeter sur une durée d’investissement supérieure à 25 ans.

 

 

Un viager sans aléa ?

 

La vente à terme en viager permet donc de limiter le paiement sur une période bien définie à l’avance (10, 12 ou 15 ans par exemple). Celle-ci ne dépend plus de l’âge du vendeur, ce qui permet à l’acheteur de payer son acquisition de manière planifiée et sûre. Le risque d’un paiement excessif du viager à cause d’une longévité exceptionnelle du vendeur est ainsi supprimé.

Toutefois, une incertitude demeure : celle de la date de la libération du bien par le vendeur. Ce dernier peut quitter le logement avant le terme des paiements, mais aussi bien après. En effet, l’échéancier de paiements est fixé au départ mais la date de jouissance du bien par l’acquéreur n’est pas connue. Dans le viager à terme, le vendeur bénéficie de son droit d’usage et d’habitation à vie. S’il libère le logement avant le terme du paiement alors la mensualité doit être valorisée à la hausse.

 

Les paiements de la vente à terme

 

Contrairement à un viager occupé, pour lequel le paiement de la rente s’éteint au décès du vendeur, le viager à terme requiert un paiement certain des arrérages. Autrement dit, si le vendeur décède avant la fin de la période de paiement, l’acheteur doit continuer de payer les mensualités aux héritiers.
Il ne peut donc pas avoir de plus-value avec un décès rapide du vendeur. Ce qui a l’avantage de libérer certains acheteurs de quelques problèmes de conscience sur l’achat en viager.

Pour le vendeur, l’intérêt de la vente à terme réside aussi dans le fait que les mensualités de paiement ne sont pas imposables. Contrairement à une rente viagère, l’administration ne compte pas ces paiements comme des revenus fonciers.

Enfin, pour la vente à terme, il est requis une valorisation annuelle des mensualités sur un indice défini au départ du contrat. Généralement, l’indice de la construction est préconisé dans la vente à terme. Mais les parties sont libres d’en choisir un autre. La vente à terme permet à un acquéreur de suivre une stratégie d’investissement immobilier de façon progressive sans recourir au système bancaire. Au final, la vente à terme en viager est un placement tranquille pour se constituer un patrimoine pour sa retraite ou pour le transmettre à ses enfants.

En conclusion, face à un marché du viager peu attractif (1 % des transactions immobilières), à un nombre de retraités croissants (estimé à 20 millions en 2030) et à des besoins d’épargne en augmentation, il devient important de proposer des alternatives attractives pour des vendeurs, des acheteurs et des épargnants. Le viager mutualisé permet aussi de simplifier les dispositions successorales. Si vous vous sentez concernés par la vente à terme ou le viager mutualisé, il est impératif de consulter votre notaire qui vous conseillera au mieux de vos intérêts.

« Je me suis marié en viager. Comme ça si l'un de nous deux meurt, le cœur de celui qui part appartiendra à celui qui reste ! ». Patrick SEBASTIEN.

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Les centres équestres représentent une filière extrêmement stratégique du secteur du tourisme et de l’hébergement dans l’Yonne. Certains de ces établissements ont choisi de reprendre leurs activités le 04 juillet, favorisant ainsi l’accueil de petits groupes d’enfants qui ont repris goût à la sociabilité en s’immergeant en milieu naturel au contact des animaux. Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST s’est dit très attaché et attentif à la reprise de ces occupations de loisirs…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Dans le sabir officiel de la chose administrative, un centre équestre intègre la catégorie des centres d’accueil collectif pour mineurs. Une identification plus connue sous l’acronyme d’ACM.

C’est précisément dans l’un d’entre eux, le Cirque équestre de COCICO au cœur de la Puisaye, que le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avait choisi de se rendre à quelques encablures de la sacro-sainte date de reprise des activités publiques. Soit le 04 juillet.

Et ce, après plusieurs semaines d’inertie imputables à la propagation d’une épidémie de coronavirus qui laissera de douloureux stigmates tant au niveau économique qu’humain.

En marge d’échanges nourris et forts constructifs avec plusieurs responsables de ces centres répartis en Puisaye (cf : à lire le futur article sur ce sujet), le représentant de l’Etat, accompagné de Pascal LAGARDE, de la direction départementale de Jeunesse et Sports, aura pris soin de découvrir dans ses moindres recoins le magnifique complexe qui s’étend sur une propriété de trente hectares.

Celle de Charles GOMME, membre de la quatrième génération d’une structure familiale qui préside à la destinée de ce lieu haut de loisirs avec enthousiasme depuis si longtemps.

 

 

Un mix réussi entre les arts équestres et ceux du cirque  

   

Séduit par le cadre enchanteur de l’ancien corps de ferme transformé en lieu de vie et d’hébergement au service de l’enfance, Henri PREVOST devait ressentir l’atmosphère particulière de cet endroit si tranquille au cœur de la campagne. Celui que les petits occupants de l’été mais aussi des vacances scolaires qualifient de « magique ».

Première curiosité lorsque l’on y pénètre : la vision insolite d’un grand chapiteau aux coloris jaune et bleu. Le Centre équestre de COCICO n’est pas un endroit ordinaire.

Il y accueille les arts du cirque où les jeunes têtes blondes suivent avec passion l’initiation à la jonglerie, au rôle de clown, aux arts circassiens dans leur ensemble. Chaque année, les férus de trampoline, de voltige équestre et autres exercices d’équilibristes donnent un spectacle final devant leurs parents en présence du onsieur Loyal local qui anime ce rendez-vous ludique.

Seconde surprise : la reconfiguration de cette ancienne exploitation agricole, totalement repensée (et ce depuis 1986) en un lieu d’accueil pédagogique extraordinaire. Il est révolu le temps où la ferme produisait le lait issu de son cheptel.

Plus loin, ce sont les poneys et les chevaux (une cinquantaine de ces animaux sont accueillis dans le centre) qui attendent la petite délégation officielle. Le préfet de l’Yonne rayonne : lui qui adore les équidés.

 

 

Des conditions d’accueil qui garantissent la sécurité…

 

Le préfet s’écarte un bref instant de ses interlocuteurs pour délivrer une petite caresse à l’une des juments qui patiente. Il mesure alors toute l’importance de rasséréner les professionnels de la filière équestre qui éprouvent de sérieuses difficultés depuis de si longues semaines.

Quelques photographies plus tard, et voilà le haut fonctionnaire qui pénètre allègrement avec ce plaisir insatiable d’en savoir davantage à l’intérieur de l’une des roulottes typiques recevant d’ordinaire la visite des juniors. Celles et ceux de ces gamins qui y vivront un séjour épanouissant et inoubliable.

COCICO possède une capacité d’accueil de 130 enfants, âgés de six à seize ans. Bref : c’est la colonie de vacances rêvée pour des gosses ayant soif de grands espaces et friands de belles aventures !

 

 

 

Oui mais voilà, cet été, les choses se gèrent différemment. Au grand dam des propriétaires de cet endroit magique. Les centres équestres ont été particulièrement affectés par la crise sanitaire. De fortes incertitudes planent toujours au-dessus des épaules de leurs responsables quant à la réelle fréquentation estivale et surtout celle de l’arrière-saison.

Charles GOMME expliquera en substance au préfet que les centres peuvent redémarrer leurs activités dans de bonnes conditions. Les protocoles sanitaires y sont exigeants. La sécurité du jeune public, garantie.

Le préfet demeure à l’écoute des professionnels de cette filière. Quant aux enfants qui sont revenus depuis la crise en ces murs : ils en redemandent. Pour que ce cadre champêtre calme et verdoyant leur procure des sensations à jamais ancrées dans leur mémoire…La magie du cirque et du cheval fait oublier toute le reste !

 

 


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Comprendre et investir autour des crypto-monnaies. Tel est le fil d’Ariane qui servira de trame conductrice aux cinq cogérants de la société MUGI le 23 juillet lors d’une conférence sur cet écosystème financier. Le rendez-vous fera aussi la part belle aux projets de la start-up 100 % made in Yonne soutenue par les grands faiseurs institutionnels de notre territoire…

AUXERRE : Vous souhaitez en connaître davantage sur ces phénomènes monétaires qui éclosent un peu partout à travers la planète depuis…1998 ? Ils ont pour nom les crypto-monnaies et les blockchains. Des locutions un tantinet hermétique pour le commun des mortels qui peuvent paraître pour certains décideurs économiques aux antipodes de leurs préoccupations journalières. Et pourtant !

L’émergence de ces écosystèmes est tangible et ne cesse de s’accroître. Les cinq cogérants de la jeune start-up icaunaise, MUGI, en donneront des preuves palpables lors d’une causerie, concoctée par leurs soins à l’hôtel Normandie, au soir du 23 juillet.

En présence d’un public qu’ils espèrent nombreux et participatifs, Mickaël CHAPOTIN, expert-comptable et responsable financier, Raphaël CHAPOTIN, expert en administration des réseaux et du développement, Maxime CHERY, entrepreneur dans le domaine du numérique et spécialiste de blockchain, Fanny VIAUT, gérante de la société COMMUNIK & VOUS, spécialiste de communication, réseaux sociaux et de marketing et Alexandre TEINTURIER, responsable d’études stratégiques en innovation et développement segmenteront le contenu de leurs interventions en deux temps forts.

Le premier concernera la pose de jalons pédagogiques auprès de l’assistance afin de présenter cet  univers spécifique avec transparence et soucis de vulgarisation. Le second s’articulera sur le projet d’investissement de la société MUGI, apparue dans le landerneau de l’entreprenariat à l’automne 2019.

La structure propose des solutions d’investissement clé en main dans ces actifs numériques.

 

 

Une levée de fonds et une infrastructure flambant neuve en 2020…

 

En prodiguant ses conseils auprès de prospects qui ne savent pas comment s’y prendre. La marque utilisée à ce titre pour ces opérations se nomme MELIS INVEST SAS. Son président n’est autre que Francis MOREAU, conseil en développement et l’un des créateurs de KUB, « Kick Up Business ».

Par le biais de cet organe qui privilégie la recherche d’investisseurs, ce dernier a pu mobiliser la présence de treize actionnaires autour de ce concept innovant.

MUGI a également connu une levée de fonds à hauteur de 250 000 euros au début de l’année. Des subsides qui lui auront permis de démarrer la première phase de son projet en cours de déploiement.

Bénéficiant de solides partenaires (la Région BFC, BPI France, l’AER, agence économique régionale, la French Touch mais également la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et KUB), MUGI s’installera dans de flamboyants locaux construits sur une parcelle de deux mille mètres carrés à Toucy.

Les travaux se finaliseront durant cet été. Avant un probable emménagement prévu à l’automne prochain, sans doute en octobre…

 

En savoir plus :

Conférence les crypto-monnaies : comprendre et investir

Le jeudi 23 juillet 2020 de 19h00 à 20h30

Hôtel Normandie à Auxerre

41 Boulevard Vauban

Renseignements auprès du 06.85.14.84.19 et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


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Le Conseil départemental de l’Yonne n’est pas insensible aux difficultés financières que rencontre le monde associatif au sortir de cette crise unique en son genre. Bien au contraire, l’organe institutionnel vient de mobiliser près de 330 000 euros pour alimenter un fonds global de 814 000 euros destinés aux seules associations employeuses…

AUXERRE : Un euro par habitant. Soit une enveloppe totale de 330 000 euros. La somme alimente le fonds d’avances remboursables gérées par France Active dans le cadre du plan d’actions voulu par le Département de l’Yonne. Ce plan a pour objectif de soutenir les associations qui comptent au moins un salarié.

Fonctionnel depuis peu, ce dispositif suppose une demande d’inscription par les structures intéressées. Il suffit de parcourir le site de Bourgogne Active et d’y remplir les documents adéquats. Les demandeurs sont alors recontactés sous un délai de cinq jours. Ils se voient proposer un accompagnement adapté à leur situation. Sous réserve de certaines conditions (notamment la complétude du dossier), les aides parviennent à leurs destinataires sous quinzaine.

 

Ne laisser personne sur le bord du chemin…

 

De la culture à l’insertion, du sport aux services à la personne, du handicap à l’éducation populaire : tous les secteurs d’activités sont ainsi concernés par ce geste altruiste. Le but étant de ne laisser aucune de ces entités au bord du chemin.

L’initiative résulte du plan d’actions de dix millions d’euros validé le 03 juillet lors de la session de l’assemblée départementale.

Rappelons que le Département a intégré le Fonds de soutien créé spécifiquement avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté et la Banque des Territoires pour subvenir aux besoins des associations icaunaises comptant au moins un salarié.

 

 

 


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