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Dire, que les deux élus de l’opposition se satisfassent du Plan de sobriété énergétique déclinable sur l’Auxerrois, est un doux euphémisme ! Pour Maud NAVARRE et Farah ZIANI, c’est très clair dans leurs commentaires : « le compte n’y est pas ! ». Réduire de façon significative le coût des énergies pour la collectivité icaunaise passe par la volonté d’investissements d’envergure avant que ne soit voté le budget 2023 le 15 décembre prochain…

 

AUXERRE: Jamais, langues de bois, l’écologiste Maud NAVARRE et la centriste Farah ZIANI ! Les deux conseillères de l’opposition municipale de la Ville d’Auxerre considèrent qu’il faut en faire davantage dans le cadre du Plan de sobriété énergétique de l’agglomération, un schéma stratégique annoncé courant novembre.

Pour le tandem, c’est simple : « il manque des investissements d’envergure dans des équipements qui permettraient de limiter significativement les besoins en énergie… ».

Enumérant quelques exemples, les deux jeunes femmes citent volontiers la généralisation de l’éclairage LED dans toute la ville. « Cela faciliterait la baisse de l’intensité de l’éclairage de minuit à 05 heures du matin, au lieu de plonger dans le noir des quartiers entiers, ce qui est une source d’insécurité…précisent-elles.

Deuxième argument : il concerne les écoles et les crèches. Des équipements qui nécessitent une température un peu plus élevée pour le bien-être des enfants.

Toutefois, moult établissements scolaires connaissent des problématiques d’isolation. « Nous avons répertorié les écoles de Brazza, des Piédalloues, à titre d’exemples. Sur ces sites, il est urgent d’investir dans la rénovation et l’isolation de ces équipements publics, afin de limiter nos besoins en énergie… ».

 

 

Un plan de sobriété énergétique permettant d’économiser 300 000 euros en 2023…

 

Le stade nautique leur offre là aussi un autre terrain de jeu pour mieux s’exprimer : « à l’heure du réchauffement climatique, comment expliquer que le stade nautique ait encore un bassin extérieur chauffé et non couvert ? Il s’agit là d’un équipement énergivore que l’on pourrait améliorer, par exemple, en le couvrant et/ou en installant un chauffage autonome, utilisant de l’énergie solaire... ».

Bien vu, en effet !  

Rappelons toutefois que le Plan de sobriété énergétique comprend différentes mesures dont l’extinction de l’éclairage public la nuit, la diminution de l’utilisation des équipements sportifs ou encore la baisse des températures dans les bâtiments municipaux. La collectivité s’alignant sur les décisions étatiques avec un maximum de 19 °C partout, sauf dans les crèches et les écoles qui elles restent chauffées à 21°C.

Ces mesures devraient permettre d’économiser 300 000 euros sur la facture énergétique de 2023 qui devrait s’élever, selon les projections de la collectivité, à 5,4 millions d’euros, soit 873 000 euros pour l’agglomération et 4 576 000 euros pour la ville d’Auxerre.

 

Thierry BRET

 


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A la fois philosophe, essayiste et romancier, Gaspard KOENIG était l’invité des « Conversations d’automne » à l’Abbaye Saint-Germain pour une soirée débat sur le thème : « Et si on en finissait avec l’élection présidentielle ? ». La source à ses yeux d’une impossibilité à réformer le pays, du fait d’une personnalisation extrême du pouvoir, rendu omnipotent, sans pour autant gagner en efficacité…

 

AUXERRE : Pour en finir avec l’élection présidentielle au suffrage universel direct, le mieux n’est-il pas de tenter sa chance et s’y présenter ? Un paradoxe que Gaspard KOENIG assume tout à fait, expliquant avoir voulu ainsi modifier les choses de l’intérieur.

Mais au final, sa campagne 2022 fut vite avortée, faute d’avoir pu réunir les 500 parrainages nécessaires. Un échec relatif qui a conforté le philosophe dans son idée que les médias et institutions poussent à une telle personnalisation de la fonction suprême. Il y voit même une source d’inquiétude, s’inspirant pour cela des propos attribués à son « grand maître », Alexis de TOCQUEVILLE, pour qui l’élection présidentielle « plongeait le pays dans une crise permanente, avant, pendant et après l’élection… ».

Avec le sentiment d’un pays jacobin où l’Etat se méfierait de ses citoyens : « je trouve cela un peu humiliant de devoir voter entre plusieurs noms pour, au final, devoir choisir un pouvoir exécutif dont la définition est de priver de liberté. Le fait d’élire un homme plutôt que de voter pour ses idées est quelque part une perversion, une régression de notre démocratie… ».

 

Le suffrage universel direct, une sorte de plébiscite « bonapartiste »…

 

Dans le collimateur du « philosophe vagabond » comme il aime se baptiser, le référendum de 1962, appelant à réviser la Constitution pour renforcer la prépondérance présidentielle en faisant élire le chef de l’Etat au suffrage universel direct. La victoire d’alors du « oui », avec près de 62 % des suffrages exprimés ne bouleverse pas ses convictions, y voyant même une sorte de « plébiscite bonapartiste » dont l’Histoire est là pour rappeler les dérives dictatoriales pouvant en découler.

Une forme de « coup d’état permanent » que dénonçait aussi en son temps François MITTERRAND, principal adversaire d’alors du Général, avant de devenir deux décennies plus tard l’un de ses successeurs. Un type de suffrage selon Gaspard KOENIG, « qui apparaissait complètement aberrant aux pères fondateurs de nos démocraties des lumières, mais devenu aujourd’hui universel et comme une évidence… ».

Se refusant à accepter le principe de l’idée d’une « rencontre d’un homme et d’un peuple », selon la formule attribuée à l’homme du 18 juin: « je n’aime pas parler de peuple, mais de citoyens. Je n’aime pas parler d’incarnation, mais d’assemblées délibératives, où l’on redonne à chacun sa particularité, sa singularité et son identité en tant qu’individu capable de décisions… ».

 

 

La création d’un mouvement politique, « Simple » pour retourner aux fondamentaux…

 

C’est dans cet esprit qu’il a fondé l’an dernier le mouvement politique « Simple », avec l’objectif d’une réduction drastique du nombre de normes législatives et règlementaires rythmant la vie du pays, pour mieux l’ancrer dans les enjeux d’aujourd’hui.

Un pays, où « l’on accorde beaucoup plus de place à la disparité, à la variété, aux coutumes locales, à la démocratie d’en bas… ».

Prônant notamment de redonner des compétences élargies aux communes, en les assortissant de responsabilités réelles, à commencer par le pouvoir fiscal. Un message qui n’est pas sans rappeler ceux entendus il y a quatre ans sur tous les ronds-points de France, alors rhabillés de jaune…

Avec en guise de conclusion cette ultime pique à l’encontre du régime présidentiel : « nous élisons des gens sans charisme, des gens qui seraient des politiciens sympathiques de la IVème République, mais que cette fonction, le décorum qui va avec, la fascination qui s’en dégage, en font des présidents qui ensuite, entretiennent avec les citoyens des rapports malsains de domination et de distance, que l’on ne retrouve pas dans d’autres démocraties… ».

Toute ressemblance avec des personnages existants, étant bien sûr, purement fortuite !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Ce n’était pas la peine d'être bachelier pour pouvoir y entrer ! C'est donc ce que fit récemment votre serviteur pour la première fois de sa vie, content de découvrir une tricentenaire université de Bourgogne, avec ses locaux et toilettes propres, des ascenseurs en état de fonctionnement. Force est de reconnaître que je m'attendais à pire ! Tant mieux pour nos étudiantes et étudiants, mais aussi pour les finances de notre  pays qui y consacre une part budgétaire non négligeable.

 

DIJON (Côte d’Or) : En effet, ce soir-là, Aurélie BULANT, étudiante en droit ou en langues orientales (à moins qu'il ne s'agisse des deux disciplines à la fois, le cheminement estudiantin étant peu compréhensible pour les non-initiés !) organisait une dégustation de potages, soupes et autres bouillons, à l'intention d'un aréopage estudiantin du monde entier.

A la manœuvre culinaire, le chef Jérôme JOUBERT, du « Rive Gauche » à Joigny, que l'on ne présente plus. Juste de vous à moi, allez donc y goûter son vol au vent de la mer, accompagné d'une nappeuse sauce au Savagnin : un grand plat !

Mais revenons à nos cuillères ! Dans une salle de la bibliothèque, nous eûmes l'espace d'un moment privilégié l'impression d'un tour du monde avec cette jeunesse venue de Pologne, du Kenya, des États-Unis,  du Venezuela, d'Inde ou encore du pays du Soleil levant.

 

 

Le potage à travers l’Histoire…

 

Aurélie eut à cœur de  tester le palais de ses convives d'un soir, entre consommé de bœuf aux petits légumes, velouté « Du Barry » et autres nages de langoustines au safran, dans l'esprit d'une bouillabaisse (plat mythique marseillais). Tous les invités furent enchantés de cette inattendue dégustation,  de mets (potages) dont l'histoire débuta au XIIIème siècle : cuit alors dans le pot, il s'agit d'un plat complet, un peu comme une potée.

L'évolution se fit avec le temps, marquée par la fin du XVIIIème siècle qui connut la naissance des restaurants. Après la Révolution, nombre de cuisiniers de nobles furent désœuvrés et ouvrirent  de petites gargotes, juste histoire de restaurer les passants.

 

 

 

 

 

Entre velouté Du Barry et nage de langoustine…

 

Notre potage devient alors plus liquide, se déclinant en bouillon, nage, consommé, soupes ou veloutés. Ce dernier nécessitant  une liaison avec un jaune d'œuf ou de la crème fraiche.

Mais revenons à la faculté dijonnaise. Le velouté Du Barry (chou-fleur) est dégusté comme il se doit. Arya, la souriante indienne, a un faible pour le potage saint-Germain à base de pois cassés, lui rappelant quelque peu la variété de la succulente cuisine végétarienne de sa terre natale.

Quant à Yumiko, la nipponne, elle préfère la nage de langoustine (un peu dans l'esprit du bouillon « dashi » à base de copeaux de bonite séchée du Japon). C’est à l’unisson que les étudiants américains dégustent tout avec appétit !

Un velouté poire/chocolat vient conclure cette originale dégustation.  Au revoir, sayonara, namaste, goodbye ! Ce fut un joli moment intercontinental par soupes interposées !  Mission gourmande accomplie  pour la jeune Aurélie...

 

 

Une table pour aller dîner : "L’Evidence"…

 

Ensuite, pour le petit noyau d'organisateurs, vint l'heure  du souper. « L’Evidence » s'imposa à nous. Cette table dijonnaise récente, distinguée au Michelin d'un « bib gourmand » s'est rapidement faite une place, sous le soleil gourmand de la capitale bourguignonne !

Des mets francs du collier (la parfaite cuisson des noix de Saint-Jacques entre autres), un fromage blanc accompagné d'une délicieuse crème fraiche et une inattendue tarte au cacao, pas plus sucrée que nécessaire. 

Un service aimable paracheva notre souper post soupes estudiantines !

Un dernier mot sur Dijon : la capitale de Bourgogne, son marché et ses effluves méritent amplement une visite. A l’instar de la minuscule charcuterie Fauchon, rien de commun avec la fameuse enseigne parisienne…

 

 

 

Contact :

 

L'Evidence

53 Rue Jeannin

21000 DIJON

Tel : 03.80.67.69.37.

Fermeture samedi et dimanche.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Décidément, les actualités volent en escadrilles en cette fin d’année pour l’opérateur ORANGE dans l’Yonne. Il y a peu, il était encore question de l’état des lieux (très avancé) du déploiement de la fibre optique sur le bassin de l’Auxerrois – nous y reviendrons très prochainement – et, en cette matinée de vendredi, c’est dans la commune nouvelle du Val d’Ocre, centrée autour de Saint-Aubin-Château-Neuf, que le spécialiste des télécommunications a posé ses jalons. Objectif : y animer un atelier numérique « citoyen »…

 

VAL D’OCRE : Ils en ont de la chance, Jean-Philippe et Mathias. Ces deux sympathiques et très relationnels collaborateurs exerçant leur savoir-faire chez ORANGE ont l’excellente opportunité, sous le sceau du volontariat, de faire de la pédagogie auprès de nos concitoyens ! Et pas, n’importe lesquels ! Celles et ceux qui veulent en découvrir davantage sur les multiples usages de l’outil numérique dont ils sont abreuvés d’informations depuis si longtemps. Mais, rien ne vaut la pratique démonstrative pour en optimiser toutes les subtilités, c’est bien connu !

 

17 % des Français éprouvent encore des difficultés avec les usages du numérique…

 

Dans le cadre d’un programme national, baptisé « Orange Digital Center », une quinzaine de villageois se sont donc présentés dans la matinée pour se répartir dans deux ateliers : le premier, sur la prise en main du smartphone – indispensable pour en connaître toutes les opportunités -, le second qui s’intéressait plus spécifiquement à la protection des données personnelles.

Sous le regard attentif du premier élu de la localité, Bernard CURNIER, les deux animateurs illustraient leurs propos d’exemples concrets. L’objectif étant de placer l’égalité numérique – c’est-à-dire la maîtrise des nouvelles technologies par tous – comme une évidence.

 

 

Un plan qui constitue le fil conducteur chez ORANGE, judicieusement désigné par ailleurs sous le vocable « Engage 2025 ». Déléguée régionale d’ORANGE en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM devait rappeler que « 17 % des français peinaient à utiliser les outils numériques du quotidien tandis qu’une entreprise sur deux manquait de compétences internes pour accompagner la montée en puissance des pratiques liées au numérique... ».

 

Des ateliers ouverts à tous les publics, particuliers et professionnels…

 

Face à cette réalité, l’entreprise a donc décidé de lancer ce fameux  programme « Orange Digital Center » afin de renforcer ses actions de développement des compétences numériques sur l’ensemble du territoire français.

Accessible à tous les publics mais aussi aux professionnels, commerçants et artisans, le concept « Orange Digital Center » propose ces ateliers pour découvrir les outils numériques quel que soit son âge, à l’aide de jeux de sensibilisation aux bons usages du numérique pour les jeunes, voire des espaces « FabLab » pour expérimenter, fabriquer, prototyper, ainsi que des conférences et ateliers pour accompagner les femmes entrepreneuses.

 

Thierry BRET

 

 


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« Aux armes, citoyens ! ». Oui, mais là, s’arrête la chanson. Alors qu’il circule dans l’Hexagone près de six millions d’armes à feu non déclarés, l’Etat a décidé de remettre un peu d’ordre dans la maison. Comment ? En organisant via les préfectures une campagne de sensibilisation nationale, baptisée « Opération d’abandon simplifié » débutant ce vendredi pour courir jusqu’au 02 décembre inclus. D’ici là, les particuliers, détenteurs de ces armes à feu trouvées ou acquises par héritage, sont invités à régulariser leur situation. Sans craindre les fourches caudines de la Justice, ni de l’Administration !

 

AUXERRE : Six millions d’armes à feu sont détenues par les Français sans qu’il n’y ait véritablement de trace administrative officielle. Une lacune que le ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer, avec le concours du ministère de la Justice, a décidé de combler, en mettant en place une vaste campagne de sensibilisation auprès de leurs possesseurs, les invitant à s’identifier avec leur matériel, photos de l’armement et carte nationale d’identité à l’appui.

Jusqu’au 02 décembre inclus, trois cents points de collecte, répartis aux quatre coins de l’Hexagone, accueilleront les propriétaires de ces armes à feu en proposant deux options éventuelles : l’abandon sine die de ce matériel, peut-être devenu trop encombrant et inutile – les services dédiés procèdent à leur récupération pour centralisation avant leur destruction sur le site spécifique implanté à Poitiers -, ou de le conserver chez soi mais en le signalant avec un enregistrement déclaratif officiel.

Naturellement, le département de l’Yonne est concerné par le déroulé de l’opération. Comme devait la présenter avec moult détails le préfet Pascal JAN, jeudi tantôt lors d’une conférence de presse, se déroulant dans son bureau.

Trois site seront ouverts sur notre territoire : l’un à Sens – au commissariat -, l’autre à Avallon – la brigade de la Gendarmerie nationale -, le troisième à Auxerre – là aussi au commissariat-.

 

Alimenter le nouveau système d’information sur les armes, le SIA…

 

Concrètement, en se rendant sur l’un de ces points d’accueil, il sera possible pour les possesseurs de ces armes de s’en dessaisir en les remettant aux représentants des forces de l’ordre ou de les faire enregistrer dans le nouveau système d’information sur les armes (SIA) avec l’aide des agents de préfectures et sous-préfectures.

Des procédures de mise en règle simplifiées, purement administratives et gratuites, sans qu’il n’y ait la moindre contrainte judiciaire.

 

 

 

C’est la première fois qu’une telle initiative est déclinée sur le territoire français. Ces armes peuvent être des fusils de chasse – ceux datant aussi des deux dernières guerres mondiales -, de poing, de collection, ou utiliser à des fins sportives par les adeptes de compétitions de tir. Les personnes peuvent être en possession de ces pièces suite à leur acquisition mais aussi par le biais d’un héritage.

« Ce n’est pas une opération de police, rassure le préfet de l’Yonne, l’opération se justifie par un souci de transparence afin de récolter des renseignements, devant nourrir le système d’information, SIA. En fait, c’est surtout une opération de confiance que nous portons là vis-à-vis des citoyens disposant d’armes et qui souhaitent régulariser leur situation ».

 

Le principe du « aller vers », appliqué avec cette opération…

 

Une opération qui avait déjà été testée avec efficience il y a peu dans les DOM-TOM et que Pascal JAN qualifie « d’aller vers » les citoyens. Un principe que le Président de la République Emmanuel MACRON a déjà usité à maintes occasions.  

Une trentaine de personnes seront mobilisées cette semaine sur cette opération de collecte un peu particulière. Une opération qui pourrait se réitérer chaque année à l’automne.

Il est bon de rappeler que posséder une arme de manière irrégulière est passible d’être sanctionné par une peine de prison de cinq ans et une amende de 75 000 euros selon les informations affichées sur le site du ministère de l’Intérieur.  

 

 

En savoir plus :

 

Pour toute question sur le déroulé de cette opération, les usagers sont invités à contacter la préfecture de l’Yonne au numéro suivant : 03.86.72.79.29.

La directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Marion AOUSTIN-ROTH, se déplacera le samedi 26 novembre au commissariat d’Auxerre afin de soutenir les effectifs mobilisés et veiller au bon déroulement de cette opération.

 

Thierry BRET

 


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