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Il n’a pas pour habitude de se murer dans le silence le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté ! Surtout en si bonne compagnie ! Avec, excusez du peu, les présences de son ami de longue date – ils se connaissent depuis deux décennies -  Thibaut GUILLUY, nouveau directeur général de France Travail (ex-Pôle Emploi), Jérôme MARCHAND-ARVIER, délégué général à l’Emploi et à la Formation professionnelle ou le préfet Pascal JAN. Nicolas SORET a fait entendre la voix de l’institution régionale, très investie sur le volet de l’emploi et de la formation, lors de cette visite d’envergure nationale…

 

AVALLON : On sent une réelle complicité entre ces deux personnages ! En effet, dans des vies antérieures, ils ont cheminé côte à côte dans le Nord de la France lorsque Nicolas SORET s’intéressait de très près à l’insertion par le volet économique. D’ailleurs, le grand argentier de la Région Bourgogne Franche-Comté ne tarit pas d’éloges sur les qualités de son ami de deux décennies, un Thibaut GUILLUY, tout sourire et satisfait d’être là, dans l’agence de l’ex-Pôle Emploi locale, venu accompagné de plusieurs personnalités évoquer la préfiguration du Comité départemental pour l’emploi dans l’Yonne.

« Je dirai du directeur général de France Travail qu’il a la remise à l’emploi des publics en difficulté chevillée au corps depuis très longtemps et qu’il sait comment faire ! ».

Cela ne pouvait pas mieux démarrer pour caractériser la venue du nouvel homme providentiel de l’univers emploi et formation de l’Hexagone, accueilli avec un cérémonial très solennel, dans l’agence avallonnaise de France Travail, dirigée par le responsable du cru, M. ROY.

 

Une enveloppe annuelle de 140 millions d’euros pour la formation

 

Porte-parole de l’institution régionale dont il est l’un des rouages importants dans l’organigramme en sa qualité de numéro trois, le maire de Joigny rappela à qui voulait l’entendre que la Région apportait dans la corbeille de la mariée ses compétences obligatoires. Notamment dans le domaine de la formation.

« Ce n’est pas un vain mot, devait-il souligner, c’est le parcours personnel de la présidente Marie-Guite DUFAY qui l’a toujours traduit dans son action au quotidien… ».

Dans les chiffres, 140 millions d’euros sont mis chaque année par la Région BFC dans le volet formation. Nerf de la guerre indissociable au retour vers l’activité des demandeurs d’emploi.

« Précisons, poursuit Nicolas SORET devant le parterre de VIP très attentifs à ses propos, que notre Région investit sur ce registre beaucoup plus que les autres contrées ! Dans son budget, en nombre d’habitants, l’institution régionale met énormément de moyens sur la formation des demandeurs d’emploi… ».

Le département de l’Yonne profite naturellement de ce ruissellement régional. Rien qu’en 2023, ce sont 1 700 demandeurs d’emploi qui ont été ainsi accompagnés par les services de la Région. Un maillage de différents organismes assurant des formations, extrêmement denses dans le paysage territorial.

 

 

Des moyens importants et tricotés en lien avec les entreprises

 

Plus petite des régions hexagonales en termes de budget avant la Corse, la Bourgogne Franche-Comté est peu dense en habitants. « Ici, insiste Nicolas SORET, on gère l’espace et l’accès au service public plutôt que les hommes ! ».

Pourtant, notre région n’a pas à rougir de cet accès à la formation. Elle occupait en 2023 la seconde position nationale, juste derrière les Hauts-de-France ! Signalons que la BFC se place sur la troisième marche du podium pour l’accès à la formation reconnue comme certifiée. Un vrai cocorico que nous apportera là, le 3ème vice-président en charge des finances, du développement économique et de l’emploi.

Ravi de la mise en place de ce nouveau dispositif France Travail – « c’est une belle union reconnaît l’orateur -, la Région arrive avec des moyens importants et tricotés au plus proche du territoire en lien avec les entreprises.

« Nous nous assurons qu’il y ait une demande et nous, organisme régional, nous mettons la formation en face de la demande des entreprises, schématise le président de la CC du JOVINIEN, un vrai continuum précis entre entreprises, organismes de formation financés par la Région et demandeurs d’emploi… ».

 

Une belle expérimentation qui honore l’Yonne…

 

Autre axe de réflexion de l’institution régionale : la mobilité. Un dossier qui concerne directement la Région avec la gestion des TER et des lignes de bus mais aussi des intercommunalités. « Nous sommes en attente de la copie des PETR, ajoute Nicolas SORET, le territoire doit présenter une vision des cinq derniers kilomètres à parcourir, la Région apportant son concours pour y répondre… ».

Et le maire de Joigny de parler ensuite de la mobilité solidaire et de MOBIL ECO, structure accueillie dans la « belle ville » du centre de l’Yonne avec moult moyens.

Mais, parmi les freins du retour à l’emploi, un autre sujet pointa son nez. La garde des enfants. « 95 % des familles monoparentales peinent à faire garder leurs enfants, annonce Nicolas SORET, si l’une de ces femmes décroche un job lundi matin à la suite d’un entretien, nous n’avons pas de solutions pour faire garder leurs enfants ! ».

Quelles seraient les bonnes solutions, alors ? « Il faudrait geler des places dans les crèches, plaide l’élu de l’Yonne, une sorte de place d’urgence sur l’heure mais il faut partager le coût ! C’est pourquoi, je fais des appels du pied à la CAF et au Conseil départemental sur ce sujet… ».

Si la mobilité semble à peu près gérée, la vraie problématique pointée du doigt par Nicolas SORET se rapporte à ces gardes d’enfants, préjudiciables aux mères seules qui souhaiteraient retourner vers l’emploi. Toutefois, le maire de Joigny terminera son propos sur une note optimiste : « L’Yonne se distingue avec cette belle expérimentation ! Il faut le dire aux journalistes – tiens, tiens, serions-nous visés par nos propos ?! – il y a des choses que l’on sait faire dans notre département pour le retour à l’emploi des bénéficiaires du RSA… ».

Message reçu cinq sur cinq !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Un emploi pour tous. Ce ne serait donc pas un vain mot dans la bouche des trois interlocuteurs qui se prêtent au petit jeu de la conférence de presse, tenue ce jeudi matin dans l’une des salles de la préfecture à Auxerre. Vaste programme que celui-ci ! Il traduit l’ambition à peine voilée de France Travail, nouvelle appellation de Pôle Emploi. Il est déclinable par le Conseil départemental et l’Etat. Il est le socle qui préfigure la naissance du Comité départemental pour l’emploi dans l’Yonne. Favoriser le travail de proximité en accompagnant les demandeurs d’emploi, surtout les plus éloignés, est aussi la clé de ce dispositif mis en œuvre dès à présent…

 

AUXERRE: Imaginez un compas tenu dans la main. On trace un cercle fictif qui correspond à cinq à dix kilomètres de surface et là, on trouve de deux à trois offres potentielles de travail. Des jobs issus de l’agriculture, du commerce, de l’artisanat, de l’aide à la personne, de l’industrie. Un premier repère, indispensable pour s’orienter ensuite sur sa zone de recherche. Bien sûr, l’usager du dispositif n’agirait pas seul. Il serait accompagné par l’un ou plusieurs des différents acteurs de l’emploi dans sa quête. Directeur départemental de France Travail dans l’Yonne (ex-Pôle Emploi), Yves HUTIN, toujours très pédagogue dans ses interventions, déroule son raisonnement. A ses côtés, Sonia PIRES, directrice adjointe aux solidarités dans l’Yonne et Salia RABHI, directrice départementale DDETSPP 89, écoutent attentivement, acquiesçant de la tête.

Utile et pratico-pratique, ce petit point presse où notre consœur Floriane BOIVIN, de « L’Indépendant de l’Yonne », est au bout du fil – un souci technique la prive de la visioconférence initialement prévue, la pauvre ! – se révèle très intéressant pour bien comprendre toutes les méandres et autres subtilités de la réforme du service public de l’emploi, prétexte à un important déplacement d’envergure national vendredi dans l’Yonne, avec la visite de Thibaut GUILLY, directeur général de France Travail et du préfet de Région Franck ROBINE à Avallon.

 

Gérer toutes les problématiques de l’individu à 360 degrés !

 

Yves HUTIN – il a la parole et ne la lâche pas ! – poursuit sur sa lancée. Ce retour vers l’emploi et vers une dynamique s’appuie bien évidemment sur la mise à disposition d’un certain nombre d’outils. Dont la logique d’immersion. Une réelle plus-value où le demandeur d’emploi, parfois très éloigné du monde du travail, est plongé quelques jours durant, voire un peu plus, au cœur même de l’entreprise, histoire de tâter le terrain de l’activité.

« Une fois que l’on s’est instruit du milieu dans lequel on a été immergé, renchérit le responsable de l’ex-Pôle Emploi 89, cela conduit vers de la formation avec un conseiller afin d’obtenir le titre nécessaire… ».

Et notre interlocuteur de donner l’exemple caractéristique de la fameuse jeune femme atteinte d’un handicap, devenue la première représentante de la gent féminine à exercer à date le métier de…grutière ! Alors qu’en France, seule une vingtaine de femmes (valides) sont positionnées sur ce segment sectoriel ! Une belle reconversion pour une femme courageuse de 45 ans qui se prend de passion pour l’un des 150 métiers proposés par la filière du bâtiment.

« Il est nécessaire d’articuler les dispositifs de manière transparente, ajoute Yves HUTIN, on ne traite pas d’abord le champ social, puis le champ de l’emploi. Il faut envisager de trouver des solutions pour tous les problèmes qui se présentent à nous : le logement, la mobilité, la maîtrise linguistique, etc. Il faut une approche globale qui permette de gérer à 360 degrés toutes les problématiques des individus… ».

 

Exit le terme senior, place aux « personnes expérimentées » !

 

Les codes de l’emploi se doivent d’être de nouveau à l’appropriation des prétendants salariés. Se lever tôt le matin, être à l’heure à l’embauche, être dans le civisme et la politesse, autant d’éléments de savoir-être que les personnes en décrochage de l’emploi depuis dix à quinze ans doivent réapprendre. Bref, au-delà des techniques qui peuvent s’acquérir, il est urgent de modeler son comportement social, une garantie nécessaire d’un retour positif vers l’emploi.

Reste la sacro-sainte épine imputable aux seniors ? Réponse tout de go d’Yves HUTIN : « moi, à titre personnel, j’ai du mal avec cette appellation de senior ! ».

Puis, proposant une relecture de la sémantique : « je parlerai volontiers de personnes expérimentées ! Elles ont du savoir-vivre, des capacités à s’adapter. A nous, d’augmenter le taux d’employabilité des seniors qui est particulièrement faible dans l’Yonne comme ailleurs. Il faut enlever de l’esprit ces schémas un peu datés et valoriser l’expérience de ces personnes, grâce au tutorat, l’intelligence du geste, son expertise. C’est l’un des enjeux fondamentaux de 2024 ! ».

 

Identifier les freins à l’emploi pour mieux y remédier

 

Pour Sonia PIRES, il est important de pratiquer le co-diagnostic et la double vision, à la fois du conseiller de France Travail et du travailleur social sur le degré d’éloignement de l’emploi. Déterminer les freins à l’emploi est aussi une étape importante dans ce processus de découverte du demandeur d’emploi. Les identifier permettra au Conseil départemental et à l’Etat mais aussi à l’ensemble des partenaires ad hoc de trouver des solutions afin de gérer les problématiques de garde d’enfants, de crèches, d’assistances maternelles, etc. Les aides à la mobilité figurent aussi parmi ces critères qu’il s’agira d’analyser au mieux.

Des ateliers individuels et collectifs devraient voir le jour pour que les personnes en quête d’un job puissent  parler d’elles. « Il faut que ces personnes prennent conscience en parlant d’elles qu’elles sont encore capables d’accéder à la vie active, comme madame ou monsieur tout le monde… ».

Dans le concret, les chargés d’insertion des six unités territoriales du Conseil départemental suivent une formation par les services de France Travail dans l’aide à l’entretien et à l’accompagnement de ces publics éloignés de l’emploi. Des parcours très différenciés entre les personnes.

L’addiction, sévère facteur de risque, sera également abordée lors de cet échange. « Travailler avec des structures comme TAPAGE est important, ajoute Yves HUTIN, on va travailler avec des experts et des associations qui connaissent ces publics. Le monde associatif nous permet de réaliser ce lien. On a une vraie richesse de ces structures qui ne sont pas forcément articulées. On ne prétend pas aujourd’hui pouvoir traiter tout de manière immédiate. Le club des Entreprises qui s’engagent a un rôle à jouer avec l’illettrisme en sensibilisant les employeurs. Il faut articuler les offres de service pour que chacun puisse avoir sa part contributive… ».

Une loi et sa philosophie qui reposent sur une approche globale de l’insertion et de la réinsertion qu’elle soit professionnelle ou socio-professionnelle. Avec l’appui de France Travail et du Département, l’Etat animera dorénavant ce réseau des acteurs de l’emploi afin de créer toutes les synergies nécessaires à une mise en œuvre efficiente des politiques publiques et planifier les actions afin de les rendre les plus efficaces possibles. C’est tout ce que les demandeurs d’emplois, au RSA ou pas, désirent dans leur quotidien…

  

Thierry BRET

 


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On le sait, l’artiste possède un cœur gros comme ça ! N’hésitant jamais à consacrer beaucoup de son énergie et de son talent sur scène, exhumant de nos mémoires ces ritournelles populaires qui ont fait la France de la chanson. Beaucoup de son temps, aussi, lorsqu’il s’agit de discuter ou prendre la pose, après le récital, avec son public d’aficionados. Ambassadrice de charme et de tête de notre territoire, Christelle LOURY a une fois de plus émerveillé le public du théâtre d’Auxerre lors d’un concert à vocation caritative au profit des œuvres sociales du KIWANIS Club d’Auxerre…

 

AUXERRE : Lumineuse, Christelle LOURY ! Dans le halo des projecteurs, sa gestuelle enrichie des paillettes de sa robe sombre virevolte comme un papillon gracile, un soir d’été. Et puis, il y a la voix. Sa voix. Cette voix ! Elle peut interpréter avec décontraction et aisance les plus beaux titres du catalogue hexagonal.

« Que reste-t-il de nos amours ? » de l’éternel Fou chantant, Charles TRENET. « Avec le temps », emprunté au répertoire du plus anarchiste des interprètes français, Léo FERRE. Mais, aussi, « Ne me quitte pas » de l’indémodable Jacques BREL ou encore « La Javanaise », qui inspira tant Serge GAINSBOURG et Juliette GRECO ! Mais, le registre de prédilection de la dame, toute vêtue de noir, c’est naturellement…Edith PIAF !

La môme de l’Yonne parsème son tour de chant, accompagnée par le virtuose instrumentiste au piano, Christophe KOTSIRAS, de morceaux populaires de la muse de Marcel CERDAN. « Paris », « La vie en rose », « Sous le ciel de Paris » ou « Padam » : des airs ultra entendus, dont on connaît la moindre note et le plus délicat des mots, que le public pourrait chanter, a capella, sans la moindre peine.

Un public, venu en nombre, plus de 500 personnes, confortablement installés dans la grande salle du théâtre auxerrois…

 

Un soutien aux enfants d’Ukraine par voie canine…

 

Une scène mise à disposition de manière gracieuse par la municipalité à la structure organisatrice de la soirée : le club service local, le KIWANIS Auxerre. Principe d’un club service en règle générale comme son patronyme l’indique : rayonner autour de lui et faire du bien, en pratiquant l’altruisme et la solidarité à tous les étages. En faveur des personnes âgées et atteintes d’un handicap, mais pas que. Il y a les malades, celles et ceux qui subissent le décrochage social, ou toute autre forme de fragilité. Au KIWANIS, l’un des trois clubs service international les plus réputés, le credo est précisément de « servir les enfants du monde ». Dieu sait qu’il y a du travail !

Présidente de l’association, Lucile BEAULIEU pose le décor, avant que ne débute le concert tant attendu. Cette année, les fonds levés auprès des nombreux partenaires et les bénéfices des évènements de l’année convergeront vers le SDIS 89 et à l’Union départementale des sapeurs-pompiers de l’Yonne. Grâce à une opération humanitaire (et canine !) destinée à l’Ukraine !

« Six chiens ont été sauvés de la maltraitance ou de l’abandon, explique l’oratrice, ils ont été formés par un maître-chien agréé et référencé au SDIS au sauvetage en milieu périlleux, en l’occurrence sur le théâtre de guerre actuel… ».

On l’aura compris, ces animaux – les meilleurs amis de l’homme – auront pour tâche d’effectuer des recherches de survivants ou disparus sous les décombres. Une tragédie qui concerne les enfants, malheureusement.

Des chiens, popularisés par les médias régionaux, qui ont été remis par le SDIS 89 à six femmes, maîtres-chiens et démineuses de l’armée ukrainienne, il y a quelques jours à Auxerre.

 

 

« Aimer à perdre la raison » : l’accomplissement des gestes altruistes

 

Parmi les autres actions qui figureront au programme des aides de l’année 2024 : citons le projet de l’association ALOPIAS, du sportif de l’extrême Arnaud CHASSERY. Le KIWANIS Club d’Auxerre financera l’acquisition d’une joëllette à assistance électrique – un fauteuil tout terrain monoroue – favorisant la pratique de la randonnée à toute personne en situation de handicap. Là aussi, les enfants sont en première ligne des bénéficiaires, car utilisateurs de ce moyen de locomotion ludique intégrant l’inclusion sociale par l’accès aux loisirs et l’acceptation de la différence.

Traditionnellement, la structure associative propose des baptêmes de l’air à des enfants fragilisés de notre département, confiés ou non à des organismes d’aide à l’enfance comme la Protection de l’Enfance ou des établissements socio-médicaux. Le rendez-vous est d’ores et déjà prévu à la mi-juin.

« Aimer à perdre la raison », chanta si bien, sur des vers de Louis ARAGON, le formidable Jean FERRAT en 1971 : Christelle LOURY en donnera par ailleurs une sublime version, lors de ce rendez-vous caritatif. N’est-ce pas le propre du KIWANIS Club d’Auxerre d’aimer son prochain et les enfants sans compter lorsqu’il réalise autant de manifestations altruistes et si utiles ?

 

Thierry BRET

 


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Destinataire de la lettre : un certain Gabriel ATTAL. Premier Ministre de son état. L’auteur, un ancien parlementaire en phase de reconquête de son poste de député, fait partie intégrante de la classe politique hexagonale. Patronyme : Guillaume LARRIVE. L’ancien élu de l’Yonne s’est fendu d’une missive adressée à l’hôte de Matignon afin d’y dénoncer la situation plus que préoccupante du collège de Puisaye. Un établissement dont la perte de certaines options pédagogiques incarne cette ruralité, privée d’avenir et de seconde zone…

 

PARIS : La moutarde a dû lui monter aux narines ! Et si la carte scolaire et ses nouveaux découpages font la une de l’actualité éducative, un peu partout en France ces jours-ci, l’ancien député de l’Yonne Guillaume LARRIVE s’est saisi, à son tour, de sa plume pour adresser un courrier officiel au premier des ministres du gouvernement français, Gabriel ATTAL, en personne. Un écrit daté de ce mercredi 07 février.

Objet de la lettre : la situation extrêmement préoccupante du collège de Puisaye, où le député de l’époque (entre 2012 et 2022) avait obtenu de la part des différents ministres de l’Education nationale et des inspecteurs d’académie le bénéfice de dotations horaires permettant le maintien d’une offre éducative, déclinable sur trois sites, Bléneau, Saint-Fargeau et Saint-Sauveur-en-Puisaye.

Or, la réalité est tout autre aujourd’hui. « Je déplore que le collège de Puisaye n’ait pas été défendu à bon niveau, écrit Guillaume LARRIVE, et que d’autres choix ont été faits… ».

Dans le concret, la suppression du site Alexandre-Dethou à Bléneau depuis la rentrée 2023 a sonné le glas et les illusions de bon nombre d’habitants de ce secteur occidental de l’Yonne. « Cela a été un très mauvais coup porté aux habitants de notre territoire rural, précise le président des Républicains de l’Yonne. Aujourd’hui, le collège ne comporte plus que deux sites, celui de Saint-Fargeau et celui de Saint-Sauveur-en-Puisaye… ».

 

 

366 élèves ont été impactés par ces bouleversements

 

Dernièrement, les parents d’élèves ont été stupéfaits d’apprendre que les services de l’Education nationale envisageaient de réduire davantage la dotation horaire globale. Et ce, à l’automne 2024 !

« On passerait de 509 à 462,5 heures, explique Guillaume LARRIVE dans ses écrits, ce qui condamnerait les deux sites de Saint-Fargeau et de Saint-Sauveur-en-Puisaye à des perspectives totalement inacceptables… ».

Conséquence : certaines classes verraient leurs effectifs dépasser les quarante élèves ! Quant à l’enseignement du latin ou de l’allemand, ce ne serait plus que de l’histoire ancienne…

« Au nom de quoi les enfants de Puisaye devraient-ils être privés du droit à une éducation de qualité ?, s’interroge l’ancien parlementaire, la Puisaye, territoire rural, ne serait-elle qu’une seconde zone privée d’avenir ? ».

Une orientation contraire avec le projet d’excellence et d’égalité qui doit continuer à être celui de l’école de la République, convenons-en !

 

Thierry BRET

 

 


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Terre d’accueil pour des délégations étrangères, le département de l’Yonne, à l’occasion des Jeux Olympiques ? Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, l’a réaffirmé de but en blanc, mardi soir, à l’occasion de la grande soirée évènementielle, se déroulant dans les locaux du CIFA de l’Yonne. L’équipe féminine de rugby à sept du Canada investira donc notre territoire l’été prochain, grâce à la complicité des dirigeants du Rugby Club Auxerrois…

 

AUXERRE : Une salve d’applaudissements retentit dans le gymnase. C’est tout un symbole que ce bâtiment si particulier au cœur du CIFA soit choisi pour la circonstance par les organisateurs de la grande soirée évènementielle, orchestrée autour des Jeux olympiques et de leurs déclinaisons départementales.

Logique que le public se manifeste bruyamment : Patrick GENDRAUD vient de lâcher l’un des scoops de la soirée, avec la réception à l’été prochain – dès le 12 juillet semblerait-il – de l’équipe féminine de rugby à sept du Canada, une formation pouvant prétendre à l’obtention de la plus belle des médailles lors des prochains Jeux de Paris.

« On a posé notre candidature, précise l’ancien maire de Chablis, on y croyait, on espérait même obtenir quelque chose, eh bien, ce soir, je vous le confirme, nous accueillerons ces jeunes championnes du rugby à sept ! ».

Une information qui sera corroborée quelques minutes plus tard par le président du RCA, David PARIZOT, invité sur l’estrade en compagnie de son successeur, Kieran LAURIN. Sauf que ce dernier ne se rendra pas sur scène, retenu par des obligations professionnelles.

 

Tout le club du RCA est impliqué dans l’aventure…

 

Un dirigeant du Rugby Club Auxerrois, très satisfait de ce verdict, positif pour la promotion du rugby à sept. Une discipline qui verra l’équipe de France participer à ce tournoi olympique, côté garçons, avec un groupe auréolé de la présence d’un certain…Antoine DUPONT qui a fait l’impasse sur le Tournoi des VI Nations cette année !

« Il y a un an, nous avons eu les premières discussions, témoigne David PARIZOT, l’Yonne était site de réception mais une question se posait : que fait-on ? ».

 

 

Ne croyant pas au hasard – il a bien raison le patron de l’enseigne OXO 89, chacun sait que cela n’existe pas ! -, David PARIZOT provoqua les choses. Se rapprochant de Philippe LALA, directeur du Projet Yonne 2024 au sein du Département, le président du RCA s’implique à titre personnel pour déceler la moindre opportunité profitable à l’Yonne.

Tout le club auxerrois est de facto impliqué dans l’aventure. Un épilogue qui prendra son terme le 12 juillet, au lendemain du passage de la flamme olympique dans l’Yonne.

 

 

Tout faire pour que la fête sportive soit totale à Auxerre !

 

« Jusqu’au 23 juillet, ajoute David PARIZOT, les filles de l’équipe du Canada seront accueillies à Auxerre. Nous, on va vivre une expérience différente avec cette immersion en terre de l’Yonne. Il nous fallait un lieu qui puisse accueillir une équipe sportive dans sa globalité (le RCA et sa structure). Au-delà du sportif, il nous fallait le vecteur médical. Indispensable pour recevoir des sportifs de haut niveau. On leur a démontré ce qu’il est possible de faire grâce à notre protocole médical. Enfin, il y a l’accueil et le vivre au quotidien à une heure et demie de Paris en étant au vert ! ».

Une petite délégation d’outre-Atlantique est déjà venue en 2023 visiter les infrastructures auxerroises. « On a joué la carte de la proximité » confie David PARIZOT.

Souhait du président du RCA : que la réception de l’équipe canadienne résonne parmi les communautés de ce pays vivant en France mais aussi auprès des habitants de l’Yonne.

« Il nous faudra toute une communication autour de cet évènement, souligne le dirigeant du club auxerrois, sachant que nous allons nous calquer à leur planning… ».

Le Département a soutenu l’initiative. Mais, également la Ville d’Auxerre qui travaille déjà sur la mise à disposition des terrains. Pour que la fête sportive soit totale !

 

Thierry BRET

 


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