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Maison fondée en 1844, « Le Conservateur » est un acteur de référence sur le marché patrimonial français. Spécialiste de la gestion d’épargne de moyen et de long terme, il accompagne ses clients dans une approche sur mesure pour la gestion et la valorisation de leur patrimoine personnel et professionnel.

 

AUXERRE : Au fil du temps, « Le Conservateur » a élaboré une vaste gamme de produits (assurance-vie, prévoyance, épargne retraite, placements financiers…) dont une solution d'épargne originale : la tontine.

Groupe indépendant porté par un réseau de conseillers en gestion de patrimoine, agents généraux d’assurance, implanté sur l’ensemble du territoire, « Le Conservateur » place l’intérêt de ses sociétaires (les familles, les dirigeants et leurs entreprises, etc.) au cœur de ses priorités. Il attache une importance particulière à la qualité de la relation qu’il tisse avec chacun d’entre eux : une relation personnalisée et durable dans une convergence d’intérêts, qui accompagne les différentes étapes de la vie de chacun.

Ainsi, en ouvrant son nouveau bureau à Auxerre, l’enseigne est au plus proche des Icaunais. La rentrée 2023 est riche en événements avec un programme de conférences, dont le lundi 06 novembre, en partenariat avec le magazine « Le Revenu » une soirée débat au Domaine BROCARD sur le thème « Comment gérer et dynamiser son patrimoine ? ».

Pour réserver votre place et participer à l’un de ces évènements contact à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Maryline GANDON

 

 


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Les élus municipaux et communautaires d’Auxerre Ecologie Solidarités ont réaffirmé lors d’une réunion publique à laquelle assistait une centaine de personnes leur opposition au projet porté par la majorité en place, présidée par le maire d’Auxerre, Crescent MARAULT. L’occasion pour nombre de personnes présentes, de faire part de leurs interrogations et inquiétudes quant à l’abandon de la collecte au porte-à-porte, au bénéfice de l’installation de points d’apports volontaires (PAV) répartis sur tout le territoire de la Communauté de l’Auxerrois, synonyme pour beaucoup de nuisances et de régression.   

 

AUXERRE : D’emblée, l’élu EELV Denis ROYCOURT donne le ton de la soirée : « les propositions faites par la mairie sont purement spéculatives, derrière il n’y a rien, aucune cohérence globale dans ce dossier… ».

Rappelant qu’une étude préalable sur le sujet, financée par l’ADEME, avait été réalisée par l’ancienne municipalité mais dort aujourd’hui dans un tiroir : « On demande aux élus de décider, alors qu’ils n’ont pas en main les informations nécessaires pour pouvoir se positionner ! ».

C’est dans cette optique qu’il réclamera jeudi matin au prochain conseil communautaire, de concert avec sa collègue Florence LOURY, un report des décisions prises.

« Cela débutait plutôt bien… reconnaît cette dernière, revenant sur le diagnostic de la situation dévoilé par l’étude commandée, « j’ai trouvé les infos intéressantes, mais par la suite, aucune présentation faite, uniquement des documents transmis, sans prise en compte de nos positions… ».

 

 

Le risque de voir exploser les dépôts sauvages

 

Une étude au coût non négligeable de 100 K€ qui, fait apparaître notamment que la population de l’Auxerrois compte 11 % de personnes âgées de 75 ans et plus, avec cette conclusion émise par le bureau d’études signataire : « nécessité d’intégrer une réflexion sur les personnes âgées dans le dispositif de gestion des déchets qui sera retenu ».

Une recommandation restée lettre morte selon les deux élus, dont la fibre écologiste est mise à mal par le choix proposé également, de substituer aux sept déchetteries existantes maillées sur le territoire, deux super structures (pour un coût global de 7 millions d’euros), dont l’éloignement contraindra certains habitants à effectuer jusqu’à 15 ou 20 km pour y accéder souligne Florence LOURY : « alors même que notre collectivité s’est engagée avec un plan climat énergie pour utiliser beaucoup moins les voitures individuelles… ».

Rappelant en parallèle le risque de dépôts sauvages engendré par un tel éloignement : « on l’a bien vu lors de la crise COVID, alors que les déchetteries étaient fermées et que les dépôts sauvages se sont multipliés un peu partout… ».

 

 

Se pose la question du tri des bio-déchets

 

Autre sujet évoqué, celui de la Taxe Générale sur les Activités Polluantes (ou TGAP), créée il y a vingt-quatre ans sur le principe « pollueur-payeur », concernant les déchets non valorisables destinés à l’enfouissement ou l’incinération. Une taxe créée pour inciter au tri sélectif, mais qui augmente chaque année avec un surcoût estimé à près de 500 K€ supplémentaires pour l’Auxerrois à l’horizon 2025. Le système envisagé par la majorité en place, pénalisant de fait le tri sélectif en amont selon Denis ROYCOURT, dont le choix s’oriente plus vers une politique « incitative et pédagogique » plus à même de freiner le volume de ces déchets « ultimes ». Se pose aussi la question du tri des « bio-déchets », avec l’obligation au 01er janvier prochain, de « sortir » ce type de déchets des ordures ménagères, à charge aux communes ou collectivités de trouver une solution ad hoc : « la seule solution proposée est d’installer des PAV bio-déchets en même temps que le reste, mais pas avant deux ou trois ans, d’ici là, que fait-on ? Ils misent sur un report… ». 

 

 

Cette habitante des Piedalloues s’inquiète : « nous sommes une population relativement âgée, dans un quartier où cela monte et descend partout. Comment va-t-on faire ? Vous nous voyez avec une canne d’une main, portant de l’autre notre sac poubelle… ? ».

La question de cette pénalisation des personnes vulnérables a bien sûr été posée, avec comme réponse, selon Danièle BOISSON, conseillère municipale à Jussy, « que ce sera à la population de se retourner vers les Comités d’Aide Sociale (CAS) des communes et d’organiser une entraide pour aider les personnes les plus fragiles… ».

 

Une brigade verte de trois personnes : surréaliste !

 

Bénéficiant d’un statut particulier de collecte assuré par un prestataire privé, les huit communes du pays Coulangeois ont, rappelle l’élue, misé depuis 2008 sur une redevance incitative pour faire diminuer le volume des déchets collectés, « si l’on nous intègre au système prévu, l’on sera doublement pénalisé, perdant le bénéfice d’une expérience de plus de dix ans en la matière… ».

Alors même que les résultats étaient très encourageants, précise son collègue de Coulanges-la-Vineuse et premier adjoint, Christophe MOUY : « sur le Coulangeois, la moyenne est aujourd’hui de 90 kg d’ordures résiduelles par an et par habitant, contre 230 kg dans le reste de l’Auxerrois… ».

Ironisant sur le réseau de caméras prévu assurer la surveillance des futurs points de collecte : « une brigade verte avec trois personnes qui va tourner sur l’Auxerrois et verbaliser tous les contrevenants, c’est surréaliste ! ».

Nuisances sonores, impact foncier des 700 points de collecte prévus, risque à terme de privatisation générale du service, manque de concertation, dégradation du service aux habitants… autant de sujets abordés lors de la soirée, avec cette question en point d’orgue : quid des milliers de bacs jaune et marron qui assuraient jusque-là le tri sélectif et ont représenté un investissement énorme pour la communauté de communes ? Seront-elles mises au rebut ? Il est vrai qu’elles ont l’avantage de disposer de roulettes et que l’on pourra toujours s’en servir pour emmener ses déchets aux différents points d’apports volontaires annoncés !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Fléau à l’origine de la destruction massive des récoltes – des centaines d’hectares sont retournés chaque année sur le territoire hexagonal -, le sanglier s’est donc invité au cours de la session de rentrée de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, jeudi matin. Malgré les prélèvements assurés par les chasseurs, les professionnels du monde agricole veulent davantage de moyens pour protéger leurs champs des ravages commis par ces prolifiques mammifères…

 

AUXERRE : Haro sur les sangliers dans les campagnes icaunaises ! Le phénomène ne date pas d’hier mais il semblerait que les prélèvements assurés par les sociétés de chasse ne soient pas suffisants pour en réduire le nombre, la bestiole prolifère à la vitesse du son dans les bois et sous-bois de nos forêts. Et mieux se nourrir au beau milieu des champs de tournesol, de blé ou de maïs des agriculteurs qui déconfits n’ont plus que leurs yeux pour pleurer !

Selon une estimation fournie par la Fédération nationale des Chasseurs, les dégâts occasionnés par ces puissants mammifères aux cultures et aux terres agricoles représentent entre 30 et 50 millions d’euros par an dans l’Hexagone. Par chez nous, les destructions des récoltes sont légion. Les céréaliers ne cessent de signaler les méfaits de ces animaux à leur instance officielle, la Chambre départementale d’Agriculture.

Profitant de la présence du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, lors de la séance automnale de l’organisme consulaire réuni en plénière, plusieurs agriculteurs ont exprimé le souhait d’obtenir le droit de protéger leurs cultures. Comble du comble : certains propriétaires ne peuvent pas entrer dans leurs champs en période de chasse !

 

Les loups et les sangliers : même prédation !

 

Un sujet qui est devenu récurrent à chaque session de la chambre agricole et que le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, connaît sur le bout des doigts ! Les témoignages de quelques-uns des adhérents de la Chambre d’Agriculture sont accablants : « Après le passage des sangliers dans nos récoltes, c’est catastrophique, confie Walter HURE, président de la coopérative 110 Bourgogne, on ne peut plus pénétrer dans les champs car il faut attendre le passage des experts. Des délais qui sont parfois longs où l’on ne peut pas récolter… ».

L’une des solutions pour endiguer ces dégâts repose sur l’accès facilité au permis de chasse pour les agriculteurs. Tous, c’est le cas de Walter HURE, n’y accèdent pas, d’ailleurs. Bref, après la prédation occasionnée par le loup et les grands canidés – le sujet fera l’objet d’une réunion organisée par la Chambre d’Agriculture et les services de l’Etat le jeudi 05 octobre à Avallon -, ce sont les sangliers qui posent de sérieux problèmes à l’existence quotidienne des professionnels. Pas facile d’être agriculteur, aujourd’hui !

 

Thierry BRET

 


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Il est copieux, le menu pédagogique proposé par le CNFPT, le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale de l’Yonne ! Se déclinant dans ses versions théorique et pratique, il se compose de 400 heures de formation à assurer auprès des collectivités locales. Celles et ceux des demandeurs d’emploi qui souhaitaient embrasser un jour le métier de secrétaire de mairie en commune rurale sont donc servis. Royalement, au vu des seize modules du cursus ! Gare à l’indigestion !

 

AUXERRE : Elles et ils écoutent en silence les propos liminaires tenus par le président de la vénérable institution, Jean-Pierre GERARDIN, lors de la phase de présentation. La nouvelle promotion des quinze demandeurs d’emploi, débutant ce cycle de formation au métier de secrétaire de mairie en commune rurale, assise autour de tables placées en U, est donc dans les starting-blocks, prête à en découdre avec le volumineux programme didactique qui l’attend.

Au bas mot, ce sont seize modules de formation qui permettent de préparer les stagiaires aux arcanes du poste de secrétaire de mairie, une fonction essentielle par excellence, dans les rouages d’une collectivité rurale.

Pêle-mêle, on y trouve dans le contenu (très bien ordonné, quant à lui !), la connaissance du milieu territorial, celle de la fonction publique qui s’y rapporte, la gestion des rémunérations, la comptabilité et les budgets – le nerf de la guerre de toute collectivité qui se respecte ! -, la rédaction administrative, l’état civil, les élections, l’urbanisme, les marchés publics ou encore la gestion des archives. Il y a même un chapitre pédagogique concernant la gestion du stress en situation d’accueil. A croire que les secrétaires de mairie sont exposées à la vindicte populaire ! Plus sérieusement, ce métier aux multiples tâches n’est pas si facile à exercer car en première ligne face aux revendications parfois agressives de quelques citoyens réfractaires au respect du droit et de la loi !

 

 

Répondre aux besoins des localités rurales

 

Souvent, le secrétaire de mairie – seul collaborateur de l’élu parfois dans certaines communes – est un précieux auxiliaire qui ne ménage pas sa peine. Son absence, même temporaire, peut engendrer des dysfonctionnements importants en raison de la diversité et multiplicité des tâches. Quant à la réglementation, sa complexité aurait pu en rebuter plus d’un : ce qui ne fut pas le cas, lundi matin, dans l’une des salles municipales auxerroises où le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale (CNFPT) a pris habitude de recevoir lors de ses sessions de recrutement régulières.

Pour ces demandeurs d’emploi, c’est donc une excellente opportunité de pouvoir transformer l’essai – ils seront des agents de remplacement dans un premier temps – mais ils peuvent avoir l’opportunité de pérenniser leur poste par voie de concours ou par recrutement direct. D’autre part, l’initiative, judicieuse, du CNFPT est aussi de répondre aux besoins des territoires, plus particulièrement ceux des zones rurales.  

Lors de cette prise de contact, ce fut le temps des explications dans le détail avec la présentation du cursus aux stagiaires et du métier de secrétaire de mairie. Etaient présents les tuteurs qui ont évoqué leur métier avec moult témoignages, les élus et les candidats. Un échange nourri et constructif pour faire toute la lumière sur ce métier indispensable où les pré-acquis sont la loyauté, la discrétion, la disponibilité et…les compétences pour tenir le poste, tout de même !

 

Thierry BRET

 


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Comme un trait d’union entre le séjour du roi Charles III en France et la venue du pape François à Marseille, la cérémonie de remise des diplômes « Cambridge » aux élèves du groupe scolaire Saint-Joseph-La-Salle avait cette année valeur de symbole, ponctuant une semaine riche en émotions et une année de travail ardu pour les récipiendaires. Un évènement à la fois festif et solennel, en phase avec le nom de la prestigieuse université à laquelle il est rattaché.

 

AUXERRE: Ce n’est pas tous les jours que l’Union Jack orne les murs de la cathédrale Saint-Etienne et que sous ses voûtes s’envolent les notes sonores et acidulées d’une cornemuse ! Comme il est de tradition, c’est dans l’enceinte de l’illustre édifice gothique que les jeunes diplômés se sont vu remettre leur précieux sésame. Une cérémonie haute en couleurs, sous la houlette de Philip GOMIS, directeur du centre d’examens Cambridge de Dijon, représentant de ladite Université en Bourgogne-Franche-Comté, honorée de la présence des différents chefs d’établissement et enseignants, ainsi que de très nombreux parents comblés de voir leurs enfants ainsi récompensés. Au total, ils sont 159 cette année à avoir validé l’examen, à des degrés divers, allant du A1 Movers pour les élèves de 6e et 5e, après une première étape et le passage du PreA1 Starters en CM2, jusqu’au prestigieux et très sélectif C1 Advanced d’envergure internationale. 

 

L’anglais, la langue indispensable pour qui veut réussir sa vie

 

Des diplômes, précise Philip GOMIS, « qui émanent de l’université de Cambridge, remis au nom de son recteur et non du ministère de l’Education Nationale, ce qui nous donne entièrement le droit de le faire en ce lieu… ».  Une cérémonie respectant en tous points le code de la seconde université du monde anglophone par l'ancienneté, comme la lecture d’un passage de l’Evangile ou la bénédiction des lauréats. Une bénédiction parfois très arrosée, précise d’un sourire le maître de cérémonie : « à Cambridge, l’on utilise un goupillon avec des crins d’animaux et je peux vous dire que les étudiants se prennent une douche… ! ».

Rapportant les propos échangés la veille avec le roi Charles III, qu’il eut le privilège d’accompagner dans son périple parisien : « il m’a dit : j’espère que vous expliquez aux jeunes que l’anglais est un pont entre les peuples, qui permet de découvrir le monde et ne pas avoir peur de l’autre… ».

Autant d’arguments partagés par les jeunes « Lassaliens » qui n’hésitent pas le temps de l’année scolaire à effectuer ainsi plusieurs heures de travail personnel supplémentaire par semaine, pour mieux s’imprégner de la langue anglaise et se doter d’un « passeport » aujourd’hui indispensable pour qui veut réussir sa vie professionnelle.

 

 

Que toute la ville vous entende !

 

C’est, après avoir remercié de leurs applaudissements parents et enseignants, que les lauréats ont reçu par groupe de six et au son de l’hymne officiel de Cambridge, leur diplôme, avant de se voir coiffés du « mortarboard », symbole de leur réussite et de toute « graduation ceremonie ».

Pas toujours facile de mettre en place le précieux couvre-chef et les conseils avisés de Philip GOMIS, sujet britannique à l’âme ô combien francophile, sont de mise : « on met le chapeau la pointe sur le crâne et on tourne le pompon de gauche à droite… ».

C’est sur les notes de l’un des hymnes les plus célèbres et les plus émouvants du monde anglo-saxon, « Amazing Grace » que s’est ponctuée la cérémonie, avant une dernière photo de groupe sur le parvis de la cathédrale. L’heure des « hip hip hip hurrah » et du « hat Throwing », chapeau tenu au-dessus de la tête ou jeté en l’air avec cette ultime recommandation de Philip GOMIS : « il faut que concrètement, tout le centre-ville vous entende… ».

Pari tenu : plus de 150 jeunes enthousiastes, d’excellence de surcroît, cela fait du bruit !

 

 

En savoir plus :

Répartition des diplômes obtenus :

A1 Movers : 51 lauréats (6e / 5e)

A2 Key : 51 lauréats (4e / 3e)

B1 Preliminary : 26 lauréats (3e / 2e)

B2 First : 18 lauréats (1ère / T)

B1 Preliminary : 4 lauréats

B1 Business Preliminary : 5 lauréats

C1 Advanced : 4 lauréats

 

 

Si vous deviez en quelques mots expliquer ce que représente cette certification « Cambridge » ?

Philip GOMIS : « Cette année en Bourgogne Franche-Comté, pas moins de 5 000 diplômes ont été validés, depuis le CM2 jusqu’au Post-bac et 143 cérémonies comme celle de ce soir s’y sont tenues. L’Université de Cambridge est l’une des meilleures à travers le monde et comporte depuis des centaines d’années un département de certification en langue anglaise qui lui est rattaché. C’est la seule université au monde qui délivre des titres diplômants valables à vie, sans date d’expiration. Il existe, à Yale notamment, des tests comme le « TOEFL », mais valables seulement deux ans. Les diplômes « Cambridge » certifient un niveau d’anglais au travers d’examens à reconnaissance internationale, comme les B2 et C1, contrairement au « Cambridge English Certificate » ou CEC, en lien avec l’Education nationale, mais non reconnus internationalement. Et d’ailleurs, j’ai pu remarquer que cette année, parmi tous les lauréats de notre région, 124 élèves avaient intégré les plus grandes universités à travers le monde… »      

 

Dominique BERNERD

 


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