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Profonde, la tristesse se ressent dans les trémolos de sa voix. Telle une fulgurance tenace qui viendrait titiller un membre endolori à la limite du supportable. Pourtant, elle pensait mordicus que leur relation se basait sur la sincérité. Voire l’amitié. Du moins, le croyait-elle, il y a peu encore. Mais, la destinée se vit à livre ouvert : on ne sait jamais de quoi sera fait le lendemain. Le nouvel édile de Monéteau vient peut-être de l’apprendre avec la démission de son prédécesseur du conseil municipal…

 

MONETEAU : C’est la consternation dans la localité périphérique auxerroise. La stupeur, façon séisme tellurique pour la dizaine de conseillers municipaux après le départ démissionnaire de l’ancien élu, Robert BIDEAU.

Une décision irrévocable que le membre de l’hémicycle départemental a fait connaître publiquement au soir du lundi 10 mai. Via la lecture, en son absence de la session municipale, d’un écrit aux représentants d’un conseil interloqué par ce qu’il a entendu. Un courrier dont ont été également destinataires les médias, au titre de la connaissance informative. Mais, la missive a aussi circulé vers un certain nombre d’habitants de la commune, sans trop de discrétion. Suscitant moult interrogations.

Or, entre étonnement et stupéfaction, les élus communaux s’interrogent eux-aussi sur la nature réelle des propos tenus dans cette lettre. La qualifiant sans ambages de « diffamatoire » à l’endroit de la nouvelle responsable de la collectivité Arminda GUIBLAIN.

Un courrier à la plume « diffamante » sur les « soi-disant » propos qui auraient été tenus à l’égard de l’ancien édile, visant à accélérer son isolement, état de fait à l’origine de son départ inéluctable de la mairie.

 

De la gratitude pour ce qui a été entrepris durant 25 ans…

 

Lors de cette réunion où étaient présents maire, adjoints et délégués, il s’avère que c’est la totalité de l’équipe municipale qui se serait exprimée quant à l’inquiétude de la candidature de Robert BIDEAU aux échéances départementales. Une réaction, précise un communiqué émanant de plusieurs signataires du conseil municipal, faisant suite à un article publié par notre confrère « L’Yonne Républicaine » en date du 25 février 2021 où l’ancien maire annonçait qu’il laisserait la place à son suppléant au bout de deux ans.

La principale intéressée, quant à elle, visée par ces invectives ne comprend pas la version « quelque peu étrange » et déformée que Robert BIDEAU a voulu donner sur l’évolution de ces derniers mois en mairie.

« A chaque discours ou prise de parole de sa part, confie-t-elle, j’ai exprimé ma gratitude et mon respect pour toutes ces années qu’il a vécues au service des administrés de la commune. Je comprends que la charge émotionnelle soit lourde et légitime après vingt-cinq ans de mandat, mais j’aurai souhaité qu’il puisse venir nous exprimer de vive voix les propos tenus dans ce courrier… ».

 

 

Alors offusquée et en colère contre son prédécesseur la nouvelle mairesse ? Pas vraiment, dans le fond. C’est plutôt une indicible peine qui l’habite aujourd’hui. Une confiance aveugle qui s’est estompée le temps de lire quelques lignes apposées sur un simple feuillet de papier au détour d’une séance municipale dénaturée.

« A l’égard de cette personne que je pensais être un ami, je n’ai vu de la part de l’équipe que bienveillance et protection… ».

Des propos qui seront corroborés par les autres représentants du conseil municipal. Ces derniers réaffirment unanimement leur bienveillance, leur protection et leur compréhension envers leur ancienne tête d’affiche depuis l’élection de leur équipe en juin 2020. Jusqu’à la lecture fatidique de cette correspondance cruelle à leurs yeux qui engendre depuis amertume, atermoiements et déception.

 

De l’indulgence et de la sagesse comme porte de sortie ?

 

Toutefois, magnanime malgré ce contexte houleux qui la perturbe intérieurement, Arminda GUIBLAIN en appelle à l’indulgence auprès de ses troupes à l’égard de l’ancien édile.

« En ce qui me concerne, rappelle-t-elle, la gratitude, le respect de la parole donnée, l’engagement au service des autres restent mes principes fondamentaux… ».

Doit-on aussi ajouter à cette liste le pardon ?

La conseillère communautaire qui aurait aimé remettre une distinction à titre honoraire à son ex-ami Robert, insiste cependant sur le fait qu’il n’a jamais été demandé au premier élu historique de la localité de quitter le conseil ni sa délégation aux affaires culturelles dont il assurait avec pugnacité la mission.

Une chose est sûre : les derniers évènements auront engendré de la rancœur et de l’émotion dans le village. Palpables à différentes strates et sans doute pour un long moment dans le sérail.

Une vraie tragi-comédie à l’antique dont aurait pu s’inspirer bon nombre de dramaturges à la plume acérée. Mais, cela pourrait, et pourquoi pas ?, déboucher avec intelligence sur davantage de sagesse dans l’exercice quotidien de la politique. Ne serait-il pas logique une fois les émotions évacuées et le temps écoulé, que cette sagesse chère aux philosophes grecs ne reprenne enfin ses droits dans la vie publique au nom des citoyens ?

 

Thierry BRET

 


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Aujourd’hui, le pays entame la seconde phase du déconfinement, avec notamment l’allégement d’un certain nombre de restrictions parmi lesquelles : le couvre-feu décalé à 21 h, les terrasses des bars et restaurants accessibles à 50 % de leur capacité, la réouverture des musées et cinémas ou encore, la reprise sous conditions, de certaines activités sportives. Un assouplissement sous surveillance et progressif rappelle le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, qui dans un nouvel arrêté, en a fixé les modalités opérationnelles.

 

AUXERRE : Nul doute que le 19 mai au matin, nombreux seront les cafetiers et restaurateurs icaunais à scruter le ciel, avec l’espoir que la pluie ne vienne gâcher la fête et doucher leurs attentes.

L’impatience à rouvrir était palpable ce mardi après-midi dans les rues d’Auxerre, où l’on se préparait activement, éponge et mètre à la main pour certains, à rendre accessibles des terrasses, en mal de clients depuis la fermeture effective des établissements le 29 octobre dernier. La vie sociale va reprendre un peu de couleurs mais pour autant, les règles et les gestes barrières perdureront, souligne l’autorité préfectorale : « ce qui caractérise cette sortie des mesures restrictives, c’est la progressivité et il est important de la respecter si l’on veut éviter de perdre tout ce que nous avons gravi grâce aux restrictions que l’on a tous dû supporter pendant plusieurs mois ».

A commencer par le port du masque dont l’usage demeure, dans les zones à forte concentration humaine comme les marchés ou les centres villes à Auxerre, Sens, Avallon, Joigny, Tonnerre, Migennes, Saint-Florentin, mais aussi Noyers-sur-Serein, du fait de l’affluence touristique. A Auxerre, le périmètre reprendra celui de l’hiver dernier, délimité par les boulevards ceinturant le centre historique, ainsi que le secteur du parc de l’Arbre Sec.

 

Des manifestations culturelles probables mais sous certaines conditions…

 

Si les terrasses des bars et restaurants peuvent rouvrir, ce ne sera pas sans un protocole sanitaire strict : tables de six convives maximum, une capacité d’accueil réduite de moitié et obligation de consommer assis. Des contrôles seront effectués prévient le préfet et tout attroupement sera interdit, de même que la consommation d’alcool sur la voie publique. La  Fête de la musique du 21 juin prochain sera autorisée, précise Henri PREVOST, mais « un travail sera mené en lien avec les collectivités, pour établir de nouvelles mesures sans prise de risques excessive ». Autre rendez-vous attendu en ce début de l’été : le festival CATALPA à Auxerre. Un évènement d’envergure qui avait accueilli 39 000 personnes en 2019 et dont l’accès pourrait cette année être conditionné à la mise en place d’un pass sanitaire. Les stades vont rouvrir leurs portes aux supporters, mais la jauge ne devra pas dépasser le millier de personnes ou 35 % de leur capacité d’accueil.

En ce qui concerne le sport amateur, il faudra patienter jusqu’au 09 juin, pour voir autorisée la reprise des matchs de football ou de rugby. Les activités sportives de plein air et sans contact pourront pour leur part reprendre dès ce mercredi, mais limitées à dix personnes.

 

 

Une baisse notable de la présence virale observée depuis deux semaines…

 

Sur le front sanitaire, 31,6 % de la population icaunaise ont pu bénéficier d’une première injection vaccinale et ils sont 16 % à avoir reçu les deux doses ou considérées comme définitivement vaccinés.

Pour autant, l’on est encore loin de la cible de 90 %, synonyme d’immunité collective et les centres de vaccination se multiplient. Pas moins de 19 sites sur l’ensemble du département fonctionnent dont une quinzaine chaque semaine, en capacité de proposer des injections Pfizer et Moderna. Au niveau du taux d’incidence, la barre est redescendue à 138 pour 100K habitants. Une baisse notable alors qu’il y a deux semaines, elle était encore à 300 souligne Eve ROBERT, déléguée départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) : « pour autant, cela reste à un niveau qui n’est pas rassurant, loin de ce que l’on a pu connaître l’été dernier. Je rappelle que le seuil d’alerte épidémiologique est de 50 pour 100 000 habitants ».

Si le nombre d’hospitalisations diminue, avec 183 personnes comptabilisées cette semaine contre 250 fin avril, 17 d’entre elles sont toujours en service réanimation. Des chiffres qui ont conduit le Centre hospitalier de Sens à réclamer l’appui de la réserve sanitaire, face au taux d’absentéisme engendré par la fatigue grandissante des équipes de terrain, sur le pont depuis plus d’un an : « si les signes optimistes sont encourageants, il ne faudrait surtout pas laisser croire que les difficultés sont toutes et définitivement derrière nous… ».

 

Dominique BERNERD

 


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Tous les indicateurs flirtent avec le vert de l’espérance pour la municipalité auxerroise. Réunie ce jeudi 20 mai en fin d’après-midi lors du premier conseil proposé en présentiel depuis des lustres, la vénérable assemblée devrait pouvoir mettre un terme définitif à un suspense qui, d’après l’intéressée, n’a rien d’insoutenable. C’est-à-dire sa désignation au poste de premier-adjoint…

 

AUXERRE : En toute logique, on devrait y voir plus clair, ce jeudi en début de soirée, sur la désignation par scrutin du futur premier adjoint de la ville d’Auxerre. Il serait grand temps, diront par ailleurs les persifleurs de tout poil avec un zeste d’ironie !

D’autant que la vacance liée à ce poste non pourvu depuis le 25 novembre 2020 à la suite de la démission inattendue de Gilles PEYLET est devenue comme sa signification sémantique le rappelle presque synonyme de « longs congés estivaux » pour cette fonction au demeurant stratégique !

Toutefois, deux causes expliquent raisonnablement cette situation pour le moins exceptionnelle : les confinements répétitifs qui auront empêché l’organe institutionnel de fonctionner à plein régime et dans sa normalité habituelle (la visioconférence ne remplacera jamais les vertus relationnelles et communicatives d’une séance en présentiel !) et surtout la non-possibilité de choisir un premier-adjoint autrement que par un acte électif conçu dans les conditions physiques du direct.

D’où l’importance que revêt ce conseil municipal du 20 mai qui s’installera dès 18 heures, sans public mais avec la présence médiatique, dans l’enceinte du parc des expositions d’Auxerre, certes peu intimiste et moins feutré que le grand salon de l’hôtel de ville.

 

Une figure très connue de la vie économique auxerroise…

 

Si la logique, une fois de plus, est respectée bien qu’une élection ne soit jamais gagnée d’avance, ce poste de premier-adjoint ne devrait pas échapper à celle qui a fait consensus au sein de la majorité municipale pour en tenir les rênes, c’est-à-dire Carole CRESSON GIRAUD. Aujourd’hui, en charge du développement touristique, du rayonnement de la Ville et des relations internationales à travers ses jumelages.

Ce visage connu et reconnu dans la sphère entrepreneuriale du microcosme auxerrois en sa qualité de gérante d’une agence de voyage revendique sa non-appartenance à une quelconque formation politique. Mais, elle avoue volontiers qu’elle a adhéré à 100 % au projet municipal et économique, incarné par le nouvel édile de la capitale de l’Yonne, Crescent MARAULT.

Alors, sablera-t-elle enfin le champagne à l’issue de cette séance plénière, la future nouvelle première adjointe ? Nul n’est devin pour envisager l’avenir ! Mais, c’est certain : il devrait régner une certaine effervescence jeudi soir lors de ce conseil des retrouvailles non virtuelles…

 

Thierry BRET

 


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C’est sûr ! Les regards des badauds circulant sur les rives de l’Yonne ce samedi matin à Auxerre ne pouvaient la manquer. Longue d’environ six mètres, calligraphiée d’une couleur sombre sur un fond presque immaculé, la banderole avait pour vocation d’interpeller les consciences. Un mode d’expression souvent usité par l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) qui rappelle ainsi son attachement aux libertés individuelles quel que ce soit la zone géographique où l’on se meut…

 

AUXERRE: Le collectif auxerrois est coutumier du fait. Depuis son apparition en 2019 avec le mouvement des « Gilets jaunes » et son indicible soutien aux peuples opprimés en lutte.

Cette fois-ci, c’est la cause palestinienne qui était l’enjeu de cette prise de conscience visuelle, se voulant générale auprès du plus grand nombre d’entre nous.

Le lieu de cet affichage incitatif à la réflexion n’était autre que la passerelle piétonne qui relie les deux bords de l’Yonne. Nominativement connue sous l’appellation de « passerelle de la Liberté ». Tout un symbole dans ce choix.

Claquant au vent, la banderole put être posée malgré tout sur l’une des rambardes de ce pont piétonnier très fréquenté. Juste en face de la préfecture et des bureaux du représentant de l’Etat !

Outre son appui à la population palestinienne dans un moment particulièrement délicat, APA a voulu marquer son désappointement contre les diverses interdictions frappants les rassemblements solidaires envers la Palestine sur le sol français.

« Notre liberté d’expression est une nouvelle fois spoliée, précise le collectif dans un communiqué de presse, alors que nos libertés sont mises à mal par l’état d’urgence sanitaire et la loi Sécurité globale… ».

D’ailleurs, sur ce dossier qui touche de plein fouet le Moyen-Orient, la position de l’Assemblée Populaire d’Auxerre est sans ambages : « La France doit condamner les violences subies par les Palestiniens… ».

Le collectif a mis en ligne une pétition favorable à la sauvegarde des habitants de Gaza et de la Cisjordanie (http://chng.it/qGqJmmqHbS).
A découvrir sur la toile en votre âme et conscience…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de rénover son parc de transformateurs situés dans différentes communes du territoire. Pour le moment, une vingtaine de ces structures ont été recouvertes de couleurs chatoyantes à l’œil pour environ 2 000 euros chacune…

 

AUXERRE : Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a pour mission d’aménager et rénover les réseaux afin de les rendre plus performants. Le SDEY est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui s’accompagne d’un comité départemental où y sont présents 47 élus, ainsi que des services techniques et administratifs.

Le syndicat s’appuie sur huit Commissions Locales d’Énergies (C.L.E.) qui se répartissent sur tout le département tel que C.L.E. Auxerrois-Serein, C.L.E Tonnerrois, etc.

Le SDEY met en avant l’amélioration énergétique au sein du territoire icaunais. Il participe à la distribution publique d’électricité, de gaz, éclairage public mais aussi de bornes de recharge pour les véhicules électriques. L’entité s’occupe également des domaines de la cartographie et de service d’information géographique, de la maîtrise d’énergie. Il cherche tout en respectant l’environnement, à améliorer le développement économique ainsi que la qualité de vie des habitants.

 

 

De la couleur aux quatre coins du territoire…

 

Le SDEY a décidé de rénover le parc de transformateurs qu’il possède. Ce dispositif est utilisé pour rendre l’électricité transportable sur différentes distances au sein du réseau de connexions. Il permet de perdre peu d’énergie. Souvent imposantes, ces structures ont tendance à être positionnées de manière à cacher le paysage.

Afin de rendre plus harmonieux l’environnement visuel de ces transformateurs, le SDEY met en place une opération d’embellissement de ces postes à base de stickers dans l’Yonne.

En collaboration avec le studio Xavier MORIZE, situé à Auxerre, un visuel a été imaginé avec le service de communication du SDEY.

De la couleur vive allant aux motifs voyants en jonglant avec des formes qui ne passent pas inaperçu : c’était l’idée des différents stickers prévus pour chaque transformateur afin de pouvoir attirer le regard, non seulement sur le syndicat mais aussi rendre les collectivités attractives.

 

 

Outre le fait d’améliorer le cadre de vie, l’objectif suivant était de lutter contre les incivilités telles que les tags et les graffitis qui peuvent être fait.

De ce fait, le syndicat a choisi de relooker les portes de vingt transformateurs au total qui sont répartis dans différentes communes du département : Fleury-la-Vallée, Toucy, Saint-Georges-sur-Baulche, etc. En moyenne, une journée et demie de travail est nécessaire pour rénover un transformateur ainsi qu’un budget de 2 000 euros pour chacun d’entre eux.

Pour le moment, cette initiative semble plaire aux collectivités. Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a déjà reçu des retours d’habitants afin de les complimenter mais aussi d’autres collectivités qui seraient intéressées pour rénover leurs transformateurs délaissés.

Un sans-faute pour cette collaboration. Devons-nous nous attendre à un retour dans les années 1960 avec ses visions un brin psychédélique ?

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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