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Le découpage actuel des régions risque de diluer les spécificités historiques de chacune. Par exemple, les Hauts-de-France ne correspondent à rien pour les habitants et à aucune identité spécifique. Nos régions, comme l’Alsace, la Bretagne, la Corse ou l’Auvergne, ont marqué l’histoire de France d’une empreinte indélébile. Leurs particularismes imprègnent notre culture depuis près de deux milles ans pour beaucoup ! La France, c’est une mosaïque de territoires, riches de leurs spécificités agricoles, vinicoles, forestières, industrielles, artisanales…

 

TRIBUNE : On reconnaît telle ou telle région au style architectural comme en Alsace ou en Béarn, idem pour le mobilier comme les lits clos bretons. On identifie aisément l’origine culturelle d’une choucroute, d’une potée, d’un coq au vin et d’un kig ar farz ! La France est multiple, et riche de son ouverture au monde. Les régions de l’Hexagone sont aussi ouvertes vers celles de l’outre-mer et enrichies de leurs traditions, culture spécifique, nous offrant des destinations de vacances de rêve… Merveilleux paradoxe national que celui-ci : la France est morcelée en petits territoires, mais demeure une et indivisible !

 

Peut-on parler de civilisation française ?

 

Regardons ce qui caractérise une civilisation. Si on croit SAINTE-BEUVE, le but de la civilisation, c’est de faire prévaloir la douceur et les sentiments sur les appétits sauvages. L’histoire se prolonge aujourd’hui : quand on n’a pas les mots, il reste les poings pour communiquer ! Dans « Les deux sources de la mort et de la religion », BERGSON affirme que toutes les acquisitions de l’humanité sont déposées dans la science, dans les institutions, dans les usages, dans la syntaxe et le vocabulaire de la langue et « jusque dans la gesticulation des hommes ». Une civilisation, c’est aussi une culture qu’on applique et qui régit nos actions les plus subtiles.

De nombreux pays d’Europe revendiquent d’être à l’origine de la civilisation occidentale. L’Espagne est bien placée car la civilisation d’El Agar a rayonné sur la péninsule ibérique de 2 500 à 1 500 avant notre ère. L’Espagne joue un rôle déterminant entre l’Europe et le monde musulman, puis entre le Vieux continent et le nouveau monde. Certains considèrent qu’elle fut l’une des fondations de la civilisation occidentale.

 

 

L’Hexagone, le carrefour des peuples…

 

La France souhaite maintenir sa primauté et se présente, à juste titre, comme le carrefour des peuples, et le creuset des mondes. Notre territoire fait le lien entre la péninsule ibérique et l’Italie, entre le monde rhénan et les îles britanniques. L’empire de Charlemagne avait pour capital Aix-la-Chapelle (ou Aachen). La France s’enorgueillit de son « Grand Siècle » (le XVIème), avec un Louis XIV qui nous a conté Versailles… Le « Siècle des Lumières » berce la nostalgie des futurs révolutionnaires, et enfin la Révolution qui façonna des cultures, des langues, des modes de pensées, des littératures, des artistes dans tous les domaines des arts majeurs…

Victor HUGO rendit visite à la statue de la Liberté dans l’atelier de BARTHOLDI  le 29 novembre 1884. Son discours en dit long sur la fierté d’être français et un témoin rapporte la scène et le discours : « La mer, cette grande agitée, constate l’union des deux grandes terres, apaisées ! »(…) « Oui, cette belle œuvre tend à ce que j’ai toujours aimé, appelé : la paix. Entre l’Amérique et la France – la France qui est l’Europe – ce gage de paix demeurera permanent. Il était bon que cela fût fait. ». Telle était la perception de la grandeur de la France !

 

Et le rôle de l’Allemagne dans tout ça ?

 

Nein, disent nos amis d’outre-Rhin, la civilisation occidentale, c’est nous ! Ils revendiquent de représenter l’Europe centrale. Dès la fin du Xème siècle, c’est le monde germanique qui endosse la mission de refonder l’Empire Romain. Durant les siècles suivants, tout ce que l’Europe compte d’artistes, se retrouvent au château de Wartburg, dans l’actuelle Thuringe, et en fera un centre culturel européen majeur.

L’Allemagne fut une interface naturelle entre le monde Roma(i)n et le monde slave, entre la Scandinavie et l’Adriatique. Les fameuses invasions « barbares » germaniques peuvent aussi être comprises comme éléments précurseurs de la civilisation occidentale. En effet, que serait la France sans les invasions des Francs, et l’Espagne sans les Wisigoths ?

Au XIXème siècle, la civilisation occidentale, c’est d’abord la révolution industrielle, la domination des mers, l’expansion coloniale et le capitalisme. Selon cette approche, il est certain que Londres est dominant et que l’Angleterre deviendra le centre de cette civilisation.

 

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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Forcément, il y avait de l’émotion dans l’air comme l’aurait suggérée l’enseigne URGO ! Le moment se voulait un brin solennel, d’ailleurs l’animateur vedette de la cérémonie de vœux – le vice-président du conseil départemental, conseil communautaire de l’Auxerrois et maire de VENOY Christophe BONNEFOND a su entretenir le suspense – a invité l’édile d’Auxerre et président de l’Agglo, Crescent MARAULT, à le rejoindre sur la scène. Récipiendaire à l’honneur et parce qu’il le mérite vraiment : Philippe MAILLET !   

 

VENOY : Il aura finalement dû attendre les toutes dernières minutes de la très longue cérémonie des vœux aux citoyens de la localité pour assister à une remise de médailles, récompensant celles et ceux des habitants du cru ayant fait l’actualité en 2023. Un évènement qui aura suscité des sourires, des larmes et beaucoup d’émotion.

Apprenti au sein des Compagnons du Devoir à Auxerre, Jonathan GUYOU s’est vu décerner un accessit distinctif par le maire de la commune périphérique auxerroise Christophe BONNEFOND. Logique, le jeune homme qui alla d’un pas léger chercher sa récompense sur l’estrade de la salle des fêtes, dont la spécialité professionnelle n’est autre que la maçonnerie, est un double médaillé d’or, à la fois départemental et régional, obtenu au concours de l’un des « meilleurs apprentis de France », édition 2022.

 

 

Récompensé pour être au service de l’intérêt général…

 

Puis, ce fut le tour de Christiane COMMEAU d’être sollicitée par le premier élu communal. Afin de recevoir la médaille de l’enfance et des familles. Une récompense qu’elle doit à son investissement professionnel en qualité d’assistante maternelle, travail exercé depuis l’âge de 25 ans. In fine, ce sont au total entre les enfants en garde périscolaire, ses propres enfants, petits-enfants, et arrières petits-enfants, près de 130 bambins (127 exactement !) que cette sympathique personne à l’émotivité éprouvée par la circonstance a accompagné dans les premières années de leur existence.

Restait le dernier récipiendaire. Une personnalité qui aura agi dans l’intérêt général de la commune et bien connu de l’assistance : Philippe MAILLET, ancien maire de 2001 à 2014 – le mentor de l’actuel édile – qui demeure toujours très actif, avec dévouement pour sa commune de prédilection, mais aussi au sein du Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) et au Centre de Gestion.

C’est accompagné de Crescent MARAULT, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre que Christophe BONNEFOND remis le diplôme officiel et la médaille de maire honoraire à l’intéressé dont le sourire affiché largement sur son visage fit plaisir à voir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Ni réaliser le rêve de son existence. Encore moins de vouloir prendre sa destinée en main ! A 34 ans, Jimmy GONDET se lance un défi de taille. Mais, pas de quoi l’affoler, lui qui pratique le football depuis bientôt deux décennies. Tout juste, est-il lucide quant à la pérennité de son projet : « j’ai misé gros et je joue ma carrière sur cette entreprise ». Un show-room de belle facture, 300 mètres carrés idéalement situé en zone commerciale à Monéteau où il propose ameublement et agencement de l’habitat sous la marque « ECOCUISINE ». C’est tout frais : les portes se sont ouvertes pour la première fois ce mercredi…

 

MONETEAU: Le vrombissement d’une perceuse altère quelque peu la qualité de la discussion avec notre interlocuteur. Logique : deux ouvriers s’affairent prestement afin de terminer la pose d’un ensemble cuisine, situé près de la porte d’entrée. Certes, tout n’est pas encore installé dans la nouvelle enseigne qui a ouvert ses portes ce mercredi à 10 heures. Mais, cela ne saurait tarder.

D’autant que d’autres corners présentent, eux, une configuration bien différente de la cuisine modèle, avec ses tiroirs offrant le rangement de nombreuses victuailles, son plan travail prêt à l’emploi et de lumineux éclairages qui donnent cette impression d’être chez soi, juste avant de se mettre à table !

Un peu plus loin, le regard se pose sur une cuisine au décorum si british et cosy. On en sentirait presque les effluves d’un breakfast éclectique à la londonienne qui viendrait titiller les narines des plus gourmands.

Prolixe dans ses explications, Jimmy GONDET, hôte de cet endroit, nous propose le tour du propriétaire, histoire de se faire une idée du concept ! Disons, une vision plus approfondie de ce nouveau show-room, terminé après quatre mois de réhabilitation avec des artisans du cru – le bâtiment accueillait à l’origine un revendeur de piscines -, aujourd’hui entièrement consacré à l’ameublement de la cuisine et à l’agencement de la maison.

 

 

Un maillage de plus de 110 vitrines commerciales à l’échelle nationale…

 

Nom de baptême de la boutique, implantée en zone commerciale près de Cora : « ECOCUISINE ». Un patronyme sobre mais explicite qui allie à la fois la double notion sémantique d’écologie et d’économie. Pas si bête ! Une marque nouvelle ? Oui à l’échelle de l’Yonne mais pas au niveau de l’Hexagone puisque cette licence de marque, apparue dans l’Est de la France en 2005, compte à date plus de cent dix vitrines de la sorte réparties aux quatre coins de notre territoire de cocagne. Jusque-là, les aficionados de ce concept novateur – des cuisines innovantes à base d’un design haut de gamme proposées à des tarifs hyper concurrentiels – devaient se rendre à Troyes ou à Dijon pour y découvrir sa philosophie.

Désormais, c’est chose faite, l’Yonne dispose d’un magasin à l’estampille de cette enseigne fondée par la famille FRANCOIS.

Ici, un terme est à soustraire d’office du vocabulaire à utiliser dans les conversations : « low cost » ! Comme s’en explique Jimmy GONDET, gérant de la boutique, à la tête d’une petite équipe de trois collaborateurs (Charlène FLEURY, chargée de la communication et du marketing, Eva BENTO, commerciale et spécialiste de la gestion et Alban LECOQ, commercial), tous férus de la vente de cuisines et d’ameublement.

« Le terme « éco » est employé pour traduire la parfaite alliance qui existe entre la notion écologique que l’enseigne est fière de mettre en avant et la notion d’économie qui permet de proposer des solutions d’aménagement à moindre coût pour les clients ».

 

 

Proposer des cuisines de qualité au juste prix…

 

Dans les faits, l’enseigne adopte une attitude plus responsable envers sa clientèle. S’intéressant à la fréquence et au panier moyen de ses courses alimentaires effectuées et au retour de la découverte client. Comme autrefois, semble-t-il.

« Notre credo est simple, ajoute Jimmy GONDET, nous souhaitons refaire des cuisines au juste prix, respectueux du budget initial des clients… ».

Des budgets qui peuvent osciller en moyenne entre 8 à 10 000 euros. Bref, de la cuisine et de l’ameublement accessibles à tous.

Pourvue d’une centrale d’achat, « ECOCUISINE » négocie ainsi ses commandes au meilleur prix auprès du principal fournisseur allemand, le groupe NOBILIA. Une structure industrielle qui sort près de 4 000 modèles de cuisine par jour de ses cinq unités de productions outre-Rhin. Précisions : l’industriel germanique va rentrer au capital du distributeur national, preuve de la confiance que le groupe accorde à son partenaire.

Quant au chiffre d’affaires prévisionnel espéré au terme de 2024, il s’élève à 1,1 million d’euros. Un sacré challenge pour Jimmy GONDET et son équipe, mais pas impossible à réaliser selon le patron de cette nouvelle structure qui veut se démarquer de la palette concurrentielle locale, opérant sur ce marché. D’ici six mois, il sera temps de tirer les premiers enseignements de cette nouvelle aventure et si possible d’accroître l’équipe avec une collaboratrice supplémentaire qui ferait aussi de gestionnaire de l’administratif.

Pour l’heure, l’équipe se réjouit de recevoir ses premiers visiteurs dans ce show-room aux allures modernistes, parfois original – il suffit d’admirer les tableaux des quatre singes aux allures rock’n’roll et humoristique pour s’en convaincre accrochés aux cimaises - et dans un univers recherché (c’est l’œuvre d’Eva et de Jimmy) et de préparer la phase inaugurale officielle de cette enseigne, prévue avec moult invités le jeudi 08 février prochain. Un esprit sain dans un corps sain : une maxime qui pourrait s’appliquer à la perfection à cette équipe…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est presque devenu une habitude pour cette figure politique et associative de la vie sénonaise. Une distinction supplémentaire qui vient s’ajouter à d’autres titres de gloire dont la médaille de Chevalier dans l’Ordre des Palmes académiques qu’il avait obtenue en 2012 pour services rendus à l’Education nationale. Lors de la récente cérémonie des vœux, le maire de Sens Paul-Antoine de CARVILLE a donc remis la médaille de la Ville à Charles-Hervé MOREAU. Une récompense honorifique logique pour un homme  qui a consacré beaucoup de son temps à cette agglomération depuis 1988…

 

SENS : Il avait choisi de vivre à Sens pour des raisons professionnelles – une nomination au titre de directeur de la division agencement de salons de coiffure pour l’enseigne WELLA – et cette ville le lui rend bien ! Figure de la vie locale, contributeur à la création en 1997 du lycée Saint-Etienne en sa qualité de président de l’OGEC, l’organisme qui assure la gestion des établissements scolaires privés et président très actif de la structure associative PENELOPE BARRE – l’entité dispose de sa fameuse boutique favorisant la récupération et l’insertion -, Charles-Hervé MOREAU s’est donc vu décerner la médaille de la Ville de Sens, aux termes de la traditionnelle cérémonie des vœux, accueillie dans le grand salon de la mairie.

 

 

L’ancien élu municipal qui a travaillé longtemps aux côtés de Marie-Louise FORT aura eu l’opportunité de se distinguer durant ses divers mandats vécus entre 1995 et 2000, puis de 2014 à 2020, par sa bonne gestion des finances et son implication dans une multitude de dossiers : le programme Cœur de Ville, le complexe Roger Breton, un marché couvert totalement renouvelé, les travaux concernant l’église Saint-Pregts.

Source d’inspiration pour Paul-Antoine de CARVILLE, l’actuel édile de Sens, Charles-Hervé MOREAU devait être longuement applaudi par le parterre de personnalités politiques et institutionnelles, une fois épinglée de cette nouvelle médaille qui traduit un engagement sans faille…

 

Thierry BRET

 


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Le nom de sa société, elle le doit à sa grand-mère, Mireille. Du côté de sa maman. Une contraction réfléchie du mot qui lui a permis de créer « MEILLE ». Un prénom qu’elle porte aussi en seconde position après celui, nettement plus dans le vent, de Louanne. Très tendance dans sa version musicale, comme chacun le sait ! On ne peut d’ailleurs souhaiter que la même réussite à ce petit bout de fille souriante et dynamique, portant fièrement ses 26 printemps, qui s’est lancée en 2023 dans une folle aventure : le stylisme et la mode. En développant sa propre gamme de vêtements.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Elle a de la suite dans les idées, la demoiselle ! Et surtout, elle sait parfaitement où elle va. Et là où elle veut aller par rapport à l’avenir professionnel qui se présente à elle. Une « gamine » qui veut en découdre avec les codes traditionnels du monde du travail où la jeunesse n’aurait pas trop sa place pour entreprendre. Qu’on se le dise mais Louanne CHENET a bien les pieds sur terre. Même si elle s’aventure dans un univers, celui du stylisme et de la mode, parfois parsemé d’embûches, qui peut l’amener à vivre ses rêves ; tout éveillée !

 

 

A 26 ans, la jeune femme est déjà à la tête de son entreprise, baptisée sobrement « MEILLE ». Un jeu de mot obtenu avec le prénom « Mireille ». Celui de sa grand-mère maternelle, qu’elle porte en seconde identification. Réalisant son chiffre d’affaires uniquement par l’intermédiaire du numérique et de sa référence sacralisée : Internet. Ses clientes, de tout horizon et de tout âge, vivent à Paris. Ou ailleurs, selon les cas. Paris où elle se rend très régulièrement pour y accroître son business lors d’opérations de vente éphémères au Carreau du Temple, dans le troisième arrondissement.

2024 pourrait correspondre à une extension de sa zone d’influence. Côté vente et distribution, il va de soi ! Car, elle le reconnaît bien volontiers ; pour l’heure la souriante Louanne n’est encore guère connue dans le landerneau originel. Pourtant, elle est une adepte des circuits courts et de la production locale. Déjà, les tissus avec lesquels elle réalise toute une garde-robe, y compris les accessoires, proviennent de matières « upcyclées ». Sa marque de fabrique, en quelque sorte, pour celle qui ne désire pas encombrer davantage la planète.

 

 

« Le must, pour moi, dit-elle, c’est de réaliser mes confections avec des produits made in France, tout en étant proche de Paris... ».

Concevoir librement ses « vêtements de la bonne humeur », comme elle se plaît à dire. Sa gamme chromatique n’engendre pas la mélancolie et se veut éclectique selon les tissus travaillés ; elle aime jouer avec les formes, les volumes, la longueur, les jeux de texture, les carreaux, les rayures, offrant ainsi une palette complète et insolite de ses propres visions géométriques.

Petite, elle aimait s’habiller toute seule, comme une grande. Sa passion créative la gagne alors qu’elle est encore lycéenne. S’arcboutant sur des pièces uniques dont elle seule se vêtirait. Des pièces issues de son imaginaire fécond et créatif. C’est d’ailleurs cette quête de l’unicité qui la pousse dans ses ultimes retranchements : créer sa propre marque de produits. Scolairement parlant, elle évolue dans le milieu du stylisme où elle fait ses gammes en emmagasinant techniques et savoirs, Le modélisme lui convient aussi. Grand bien lui fasse ! L’expérience s’accumule au détour des différents univers de la mode qu’elle côtoie dans la capitale. Elle s’essaie même dans l’image et le shooting. On connaît la suite et le résultat.

Le monde de l’enfant et de l’homme l’interpelle aussi. Pour laisser libre cours à son imaginaire débordant de réalisations à venir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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