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« RUNTRAIL », la plateforme nationale spécialisée de la discipline l’annonce déjà parmi les dates importantes de son calendrier 2021 en Bourgogne. Le rendez-vous concocté par le Foyer Rural Tanlay Organisation (FRTO) est bel et bien programmé lors de la prochaine période estivale. Précisément, le 17 juillet.  

TANLAY : Empruntant un circuit constitué essentiellement de chemins et de sentiers forestiers (très peu de parties bitumées à parcourir), ce trail fait office de référence auprès des férus de la discipline.

En outre, il se dispute en semi-nocturne, après la touffeur d’une journée chaude et ensoleillée de juillet : un vrai plaisir pour les organismes !

Malgré le contexte sanitaire qui oblige bon nombre d’organisateurs de manifestations sportives à revoir leur copie, le FRTO a décidé de maintenir sa prochaine édition. Comme l’an passé. Celle qui est déjà à biffer sur les agendas des amateurs l’est à la date du samedi 17 juillet.

Son président, Jean-Michel BATTU, vient de le confirmer avec l’envoi de ses vœux aux partenaires.

 

 

 

« Nous préparons nos futures courses avec l’espoir de retrouver toute la convivialité de nos rendez-vous » explique-t-il, en souhaitant l’adhésion de l’ensemble de ses précieux soutiens.

Indicateur positif sur la tenue de cet évènement qui pourrait ne pas passer dans la case des pertes et profits cet été, la plateforme nationale « RUNTRAIL » publie déjà au calendrier 2021 la date et les modalités d’inscription à cette épreuve.

Un bonheur ne venant jamais seul pour les aficionados de la catégorie : un second trail sera proposé, si les conditions le permettent bien évidemment, le dimanche 12 septembre.

 

Thierry BRET

 

 


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Ne pouvant maintenir la traditionnelle manifestation sous son format habituel, FETE (Femmes Egalité Emploi) a donc revu sa copie de manière intégrale pour réinventer le concept. En lui donnant un sérieux coup de booster grâce à la digitalisation et à ses vertus d’immédiateté. C’est en s’appuyant sur le principe de web-rencontres que l’association propose ce nouveau rendez-vous au service de l’emploi au féminin…

AUXERRE : Pas la peine de se rendre à l’espace culturel d’Appoigny pour y vivre les nouvelles aventures de l’une des manifestations vedette attendue sur notre territoire par une myriade de jeunes filles en quête d’une orientation professionnelle ! Le Carrefour des Carrières et sa vingt-troisième édition ne s’y tiendront pas !

Conséquence : la foule ne se bousculera pas dans le hall d’entrée de l’infrastructure municipale aux premières heures d’un petit matin blême de préférence un samedi pour mieux se précipiter vers les stands où l’avenir aurait pu leur tendre les bras.

Dommage, trois fois dommage, pour celles de ces jeunes femmes qui aiment les contacts en vis-à-vis et osent poser de vraies questions pertinentes sur les méandres d’une filière professionnelle pour atteindre leur objectif.

D’ordinaire, elles sont plus d’une soixantaine de cheffes d’entreprise, cadres, libérales ou fonctionnaires à répondre à satiété aux interrogations inattendues de leurs interlocutrices les plus curieuses. Un crève-cœur évident de ne pas se trouver là pour ces entrepreneuses, jamais avares en communication.

Surtout lorsque l’on sait que 40 % de ces jeunes filles qui fréquentent la manifestation annuelle se disent influencées par celle-ci pour choisir leur future orientation.

 

 

Une parade numérique pour se substituer à l’absence du présentiel…

 

 

Il est vrai que le rendez-vous est depuis très longtemps inscrit dans le marbre. Initié par FETE (Femmes Egalité Emploi), structure constituée d’une association de type loi 1901 et d’une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), son impact ne cesse de croître dans le landerneau. Chaque année, le public oscille entre 500 et 800 visiteuses dont un tiers est accompagné de leurs parents. Mais, cette année, ce sera nada !

Du moins, en apparence sur le seul mode présentiel. Opiniâtres, les organisatrices de cette animation soutenue par pléthore d’acteurs institutionnels et économiques de notre territoire ont imaginé une judicieuse parade pour contrer le contexte sanitaire du moment. L’évènementiel se déroulera de manière virtuelle grâce à la magie du numérique !

Ce sont des web-rencontres qui faciliteront les contacts entre ces jeunes filles désireuses d’en connaître davantage sur le bon cursus à suivre dans un avenir proche et les professionnelles qui leur prodigueront conseils et astuces.

 

Des métiers peu féminisés à découvrir….

 

Lors de ces instants, il sera proposé aux internautes de découvrir les facettes de cinq à six métiers de secteurs différents via le témoignage de ces entrepreneuses toujours motivées à transmettre leur savoir. Des questions pourront être posées de manière libre.

Parmi les univers professionnels abordés lors de ces échanges, citons l’agriculture/viticulture, le bâtiment et les travaux publics, la sécurité-défense, le transport et la logistique, les nouvelles technologies, le numérique et l’industrie.

La cohorte de métiers issus de ces catégories corporatistes ne manquera pas d’aiguiser les appétits des plus véloces côté curiosité, celles de ces jeunes femmes qui désirent en connaître davantage sur une filière.

Certains métiers encore peu féminisés mais ouverts aux femmes pourraient susciter également un intérêt tout particulier : surveillante pénitentiaire,  scientifique en recherche clinique, commandante des sapeurs-pompiers, géomètre experte ou manager d’équipe sur les autoroutes.

Ce sont au total six web-rencontres qui seront programmées du lundi 18 au samedi 23 janvier. Le mode opératoire est le suivant pour suivre la manifestation sur smartphone : il suffira de télécharger l’application Zoom et de cliquer sur le lien de la rencontre. Celle-ci étant diffusée en temps réel sur la page Instagram de FETE (@fete_egalite), accessible en suivant le lien : https://www.instagram.com/fete_egalite/

On pourra également se rendre sur le site de FETE (www.fete-egalite.org), choisir l’onglet « Nos actions », soit Carrefour des carrières au féminin où se trouve l’ensemble du programme avec un lien par web rencontre pour se connecter.

En savoir plus :

Carrefour des Carrières au féminin de FETE

 

Lundi 18 et mardi 19 janvier 2021 de 14h30 à 15h30,

Jeudi 21 et vendredi 22 janvier 2021 de 10h à 11 h,

Samedi 23 janvier de 9h30 à 10h30 et de 11h à 12 h.

 

Thierry BRET

 

 


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Le document adressé à la presse ce lundi 11 janvier a reçu l’approbation d’une dizaine de personnalités très représentatives du sérail économique de l’Yonne. D’autres devraient les rejoindre très certainement ces prochains jours dans cette démarche volontariste faisant office de quête qui doit enfoncer le clou en faveur de la campagne de vaccination contre le coronavirus. Le seul et unique moyen de faire bouger les lignes positivement et de mettre un terme à cette cacophonie innommable…

AUXERRE : Existe-t-il un autre moyen pour sortir de l’ornière inextricable dans laquelle se situent la plupart des pays du globe en ce début d’année nouvelle ? Alors que plusieurs médecins craignent une probable aggravation de la crise sanitaire mi-janvier du fait des mauvais résultats obtenus au moment des fêtes, ce qui aurait pour conséquence de reproduire un nouveau confinement total (déjà évoqué par le Premier ministre Jean CASTEX) dans l’Hexagone, les milieux économiques de l’Yonne tentent de prendre le taureau par les cornes en invitant la population locale à se faire vacciner massivement contre le coronavirus.

La seule option envisageable pour mettre un terme à une situation dont la complexité semble insoluble. Une dizaine de ces acteurs, clés de voûte de la vie économique de notre territoire se sont ralliés à l’initiative prise par Didier MICHEL, le président de la Fédération du Bâtiment dans l’Yonne et lui-même à la tête de la SAS éponyme de rédiger un texte commun.

D’autres devraient se manifester dans les jours qui suivent pour encourager ce désir de faire fi de toutes ses peurs envers les antidotes pharmaceutiques concoctés par les laboratoires de la planète.

L’objectif n’étant plus de se poser des questions avec ses réticences habituelles autour du bien-fondé de cette campagne vaccinale qui a vu le jour en France depuis le début de l’année mais et bien de passer à l’acte. Dans l’intérêt de la vie de ces entreprises qui, pour certaines demeurent fermées depuis des mois et pourraient mourir à petit feu.

 

 

 

Pourquoi nous allons nous faire vacciner ?

 

Voici dans son intégralité ce texte fédérateur et sans équivoque sur la nécessité de recevoir les deux doses de vaccin dans les prochains jours :

« Comme beaucoup de nos compatriotes, nous avons une certaine appréhension, voire disons le mot, une certaine réticence devant ce nouveau vaccin contre la COVID.

Toutefois, une réflexion rationnelle sur le retour d’expériences pratiquées depuis plusieurs semaines à l’étranger démontre qu’il est bien moins dangereux de se faire vacciner que de faire les quelques centaines de kilomètres que la plupart d’entre nous est amenée à effectuer chaque mois dans le cadre de leur activité professionnelle.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos entreprises en grandes difficultés dans l’exécution de leurs tâches quotidiennes, voire pour certains d’entres elles contraintes de rester fermées et mourir à petit feu.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos salariés dans la souffrance de l’absence du lien social qu’apporte normalement l’entreprise. Force est de constater que le télétravail généralisé, l’absence du pot d’entreprise ou la sortie au bistrot avec les collègues le vendredi soir engendre un mal-être social allant jusqu’à conduire certains à la dépression.

 

 

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser les étudiants dans le niveau de déshérence qu’impose le virus. La transmission du savoir doit forcément s’effectuer au moins pour partie en présentiel.

Nous prenons chaque jour du retard dans l’instruction de celles et ceux qui seront nos futures forces vives.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser s’accroître la dette de la Nation qui, par effet de ciseaux, voit ses dépenses d’aides augmenter alors que ses recettes baissent. C’est un héritage toxique que nous sommes en train de laisser à nos futures générations.

Le seul moyen à ce jour, à notre sens, de nous sortir de cette situation est de rompre les chaines de contamination par la vaccination massive.

C’est pourquoi nous, dirigeantes et dirigeants d’entreprise, estimons qu’il est du devoir du plus grand nombre de citoyens, de recourir à cette vaccination, à l’instar de nous-même, et ce dès que possible… ».

Cet appel qui vient du cœur et de la raison sera-t-il entendu auprès des plus réfractaires de nos concitoyens qui rejettent l’idée de se faire vacciner afin de juguler la circulation du virus ?

C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à cette initiative groupée, mobilisatrice de bon nombre de responsables d’organisations syndicales et professionnelles…Il ne faut pas oublier de sauver aussi les entreprises…

 

 

La liste des premiers signataires :

 

Didier MICHEL, président de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne,

Jean-Dominique DAGREGORIO, président de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de l’Yonne (UIMM),

Olivier TRICON, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME),

Patrick TUPHE, président de PRISME EMPLOIS Bourgogne Franche-Comté,

Christophe DESMEDT, président de la Confédération nationale des métiers des services et de la fabrication de l’Yonne

David MARTIN, président de l’Union nationale des Entreprises de Proximité (U2P) de l’Yonne

Jean-Pierre RICHARD, président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment de l’Yonne (CAPEB),

Jean-François LEMAITRE, président de la Confédération générale de l’Alimentation en détail de l’Yonne (CGAD) et président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne.

Éric MOUTARD, président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH),

Emmanuèle BONNEAU, présidente du Mouvement des Entreprises de France de l’Yonne (MEDEF).

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il a de la suite dans les idées, Mikaël PECHERY. L’agriculteur exploitant de Brosses se révèle être un véritable précurseur pour faire évoluer sa filière. Déjà à l’origine de la fameuse épicerie commercialisant des produits locaux au Silo Rouge à Avallon, le garçon souhaite diversifier ses activités en se lançant dans la conception de produits cosmétiques. Auquel il ajoutera volontiers le volet aromathérapie. Un projet novateur qui a reçu le soutien de la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE...

AVALLON : Conversion partielle de son exploitation de 620 hectares en cultures biologiques, vente directe de produits du terroir à l’aide d’une vitrine commerciale spécifique aux côtés d’une dizaine d’autres producteurs…décidément, rien n’arrête l’exploitant agricole trentenaire du sud de l’Yonne qui déborde de créativité !

En compagnie de deux autres représentants de la filière, le voilà reparti bille en tête dans la réalisation d’un nouveau projet. Celui-ci se positionne dans la réalisation de produits cosmétiques et dans l’aromathérapie !

L’idée est plus que louable : cultiver diverses plantes afin d’obtenir par la magie de la transformation des huiles végétales et des huiles essentielles. Celles-ci servant de base à la création d’une nouvelle gamme de cosmétiques qui seraient vendus de manière semi-directe et directe. Comblant ainsi des consommateurs de plus en plus intéressés par ces articles.  

Précisons qu’une partie de la production serait commercialisée dans une structure implantée aux alentours de Vézelay.

 

 

Un accompagnement du projet avec les acteurs de l’économie…

 

La lumineuse idée de l’éleveur de bovins allaitants a donc fait tilt dès que la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE en a eu écho. Ce futur projet a interpellé la représentante de l’Etat, soucieuse de soutenir toutes les initiatives attrayantes de la dimension économique pour le bienfait de son territoire.

C’est sur le registre de l’accompagnement de ce dossier que Cécile RACKETTE a pris soin d’organiser une réunion de travail en présentiel ce jeudi 14 janvier après-midi à la salle des fêtes de Montillot.

Elle y convie différents acteurs du département afin d’analyser la pertinence de ce projet pour le moins original dans la filière agricole. Les élus, les services de l’Etat, les chambres consulaires, la Région ou encore l’agence de développement Yonne Tourisme ont d’ores et déjà confirmé leur participation.

 

Thierry BRET

 


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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de ne pas abaisser l’horaire du couvre-feu de 20 heures à 18 heures. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse tenue ce samedi après-midi. La mesure aurait dû être applicable dès ce dimanche 10 janvier. L’Yonne devient l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à ne pas subir ces contraintes supplémentaires...

AUXERRE: Communiquée aux alentours de 15h30 ce samedi, la décision du représentant de l’Etat de ne pas modifier l’horaire du couvre-feu en le ramenant à 18 heures plutôt qu’à 20 heures peut être vécu comme un « ouf » de soulagement pour celles et ceux de nos concitoyens qui ont à souffrir d’ordinaire de ces restrictions limitant leurs libertés.

Henri PREVOST n’a donc pas voulu pratiquer de surenchère en modifiant les règles de cette mesure, déjà très limitative dans nos déplacements. Son choix de maintenir le couvre-feu à 20 heures repose sur la connaissance des ultimes indicateurs fournis par l’Agence Régionale de Santé (ARS) et de ses appréciations.

Ainsi, le taux d’incidence global de référence s’établit à 195 cas pour cent mille habitants sur le territoire septentrional de la région ; a contrario celui de la Bourgogne Franche-Comté s’élève à 245 cas pour cent mille habitants.

Une donnée chiffrée légèrement en deçà du seuil fatidique de 200 qui, en cas de dépassement, aurait déclenché la mise en exergue quasi immédiate de ce changement d’horaire inhérent au nouveau couvre-feu.

Toutefois, force est de constater que l’indice se rapportant aux personnes âgées de plus de 65 ans se situe plutôt au-dessus de cette barre référentielle.

 

Un virus toujours très actif dans sa circulation…

  

Moyennant quoi, le représentant de l’Etat avait pris soin de consulter l’avis de plusieurs élus locaux avant de faire connaître sa décision. Globalement, une majorité d’entre eux n’était guère favorable à cette réduction d’horaire au nom de l’intérêt économique et général.

Après avoir tutoyé les sommets au niveau du nombre de contaminations il y a encore quelques semaines, l’Yonne est désormais le seul département de la région à adopter un profil plutôt favorable. Et ce, depuis bientôt huit jours.

Pour autant, la vigilance reste de mise. La situation peut en effet évoluer à tout moment selon le représentant des pouvoirs publics.

 

 

 

 

Un nouveau point d’étape sera d’ailleurs effectué au cours de la semaine prochaine pour analyser la pertinence évolutive de ces chiffres. Une chose est sûre : la circulation du coronavirus reste très active.

Quant à la stabilité constatée depuis le début de janvier, elle est observée, certes, mais à un niveau élevé. Les statistiques se rapportant aux patients victimes de la pathologie ne sont pas flamboyantes. Deux cent-six personnes fréquentent toujours les  hôpitaux du département. Une vingtaine d’entre elles occupe les lits des services de réanimation. Quant aux décès, ils s’élèvent à 288 depuis la recrudescence de la seconde vague.

 

 

 

La situation évoluerait dans le mauvais sens en cas d’indicateurs en hausse…

 

Quant aux effets préventifs d’entre les fêtes, ils ne seront réellement connus et appréciés qu’aux alentours de la mi-janvier. D’ici là, le préfet demande à la population de ne pas baisser le degré de vigilance. Rappelant au passage que les cercles familiaux et amicaux favorisent la prolifération du virus de manière la plus exacerbée.

« Il est nécessaire de limiter toutes les occasions de se regrouper, devait-il ajouter, c’est le meilleur moyen de juguler les effets dévastateurs de cette pandémie... ».

Hypothèse où au beau milieu de la semaine prochaine les indicateurs vireraient au rouge, le préfet de l’Yonne ne tarderait pas alors à réagir en avançant l’horaire du couvre-feu.

Dernier point : le haut-fonctionnaire n’a pas eu vent de la présence de la contagieuse variante britannique de la COVID ni dans l’Yonne, ni en Bourgogne Franche-Comté.

Lors de son intervention audiovisuelle de jeudi, Jean CASTEX avait annoncé la présence d’une vingtaine de cas dans l’Hexagone.

La Bretagne, l’Ile-de-France ainsi que les Hauts-de-France ont été signalés comme secteurs à risque. Maigre consolation pour la Bourgogne Franche-Comté, d’autres territoires sont encore plus mal lotis que nous !

 

Thierry BRET

 


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