Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Atteindre un développement économique qui satisfasse l’ensemble du territoire. Tel un leitmotiv lancinant dont il ne se départira jamais durant sa longue intervention à la tribune des vœux, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, s’est livré à un exercice oratoire formulé comme un inventaire à la Prévert pour énoncer le bilan et les perspectives de son action. Ainsi que celle de son équipe au cours d’une cérémonie à laquelle assistait le Secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE. La structuration de cette zone territoriale à fort potentiel touristique et culturel se poursuivra en 2019, avec de réelles ambitions…

MEZILLES : Primo, les chiffres. Eléments ô combien nécessaires pour présenter la topographie du décor. Celui de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre qui comprend à l’aune de 2019, 36 000 habitants, 57 localités et plus d’une centaine d’agents professionnels au service d’une population rurale et éclectique.

Secundo, la verve. Celle d’un orateur qui joue parfois de quelques bons mots en apostrophant aimablement l’un des élus présents parmi l’assistance et qui excelle dans cet art de l’exercice verbal, propre à l’avocat d’affaires qu’il était, il y a peu encore, dans le monde professionnel.

Habitué à la prise de parole facile et aux plaidoiries, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI aura tenu le cap de ses idées et réflexions construites à l’énoncé d’un bilan qui résumait le fil  de l’année antérieure.

Enumérant point par point, chacune des lignes de ce copieux récapitulatif, l’élu Icaunais aura su faire toute la lumière sur les dossiers en cours. Ceux émergeant en 2018 qui se prorogeront de facto en 2019.

Le projet de piscine couverte de Toucy en guise de hors d’œuvre…

L’édile de Moulin sur Ouanne ouvrait cette présentation détaillée par le volet touristique. Logique, cet item représente l’un des fondements essentiels de l’attractivité de ce territoire qui accueille le site, universellement connu, de GUEDELON. Hasard du calendrier, l’art cinématographique propose la sortie dans les salles d’un long-métrage retraçant les péripéties aventureuses d’une enfant du pays, Colette.

Mais, il n’était ni question de littérature ni de poésie dans la bouche du président SAULNIER-ARRIGHI. Même s’il empruntait à Jacques PREVET, sa fameuse formulation orale pour dérouler son exposé.

La création d’une piscine couverte intercommunale à Toucy fut l’entame de ce discours fleuve. La CC a obtenu des accords de financement de la part de la CNDS (Centre national du développement du sport)  700 000 euros, la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux) 100 000 euros ou la DSIL (Dotation de soutien à l’investissement local) 100 000 euros. Sachant que la Région injectera une enveloppe globale de 600 000 euros, soit la moitié de la somme au titre du contrat de territoire et son équivalence au titre de fonds sectoriels destinés au sport. Il restera à charge pour la commune de Toucy de s’acquitter d’un montant de 700 000 euros.

Interpellant le ministre Jean-Baptiste LEMOYNE, assis au premier rang, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI espère aussi un geste financier conséquent du FNADT. En effet, le fonds national d’aménagement et du développement des territoires a été sollicité à hauteur du million d’euros.

Toutefois, le président communautaire a prévenu que le projet pourrait tourner court si le taux de 40 % de subvention n’était pas atteint pour financer l’équipement.

Sur le volet touristique, l’intervenant se félicita de la solution de reprise de l’infrastructure hôtelière de Saint-Fargeau. « Le Petit Saint-Jean » accueillera de nouveaux pensionnaires dès cette saison. Deux autres projets ont reçu la bénédiction financière de la communauté : l’hôtel-restaurant de Villiers Saint-Benoît et le concept ECOLODGE de Beauregard à Treigny.

L’aménagement de chemins touristiques entre Briare et la Puisaye, chantier mené avec VNF (Voies navigables de France) se poursuivra en 2019. Une étude portant sur l’opportunité de promouvoir la filière des métiers d’art, autour de l’EMA CNIFOP de Saint-Amand-en-Puisaye, est en phase de réalisation. Enfin, un « Pass Musée », portant sur cinq sites du territoire, élargit l’offre culturelle. De quoi ravir l’Office du tourisme qui recevra une nouvelle subvention de près de 395 000 euros cette année, à l’identique de l’exercice antérieur.

L’économie : un axe stratégique prioritaire…

Ayant procédé au recrutement d’un chargé de développement économique en 2018, la CC Puisaye-Forterre entend bien optimiser ce secteur prégnant de la réalité quotidienne. D’ailleurs, le diagnostic est plutôt positif sur les neuf zones d’activités que compte le territoire. Avec, vingt-cinq entités qui profitent à ce jour, par le biais de la location, de bâtiments fonctionnels à leur essor.

Adhérent depuis quelques mois à l’établissement public foncier de la Bourgogne Franche-Comté, l’organe communautaire a mis en place de l’aide à l’immobilier et soutenu, notamment, deux entreprises locales dans ce registre : APIC Design à Saint-Fargeau et les poteries NORMAND à Saint-Amand-en-Puisaye.

Reste le délicat dossier de l’ENVA (Ecole nationale vétérinaire) de Champignelles. « Nous avons pris ce sujet à bras le corps, clame l’orateur devant la foule attentive, la CC a été chargée du pilotage de la reconversion du site puisque le Conseil d’administration de l’école de Maisons-Alfort a opté pour sa fermeture à l’été 2020… ».

A l’heure où sont rédigées ces lignes, deux projets de reprise sont en cours d’examen par ledit comité de pilotage sous l’autorité préfectorale.

milieu articles

Numérique et développement durable : la poursuite des programmes…

Au niveau du déploiement des nouvelles technologies, l’élu de Puisaye-Forterre a listé les communes ayant profité de la poursuite de la montée en débit avec le concours des Départements de l’Yonne et de la Nièvre (Parly, Leugny, Diges…). La fibre optique apparaîtra dans les trois premières communes de la zone en 2020 : Villiers, Toucy et Dracy.

Quant à la téléphonie mobile, les opérations de finalisation des zones blanches dans les bourgs continueront dès ce premier trimestre avec la pose de nouveaux pylônes avant les prémices de la saison touristique.

Pourvue d’une enveloppe globale d’1,25 million d’euros-la résultante de la validation du contrat de territoire signé avec la Région en 2018-, la CC priorisera la transition énergétique et écologique, l’un des référents majeurs de la politique territoriale.

Les axes de ce développement s’articuleront autour de TEpos (une trentaine d’animations la saison dernière autour de l’environnement) ; CI’tergie (un label de quatre ans obtenu pour la CC qui est la seule collectivité rurale de la région à en bénéficier) ; la filière bois (arrivée imminente d’un chargé de mission technique pour l’évaluation du potentiel) ; le plan climat air-énergie (programme d’actions validé au premier trimestre) ; la rénovation énergétique de l’habitat (à l’aide du PIG, le programme d’intérêt général pour concevoir des travaux d’isolation et d’accessibilité avec des subsides financiers) ; le programme Leader (16 dossiers réalisés en 2018 dont huit dossiers de véhicule électrique pour les communes, introduction de produits locaux alimentaires dans les collectivités publiques…). La gestion des déchets (voir article correspondant) intègre également ces priorités.

Pléthore de dossiers fondamentaux à ne pas ignorer…

Bien sûr, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI fit aussi allusion à la politique sanitaire appliquée dans le territoire. Une préoccupation constante qui est gérée dans le cadre du contrat local de santé avec l’Agence régionale de santé (ARS). Son paraphe officiel est d’ailleurs prévu à la date du 23 janvier.

Outre le projet d’édification d’une maison de santé à Courson-les-Carrières, le président a fait un point sur les travaux (extension, aménagement de cabinet médical…) en cours ou déjà effectués.  

Le projet éducatif du territoire, conçu en partenariat avec la Caisse d’allocations familiales, la MSA et la PMI, sera élaboré en 2019 et concernera la petite enfance, l’enfance et la jeunesse à travers une multitude de thématiques. Rappelons que la CC gère également une dizaine de crèches. Elles accueillent 379 enfants pour un total de 241 935 heures de présence. Quatre d’entre elles ont obtenu le label Ecolo Crèche qui allie les problématiques de développement durable et d’accueil de jeunes enfants (Toucy, Bléneau, Saint-Fargeau et Parly).

De leur côté, les centres de loisirs (sept dont quatre possèdent un accueil pour les adolescents) offrent des projets de développement autour de l’autonomie et de l’apprentissage de la citoyenneté.

L’école de musique de Toucy conservera pour l’heure ses locaux habituels, à la suite de malfaçons de conception et de réalisation du nouveau complexe érigé en 2018. Des démarches amiables ont été engagées, avant d’éventuelles poursuites.

Enfin, sept projets ont été retenus dans le cadre du CLEA (Contrat local d’éducation artistique) pour la mise en œuvre d’animations culturelles à destination des adolescents et des enfants dans le cadre scolaire. Ils seront déployés d’ici quelques semaines.

Côté urbanisme, deux PLUi (Plan local d’urbanisme intercommunal) sont en cours d’exécution. Quarante-trois communes sur cinquante-sept seront couvertes par ce dispositif d’ici quelques années.

L’angle patrimonial conclut cet état des lieux exhaustif : Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI évoqua le futur siège de l’organisme communautaire (un bâtiment de basse consommation énergétique construit à Saint-Fargeau dont l’appel d’offre a été lancé pour le choix de l’architecte), les nuisances techniques qui bouleversent le quotidien des résidents de l’EHPAD de Saint-Amand-en-Puisaye (l’expertise judiciaire est en cours après des malfaçons de l’établissement), l’optimisation des dépenses et la création d’un service commun de voirie dans lequel vingt-quatre communes ont décidé d’adhérer. Enfin, il est revenu sur le rôle du conseiller en énergie partagé qui, comme sa désignation l’indique, travaille déjà auprès d’une vingtaine de communes.

Il était temps alors de mettre un terme définitif à ce long monologue faisant office de projection officielle des projets et perspectives qui attendent les habitants de la CC Puisaye Forterre cette année.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Une vingtaine d’élèves du lycée Joseph FOURIER ont eu droit à la visite complète ce mardi après-midi du futur Pôle environnemental communautaire. Cette nouvelle infrastructure dans le paysage local est en phase de construction en zone périphérique méridionale d’Auxerre. Accueillis par le chargé d’opération de l’agglomération de l’Auxerrois, Laurent DEWEZ, ces jeunes gens suivent un bac STI2D (Sections technologiques de l’industrie et du développement durable). Ils ont été impressionnés par la qualité du projet…

AUXERRE : Munis de leurs casques et leurs vêtements de protection, une vingtaine de lycéens ont pu être immergés sur l’un des gros chantiers actuels de l’agglomération auxerroise. Accompagnés de deux de leurs enseignants, les futurs bacheliers de la section STI2D (Sections technologiques de l’industrie et du développement durable) du lycée Joseph FOURIER écoutèrent avec grand intérêt les explications du chargé de l’opération pour le compte de la Communauté de communes de l’Auxerrois, Laurent DEWEZ.

Technique, cet explicatif prit la forme dans un premier temps d’une présentation visuelle du futur projet. A l’aide d’une animation 3D projetée à l’écran, les lycéens bénéficièrent de la conception finale de ce complexe qui accueillera d’ici quelques mois des activités institutionnelles, associatives et économiques orientées autour du développement durable et de l’environnement.

Durant quarante-cinq minutes, élèves et enseignants purent prendre bonne note de la genèse d’un tel projet, de ses étapes opérationnelles liées à son édification et de sa philosophie architecturale lors d’une session théorique. Puis, une visite des lieux leur fut proposée. Elle devait conclure cette initiative pédagogique intéressante proposée par la Communauté de l’agglomération de l’Auxerrois à destination de l’Education nationale.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le président de la chambre consulaire agricole ne se présentera pas à sa propre succession. Mettant un terme définitif aux quelques rares supputations qui pouvaient encore circuler dans le landerneau ces dernières semaines. Alors que la campagne officielle est lancée, Etienne HENRIOT a confirmé face à la presse son intention, toutefois, de demeurer très actif pour la cause agricole qu’il défend, puisque son patronyme figure sur l’une des trois listes en présence. Le 09 février, jour de la proclamation des résultats, une chose est d’ores et déjà certaine : c’est le nom d’un nouveau responsable qui sortira des urnes pour assurer la gouvernance de l’organisme départemental.

AUXERRE : Présentant ses vœux à la presse, exercice qu’il affectionne tout particulièrement, Etienne HENRIOT a confirmé qu’il ne reprendrait pas les rênes de la Chambre départementale agricole en février prochain.

Commentant le bilan de cette fin de mandat (voir article correspondant), il s’est dit très satisfait du travail effectué depuis son élection il y a six ans à la tête de l’organe consulaire.

Bien entouré, exerçant son mandat en présence de personnes compétentes et motivées, Etienne HENRIOT a souligné que « cette mandature s’est articulée du mieux possible, en bonne intelligence et dans un bon état d’esprit constructif ».

Il en tire, avant de quitter sa fonction, un bilan positif. Même si quelques projets n’ont pu aboutir. Notamment celui du développement et de l’essor des circuits courts, un dossier qui lui tient particulièrement à cœur.

milieu articles

« Je souhaite l’installation d’un nouvel exécutif »…

Pour autant, le président délégué de la coopérative YNOVAE ne manquera pas d’activités en 2019. Même si les droits à une retraite, amplement méritée, se profilent à l’horizon. Etienne HENRIOT exerce différents mandats à haute responsabilité parmi les instances agricoles départementales et régionales.

Sa décision de ne pas tenter la passe de deux se résume in fine en une seule phrase : « Je considère qu’un président de chambre consulaire doit être en activité professionnelle et non à la retraite… ».

Présent, néanmoins sur la liste coopérative, il rejette même la simple idée de siéger parmi le futur bureau consulaire. Appelant de tous ses vœux à l’installation d’une nouvelle équipe. « Place aux jeunes !, lâchera-t-il avec un zeste d’humour en guise de conclusion.

Président du GIE CRC (Culture Raisonnée Contrôlée), Etienne HENRIOT continuera à prodiguer ses expertises dans le domaine environnemental auprès de la nouvelle équipe dirigeante. Il participera aussi, à ce titre, au futur Salon international de l’Agriculture de Paris où sa présence est déjà confirmée le 27 mars sur le stand officiel du groupement.

Trois listes (FDSEA/JA-Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles et Jeunes Agriculteurs, Confédération Paysanne et Coordination Rurale) tenteront de glaner un maximum de sièges lors de ce scrutin important. La clôture des votes, par correspondance ou via Internet, est prévue au 31 janvier. Le verdict sera rendu le 09 février. Quelques semaines avant la session d’installation qui a été arrêtée en date du 04 mars.

La nouvelle assemblée consulaire agricole présentera un tout autre visage que la précédente puisqu’il n’y aura plus que 36 postes pourvus au lieu des 46 à occuper dans l’ancienne mandature.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Alors que les travaux de modernisation de la gare ferroviaire débuteront en 2020, avec la réhabilitation de la voie jusqu’à Migennes, le maire d’Auxerre réaffirme sa totale approbation en faveur de l’abandon des projets d’électrification de la ligne SNCF. Entérinée par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté il y a quelques semaines contre l’avis de l’opposition, la décision, ouvrant selon lui au modernisme, représente une vraie cohérence stratégique. L’édile icaunais s’est également entretenu avec les responsables de la compagnie des transports ferroviaires afin d’obtenir davantage de liaisons directes avec la capitale. Avec ou sans arrêts…

AUXERRE : Le président de la Communauté de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Guy FEREZ, suit avec beaucoup d’intérêt les phases évolutives du dossier ferroviaire en ce début d’année. Un sujet qui avait tenu le haut du pavé médiatique il y a encore quelques semaines après l’annonce de la décision inéluctable qui émanait de la présidence de la Région d’abandonner l’ensemble des projets d’électrification de la ligne reliant Auxerre à Laroche Migennes. Un programme, pourtant acté au préalable.

L’explicatif de ce changement de cap qui aura provoqué le courroux et la mobilisation comme un seul homme de l’opposition régionale à cette volte-face tient en un mot : l’hydrogène. 

La commission technique de la Région a pris fait et cause pour le développement de motrices utilisant cette nouvelle forme d’énergie. Depuis ses usines franc-comtoises, l’ingénierie d’ALSTOM a réalisé d’énormes progrès technologiques en se projetant sur ce marché précurseur.

A titre d’exemple, une ligne ferroviaire fonctionne déjà avec la régularité d’un métronome en Allemagne, au départ d’Hambourg, le grand port sur la Baltique. ALSTOM y teste depuis plusieurs mois et de manière opérationnelle ses premières locomotives.

La Bourgogne Franche-Comté emboîtera ensuite le pas à la grande région hanséatique. Les premières motrices, tractant des wagons de voyageurs et de fret, circuleront sur les lignes régionales dès 2022. Avant que ne s’étendent, l’année suivante, des services de transports plus réguliers.

Le calendrier du déploiement de ces nouvelles motrices a déjà été arrêté par la SNCF. Guillaume PEPY, son président, ayant déclaré qu’il n’y aurait plus de motrices alimentées au Diesel à horizon 2035 en France. Soit 80 % de véhicules tractant à remplacer dans cet intervalle.

A mobilité nouvelle, attractivité renforcée des villes ayant choisi ce créneau…

Pour l’élu de la Ville d’Auxerre, « l’électrification des lignes ne possède plus de sens véritable… ». Face aux enjeux technologiques qui préfigurent une mobilité novatrice et attractive, applicable à tous.

« En adoptant une stratégie où la mobilité est plus attrayante et moderne, comme celle qui sera imputable à l’emploi de trains à hydrogène, nous pourrons travailler plus sereinement les opportunités avec le Grand Paris, confie le président de l’agglomération, deux tiers des Parisiens aimeraient quitter la capitale aujourd’hui. Ils recherchent une amélioration de leur qualité de vie. Et de la praticité dans leurs déplacements. A nous de les capter en incarnant une vraie ville intermédiaire de province dont le rôle serait de leur proposer de nombreux avantages… ».

milieu articles

Fort de cette démarche, Guy FEREZ a demandé à la SNCF et à la Région de revoir les attributions de lignes directes entre Paris et Auxerre. Partant de ce postulat, son analyse lui a démontré que la douzaine de liaisons quotidiennes étaient parfois tributaires de ruptures de charge et de correspondances. Avec les aléas temporels qui pénalisent les voyageurs et vont de pair en cas de retards.

« L’idée serait de transformer la plupart de ces trains en liaison directe, tout en maintenant les arrêts habituels, mais aussi de pouvoir se déplacer vers la capitale sans aucun arrêt… ».

Construire une zone de stockage pour recevoir l’hydrogène…

Reste la gestion pragmatique de l’hydrogène. Un dispositif qui est indispensable à la mise en œuvre de ce nouveau plan de transport. Un site a été retenu. Il sera érigé pour assurer la production et le stockage de ce gaz, devant alimenter à l’avenir le réseau des bus et des trains de manière commune. Un appel à projets a été par ailleurs déposé, le 11 janvier, auprès des services de l’ADEME dans le cadre de la recherche de financement de la mobilité à hydrogène.

En cas d’obtention de subsides supplémentaires aux soutiens financiers de la Région et de fonds européens, la Ville disposerait d’une enveloppe très appréciable (entre 60 à 70 % du budget) dédiée à la construction de cette station de stockage recevant l’hydrogène. Un processus technique, unique en Bourgogne Franche-Comté, que seules trois autres régions de l’Hexagone dont l’Occitanie et la Nouvelle Aquitaine pourraient nous envier dans un proche immédiat.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Un chef d’entreprise quadragénaire conduira la liste des forces de droite (Les Républicains et du centre) au printemps 2020 lors des prochaines échéances municipales à Auxerre. L’information est tombée de manière officielle ce vendredi 11 janvier après plusieurs semaines d’atermoiements parmi les sphères politiques locales où beaucoup de patronymes circulaient à tort et à travers dans le camp de l’opposition. Le successeur de Guillaume LARRIVE (député LR de la première circonscription de l’Yonne qui préfère se concentrer sur l’échiquier hexagonal) à cette future joute électorale maîtrise déjà les arcanes de la vie publique. Maire de Saint-Georges-sur-Baulche depuis mars 2010, Crescent MARAULT avait annoncé le 28 décembre lors de l’ultime séance du conseil municipal sa décision de ne pas se représenter pour un mandat supplémentaire...

AUXERRE : Alors que les supputations allaient bon train depuis plusieurs semaines sur l’identité de la tête de liste qui serait opposée, probablement à l’actuel maire d’Auxerre Guy FEREZ en mars 2020, la droite vient de dévoiler une « botte de Nevers » plutôt surprenante et inattendue.

De prime abord, la nouvelle annoncée lors de la cérémonie des vœux de l’actuel maire de Saint-Georges-sur-Baulche aux habitants de la commune coupa court aux rumeurs persistantes selon lesquelles le représentant légitime des Républicains à Auxerre, son Secrétaire général délégué au plan national, Guillaume LARRIVE, tenterait l’aventure afin de forcer le destin. Rappelons que le candidat de la droite avait échoué de quelques centaines de voix face à son adversaire socialiste.

Le député de la première circonscription de l’Yonne ne repartira donc pas dans ce long combat qui mène à la chaire municipale. Même si son soutien à son dauphin sera très actif et constant. Il préfère s’en tenir un autre rôle à l’échelle nationale, à l’amorce des Présidentielles 2022.

Secundo, avec cette candidature de l’un de ses porte-voix modéré, la droite auxerroise (Les Républicains et le centre) espère casser les codes et les clivages habituels en replaçant les débats au centre des préoccupations essentielles des Auxerrois. En premier lieu : la dynamique économique et l’attractivité du territoire.

En choisissant un entrepreneur dans la force de l’âge et au fait des réalités, Les Républicains font le pari de booster la capitale de l’Yonne, bien au-delà de sa zone d’influence naturelle.  

Redonner une vision stratégique à l’agglomération…

Ayant bénéficié d’une expérience d’élu au Conseil communautaire de l’Auxerrois, Crescent MARAULT ne souhaite plus être le spectateur contre son gré du système actuel. En faisant acte de candidature à Auxerre, il désire bouleverser en profondeur la gouvernance et la gestion de l’agglomération.

« On ne peut pas séparer le développement d’Auxerre du développement de la Communauté de l’Auxerrois, déclare-t-il, si la capitale de l’Yonne poursuit son déclin, ce sont les villages aux alentours qui en pâtiront. A contrario, si Auxerre se développe et rencontre l’essor économique, ce sera bénéfique pour toute l’agglomération… ».

Ce postulat est à l’origine de sa nouvelle quête électorale qu’il entend mener à terme avec le rassemblement du plus grand nombre de ses aficionados.   

Ce rassemblement, Crescent MARAULT le déclinera de façon formelle dans la conduite d’une liste éclectique, basée sur l’union de la droite et du centre. Quant à la proximité, elle est immédiate : « Je suis dès à présent à votre écoute », devait-il lancer à la tribune de ses derniers vœux de maire de Saint-Georges-sur-Baulche.

milieu articles

Un programme sous le sceau de l’engagement humaniste et de la maîtrise budgétaire

Chef d’entreprise expérimenté dans le commerce de gros, Crescent MARAULT incarne le développement économique depuis plus de vingt ans. L’une de ses priorités, sera la création d’emplois. « C’est la principale attente de tous ceux qui sont touchés de près ou de loin par le chômage. Certes, les élus ne créent pas d’emplois. Mais, ils doivent mettre toute leur énergie au service des créateurs d’emplois en rendant notre territoire le plus attractif… ».

Le candidat s’appuiera sur les acteurs locaux pour accompagner les porteurs de projets et aider celles et ceux qui pourraient être découragés par la lenteur des démarches administratives.

La rigueur budgétaire, Crescent MARAULT en fait son cheval de bataille. Et de préciser lors de son intervention, « l’argent que nous dépensons, c’est votre argent, c’est le produit de vos impôts. Nous ne devons jamais l’oublier ! La culture de l’économie et de la gestion rigoureuse sera partagée par l’ensemble de l’équipe… ».

Invitant les élus à revoir leur train de vie, afin de financer des projets d’avenir et les taux d’imposition, Crescent MARAULT s’est montré atterré de l’abyssal montant de la dette publique, qui s’élève à 2 300 milliards d’euros en France.

Quant à l’intérêt général, il représente son fil d’Ariane. Pour mieux perpétuer la tradition humaniste qui est la sienne.

« Si je suis élu, je ne favoriserai aucun quartier ni une communauté, insista-t-il, avant de prendre une décision, je me demanderai si elle est fidèle à ce qu’ont accompli les générations précédentes d’illustres auxerrois à l’instar de Paul BERT ou de Jean-Pierre SOISSON. Je me demanderai si cette décision est positive pour les jeunes générations et pour celles qui n’existent pas encore… ».

Le besoin d’alternance pour changer de couleur politique…

Consterné par l’abandon du projet d’électrification de la voie ferroviaire entre Auxerre et Laroche Migennes, Crescent MARAULT en appelle désormais à l’alternance démocratique pour que les choses évoluent.

« Depuis 2001, la ville n’a pas changé de couleur politique, rappela-t-il à l’assistance attentive, et repeindre les silos du Batardeau ne suffit pas à cacher la vérité sur le déclin de notre agglomération. Un autre symptôme s’est fait jour également : la baisse incessante de la population, puisque la ville devrait passer sous la barre des 34 000 habitants en 2018… ».

Fils d’une commerçante, Crescent MARAULT arrivera-t-il à parvenir à ses fins en arborant par le biais des suffrages l’écharpe de maire d’un centre-ville « vivant » en 2020 ? Lui qui s’opposera à toute extension ou création de zone commerciale en périphérie, et veut privilégier les enseignes de proximité pour inciter les consommateurs à rendre plus attractives les rues piétonnes de l’hyper centre.

En tout cas, l’homme « providentiel » est déjà investi de sa nouvelle mission. Celle de reconquérir une place forte tenue par la gauche depuis près de vingt ans, en lui accordant davantage de sécurité et de qualité de vie.

Une « botte de Nevers » de la droite à ne pas sous-estimer dans ce futur combat électoral qui ne s’effectuera pas à « fleurets mouchetés » entre les candidats…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil