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Entre l’antenne régionale de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat, des métiers de service et de la fabrication) et la MAAF (Mutuelle d’Assurance Artisanale de France), il n’y pas l’ombre d’une friture sur la ligne ! Ni le moindre grésillement infime qui serait susceptible de perturber les relations de ces deux entités. Une preuve tangible ? La récente signature d’une convention de partenariat qui auréole d’un ciel azuréen leurs échanges professionnels…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un avis de météo orienté vers le beau fixe qui qualifie la relation existante entre la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté et la MAAF !

Une tendance, on ne peut plus positive. Celle-ci s’est concrétisée le mercredi 03 mars par une signature de convention de partenariat entre Christophe DESMEDT, président de l’honorable organisme chapeautant la filière artisanale et le responsable commercial du groupe assurantiel David LENNE sur le territoire.

L’objet de cet accord est de traduire dans les faits l’organisation d’actions communes qui soient réalisées en faveur du développement des métiers de service et de fabrication.

 

 

Derrière les lignes de ce document, il faut comprendre la promotion et la valorisation de ce secteur d’activité ainsi que la mise en relation de ses professionnels avec les spécialistes de la MAAF.

En outre, l’organisme régional s’emploiera à associer de façon systématique l’acteur de l’assurance et de la prévoyance dans le cadre de ses diverses manifestations qu’elle promeut.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Entre ces poids lourds de la sphère économique, il était dans la logique des choses que leurs actions conjointes se traduisent tôt ou tard sous la forme d’une convention dûment paraphée par leurs responsables. Officialisé ce mardi 02 mars, ce partenariat a pour dénominateur commun le développement de l’attractivité territoriale via le prisme de l’économie et le soutien inconditionnel aux entreprises. Question de logique quand on se nomme la CCI et la Banque Populaire !

  

AUXERRE : Retrouver autour de la même table le président de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne et le directeur départemental de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain n’est en fait pas une réelle surprise en soi.

Surtout lorsqu’il s’agit d’entériner de manière concrète une convention de partenariat établie sur les douze prochains mois avec la possibilité d’une tacite reconduction à l’issue.

La surprise n’est donc pas de prendre acte de cet accord de saine réciprocité dans les faits entre les deux parties mais plutôt de constater que ce partenariat coulant de source n’ait pas été formalisé beaucoup plus tôt.

A l’instar de Monsieur Jourdain pratiquant la prose tout en l’ignorant, la chambre consulaire et l’établissement bancaire n’en sont pas à leur coup d’essai en matière de rapprochement et de convergence d’intérêts.

Depuis de nombreuses années, ces incontournables du sérail économique collaborent à la conception de projets dont certains se traduisent par des vitrines visibles auprès du grand public telle que l’animation « Monte ta boîte » destinée aux futurs créateurs.

Alors, cette signature de convention apparaît-elle comme une simple formalité d’usage entre ce couple parfaitement compatible ? Certainement. Mais, la rencontre entre Alain PEREZ, porte-étendard de l’activité consulaire sur le territoire et le directeur de la banque mutualiste, Yann NUNES, n’en demeura pas moins intéressante.

 

 

Des partenaires sur la même longueur d’ondes…

 

Echanges de points de vue conjoncturels, analyses économiques de la situation, préconisations à initier pour soutenir les créateurs et les repreneurs de société dans leurs projets… : le patchwork des idées étalées sur ladite table occupa les esprits un long moment de ce rendez-vous protocolaire. Avec des pistes et autres suggestions à l’appui qu’il sera souhaitable d’essayer d’ici quelques semaines !

Ravi d’apposer sa griffe au bas des pages de ce document, Alain PEREZ rappela que cette convention a pour objectif d’initier une dynamique réelle à l’accompagnement des créateurs et repreneurs d’entreprises. L’adhésion à ce projet représente le socle de la future mandature qui débutera à l’aune de 2022. Au sein de la chambre, le suivi de ce dossier incombe désormais à Lisa CHANUT. Celle-ci s’attèlera à sa réussite.

Promettant de faire le relais auprès de ses équipes collaboratrices au nom du sacro-saint principe de l’acronyme RSE dont il devait expliquer sa propre définition (Rapide, Simple et Efficace !), Yann NUNES, de son côté, évoqua l’engagement historique de son réseau bancaire pour demeurer leader de la création d’entreprises dans notre contrée.

« La gestion et le suivi des professionnels constituent la base de notre cœur de gamme, devait-il souligner, c’est notre ADN ! ».

Outre le suivi des entreprises déjà installées (elles sont plus de 140 à fréquenter les sept pépinières gérées par la CCI sur notre département), la Banque Populaire du fait de cette convention, sera de facto associée étroitement aux divers évènementiels qui feront florès au cours de la saison (ou de la suivante) dès que les conditions sanitaires iront vers le beau fixe. Tout en proposant aux dirigeants en herbe ou confirmés une gamme de produits profitables à la vie de leurs entreprises.

 

Thierry BRET

 


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Le débat est lancé. Avec ses partisans et ses détracteurs. Dans la langue de GOETHE, le mot dette se traduit par la locution : « die schuld ». Cela signifie aussi la faute ! Alors faute ou pas faute de s’être endetté à un tel niveau pour résoudre cette crise sanitaire ? Faute ou pas faute de rembourser nos dettes dans un avenir aussi lointain ? Au-delà de l’avis des experts en économie, la décision finale ne peut être que purement politique…

TRIBUNE : Le débat, souvent musclé, enflamme la toile. Mais aussi, les médias, avec des discours très techniques du côté des économistes. Les spécialistes, plutôt de gauche, proposent l’annulation pure et simple de la dette. Citons Gaël GIRAUD, Jézabel COUPPEY-SOUBEYRAN et le fameux Thomas PIKETTY, pour les plus connus.  

En face de ces fervents adeptes de l’annulation, on trouve des « conservateurs » respectueux des règles européennes en matière de crédits accordés aux états.

Leurs partisans sont Olivier BLANCHARD (ex-économiste du FMI) et surtout Eric BERR, chantre des « économistes atterrés ». Ils s’opposent à l’idéologie néolibérale.

Partisans et détracteurs sont pourtant d’accord sur un point : si les taux augmentent, la charge des emprunts deviendra insupportable pour les états. Donc, nous ne pourrons que recourir à l’annulation.

Pour les autres, annuler c’est aussi prendre le risque d’une création monétaire de contrepartie. Soit un risque inflationniste avec une augmentation des taux ! La quadrature du cercle, voire même une solution digne du « mouton à cinq pattes » !

 

Des chiffres astronomiques et de sacrés enjeux…

 

 

A date, notre dette nationale représente plus de 120 % du PIB avec 2 700 milliards d’euros. Important, certes, mais pas incongru. Ne mélangeons pas le stock de la dette avec le flux des ressources de l’Etat (PIB). Aucun banquier ne sera choqué par notre prêt immobilier de 300 000 euros si nous avons un revenu annuel de 30 000 euros.

Les actifs de l’Etat sont peau de chagrin. On préfère vendre que réduire les dépenses ! Ces actifs représentent 1 400 milliards d’actifs financiers (actions) et 700 milliards d’actifs non financiers.

Précisons que le volume des dettes est multiplié par deux quand on intègre les dépenses futures de l’exercice en cours et les engagements pris sur les retraites dues (les fameux engagements « hors bilan »).

Il faut aussi ajouter les cautions données comme les récents « Prêts garantis par l’Etat ». Les chiffres donnent tout de même le vertige : en 2020, on emprunte un milliard d’euros par jour, soit 700 000 euros chaque minute !

En 2021, nous sommes au moins sur le même rythme. Disons tout de suite que l’Etat rembourse ses emprunts chaque jour. De quelle manière : on fait « rouler » nos dettes en se faisant refinancer le capital sur les marchés financiers.

Donc, plus j’ai de crédits et plus je m’endette… Ce qui fait dire que dans ce cas, on ne rembourse pas. C’est aussi la solution technique des partisans du remboursement de nos dettes : « le fameux roulement ». L’exposition à une possible augmentation des taux constitue une véritable épée de Damoclès pour les états européens et particulièrement pour la France. La dette représente le pilier du fonctionnement de l’Etat et non l’investissement. Hélas !

 

Rembourser, c’est aussi faire des économies…

 

 

Pour la dette imputable à la COVID, c’est la BCE qui a ouvert tout grand les robinets. Les juristes affirment que la BCE n’a pas le droit d’effacer la dette des états. Pour les autres emprunts, la moitié est détenue par des investisseurs étrangers. De facto, ils doivent être prioritaires pour un remboursement. Ne pas honorer cet engagement, c’est se couper de dettes futures.

Parmi les solutions de remboursement les moins toniques mais déjà engagées, on trouve la vente des actifs. Si pour l’heure, on s’interdit de vendre la Joconde (deux milliards) le château de Versailles (au moins 4 milliards), la tour Eiffel (3 milliards), le musée du Louvre hors ce qu’il contient (8 milliards), on brade des sociétés comme la Française des Jeux.

Sans doute la vieille mentalité des traditionnalistes de la terre et de l’immobilier et des réfractaires de la bourse. En attendant, on s’appauvrit au détriment de l’emploi au lieu de s’enrichir efficacement afin de réinvestir dans l’économie.

Rembourser, c’est aussi faire des économies. Car il ne faut pas confondre les charges conjoncturelles et les charges structurelles.

Diminuer les charges conjoncturelles, en fait diminue le budget de l’Etat à travers les dépenses annuelles et récurrentes. Cela ne sert à rien. A défaut, on contraint des fournisseurs à licencier du personnel. Parmi les coupes sombres à envisager, aussi stupides qu’inutiles : pourquoi ne pas supprimer les petits fours servis en abondance le 14 juillet à l’Elysée, la vente d’une partie de la cave du palais présidentiel, diminuer les frais du parc automobile des ministères, limiter les charges de téléphone et du numérique des élus, etc.

Pour les charges structurelles, qui ont un caractère quasi permanent, on pointe surtout les charges de personnel. Des suppressions de postes sont-elles possibles et où en l’état ? La santé, la police, la justice, les prisons, l’armée, l’éducation ?

Bien sûr que non ! Nous parlons ici de secteurs qui doivent au contraire recruter. Si nous évoquons l’Education nationale : il faut une meilleure répartition des postes. Mais, on n’économisera pas grand-chose. Si, en fait, on y gagnera à coup sûr une belle grève pérenne…

Les charges de personnel, depuis quelques années ont explosé dans les municipalités et autres collectivités publiques. Il existe un véritable malaise dans les embauches de ce secteur. Toutefois, elles ont eu aussi le mérite de limiter la casse locale dans les emplois du secteur privé.

Parmi la diminution des charges structurelles qu’il faudra bien aborder un jour : c’est celle relative à la fraude sociale qui devra faire surface !

 

 

Tout le monde connaît depuis des lustres la gabegie des escroqueries en matière de fraude aux Caisses de retraite et à la Sécurité Sociale.

Dans son rapport officiel, le magistrat Charles PRATS estime à près de 50 milliards la fraude sociale !

Pour des raisons certainement démagogiques, aucun gouvernement n’a encore souhaité s’attaquer de front à ce serpent de mer ! Pourquoi ?

Nous touchons là un point très sensible de notre société, impliquant notamment des ressortissants étrangers où certaines aides qui sont attribuées concernent des personnes âgés de plus de 130 ou 140 ans afin de permettre aux familles de toucher la retraite !

Pire encore : on manipule les chiffres. Le sénateur Jean-Marie VANLERENBERGHE (LRM), rapporteur de la commission des Affaires sociales du Sénat, estime à « au moins » 100 millions d’euros la fraude sociale en France.

Le « au moins » n’est en fait qu’un doux euphémisme !

Quand à augmenter les impôts, mieux vaut ne pas y penser. Au contraire, l’urgence est de diminuer l’impôt sur les sociétés afin d’attirer les capitaux étrangers et surtout, à l’instar de l’Italie, de réduire voir de supprimer l’impôt sur les successions d’entreprises, les TPE, les commerces, l’artisanat,…

Trop souvent, pour ces activités professionnelles, la succession des entreprises débouche sine die à leur fermeture et à des licenciements. 

 

 

Des pistes de réflexion vertueuses pour sortir de ce cercle infernal…

 

 

Ne pas rembourser la dette nous expose à la fermeture du robinet des crédits. C’est la perte de la crédibilité de la signature de l’Etat français. La fin de la restructuration progressive de nos emprunts vers un allongement de leur maturité. Cette solution semble avoir le vent en poupe.

Nous nous endettons sur des durées de cinquante ans et nous envisageons des remboursements étalés sur un siècle ! Qui peut bien être intéressé ?

Les fonds de pensions de retraites américains. Cette ouverture permet à ces fonds nationaux de se développer en investissant dans la dette. En matière de dettes, il ne faut surtout pas se préoccuper de la position allemande. Angela MERKEL est trop soumise à l’Euro. Un retour au Mark ruinerait l’Allemagne à cause d’une monnaie trop forte pour pouvoir vendre d’une manière concurrentielle ! 

Alors, rêvons un peu ! Trouvons une solution pertinente pour sortir de ce cercle infernal. Trouver un cercle vertueux : c’est-à-dire investir dans l’appareil productif industriel. Cela augmentera notre indépendance industrielle en créant des emplois et en améliorant notre niveau de vie. Donc, la richesse nationale, le PIB et la capacité de pouvoir rembourser aisément les dettes…

Nous l’avons vu pour la découverte de l’hypothétique vaccin français. Un échec synonyme de carence pour l’Etat en ce qui concerne les fonds injectés vers la recherche.

Au final, rembourser ou ne pas apurer nos dettes ne peut être qu’une décision politique. C’est une armoire à tiroirs multiples mais surtout cela traduit la volonté affirmée de l’Etat d’être sans complaisance et sans démagogie.

N’oublions pas ce vieil adage, ode à la prudence (un dicton issu de la culture populaire de l’Ancien régime) : « Qui paye ses dettes s’enrichit ». A méditer plus que tout en cette période si délicate pour nos finances !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Depuis le début de la pandémie, le Crédit Agricole soutient les acteurs de la filière agri/viticole de notre contrée en accompagnant leurs projets de développement. Sans omettre, l’octroi d’aides indispensables pour éviter les écueils. Soit environ 400 prêts garantis par l’Etat (PGE) et 38 millions d’euros destinés aux exploitations frappées de plein fouet par la crise.   

DIJON (Côte d’Or) : Face aux grands enjeux sociétaux devant favoriser la préservation de la planète, renouveler les équipements agricoles au bénéfice de matériels plus à même de renforcer la transition agro-écologique est devenu une nécessité très sérieuse pour les professionnels de la filière.

Ainsi, le Plan de relance agriculture initié par le gouvernement prévoit le versement de subventions adéquates à cette démarche. Celles-ci sont distribuées par France AGRIMER.

Le Crédit agricole Champagne-Bourgogne propose en parallèle un coup de pouce supplémentaire à cette initiative étatique : une avance de subvention sous la forme d’un prêt à taux zéro.

Le partenaire historique de ce secteur séculaire de l’économie crée ainsi une offre de préfinancement servant à l’acquisition immédiate de ces futurs équipements.

A titre d’exemples, cela répond à l’objectif de réduire et optimiser l’usage des intrants tels que les produits phytosanitaires, les effluents, les fertilisants mais aussi d’adapter le travail des agriculteurs aux aléas climatiques. En effet, plusieurs épisodes de grêle, de gel, de sécheresse, de vents forts, voire de violentes tornades ont sévi la saison dernière sur l’Hexagone.

 

Une nouvelle mesure qui complète le dispositif déjà existant…

 

Dès réception de la subvention par l’agriculteur ou la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole), le remboursement sans frais sera effectif.

Quant au montant, il est équivalent à la subvention attendue. Soit entre 20 et 40 % du plafond éligible, en fonction du matériel agricole choisi, du projet global et, naturellement, du profil de l’emprunteur. Cette offre sera par ailleurs proposée directement par le concessionnaire qui commercialise ledit équipement.

Commentaire à chaud de l’un des dirigeants de l’établissement bancaire Jean-Christophe ROUBIN, en charge de la direction de l’agriculture : « Le fait de bénéficier d’un préfinancement sans intérêt sur la quote-part de l’investissement subventionné représente un réel avantage… ».

Cette nouvelle offre complète le dispositif existant. Elle permet d’accompagner les agriculteurs dans cette phase de mutations profondes.

Directeur du développement des marchés de l’entreprise, de l’agriculture/viticulture, des marchés spécialisés et de la banque privée, Tristan LAMY se félicite du lancement de cette procédure en parfaite cohérence avec le Plan de relance agricole déclenché par l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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Les prémices de la nouvelle saison se font ressentir pour la plupart des clubs cyclistes de Bourgogne Franche-Comté. Les premiers coups de pédales sont donnés au gré de sorties facilitant le retour progressif vers une bonne condition physique. Même si les températures sont rudes pour les organismes, les adeptes de la petite reine n’en ont cure. Ils bravent la météo, soutenus par leurs partenaires à l’image de l’un des leaders du secteur assurantiel et de prévoyance…

AUXERRE : Question liminaire : comment bien débuter la future saison avant même qu’elle ne soit actée dans les faits ? Tout simplement en bénéficiant de la confiance de l’un de ses incontournables partenaires qui vous remet de quoi s’équiper avant de se lancer dans le grand bain de la compétition !

C’est ce que viennent de vivre cette semaine les dirigeants du Team Elite Restauration (ex-Vélo Club de Toucy) en recevant en guise de nouvelle dotation un jeu d’une trentaine de maillots et de cuissards floqués aux couleurs de GROUPAMA.

Dans le cadre de son opération marketing, « Un club, un maillot », l’assureur mutualiste régional (en l’occurrence la direction de la caisse départementale de l’Yonne) a remis ces précieuses tuniques au président du club cycliste de Puisaye-Forterre.

Un geste salué très chaleureusement par Philippe GERBAULT, à la tête de l’association sportive depuis plusieurs saisons.

Trois coureurs de ce club qui évolue en Nationale 2 ont tenu à arborer en avant-première leurs nouvelles parures dont ils ne se priveront pas de porter haut les couleurs tout au long d’une saison riche en péripéties et en évènements.

C’est le directeur d’établissement départemental de GROUPAMA Paris Val-de-Loire Jacques BLANCHOT, grand amateur de sport (l’entité est aussi un irréductible soutien de l’AJ Auxerre et du Rugby Club Auxerrois) qui devait offrir ces nouvelles tuniques aux dirigeants de la structure associative. Gageons que les coureurs de ce club de très belle facture sauront y faire honneur !

 

Thierry BRET

 


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