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Plus de 4 700 évènements serviront de tremplin à la promotion de la filière à travers l’hexagone au cours de la neuvième édition de la Semaine de l’Industrie qui se déroulera du 18 au 24 mars. Par le biais de l’apprentissage, 87 % des jeunes gens empruntant cette voie pédagogique trouvent un emploi dans les six mois qui suivent leur formation. Il est donc fort à parier que bon nombre de ses futurs salariés de la corporation vont se précipiter au gré de ce copieux programme pour mieux cerner les besoins des industriels et découvrir les cursus et diplômes, permettant d’y parvenir…Ce sera le cas dans l’Yonne grâce au Pôle Formation 58/89.

AUXERRE : Susciter des vocations tout en démontrant au plus grand nombre des représentants de la nouvelle génération que l’industrie offre des carrières passionnantes, stables, formatrices et en moyenne mieux rémunérées que dans les autres secteurs d’activité. C’est l’enjeu prioritaire de cette 9ème Semaine de l’Industrie qui va se décliner en France, et à l’échelle des territoires, dès le lundi 18 mars.

Pour la première fois depuis 2000, ce secteur qui avait été terriblement affecté par la résultante de la crise économique vécue dans les années 1980/1990, crée plus d’emplois qu’il n’en détruit.

Proposant même la pérennité de l’emploi pour celles et ceux qui y exercent leur savoir-faire : 92 % des collaborateurs du secteur industriel travaillent avec un CDI dans leur besace.

Stratégique à plus d’un titre dont celui de l’international, le secteur est en quête de solides compétences pour honorer et développer ses contrats. Cinquante mille postes ne sont pas encore pourvus à l’heure actuelle, engendrant une véritable frustration pour les chefs d’entreprise qui voient leurs carnets de commande explosés. Faute de candidats à l’embauche, certains sont dans l’obligation de refuser des marchés !

200 000 postes supplémentaires pourraient être créés…

Deux cents mille emplois supplémentaires pourraient même voir le jour si la filière arrivait enfin à résoudre ce curieux paradoxe sociétal observé depuis plusieurs années : un déficit d’appétence des jeunes diplômés pour les nombreux métiers de l’industrie.

Rien d’étonnant que le ministre de l’Economie et des Finances, en personne, soit monté au créneau dernièrement. Epaulé par la secrétaire d’Etat Anne PANNIER-RUCHIER, Bruno LE MAIRE a décidé de booster l’évènement annuel lors d’un lancement officiel devant avoir lieu ce lundi 18 mars. Le représentant du gouvernement veut adresser un message fort à toutes les instances professionnelles de la filière, à commencer par l’Union des Industries et métiers de la métallurgie (UIMM), garante de l’opération.

Apparue en 2010, la Semaine de l’Industrie bénéficie du soutien de nombreux partenaires institutionnels et économiques : BPI France, France Industrie, Régions de France, l’Alliance Industrie du Futur, ainsi que les ministères du Travail, de l’Education nationale et de la Jeunesse, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, de l’Agriculture et de l’Alimentation.

Le schéma promotionnel pour vanter les aspects attractifs du secteur demeure classique. Il s’articule autour de visites d’entreprises, conférences, ateliers, job dating, portes ouvertes dans les centres de formation. Plus de 800 000 jeunes ont ainsi été ciblés par les organisateurs de cette vaste campagne de sensibilisation.

Une nouvelle marque valorisant le savoir-faire national…

L’une des pierres angulaires de cette édition 2019 prendra forme avec le lancement de la nouvelle référence identitaire, « French Lab ». Il s’agira de promouvoir l’industrie française sur tout le territoire tricolore en ponctuant cette démarche de rendez-vous (une soixantaine) distillés au niveau régional.

Sur le territoire icaunais, l’UIMM proposera plusieurs temps forts avec l’aide précieuse du Pôle Formation 58/89 et GISAéro (Groupement Icaunais de la sous-traitance aéronautique).

Le programme complet :

Les ateliers « Job Evolution » : ils accompagnent la mise en place de projet professionnel et/ou de formation grâce à des informations collectives sur les métiers de l’industrie et des ateliers découverte animés par des professionnels. Ouverts aux demandeurs d’emploi, ils permettent à chacun d’avoir une vision concrète et pratique des métiers porteurs d’emploi dans le département.

Pour s’inscrire à la session le vendredi 22 mars à 9 heures au Pôle Formation 58 - 89, à Auxerre, un contact, Karène TERNOIS au 03.86.49.26.57.

Des démonstrations de soudage micro laser : elles seront organisées en partenariat avec GISAéro au Pôle Formation 58/89 à Auxerre le mercredi 20 mars à 14 heures.

Inscription au 03. 86. 49. 26. 00.

Plusieurs visites seront proposées pour les collégiens et lycéens. Ainsi, les élèves de classes de 3ème et 4ème du collège des Champs-Plaisants de Sens visiteront l’entreprise ULMANN à Saint-Valérien le 21 et le 25 mars, de 14 heures à 16 heures.

Les élèves de classes de seconde MEI (Maintenance des équipements industriels) du lycée des Chaumes d’Avallon visiteront l’entreprise SKF à Avallon le 21 mars, de 14 heures à 16 heures.

Les élèves de 3ème du collège Paul Bert d’Auxerre visiteront l’entreprise FIGEAC AERO à Auxerre, le 22 mars, de 14 heures à 16 heures.


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Proposé à quelques jours d’intervalle à Sens et à Auxerre, le rendez-vous explicatif citoyen, relayé par la confédération des PME de l’Yonne, n’a pas suscité un réel enthousiasme parmi les rares entrepreneurs présents. Pourtant, l’exécutif du syndicat patronal avait conçu les choses à la perfection, invitant ses adhérents à échanger autour des quatre items prédéfinis par la directive nationale. Des observations nourries et intéressantes en ont résulté. Elles portaient sur la réalité quotidienne vécue par des chefs d’entreprise qui souhaitent une uniformisation de la fiscalité et davantage de justice afin ne plus être considérés à l’avenir comme de véritables vaches à lait pour financer le système…

AUXERRE : Une dizaine de personnes ont pu faire entendre leur voix dans le cadre de la déclinaison locale du Grand Débat, à l’estampille de la CPME, accueillie à Auxerre. Quarante-huit heures plus tôt, un exercice oratoire similaire avait eu lieu à Sens. N’entraînant pas, loin s’en faut, une excitation débordante de la part de participants, incités néanmoins à donner leur avis personnel.

Pourtant, les chefs d’entreprise, à la tête de TPE et PME, ont des choses à dire. Et surtout des propositions à suggérer (voire l’article correspondant). Et cette double désertification de l’assistance n’en enlève pas le crédit accordé à cette séance verbale nécessaire que le syndicat patronal de l’Yonne désirait mettre sur pied.

Le président de la CPME, Olivier TRICON, très détendu, ne sombrait pas dans le fatalisme de circonstance devant cet auditoire quelque peu clairsemé. Bien au contraire ! Sa collaboratrice, Emmanuelle MIREDIN, secrétaire générale de l’organisme, a su conduire la session avec brio en se référant scrupuleusement au mode opératoire en vigueur. Déroulant la discussion autour de chacune des quatre thématiques préétablies initialement par le gouvernement.

Ainsi, point par point, les débatteurs eurent tout le loisir de pouvoir argumenter sciemment sur les thèmes appropriés, pour mémoire, la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique et la démocratie, assortie à son corollaire, la citoyenneté.

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La coupe est pleine au niveau du ras-le-bol fiscal !

Si l’un des intervenants exigea avec véhémence la suppression pure et simple du CESE (Conseil économique, social et environnemental) – soit un budget annuel de fonctionnement de plus de 500 millions d’euros-, d’autres intervinrent sur les problèmes liés aux cessions d’entreprise et à leur taxation.

« C’est clair, fustigea un entrepreneur de manière péremptoire, aujourd’hui quand on est un dirigeant d’entreprise, on n’est empêché de vendre et d’acheter une société ! ».

Ce ras-le-bol de la double peine fiscale s’est fait ressentir avec l’apport de témoignages complémentaires parmi l’assistance. Petit à petit, au fil des minutes qui s’égrenaient, les langues se déliaient avec délectation. Jetant l’opprobre contre le surpoids fiscal envahissant exercé par Bercy.

Parmi le florilège de préconisations que les entrepreneurs de la CPME aimeraient voir aboutir au terme de ce raout citoyen populaire, la suppression des taxes sur les bénéfices réalisés par les entreprises figurent en pôle-position sur la grille des mesures à gérer en urgence. Pour l’un d’entre eux, il est proprement inacceptable que toutes ces spécificités franco-françaises de l’administration fiscale impactent si durement l’économie de notre pays, à l’heure de la mondialisation.

Quant à l’évasion fiscale et la taxation des géants américains regroupés sous l’acronyme des GAFA, l’unanimité fut de mise dans la salle pour demander un plan d’actions immédiat de la part de la gouvernance. A grand renfort de prélèvements fiscaux !

Une vraie lutte doit s’engager contre les profiteurs abusifs du système put-on encore entendre au cours de cette séance qui aura eu le mérite de tâter le pouls de chefs d’entreprise en colère contre le dispositif trop « franco-français » de la fiscalité. Un système devenu insupportable à leurs yeux, aujourd’hui.


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Il y a un an, le président du Conseil départemental de l’Yonne dressait les contours d’une ligne directrice qu’il était nécessaire d’emprunter pour maîtriser les dépenses et la dette de la vénérable institution. Il insistait alors sur sa vision claire et stratégique lui permettant d’atteindre cet objectif. Même s’il n’avait nullement fait abstraction de la nécessité de procéder à des réformes afin de respecter le cahier des charges établi dans le cadre de la contractualisation avec l’Etat. A l’heure du premier bilan, le responsable de l’exécutif icaunais peut dormir tranquille sur ses deux oreilles : les dépenses de fonctionnement ont été contenues tandis que l’endettement s’est fortement réduit…

AUXERRE : Promesse tenue pour le président du Conseil départemental de l’Yonne ! Faisant preuve de vigilance dans la conduite des politiques publiques, au cours de ces douze derniers mois, le budget de l’exécutif n’a pas eu à souffrir d’un excédent de dépenses et de dettes supplémentaires au terme de cet exercice 2018.

Pourtant, si l’on ramène le curseur un an en arrière, la situation financière de la collectivité territoriale était loin d’être flamboyante. Et, en amont du vote du budget primitif 2019, Patrick GENDRAUD ne pouvait manquer dans son discours introductif de féliciter le travail collectif de l’assemblée départementale qui a su infléchir une tendance qui ne présageait rien de bon à terme pour le bas de laine de l’institution.

L’un des points essentiels aux yeux de l’ancien édile de Chablis et obtenue grâce à une gestion rigoureuse de chef de famille reste la non-augmentation de la fiscalité.

« Nous ne pouvons que nous en satisfaire, concèdera-t-il au perchoir présidentiel, d’ailleurs, ce résultat est l’affaire de tous les élus du Département… ».

L’équation est donc simple pour Patrick GENDRAUD. Appliquant une saine recette qu’il assume pleinement, il souhaite poursuivre sa politique budgétaire pour 2019 vers ce même objectif de stabilité. En éradiquant d’un revers de la main toute idée de hausse d’impôts. Et surtout en maîtrisant au cordeau les dépenses et la dette.

Même si les impondérables de l’actualité peuvent rattraper les bonnes décisions et les biaiser de facto (lire l’article sur la politique d’investissement dans les collèges).

Une méthode de gouvernance qui prend ses sources dans le pragmatisme…

Soucieux de dépasser les clivages de toutes sortes, le président de l’exécutif territorial s’emploie à poursuivre sa mission, notamment sur la ligne budgétaire mais aussi sur l’ensemble des grands dossiers qui reviennent à la compétence de l’institution, avec un souci de transparence et de travail en commun.

« Nous devons être dans la nécessité de l’écoute, devait-il rappeler à l’auditoire attentif à la moindre terminologie prononcée.

Revendiquant les préceptes de la démocratie participative et constructive, Patrick GENDRAUD entend relever les enjeux et défis de la collectivité qu’il dirige en se faisant le chantre et le garant du respect des institutions. Un exercice qui n’est pas aussi simple parfois dans un hémicycle surchauffé par la passion !

Puis, philosophe, le chef de file de l’Yonne prévient : « Il est très facile de croire qu’on détient, seul et exclusivement, la vérité : je pense qu’il faut se méfier d’un tel sentiment ».

S’épanchant davantage, il poursuit : « je suis prêt à admettre que je ne sais pas. Et j’affirme que le compromis et la compréhension ne sont pas des signes de compromission… ».

Un état d’esprit qui aura été le socle de sa réflexion et l’aura guidé dans le pilotage de son action tout au long de l’année 2018. Une intervention menée comme un bon père de famille au service de ses concitoyens…


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Le CIFA de l’Yonne a été le théâtre d’une saine confrontation en ce début de semaine. Celle devant opposer cinq jeunes candidats, âgés de moins de 21 ans, qui se sont disputés via huit épreuves à vocation technique le titre de l’ « Un des meilleurs apprentis de France » du territoire de l’Yonne, catégorie mécanique.  

AUXERRE : En apprentissage au CIFA de l’Yonne ou au lycée Louis Davier de Joigny, cette demi-douzaine de prétendants à la suprématie territoriale ont su rivaliser de talent pour s’extraire du lot et tenter de gagner ainsi l’une des distinctions qualificatives pour les épreuves régionales, voire nationales.

Se disputant âprement cette sélection, tous espèrent décrocher le précieux sésame, la médaille d’or, celle d’argent ou la breloque de bronze, qui récompenserait les efforts fournis durant l’épreuve. Celle-ci englobait des ateliers d’injection, de boîte de vitesse, de métrologie, de circuit de charge…

Un sabir que seuls les exégètes de la chose mécanique maîtrisent à la perfection, il va de soi !

Il en est ainsi des organisateurs (Philippe CATHELIN, formateur au CIFA) et des membres d’un jury de professeurs ou de professionnels de la mécanique (Jérôme BOURBON, Mickael MICHAUT, Tony MORENO, Anthony BUREAU et Christophe PLINGUIER).

On notera la présence parmi ce jury d’experts de l’automobile de la jeune Elisa PERE, elle-même ancienne apprentie du CIFA et ex-Meilleure apprentie de France.

Plus de six mille candidats s'inscrivent chaque année, et ce, dans plus de 90 métiers, à ce concours de brillance nationale. In fine, 344 de ces jeunes gens obtiennent le Graal en glanant des médailles or, argent ou bronze.

Quant au suspens, il demeure intégral. Le verdict définitif ne sera connu que fin mars.

 


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Le délégué interministériel à la Sécurité routière, en immersion il y a quelques jours au Foyer d’accueil médicalisé Philippe GUILLEMANT à LIXY, n’a pas eu de mots assez forts pour expliquer l’action qu’il mène au quotidien face à la recrudescence de la violence routière. Aux côtés du préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et d’un aréopage de personnalités des forces de l’ordre, Emmanuel BARBE a pu écouter en y prêtant grand intérêt les nombreux témoignages poignants de ces femmes et de ces hommes (professionnels de santé, représentants de la Gendarmerie nationale, de la police et des sapeurs-pompiers, familles et victimes de l’accidentologie routière…) lors d’une rencontre chargée en émotion.

LIXY : Le visage grave, sur lequel se reflétait une forte intensité émotionnelle, le délégué interministériel à la Sécurité routière a pris le temps de rencontrer plusieurs pensionnaires du FAM, le Foyer d’accueil médicalisé implanté dans l’Yonne septentrionale.

Cet établissement est l’un des rares en France, voire l’unique centre en mode opérationnel par la richesse de sa qualité relationnelle, de son écoute et de la pertinence de ses travaux de rééducation que les administrateurs et équipes prodiguent à ces personnes, à accueillir des blessés de la route, traumatisés à jamais par d’importantes séquelles physiques et psychologiques.

Et, il a beau être en poste depuis le 01er avril 2015 et multiplier ce type d’initiative auprès des familles et des victimes, Emmanuel BARBE n’en est pas moins un homme sensible qui ne peut se résoudre à accepter l’inacceptable. Toute son énergie se concentre à la lutte qu’il mène de manière frontale face la violence routière, qu’il n’hésite pas à qualifier d’« inéluctable homicide ».

« Chaque année, précise-t-il, ce sont 1 700 de nos concitoyens qui deviennent les victimes d’autres personnes et disparaissent du fait de mort violente sur les routes de notre pays… ».

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Le sens des actions de la Sécurité routière : une indéfectible lutte…

 

La Sécurité routière recense chaque année plus de 60 000 accidents de la circulation. Certains sont matériels. D’autres, nettement plus conséquents. La plupart engendrent néanmoins leur lot de drames humains.

« Vous savez, concède le délégué interministériel d’une voix calme et posée non dénuée de fermeté, lorsqu’une personne décède, ce qui est regrettable dans de pareilles circonstances, les familles finissent par faire leur deuil selon le processus psychologique habituel. A contrario, quand il y a des blessés à vie, marqués au plus profond de leur chair, les familles doivent endurer les souffrances physiques et psychiques de leurs proches. Même si elles les accompagnent dans leur existence quotidienne, elles ne s’en remettent jamais… ».

Alors, à quoi bon lui parler de la baisse de la limitation de la vitesse ramenée à 80 km/h au 01er juillet dernier ou de la prolifération, parfois abusive et inappropriée des radars automatiques, Emmanuel BARBE renie ces considérations démagogiques qui n’ont pas lieu d’être en bloc. Fort justement.

La lutte que le délégué interministériel pilote est implacable. « C’est le sens de l’action qui nous anime chaque jour, lâche-t-il, et toutes les polémiques et gesticulations qui vont avec sont dérisoires, voire totalement obscènes après avoir visité un centre d’accueil comme celui-ci… ».

Indifférent aux humeurs de quelques réfractaires au Code de la route, le délégué à la Sécurité routière ne ronge pas son frein. Réduire la vitesse représente un leitmotiv personnel que rien ni personne ne fera déroger d’un iota. Même s’il constate avec amertume que la destruction massive des radars, imputable à certains mouvements de foule depuis novembre, plombe les bons résultats enregistrés au cours de l’année 2018.

Sachant ce que cela coûte aux victimes et familles de se remémorer les postures délicates d’un accident de la route, Emmanuel BARBE juge nécessaire ces entretiens à cœur ouvert. Ne serait-ce que pour accompagner celles et ceux qui demeureront à jamais meurtris dans leur enveloppe charnelle…

 


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