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Ergonomique, confortable, moderne grâce à des équipements technologiques de dernier cri, la première pépinière d’entreprises de l’Yonne, pourvue du label « Peps’ in » la qualifiant « à haut niveau de service », est désormais 100 % opérationnelle. Occupant le rez-de-chaussée et le premier étage du Sémaphore, bâtiment devenu le point névralgique de l’économie tonnerroise, ce lieu d’accueil des entreprises en devenir est situé à deux pas de la gare ferroviaire. Un atout pour son rayonnement. Cofinancés par l’Etat, la Région et la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne (CCLTB), ses travaux d’aménagement auront coûté près de 500 000 euros…

TONNERRE : La Bourgogne Franche-Comté ne recensait jusque-là que sept pépinières d’entreprises bénéficiant des caractéristiques qualitatives optimales au niveau de ses prestations et services. Depuis hier, lundi 09 septembre, il est judicieux de pratiquer une addition en y ajoutant celle de Tonnerre.

Car, le fameux label, « Peps’ in », qui lui est dorénavant attribué, se mérite et ne se distribue pas à tour de bras sur le territoire. Pour prétendre à ce précieux sésame à l’estampille de la Région, tout doit être mis en œuvre dans la configuration des lieux pour favoriser l’accueil et le travail des entrepreneurs. Qu’ils soient nomades ou sédentaires, ils profitent tous de critères frisant l’excellence.

Expliquer ce label d’animation et d’accompagnement des porteurs de projets dans leur quotidien correspond plus à un sacerdoce éthique qu’à une simple résultante bassement matérielle.

Dès la première visite de ce site, flambant neuf – les travaux ont eu une durée maximale d’un semestre et viennent à peine de s’achever -, on sent que l’entrepreneur est roi en ce royaume des affaires et du business !

Faisant fi des tabous coutumiers autour de l’entrepreneuriat, ici on ne se cache pas pour l’affirmer : la pépinière de Tonnerre ne répond qu’à un seul et unique objectif, apporter de la croissance et du développement à ses utilisateurs occupants.

Les cinq cents mètres carrés de surface (salle de réunion, espace détente, bureaux administratifs dont celui de la responsable, Hélène COUASSE, bureaux partagés, espace de co-working, salle de jeu avec la présence symbolique d’un baby-foot…) respirent le dynamisme et l’envie de progresser.

 

 

Le must au niveau des équipements et de la technologie…

 

Doté d’une vingtaine d’ordinateurs portables, muni de toutes les techniques nécessaires à l’épanouissement des professionnels, le site peut accueillir en permanence une trentaine de sociétés. Certaines opteront pour le choix des bureaux partagés (coût de la location mensuelle : 110 euros). D’autres intègreront ces murs en qualité de sédentaires pur jus ; leur contribution budgétaire tutoiera les trois cents euros par mois. Mais, celles de ces jeunes start-up qui posséderaient des velléités à démarrer au plus tôt leurs activités pourront se rabattre sur l’espace de travail ouvert, dit de co-working.

Là, pour une modeste participation de cent euros par mois (ce qui ne devrait pas trop grever les budgets de ces jeunes pousses prometteuses), se présentera la possibilité de disposer de cet endroit de manière illimitée. L’open-space facilitera les contacts entre travailleurs nomades et travailleurs indépendants.

Si la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne est propriétaire du site, c’est au Centre de développement du Tonnerrois (CDT) qui incombe d’en assurer la promotion et la gestion. Rappelons que cet organe n’est autre qu’une émanation physique de la Chambre de commerce et d’industrie et de la Chambre de métiers et de l’artisanat sur la zone orientale de l’Yonne.

Cette dualité parfaite a d’ailleurs fait l’objet d’une convention de partenariat entre les deux parties, un accord ratifié par Anne JERUSALEM, présidente de la CCLTB, son vice-président en charge des affaires économiques, Régis LHOMME et Alain LAPLAUD, président du CDT.

 

 

Un rayonnement étendu aux zones limitrophes du Tonnerrois…

 

Du fait de sa position stratégique et de son emplacement privilégié à proximité de la gare SNCF, la nouvelle pépinière labellisée rayonnera bien au-delà du Tonnerrois pour se faire connaître et reconnaître.

Les entreprises de l’Aube, de la Côte d’Or, du reste de l’Yonne mais également de Paris – Tonnerre est implantée à moins de deux heures de la capitale de l’Hexagone – seront fléchées par les équipes du CDT.

L’inauguration officielle, lundi en fin d’après-midi (voir article correspondant), aura permis à la présidente de la CCLTB, Anne JERUSALEM, de dévoiler les enjeux et orientations de ce concept novateur. Purent s’exprimer à sa suite, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN ou la nouvelle sous-préfète du secteur, Cécile RACKETTE. Avec le même enthousiasme et en parfaite osmose sur les sens prioritaires donnés à ce nouvel établissement au service de l’essor économique du Tonnerrois…

 

 

 

 


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A quoi bon investir des trésors d’ingéniosité et de technologie, si ce n’est pour servir le progrès ? Expert à la réputation de renommée internationale, exerçant ses activités professionnelles auprès des institutions, notre personnage possède une intime conviction. Il faut faire évoluer le contexte de production d’innovations. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré Pierre GOHAR. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre cet expert de l’innovation…

TRIBUNE : Après avoir créé une start-up technologique et dirigé l’innovation dans les institutions de recherche les plus prestigieuses, Pierre GOHAR est devenu un expert réputé et incontournable dans ce domaine. Au CEA, en tant que directeur-adjoint de l’innovation au CNRS et à l’Université Paris-Saclay comme directeur de l’innovation, Pierre GOHAR a accumulé des connaissances précieuses de ce monde. Il a acquis des convictions qu'il met aujourd'hui au service de son entreprise WISIM (www.wisim.tech - Wisdom In Motion). La réflexion qu'il développe aujourd'hui est le fruit d'une longue expérience et d'une analyse méticuleuse du champ de l'innovation.

Pierre, pour choisir il faut qu'il y ait du choix. Mais le néophyte que je suis, a plutôt l'impression que l'innovation est rare, qu'en est-il ? 

En fait, elle est pléthorique. Plus de 2,9 millions de brevets ont été déposés (dont 30 % chinois) en 2015. Au CNRS, on recense 4 500 familles de brevets. Mais la transition entre celui qui crée et celui qui exploite ne se produit que dans un cas sur cinq. Par ailleurs, souvent l'innovation naît là où les marchés ne sont pas les plus mûrs : elle émerge en France alors que son marché se situe en Asie, aux États-Unis, ou en Afrique...De plus, contrairement à ce que l'on peut croire, le potentiel d'innovation est immense au sein des PME traditionnelles, mais il faut bien connaître la PME, son métier, son histoire, ses équipes.

Justement, comment repérer les innovations à fort potentiel d'un développement durable ? 

Pour être synthétique, je vous livre trois axes qui, une fois combinés, permettent de clarifier cet exercice apparemment complexe. Appréhender les innovations à partir de ces critères permet assez aisément de distinguer celles qui seront réellement porteuses, sur les plans économique, éthique et sociétal.

- Le premier axe tient à la notion de progrès.

Le progrès n’est pas l’innovation. Il y a des innovations qui ne servent pas le progrès. Une innovation qui s’inscrit dans le progrès respecte l’individu, la collectivité et l’environnement. Et ceci de façon durable. Les jeunes générations sont sensibles à cette notion du progrès car elles portent en elles-mêmes celle du sens. Or, aujourd’hui, le sens est devenu une valeur qui détermine l’engagement et qui met en perspective le besoin de réalisation de soi à travers des réalisations extérieures à soi. Dans certains pays, on voit actuellement apparaître, et même se substituer à la notion d’innovation, cette notion de progrès ou même de sagesse.

 

 

- Le second axe relève du marché, plus particulièrement de la compréhension des comportements des utilisateurs.

Nombre d’innovations ont échoué et échouent car les équipes en charge de la conception de celles-ci ne se sont pas intéressées aux comportements des utilisateurs. La difficulté de cet exercice est que les comportements varient selon les cultures. Donc, dès que l’on pense à l’international, il faut avoir une compréhension très spécifique des comportements des utilisateurs dans un contexte culturel différent. Cette compréhension s’inscrit aussi dans le progrès car elle replace l’individu au cœur du processus de conception d’une innovation. Et là, dans cette approche, nous ne sommes pas égaux sur l’échiquier international. En effet, on voit aujourd’hui que les pays qui sont performants en innovation ont des systèmes éducatifs qui intègrent une dimension collaborative dès les plus jeunes âges. Il est clair, dans ce cadre, que le système éducatif français, basé sur la compétition, n’est plus en phase avec l’émergence de ce monde nouveau.

- Le troisième axe, enfin, appartient au registre des valeurs.

Si les valeurs de l’entreprise, qui reflètent les valeurs du ou des dirigeants, sont basées sur des notions d’écoute, de respect, de bienveillance, qui sont toutes des piliers d’une intelligence collaborative féconde en créativité et production d’innovations, alors nous avons une base solide pour réussir dans ce monde nouveau dont nous ne percevons aujourd’hui que les prémices. Des enquêtes ont montré que les entreprises qui avaient intégré ces valeurs dans leur ADN avaient un indice élevé de sentiment  de bonheur au travail de leurs salariés. Et également des performances supérieures à la moyenne. Une entreprise qui intègre ces trois axes dispose d’un fort potentiel de productions d’innovations durables. Elle est également prédisposée à développer une stratégie d’innovation collaborative que l’on appelle aujourd’hui « l’innovation ouverte » ou « open innovation ». L’open innovation est une des sources de productions d’innovations les plus performantes et elle est appelée à s’amplifier dans les prochaines années. Dans cette perspective, le rôle d’éco-systèmes, où peuvent se croiser des entreprises qui se situent dans des métiers différents, est particulièrement important.

Finalement, êtes-vous plutôt optimiste par rapport au contexte actuel ? 

Je le suis complètement. J'entrevois aujourd'hui de très belles opportunités pour les entreprises qui s'engagent dans une dynamique de coopération et d’ouverture à l'international. Et en France, spécifiquement, ces approches peuvent se nourrir du riche potentiel de créativité des femmes et des hommes - pour l’entreprise, ses salariés - pourvu que les valeurs normatives qui stérilisent en permanence les visions rebelles  - que ce soit au niveau de l’individu, de la collectivité, ou de la nation - soient réduites au silence.

 L’application :  

Considérez que chaque collaborateur peut porter un autre regard sur votre entreprise et booster le processus de création de valeur.

Réunissez votre équipe autour de ce sujet et emmenez-la à la découverte d'autres territoires.

Portez-vous volontaire pour un projet de mentorat de start-up.

Rencontrez l'incubateur le plus proche de chez vous.

Enfin, en tant que manager, impulsez une dynamique d’innovation ouverte !

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com


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Pour la deuxième année consécutive, les Pyrénées-Orientales possèdent les faveurs du mouvement centriste. L’UDI y a organisé ce week-end, et ce durant trois jours, ses Universités d’été en présence de son état-major au grand complet. L’occasion pour son leader Jean-Christophe LAGARDE de brosser le tableau des prochaines échéances municipales. Présente, la fédération de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, y était d’ailleurs la plus représentée grâce à une quinzaine de membres mobilisés…

LE BARCARES (Pyrénées-Orientales): Se préparer aux futures échéances électorales en débattant de la stratégie, des enjeux, des orientations et du projet que l’UDI portera en 2020/2021 a constitué le socle prioritaire de ces retrouvailles après la longue trêve de la période estivale.

Temps fort de la rentrée politique pour l’Union des démocrates et des indépendants (UDI), cette université d’été avait choisi comme cadre idéal la station balnéaire du Barcarès pour y jalonner ses différentes interventions, ateliers et conférences. Joindre l’utile à l’agréable, en substance ?

Les nombreuses personnalités du sérail national auront-elles eu pour autant l’opportunité de faire trempette dans la « Grande Bleue » ? On peut en douter à la vue du copieux programme qui attendait les quatre cents participants de ce raout fleurant bon la rentrée des classes.

 

De probables alliances aux municipales pour barrer le RN...

 

Bien sûr, la question des municipales demeurait le point culminant de toutes les discussions. La tête de file nationale, Jean-Christophe LAGARDE, a évoqué la possibilité de rapprochements. Cibles visées : LREM et le MoDem. Dans la pratique, le leader de l’UDI a déjà donné quitus à la candidature de Benjamin GRIVEAUX (LREM) dans la capitale.

Dans d’autres villes, l’UDI adoptera une stratégie similaire pour barrer la route au Rassemblement national, l’adversaire principal à abattre. Des alliances avec les Républicains, LREM, le MoDem, et des non-inscrits, représentent de sérieuses possibilités. Une chose s’avère probante : d’ici novembre, tout devrait être validé au niveau des directives.

Le président de l’UDI a profité de cette rentrée politique pour adouber au rang de secrétaire général des centristes, Olivier HENNO. Sénateur et vice-président du département du Nord, ce dernier a désormais toute la latitude pour faire progresser une formation qui peut s’enorgueillir de posséder parmi ses effectifs près de 300 conseillers départementaux, un peu plus de deux cents conseillers régionaux, une quarantaine de maires élus dans des villes de plus de vingt mille habitants, plus de trois cents maires au total.

Bref, la troisième force d’élus locaux en France compte tenir son rang lors des prochaines municipales. Les participants ont pu s’en rendre compte à maintes reprises durant ce long week-end de travail.

 

 

L'agriculture thème majeur de l'intervention de Dominique VERIEN...

 

Ils eurent le choix de pouvoir se former aux techniques politiques en prenant part à des modules instructif au contact d’exégètes de la communication et des relations publiques. Ainsi, parmi les thématiques, pouvions-nous noter les plus récurrents : la visibilité sur les réseaux sociaux, le soin à apporter à son image, la prise de parole en public ou des médias, ainsi que la gestion des collectivités locales.

Quant à la délégation de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, il s’avère qu’elle aura été la plus nombreuse à présenter des représentants lors de ce séminaire.

L’élue Icaunaise s’est également invitée à la tribune sur une thématique inhérente à la défense de l’agriculture. Elle a aussi évoqué le devenir du service public. Ce qui mettra un terme à ce week-end studieux pour les représentants de l'UDI malgré le soleil persistant !

 


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Fonctionnelle depuis plus de deux mois, la seconde boutique « tremplin » de la capitale de l’Yonne a reçu la visite d’une délégation d’officiels, au terme de la tournée des chantiers concoctée par l’Office Auxerrois de l’Habitat. Le spécialiste de la gougère accommodée aux particularismes culinaires de notre terroir connaît la réussite grâce à ce dispositif facilitateur…

AUXERRE : Le jeune dirigeant de la structure n’en démord pas : avoir pu profiter des avantages liés au programme des « boutiques tremplins » initiées par la Ville est une sacrée aubaine selon lui.

Outre le fait de pouvoir disposer d’un pignon sur rue exceptionnel car situé sur la place Saint-Nicolas, Aymeric LUCZKIEWICZ a vu ses charges d’installation s’alléger de manière drastique dès la réception des locaux.

L’Agglomération de l’Auxerrois honore à hauteur de 50 % la caution du jeune homme et ce pour la durée des dix-huit premiers mois après son installation.  

Mais, ce n’est pas la seule surprise dont profite pleinement le jeune entrepreneur qui s’est lancé dans cette folle aventure de l’indépendance professionnelle avec succès depuis plusieurs mois.

Initialement, le concept des « boutiques tremplins » se limitait à recevoir en ses murs un nouveau commerce ne devant pas excéder dix-huit mois de présence. Or, et selon la volonté de ses auteurs, la Ville d’Auxerre et l’Office Auxerrois de l’Habitat, le délai imparti à cet accueil synonyme de précieux coup de pouce n’a plus de limite temporelle !

« Dorénavant, précise le maire d’Auxerre et président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ, les commerces accueillis par ce programme en phase de développement pourront rester plus longtemps… ».

 

Une boutique tremplin située à un point névralgique…

 

Doté d’un espace ergonomique de trente mètres carrés, assorti d’une annexe faisant office de laboratoire, le responsable de PYNEAU PRUNUTZ (une appellation singulièrement insolite qui rappelle les patronymes des deux créateurs du fameux amuse-bouche originaire de Bourgogne) a connu une très belle saison estivale, grâce à un flux incessant de touristes.

Une enveloppe avoisinant les dix mille euros a été débloquée pour assurer l’aménagement de ladite boutique. Sachant que le maître d’ouvrage n’était autre que l’Office Auxerrois de l’Habitat, propriétaire des lieux.

Lors de la visite, plus de découverte qu’officielle, Guy FEREZ, accompagné du président de l’OAH, Jacques HOJLO, et de Guy PARIS, premier-adjoint ont apprécié les caractéristiques techniques de la boutique, remise à neuf lors de travaux ayant eu lieu en mai dernier.

En parallèle, ils se sont montrés aussi épicuriens en dégustant les savoureuses (et étonnantes) gougères aux multiples saveurs qui ont fait la renommée de cette structure artisanale. Mention très bien, également, pour la nouvelle gamme de crakers, 100 % made in Yonne !


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Vient septembre et son cortège de bonnes résolutions de rentrée. Et si cette année, on décidait de ne plus chercher à être parfait ?

TRIBUNE : L’inaccessible quête de la perfection. Elle nous vient souvent de l’enfance, de l’éducation que nous avons reçue, et des angoisses que nous ressentons, parfois, encore aujourd’hui, à l’âge adulte.

Un mécanisme de défense contre les angoisses :

  • de ne pas être à la hauteur de ce que nos parents attendaient de nous,
  • du regard des autres, de la peur d’être jugé,
  • d’être moins aimé, voire abandonné,
  • de répéter ses erreurs passées,
  • de ne pas avoir l’approbation d’une personne « spéciale pour nous ».

C’est vrai dans tous les domaines de notre vie, amoureuse, amicale, familiale, professionnelle.

Mais, ce principe possède son lot d’inconvénients ! Ce désir de perfection permanent amène à une forme de rigidité mentale, qui bride l’adaptabilité et la créativité.

La sociabilité en est affectée. Le repli sur soi amène le risque de s’isoler, de se couper de sa famille, de ses proches, de ses partenaires.

La perfection n’étant pas de ce monde, cet objectif, inatteignable, génère la procrastination, cette fâcheuse tendance à remettre au lendemain, à temporiser, à l’inaction. 

Quant aux avantages de ne pas attendre que ce soit parfait, les voici :

  • S’autoriser l’évolution, pour s’adapter à un environnement en perpétuelle mutation, que ce soit dans le domaine social, familial, ou écologique,
  • Retrouver l’envie de faire mieux, d’être pragmatique, d’agir à l’instant « T », avec les moyens dont on dispose,
  • Allumer un moteur formidable : faire bien, ce qui n’est pas faire parfait, mais faire le mieux possible, en sachant que ce sera imparfait ; prioriser le moment où cela doit être fait … même si ce n’est pas parfait.
  • L’imperfection est une sacrée opportunité. Parce qu’elle permet l’ouverture ! Jusque dans le langage, dont elle génère l’évolution … et elle autorise, entre autres, la poésie et la créativité.

Comment faire pour se libérer ? En acceptant que ceux qui nous aiment nous voient avec nos imperfections. Il faut arrêter de se comparer, et de se soucier des opinions extérieures. Mais, il est aussi nécessaire de pratiquer un sport régulièrement. Et puis, il faut vous aimer comme étant unique, avec vos talents … et vos imperfections, vos fragilités : c’est ce qui fait que vous êtes « VOUS » !

Sachez clarifier votre intention et préciser votre objectif. Mettez en place votre stratégie, en organisant votre plan d’action, et en l’appliquant. Il est judicieux d’intégrer que tout ce que vous allez tester ne marchera pas, que c’est normal, et que vous allez apprendre au fur et à mesure.

Bref : il faut décider de ne pas faire ce qui n’a pas d’impact pour vous rapprocher de votre objectif et vous concentrer à 100 % sur l’essentiel.

Claire DOUTREMEPUICH


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