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Les médias nous inondent de publicités qui nous vantent les mérites de voitures pour cent euros par mois, avant même les caractéristiques techniques desdits véhicules. Que cachent ces moyens de financements ? Il ne faut pas oublier que les concessionnaires touchent des commissions sur les contrats de financement, versées par les sociétés financières, parfois liées aux marques. Afin d’accompagner le développement de la voiture électrique, les sociétés financières spécialisées et les banques traditionnelles participent au développement de solutions de financement des automobiles, tant pour les particuliers que pour les entreprises.

 

TRIBUNE: Le crédit est une base fondamentale de nos économies modernes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le crédit est né de la création des banques depuis plus de 5 000 ans, avant même l’apparition de la monnaie. Il faudra attendre le XIIème siècle pour la naissance du crédit-bail, sous la houlette des chrétiens usuriers, qui contournent l’interdiction du crédit édictée par Rome.

Si les crédits immobiliers sont en berne, la vente de voitures est boostée par les voitures électriques et hybrides. Le prix moyen d’une voiture hybride se situe à plus de 41 000 euros. Une somme conséquente surtout en période de crise économique et d’inflation. On peut noter que la location est en hausse, avec un taux de près de 50 % des acquisitions de nouveaux véhicules. Les formules locatives séduisent de plus en plus et correspondent à un réel besoin.

 

La concurrence effrénée des établissements bancaires…

 

Payer cash, c’est prendre l’argent sur son épargne et ce n’est peut-être pas la meilleure des solutions. Si vous faites plus de 20 000 km par an, vous aurez un coût d’entretien et de réparation important. Attention, bien lire son contrat, les garanties ne couvrent pas tout ! De plus, lors de l’immobilisation du véhicule, il faudra louer et payer le remplacement provisoire. Ces dispositions proscrivent de facto l’achat de véhicules électriques d’occasion : les batteries sont garanties de six à huit ans. Au-delà, le remplacement est à la charge du propriétaire.

Quant au crédit bancaire, les banques et sociétés financières (CETELEM, COFIDIS, YOUDGE…) rivalisent et proposent des taux parfois très bas. Elles se livrent une concurrence effrénée au profit des consommateurs en pratiquant parfois, un dumping sur les taux (1 %). Financer sa voiture avec un crédit présente les mêmes remarques que pour le cash. Tout dépend du type de voiture, de son utilisation et du montant du crédit sollicité. Un crédit à hauteur de 100 % devient moins intéressant qu’une location.

 

 

Les subtilités réservées à la location

 

Les formules de location gagnent du terrain par rapport au crédit classique. Reste à savoir laquelle des deux choisir entre LOA ou LLD lorsque le cas de figure se présente.

La notion de propriété en fin de contrat reste le principal critère qui différencie ces deux solutions de financement. Comme son nom l’indique, la LOA regroupe les deux sortes de clients face à l’acquisition d’une nouvelle voiture. Si vous êtes indécis et préférez reporter votre choix au terme de votre contrat, l’option d’achat est idéale pour ce cas.

La LOA est également parfaite pour vous qui avez déjà planifié à l’avance votre investissement global entre apport, budget mensuel, et surtout prix d’achat de votre voiture, tout en laissant la possibilité de revenir sur votre décision en fin de contrat. En choisissant la LLD, on paie un loyer « à fonds perdu » en quelque sorte, puisque l’on ne devient jamais propriétaire de son véhicule, qui doit impérativement être restitué au terme du contrat de location longue durée.

 

 

La LOA ou location avec option d’achat

 

Appelée souvent « leasing automobile », la location avec option d’achat ou LOA permet de circuler avec un véhicule neuf, mais aussi d’occasion depuis quelques années, moyennant un loyer mensuel, avec possibilité de devenir propriétaire en fin de contrat. Confidentielle il y a une dizaine d’années, la LOA connaît un succès exponentiel sur le marché automobile face à l’achat à crédit. Dans le cadre de la LOA, la société de crédit, qui reste propriétaire du véhicule pendant toute la durée de location, exigera une assurance tous risques. Par ailleurs, les contrats de LOA sont assortis d’un forfait kilométrique (de 10 000 à 30 000 km par an). Des indemnités peuvent être demandées en cas de dépassement.

Quant à la LLD ou location longue durée, autrefois réservée principalement aux professionnels, elle se développe progressivement pour les particuliers, 11 % l’ayant choisie en 2017 (contre 3 % en 2011). Une croissance ayant poussé les constructeurs à remplacer le tarif de leur automobile par un coût mensuel, voire promu en prix journalier (3 euros par jour pour une Dacia par exemple). Contrairement à la LOA, vous devrez également restituer le véhicule en fin de contrat et n’avez aucune possibilité d’en devenir propriétaire. En clair, la location longue durée sans apport permet de circuler à moindre frais qu’avec un véhicule neuf acheté en crédit classique, tout en sachant qu’il ne vous appartient pas et qu’il faudra le restituer en fin de contrat, ce qui n’est pas le cas avec la LOA.

Attractive donc et ne nécessitant pas toujours un apport, la LLD ne laisse cependant pas le choix des services (assurance, entretien, réparations, assistance…), car cette formule de location comprend exclusivement ceux du loueur.

 

La location, idéale quand on roule peu !

 

La location séduit de plus en plus de consommateurs, et les constructeurs l’ont bien compris. Néanmoins, lorsque l’on souhaite acheter une voiture en leasing, il est tout de même conseillé de rester vigilant vis-à-vis des offres alléchantes chez son concessionnaire ou des nombreuses publicités face à ses capacités financières. Toutefois, la location se révèle généralement intéressante si l’on roule peu et souhaite changer de voiture régulièrement. Si cela comble les flottes de véhicules professionnels en LLD, la LOA (de plus les professionnels récupèrent la TVA sur les loyers), qu’elle soit avec ou sans apport, est la solution parfaite, car elle laisse le choix au détenteur de devenir ou non propriétaire. Ce mode de financement est donc une excellente alternative à l’achat d’un véhicule en crédit classique, grâce aux services qu’elle peut inclure et à des mensualités également inférieures en général.

En résumé, voici les points-clés à retenir sur la LOA et la LLD :

  • La LOA permet de devenir propriétaire en fin de contrat.
  • La LOA est de plus en plus plébiscitée par les particuliers et les professionnels.
  • La LLD impose une restitution en fin de contrat.
  • La LLD est une solution intéressante pour la gestion de flotte automobile professionnelle.
  • La fin de contrat pour une LLD peut révéler un piège : la remise en état du véhicule est facturée de manière souvent exorbitante.
  • Les mensualités de la LOA sont moins élevées que celles de la LLD (Hors apports.

Il faut donc faire le bon choix en toute connaissance de cause et surtout bien lire toutes les lignes des contrats proposés. Les financiers ont complexifié à souhait les possibilités de financements de nos « chères » voitures. « Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y «vole».» Ambrose PIERCE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’exercice se reproduit chaque année à la même période. Durant le mois de l’ESS. C’est-à-dire, l’Economie Sociale et Solidaire. Une série d’actions est ainsi déployée par les caisses régionales du Crédit Agricole sur leurs territoires. Le but est simple : se mobiliser autour du développement du tissu associatif afin de mieux accompagner les populations fragilisées.

 

DIJON (Côte d’Or) : Dans l’Yonne, deux dates sont d’ores et déjà à biffer sur les agendas. L’une est proposée à l’Espace Sanglier à Sens, le 15 novembre. L’autre se déroulera le lundi 20 novembre à la Mission Locale d’Auxerre. Des rendez-vous qui correspondent à des ateliers. Ceux qui sont déclinés par le Crédit Agricole Champagne Bourgogne dans le cadre des Semaines du Sociétariat.

Des ateliers à forte connotation budgétaire, à dire vrai ! Assurés par le dispositif « Point Passerelle » - celui-ci est animé par sept conseillers issus du réseau de la banque verte mais aussi une quarantaine de bénévoles, anciens salariés et administrateurs -, ces derniers proposent aux jeunes gens, âgés de 16 à 25 ans, de mieux se familiariser aux notions budgétaires, bancaires mais aussi au milieu de l’assurance et du logement.

Une initiative qui obtient toujours le même succès, d’année en année. D’ailleurs, depuis son lancement survenu en 2015, ce sont plus de 182 ateliers qui ont ainsi été déclinés auprès de 1 735 jeunes de la double région, Champagne et Bourgogne, à l’aide d’un support efficace : un questionnaire interactif dans lequel les participants répondent au quizz via leurs téléphones. Succès garanti auprès des nouvelles générations car ce format de jeu en ligne offre un apprentissage divertissant et dynamique.

 

 

Une marche organisée en faveur des pompiers…

 

Précisons que différents partenaires de l’établissement mutualiste se joignent à la découverte de ce dispositif judicieux dont l’Ecole de la Seconde Chance, les Maisons Familiales et Rurales (MFR) mais aussi les lycées professionnels ou les Missions Locales, à l’instar de celle d’Auxerre qui accueillera en ses murs ce futur rendez-vous.

En parallèle sera proposé un challenge sportif, « Bon pour la Santé, bon pour la Planète », réunissant annuellement toutes les générations autour d’un défi solidaire, en l’occurrence cette année une opération baptisée « Marchons pour nos pompiers », où grâce à tous les pas réalisés par les participants, des fonds seront ainsi collectés au profit des quatre associations départementales des pompiers évoluant dans la zone d’influence du Crédit Agricole Champagne Bourgogne, à savoir la Côte d’Or et l’Yonne, pour la partie bourguignonne, et l’Aube et la Haute-Marne, pour la partie champenoise. Ces marches seront organisées à l’initiative des caisses locales et de leurs agences.

Enfin, pour couronner le tout, des rencontres autour du sociétariat seront également assurées durant cette opération.

 

En savoir plus :

Semaines du Sociétariat du Crédit Agricole

Du 10 novembre au 25 novembre 2023

Avec dans l’Yonne, deux dates : le mercredi 15 novembre 2023 à 13h45 à la Mission locale de Sens (Espace Sanglier) et le lundi 20 novembre 2023 à 14h à la Mission Locale d’Auxerre, 1 avenue Rodin.

 

Thierry BRET

 


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Peut-être est-il un peu plus tendu que d’ordinaire, « Maître Jacques » ? Lui dont la silhouette a incarné durant seize ans les valeurs et le credo territorial de l’assureur mutualiste, tant au sein du groupe régional (Paris Val-de-Loire), que dans l’Yonne, voire plus récemment la Seine-et-Marne. Normal, c’est l’heure de la quille pour cet esthète perfectionniste de la prévoyance, de l’assurance, de la relation humaine et…de la communication. Il aura noué moult partenariats durant ces deux décennies de pouvoir et de management : logique qu’il y ait eu autant de monde venu le saluer pour la « der des ders » !

 

AUXERRE : On le sent un tantinet nerveux, Jacques BLANCHOT. Pas comme d’habitude où son calme olympien – l’homme s’adonne à la pratique du vélo ce qui a pour conséquence de canaliser les énergies ! - l’aura aidé à faire face aux aléas et autres vicissitudes de son métier. Dommages, sinistres, catastrophes naturelles, accidentologie… : quand on dirige des femmes et des hommes devant faire preuve de réactivité et d’intelligence face à l’urgence de la vie quotidienne, il est nécessaire de posséder des nerfs d’airain !

Mais, là, c’est un peu différent. D’ailleurs, il ne l’avait pas envisagé ainsi en 2007 lorsqu’il accepta ce poste de direction des établissements de l’Yonne. Juste un passage singulier de l’existence où il fait bon apprendre et asseoir ses responsabilités, durant cinq à six ans, sans doute. Que nenni ! Il n’en fut rien du côté de la stratégie mise en place par Olivet, l’axe névralgique interrégional de l’assureur mutualiste qui renouvellera sa pleine confiance en ce personnage atypique, chaleureux et profondément humain.

Seize années plus tard, et parfaitement intégré avec son épouse et ses enfants dans le microcosme icaunais – qui ne connaît pas le fameux Jacques BLANCHOT et l’éclatant de son sourire ?! -, le voici qui met un terme à sa carrière professionnelle ; excellemment bien remplie au fur et à mesure de ses pérégrinations territoriales le conduisant aux quatre coins du département de l’Yonne. Puis, un peu plus tard, de la Seine-et-Marne limitrophe où il officiait avec la même assiduité à ses obligations de directeur d’établissement.

 

La retraite ? Non, c’est un nouveau chapitre !

 

Jacques BLANCHOT faisant valoir ses droits à une retraite amplement méritée selon la formule consacrée ? On peine à y croire tant le personnage est dynamique, prompt à résoudre une problématique, transmetteur d’un savoir-faire avec ses équipes – elles lui doivent beaucoup, y compris de la promotion sociale et de belles opportunités –, jeune d’esprit et de corps !

D’ailleurs, le mot « retraite » l’a toujours irrité. Lui, il préfère parler de « nouveau chapitre » de l’existence. Comme si le livre de sa vie ne s’arrêtait jamais au fil des pages afin de proposer de nouvelles aventures à l’intéressé…

Passionné, investi, il va développer inlassablement les activités de GROUPAMA Paris Val-de-Loire avec pugnacité. Se voulant le garant de la promotion de cet employeur, pas comme les autres à ses yeux.

Un chemin de vie qui l’amènera à côtoyer moult élus et représentants du cadre institutionnel de notre territoire. Normal quand on est le porte-étendard d’une entreprise qui réinjecte son chiffre d’affaires sur le territoire où elle exerce son activité. Ce que Jacques BLANCHOT nommera toujours, « l’ancrage territorial » de son groupe au fil de ses innombrables prises de parole face au public.

A la tête d’une équipe de 127 collaborateurs, pour la seule partie de l’Yonne, Jacques BLANCHOT aura su au fil des ans insuffler une inéluctable passion du travail bien fait et accompli, au service de ses sociétaires.

« Etre ancré dans les territoires, ce n’est pas une simple phrase, soulignera-t-il lors de son discours, mais cela correspond bel et bien à un engagement et une réalité. C’est en être aussi un acteur majeur en soutenant nos partenaires de l’agriculture, de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, mais aussi les partenaires associatifs et sportifs… ».

 

 

Les trois valeurs fortes : proximité, responsabilité, solidarité

 

Bien sûr, l’orateur du jour ne manqua pas de saluer l’initiative nationale prise par le groupe en matière de sponsoring et sa pérennité à poursuivre son œuvre dans le milieu du cyclisme avec l’équipe pro de Groupama Française des Jeux, chère au tout jeune retraité Thibaut PINOT et à David GAUDU. Localement, Jacques BLANCHOT aura transformé les fruits de sa passion pour la « petite reine » en soutenant les clubs cyclistes du terroir et leurs compétions, à l’instar de la Classique de Puisaye Forterre Souvenir Philippe GERBAULT avec lequel Jacques BLANCHOT entretenait la flamme de l’amitié ou de la Franck Pineau.

De la flamme (olympique cette fois), il en sera aussi question dans la longue intervention du maître des lieux. Avec le soutien à Yonne 2024, celui apporté au RCA ou à l’AJA. Mais, aussi, celui du rôle de mécène culturel tant à Pont sur Yonne (le vieux pont), à Venoy (la rénovation de l’église inaugurée ce samedi 04 novembre), le musée de l’AJA ou encore le château de Saint-Fargeau et ses magnifiques chambres, totalement restaurées.

Lieutenant-colonel de la gendarmerie de réserve, Jacques BLANCHOT a su aussi travailler en étroite osmose avec les représentants de la gendarmerie nationale, la police nationale ou les sapeurs-pompiers. Des actions préventives et pédagogiques auprès des sociétaires de l’assureur mutualiste ont été montées à de maintes occasions autour d’items récurrents comme la cybercriminalité, la sécurité ou le vol. Les jeunes (environ 800 collégiens) n’ont pas été oubliés avec l’opération concoctée avec la Sécurité routière, « Dix de Conduite » reposant sur les fondamentaux du Code de la Route. Avant de s’exercer sur la piste asphaltée du centre Centaure en Seine-et-Marne.

« Les gestes qui sauvent nous interpellent également, ajoute Jacques BLANCHOT de plus en plus volubile derrière le micro, avec le concours du SDIS 89 et de l’UDSP, nous avons déjà formé près de 800 personnes à ces pratiques fondamentales pour épargner des vies. Ces formations vont continuer et s’amplifier au fil du temps… ».

Notons la date du 29 novembre prochain, où GROUPAMA assurera la formation de deux cents personnes dans le cadre de la rencontre de Ligue 2 opposant l’AJ Auxerre à Rouen Quevilly à l’Abbé Deschamps. Sur un registre similaire, l’entité a commencé à équiper ses différentes agences d’un défibrillateur pour sauver une vie, à la suite d’un malaise cardiaque.

« Proximité, responsabilité, solidarité…ce sont les trois valeurs de GROUPAMA que j’ai portées avec fierté, expliquera Jacques BLANCHOT, tout au long de ces seize années… ».

 

 

Poursuivre le chemin vers la défense de la territorialité ?

 

Avant de conclure son ultime tour de piste, l’ancien directeur des établissements de l’Yonne et de Seine-et-Marne présenta sa fidèle équipe, emplie d’émotion ainsi que ses responsables hiérarchiques, venus du Loiret voisin. Avant de présenter son successeur – la tâche sera lourde !! – Ludovic DAME, icaunais de souche, collaborateur durant quatorze ans de Jacques BLANCHOT.

« Je connais son engagement, ses compétences, et son humanisme. Ludovic possède toutes les qualités requises pour réussir sa nouvelle mission après son passage dans la Somme en qualité de directeur… ».

Quid de l’avenir de Jacques BLANCHOT avec l’ouverture de ce nouveau chapitre ? Tiens, tiens, rejoindra-t-il prochainement une confrérie vineuse locale pour en grossir les rangs ? Rebondira-t-il ailleurs dans d’autres sphères associatives ou institutionnelles ? Deviendra-t-il consultant ?

« Vous savez, mon épouse Christine que je remercie de m’avoir toujours soutenue depuis 38 ans, n’a pas l’habitude de me voir à la maison ! ».

Une conclusion en forme de boutade qui correspond bien à la personnalité de ce cadre supérieur d’entreprise performant et meneur d’hommes qui augure sans doute d’une continuité dans l’action citoyenne et territoriale.

Au nom de l’ancrage et de l’attractivité de cette Yonne dont il a su devenir l’un des plus brillants ambassadeurs…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est l’un des fleurons industriels de la Puisaye-Forterre. Surtout, la partie Forterre, une petite bande territoriale dont le fief n’est autre que Courson-les-Carrières. En déplacement il y a quelques jours en cet endroit, le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET s’est immergé avec délectation et grand intérêt chez TREMPVER. Une belle pépite industrielle aux 7,7 millions d’euros de chiffre d’affaires annuels qui rayonne bien au-delà de son secteur géographique sur le segment de la verrerie…

 

COURSON-LES-CARRIERES : Il regarde. Il scrute. Il observe. Il hume l’atmosphère ambiante. Saine. Tranquille. D’un pas lent, il s’informe auprès des dirigeants en cheminant dans l’atelier. Regardant les salariés – ils sont au nombre de quarante-huit à l’heure actuelle à exercer leur savoir-faire dans l’entreprise – qui s’affairent près de l’un des nombreux outils de production accueillis dans cet antre du verre trempé. On a beau dire mais vingt-quatre années d’expérience et de progrès technique sur ce secteur d’activité, cela se constate dans les gestes empreints de dextérité des collaborateurs.

Et pourtant, son mandat – le portefeuille comprend le développement économique, les finances, l’emploi, l’économie sociale et solidaire – l’a habitué depuis qu’il en a la charge à visiter bon nombre de structures entrepreneuriales aux quatre coins de notre contrée régionale. Dire que Nicolas SORET est bluffé en ce moment dans ces lieux, il n’y a qu’un pas !

 

Un partenaire majeur de la transmission d’entreprise : la Région

 

S’accordant du temps pour parfaire sa découverte bien loin de Joigny, Nicolas SORET jubile et cela transpire dans son regard ! Normal, en vérité. Car au-delà d’une simple visite de courtoisie, accordé par un élu de terrain ayant des liens directs avec la présidente de la Région – l’institution possède la compétence économique, que diable ! -, Nicolas SORET savoure et approuve ce que le pouvoir exécutif régional est capable de réaliser pour faciliter la transmission d’entreprise.

« Le Conseil régional est un partenaire majeur de ces transmissions d’entreprise, soulignera le président de la CC du JOVINIEN, lors de sa prise de parole, satisfait de la tournure des opérations, rondement menées ici même à Courson-les-Carrières.

Et là, démonstration chiffrée à l’appui, Nicolas SORET explique la véritable raison de sa présence en cette Forterre qui mériterait amplement d’accueillir afin d’optimiser son attractivité d’autres joyaux de l’envergure de TREMPVER.     

« Ce qui est très intéressant dans ce dossier de transmission, précise l’élu régional, c’est que la nouvelle gouvernance de TREMPVER – le successeur du dirigeant fondateur Didier COINDOZ se nomme Christophe WEIBEL – à utiliser plusieurs dispositifs financiers, pensés et développés par la Région… ».

 

 

 

Une intervention directe de la Région via le fonds « Invest Défi 3 »

 

Dans l’absolu, et pour faire simple, le projet de reprise a bénéficié d’un subtil et complexe montage financier, prenant en compte de l’ingénierie financière (fonds de co-investissement, avance remboursable) mais aussi aide d’opérateurs soutenus par la collectivité elle-même. Dans le viseur, notamment l’AER, Agence Economique Régionale ou la structure pilotée par Angélique COEURDOUX, la fameuse association INITIACTIVE 89. De précieux auxiliaires qui vont conseiller et accompagner le futur repreneur dans l’accomplissement de son projet.

Epaulé par le cabinet ARCEANE, rachetant 100 % du capital avec UI Investissement, la société de gestion qui porte les fonds de co-investissement de la Région, Christophe WEIBEL, méthodique, va solliciter une avance remboursable « transmission » auprès de la Région de 200 000 euros.

Mais, ce n’est pas tout ! Et comme un bonheur ne vient jamais seul, l’entrepreneur profite également de l’intervention « directe » de la Région au niveau du financement : grâce au fonds baptisé « Invest Défi 3 ».

Tout est dit ou presque dans l’appellation ! Souscripteur de ce fonds à hauteur de 25 %, la collectivité régionale n’a pas ergoté quant aux moyens à attribuer au projet. 1,4 million d’euros ont ainsi été consentis avec le concours de l’exécutif, pour partie en actions et en obligations convertibles. Une manière adéquate d’entrer au capital de TREMPVER pour une durée de cinq à sept ans, avec le concours de BDR Invest (Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté) et BFC Croissance (le corollaire porté par la Banque populaire régionale et du pays de l’Ain).

Modernisé, automatisé, l’outil de production générateur d’emplois sur ce bassin de Forterre où les industries ne sont pas florès, crée une indiscutable plus-value à l’attractivité territoriale. TREMPVER dispose d’un catalogue de 280 clients professionnels répartis aux quatre coins de l’Hexagone. Ne pas délocaliser était aussi une volonté de la Région qui se bat pour préserver le savoir-faire industriel de notre territoire.

« Nous ne pouvions pas prendre le risque que ce centre de décision puisse quitter la région, estime Nicolas SORET, c’est le sens de notre investissement aux côtés du repreneur… ».

Le spécialiste du façonnage et de la transformation du verre plat – la PME fabrique des parois de douche, des escaliers, des dalles de sol, des écrans de protection – sait s’adapter aux exigences des cahiers des charges de ses clients pro, et entend poursuivre ses activités sur cette voie. C’est la politique managériale que suivra Christophe WEIBEL, heureux propriétaire d’un joyau contenu dans un écrin de verre. Trempé ? Assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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Elle se présente en qualité de « personal shopper », la structure gagnante du jour. Littéralement, c’est une conseillère en image. Au quotidien, elle propose à sa clientèle de particuliers et de professionnels un service d’achat personnalisé, question garde-robe, mais aussi en produits d’hygiène corporelle destinés aux pensionnaires des hôpitaux et EHPAD. Implantée à Toucy et rayonnant déjà sur trois départements, ELOGES DECALEES a su séduire le jury du concours de la Dynamique territoriale concocté par GROUPAMA et INITIACTIVE 89.

 

AUXERRE: La carte de visite de la jeune femme révèle un tant soit peu son caractère. Libre, indépendante, pugnace, volontaire. Une silhouette noire d’une femme au large chapeau – elle n’est pas sans rappeler une fameuse gitane usitée jadis par des publicistes – illustre le bristol, affichant ses coordonnées. Sobre, chic et efficace ! Autre curiosité, l’appellation de la profession. « Personal Shopper ». Voyez-vous çà !

Au pupitre, assurant la présentation de sa jeune structure (« ELOGES DECALEES »), lumineuse dans sa tenue rouge flamboyante et à l’aise dans l’exercice oratoire, Elodie DECALEE évoque son concept, ses projets et perspectives. Visiblement, cela marche vraiment fort pour elle ! Son service de shopping personnalisé, destiné tant aux particuliers qu’aux professionnels, a su trouver sa place, tant dans notre territoire que chez nos voisins, puisque les départements du Loiret et de la Seine-et-Marne ne sont pas insensibles à ses prestations.

Surtout que la jeune femme a trouvé son fil d’Ariane en proposant à la commercialisation l’essentiel des produits d’hygiène corporelle à une cible souvent honnie par les circuits de la distribution habituelle : les malades accueillis dans les centres hospitaliers et les seniors vivants à demeure en établissements spécialisés.

 

Un concept 100 % original, sociétal à souhait et par les temps qui courent cela procure un bien fou au niveau de l’altruisme : il n’en fallait pas davantage pour que le jury de professionnels, composé de représentants de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris-Val-de-Loire et INITIACTIVE 89, fasse pencher la balance du bon côté de la médaille !

Munie de son trophée – une jolie pièce imaginée par les fertiles et créatifs frères CHOIRAL de C MY-PUB – Elodie DECALEE repartira de cette soirée avec en sus un subside de mille euros, ce qui n’est négligeable pour mener à bien le développement de ses affaires.

On retiendra pour le fun l’excellente seconde place de Delphine RAUSCENT, de la société VERT LAINE – l’isolant à base de laine de mouton - et la troisième de Gaëtan QUILLIN (« QUILLIN Traiteur ») qui dépasse désormais le million d’euros de chiffre d’affaires, trois ans seulement après sa création ! Une «junior entreprise » suivie dès le début par Jacques BLANCHOT et Pascal MAUPOIS, dirigeants de GROUPAMA, satisfaits du chemin accompli par ce cuisinier en devenir…

 

Thierry BRET

 

 


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