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La structure fait partie des huit abattoirs de Bourgogne Franche-Comté retenus dans le cadre du Plan France Relance. Elle va bénéficier à ce titre d’une enveloppe de 1,355 million d’euros. Une aide bienvenue qui contribuera à accélérer les investissements menés par l’entreprise pour le développement de son activité. Que ce soit en termes d’amélioration des conditions de travail, de protection animale ou d’amélioration des conditions sanitaires…

MIGENNES : Créée il y a 65 ans dans la localité du Centre Yonne, et depuis, étroitement liée à l’histoire de la cité cheminote, la SICAVYL a changé de dimension en 2017 de par sa fusion-absorption avec le groupe SICAREV. Aujourd’hui spécialisé dans l’abattage, la découpe et le désossage de bovins et ovins, le site emploie 340 salariés dont 300 en CDI.

Après celui de TRADIVAL LAPALISSE, il est le second site du groupe à bénéficier d’un soutien de 1,355 million d’euros dans le cadre du plan France Relance de modernisation des abattoirs. Un « coup de pouce bienvenu qui va nous permettre d’enclencher les investissements de manière simultanée » confiait Sylvain PRUDON, directeur de la filière viande du groupe SICAREV, lors de la visite effectuée sur les lieux par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST.  

 

 

 

Améliorer la protection animale via la vidéosurveillance : une priorité…

 

C’est au total plus de 8,4 millions d’euros d’investissements que le groupe va engager à Migennes d’ici 2023. Une stratégie portant pour 3,4 M€, sur la modernisation de l’outil et du process, dont plus de 2,2 M€ pour le volet développement et compétitivité.

Concernée également : l’amélioration de la protection animale au travers du renforcement de la vidéosurveillance. Pas question pour autant de filmer l’abattage des animaux souligne Sylvain PRUDON : « cela ne serait pas acceptable pour les opérateurs procédant à la mise à mort de les filmer en permanence alors qu’ils sont formés et contrôlés. Par contre, tout ce qui est réception, manutention des animaux, transport, le sera ».

Les salariés, pour leur part, verront leur travail facilité, notamment par la mise en place d’un système de convoyage automatisé à l’atelier désossage. Autre chantier prévu s’achever d’ici la fin de l’année : la modification des installations frigorifiques pour une enveloppe globale de plus de 1,8 M€. Avec l’objectif de réduire de 20 % la consommation d’énergie thermique et électrique du site. 

 

 

 

 

Un troisième volet d’investissements est en cours, avec le démarrage dès novembre prochain, d’un atelier de fabrication de steaks hachés. Un projet à 3,2 millions d’euros qui valorisera sur place une partie des bovins abattus, avec à la clé de 20 à 25 créations de postes, pour un volume annuel de 2 500 tonnes à l’horizon 2023. Le marché est porteur et les chiffres encourageants, la SICAREV ayant enregistré l’an passé une hausse de 15 à 20 % de la demande en viande hachée.

Autant de signes prometteurs qui font de Migennes un outil stratégique pour le groupe, explique Sylvain PRUDON : « c’est un site sur qui, du fait de sa proximité avec les bassins de consommations et les lieux de production, repose d’énormes ambitions. Par ailleurs, Migennes est l’un des six sites industriels français agréés pour exporter de la viande bovine en Chine. On se tient prêts si la conjoncture nous est favorable ».

Des projets en ce sens avaient été engagés début 2020, mais un certain virus est passé par là !  

 

 

En savoir plus :

De 2 000 à 3 000 ovins sont abattus chaque semaine sur le site de Migennes.

Les bovins abattus à Migennes sont issus à 70 % de la race charolaise

Les exosquelettes installés à l’atelier de découpe dans le cadre du plan de modernisation contribuent à faciliter le travail des opérateurs.

 

Dominique BERNERD

 


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Ce n’est que le reflet vertueux d’un long cheminement intellectuel en faveur de la mobilité électrique, ayant débuté il y a déjà…onze ans. Entre le leader de la grande distribution et le constructeur automobile, l’osmose est parfaite pour promouvoir le mode de locomotion de demain. Le réseau des 510 agences de location LECLERC sera bientôt équipé des premières DACIA SPRING 100 % électriques. Une révolution dans l’offre locative ?

 

IVRY SUR SEINE : Il y avait déjà la Renault ZOE qui permettait d’offrir une opportunité locative à des tarifs très abordables (6 euros par jour)  à la clientèle de l’enseigne distributrice. Il y aura désormais, et en sus, la DACIA SPRING dans sa variante 100 % électrique !

Quatre mois après l’annonce d’un partenariat unique élaboré entre les Centres E.LECLERC et le constructeur automobile hexagonal, l’accélération promotionnelle des véhicules électriques devient une réalité tangible parmi les réseaux de location présents sur le marché.

D’ici le terme du printemps, les 510 vitrines locatives de l’enseigne de la grande distribution auront reçu leurs dotations de véhicules new-look. Avec une offre qui serait considérée comme l’une des plus abordables du marché, soit un débours de cinq euros par jour sans engagement de durée, assurance et entretien inclus, pour celles et ceux qui tenteraient l’expérience !

Précisons que la clientèle du spécialiste de la distribution serait la première à pouvoir rouler avec les nouveaux modèles produits par DACIA qui ne seront disponibles dans les concessions françaises qu’à partir de l’automne.

 

 

Un programme de sensibilisation national décliné depuis 2010…

 

Dès 2010, les centres E. LECLERC se sont investis aux côtés de leur partenaire automobile historique dans le cadre d’un programme décliné en faveur de la mobilité électrique. Outre l’acquisition de véhicules de fonction (ZOE) destinés aux collaborateurs, l’enseigne de la grande distribution a su poser les jalons d’un club des ambassadeurs en région afin d’assurer la sensibilisation de ce moyen de locomotion par le biais de la pédagogie.

Signataire de la charte portée par le ministère des Transports, « 100 000 bornes », le groupe a prévu d’agrandir son parc actuel de points de recharge électriques pour le porter à cinq mille dans les deux prochaines années, puis à dix mille d’ici 2025. Le site du magasin auxerrois en sera pourvu (une dizaine) d’ici le dernier trimestre de l’année…

Pour l’officialisation de ce partenariat, Michel-Edouard LECLERC, président du Comité stratégique du groupe, et Luca de MEO, patron du groupe RENAULT, avaient choisi l’une des vitrines marchandes implantées à Orly pour donner le coup d’envoi de cette opération.

 

Thierry BRET

 


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Cela a commencé avec la réforme de « Sciences Po ». Permettre à toutes les couches sociales d’accéder à des hautes études semblait légitime. L’école souhaitait également intégrer les étrangers. Afin de donner sa chance aux jeunes des banlieues de parvenir au Graal des concours, il fallait supprimer l’épreuve de culture générale. C’est ici que le bât blesse ! Car du côté des partisans de l’érudition et de l’épistémè, la réforme fut largement décriée !

 

TRIBUNE : Un dossier et un entretien oral bouclent la procédure d’accès à cette prestigieuse école. La moyenne des notes présentées dans les dossiers de candidature pose question : tout le monde sait qu’un « 17 » obtenu au lycée Henry IV à Paris n’a pas la même valeur qu’un « 17 » obtenu dans un établissement de Seine-Saint-Denis !

La sélection prend le risque de l’arbitraire en faisant un savant dosage d’étrangers : quotas d’européens et de non-européens… Quid des critères de parités hommes /femmes et blancs/noirs ? Nous risquons de nous éloigner des sélections élitistes de l’origine.

Souvent, « Science Po » constituait une marche pour entrer à l’ENA (Ecole Nationale de l’Administration). Sa réforme semblait donc inévitable ! C’est non seulement une décision politique (démagogique ?) voulue par le Président de la République mais aussi un outil qui prolonge le plan global des réformes de l’enseignement supérieur.

Cette réforme s’inscrit en droite ligne du projet néolibéral impulsé par Emmanuel MACRON. Ses principaux vecteurs en sont l’abrogation des références culturelles, fleurons de l’histoire et de la culture française, l’intégration de la langue inclusive, afin de satisfaire toutes les minorités agissantes (les anticoloniaux, LGBT, les gens de couleur, etc.).

Permettre aussi aux jeunes des banlieues d’accéder aux études supérieures, en copiant ce qui se passe aux Etats-Unis, est une autre piste de cette réflexion.  

 

 

L’enseignement supérieur français ne performe pas au niveau international…

 

La langue française disparaît progressivement des enseignements des grandes écoles au profit de l’anglais. Toutes ces mesures amoindrissent le niveau de l’excellence qui précédait la notoriété de nos prestigieuses écoles. Il est fallacieux d’annoncer que la suppression de l’ENA était une revendication des « Gilets Jaunes » : ces derniers voulaient surtout payer le carburant moins cher !

Certains affirment qu’il s’agit d’une mesure populiste quand d’autres craignent que l’on va faire de l’ENA le bouc émissaire de la crise sanitaire et sociale actuelle.

De toute façon, les réfractaires à tout changement sont conformes aux habitudes nationales. Repenser l’ENA, c’est également vouloir globaliser d’autres bastions pédagogiques de la République : l’INET (Hautes Etudes Territoriales) ou encore l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique… La volonté de réduire les budgets doit être prise en compte. L’ENA sera donc remplacée par l’ISP : l’Institut du service Public.

Les problèmes posés à l’enseignement supérieur reposent surtout sur la qualité de l’enseignement primaire et secondaire. Au classement PISA (Programme International pour le suivi des acquis des élèves) 2018, la France ne pointe qu’au 25ème rang sur 79 pays recensés.

Qu’il s’agisse des domaines de « la compréhension de l’écrit », des « mathématiques » et des « sciences », nous arrivons bien après la Chine (en tête sur les trois matières), la Pologne, la Finlande et surtout l’Estonie qui a le plus petit budget (en proportion des dépenses publiques) réservé à l’éducation.

Quant aux universités, parmi les dix meilleures soulignons les légendaires Harvard (première du classement), Sandford (2ème) et Cambridge (3ème).

Grâce à un regroupement de Paris-Saclay, la France décroche péniblement une 14ème place dans le top des 200 meilleures universités de la planète. Notons la 39ème place de notre célèbre Sorbonne, plus connue aujourd’hui pour sa participation aux «  manifs » de mai 1968 que pour ses prix Nobel !

 

 

Une autre réforme très controversée : les « Bachelor » proposés dans les IUT…

 

On prépare aujourd’hui des « BUT » pour Bachelor universitaire de technologie en remplacement des DUT (Diplôme universitaire de technologie). Le BUT se situe au niveau de BAC + 3 et offre les mêmes spécialités que leurs prédécesseurs.

Le DUT sera obtenu automatiquement dès que l’étudiant aura accompli les deux premières années du BUT mais à condition qu’il en fasse la demande. Le syndicat Force Ouvrière a vivement dénoncé l’existence de ces Bachelor, arguant du fait qu’ils y voyaient une attaque contre les licences professionnelles.

FO souligne également que le volume horaire des enseignements diminue de 25 %. Le syndicat réclame que le DUT soit délivré automatiquement sans la demande des étudiants. Il soutient toutes les actions collectives qui contestent la vulgarisation de ces Bachelor à grand coup de motions et de pétitions…

Le plus important de la réforme et de la contestation repose sur la perte du caractère national du DUT. Jusqu’à présent, l’organisation de son enseignement, respectait un programme pédagogique élaboré au niveau hexagonal. Avec l’actuelle réforme du BUT, chaque IUT sera soumis à l’approbation de son établissement de tutelle qui pourra imposer sa propre organisation du BUT. Par exemple, les coefficients et volumes horaires des matières enseignées dans une mention de BUT pourront être différents d’un établissement à l’autre. La dimension nationale donnait un gage de qualité aux entreprises recruteuses. On risque d’ouvrir une compétition stérile entre les BUT.

Clairement, les BUT font l’unanimité contre eux. Les enseignants exigent dans leur grande majorité un cadrage national de ces enseignements. Il est certain que dans les nouvelles conditions le Bachelor sera noirci par l’arbitraire des recrutements et des enseignements et la réduction de la longueur des cours.

Les universités, les écoles supérieures, les BUT… doivent faire face à la mutation des données sociales et économiques d’aujourd’hui. Les changements sont inéluctables, voire indispensables.

 

 

Un réel brassage des cartes pour suivre des études supérieures ?

 

La volonté d’ouvrir les études supérieures aux classes les plus défavorisées n’est peut-être pas d’actualité. En effet si 35 % des étudiants sont issus de parents classés « cadres supérieurs », 30 % viennent de la catégorie « ouvriers-employés ». De plus, la moitié des enfants, des couches les plus basses socialement, est diplômée ou étudie dans les filières de l’enseignement supérieur. Ce phénomène est relativement récent. Il est cohérent avec les 90 % d’étudiants reçus au Bac, qui usent plus leur fonds de culotte au « Resto U » que dans les amphis et les salles de TD ! Seuls les enfants d’agriculteurs sont sous-représentés : 1,7 % !

Mais cette situation est cohérente avec les difficultés économique d’un secteur « peau de chagrin ». L’enseignement doit répondre à une question de fond : promouvoir des jeunes capables de travailler à la sortie des études ou produire de bons cerveaux capables de conceptualiser et d’engendrer des prix Nobel. Aujourd’hui, sûrement un peu les deux. Une question reste au-dessus de nos têtes comme une épée de Damoclès : qu’est-ce qui permet à chacun de s’adapter à toutes les situations et modifications de l’environnement ? LA CULTURE.

C’est aussi le niveau de culture qui permet à chacun de ne pas tomber dans le piège des manipulations intégristes de certains partis politiques et courants religieux.

Un jeune banquier discutait avec un sénateur-maire, lors d’un repas amical. Il s’agissait de feu Gabriel KASPEREIT, pour ne pas le nommer, ancien ministre sous de GAULLE, édile du 9ème arrondissement de Paris et député, était aussi un ancien énarque. Le banquier posa alors une question : « Comment à vingt ans, avez-vous pu dire, mon idéal politique c’est la droite et tout extrémisme écarté, ce n’est pas la gauche ? ». Et notre élu de répondre dans un grand éclat de rire : « cher ami, vous n’avez rien compris, à la sortie de l’ENA, le premier micro qui s’est présenté c’est celui-là, tant pis pour la gauche !». C’est aussi cela qu’il faut changer à l’avenir !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Dire qu’il a été satisfait par le contenu de sa visite au CIFA, le président de la Confédération nationale de la Boulangerie Pâtisserie, serait un doux euphémisme ! Subjugué, l’ambassadeur de la puissante filière artisanale n’a pas tari d’éloges sur ce qu’il a découvert tout au long de ce périple immersif dans l’antre de l’excellence qu’est devenu au fil des années le centre de formation de l’Yonne. Une visualisation enthousiaste et concrète de l’apprentissage avec un A majuscule…

 

AUXERRE: Voilà une manière idéale de rendre à l’apprentissage ses lettres de noblesse pour celles et ceux qui en auraient encore douté ! Il suffit de consacrer deux heures de son emploi du temps à la découverte du centre de formation auxerrois, le CIFA de l’Yonne, pour percevoir de visu que bien des poncifs n’ont plus lieu d’être à propos de cette méthode d’enseignement.

Loin d’être appréhendé désormais comme le rebut indolent de l’initiation à la vie professionnelle réservé aux seuls décrocheurs de l’Education nationale, l’apprentissage se décline, se vit et se pratique en totale osmose avec notre époque : c’est-à-dire à l’heure de la digitalisation, du modernisme, de la multitude de cursus diplômants et de débouchés potentiels (nombreux selon les filières) à pourvoir en bout de course.

Alors, c’est sûr quand un personnage aussi emblématique de l’artisanat à la française, le numéro un de la boulangerie pâtisserie, Dominique ANRACT, porte-étendard de la Confédération nationale, fédérant des milliers de professionnels et autant d’entreprises, pose les pieds dans ce périmètre du savoir manuel, on se dit que ses hôtes ne peuvent que se frotter les mains. Sans le recours au gel hydro-alcoolique de préférence !

Car, dans les têtes bouillonnantes d’idées de ces mentors du savoir-faire à transmettre que sont Michel TONNELLIER (président) et Marcel FONTBONNE (directeur), chacun sait déjà quels seront les résultantes à moyen terme d’un tel choc avec la réalité pour le visiteur.

 

 

 

Un enthousiasme non feint à relayer sur le territoire…

 

Celle virtuelle mais pas encore augmentée inhérente au fameux « Clic Store », conçu avec le précieux concours du prestataire idoine sur la place, IDXPROD, dont nous envie l’ensemble des CIFA de l’Hexagone ; celle de la boutique factice, certes, mais si proche du naturel mettant en lumière dans leurs vitrines appétissantes les produits de la boulangerie, de la viennoiserie et de la confiserie ; celle de ces métiers de bouche, fleurons de la gastronomie que sont la boucherie, la restauration ou les métiers de service.

Mention spéciale également pour l’éducation partagée qui prend corps et acte avec le e-learning, concept technologique particulièrement éclairé en période de pandémie et de confinements successifs !

Le représentant de la CNBPF n’a pas caché son enthousiasme devant pareille initiative, prometteuse et à déployer dans tous les centres de formation de France et de Navarre selon lui.

 

 

 

Naturellement, le must de cette rencontre opportune à laquelle prenaient part également le président de l’U2P de Bourgogne Franche-Comté, Christophe DESMEDT et le représentant départemental de ladite structure David MARTIN (le garçon est aussi vice-président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat) fut le contact privilégié avec la relève boulangère.

Dominique ANRACT écouta avec grand intérêt les explicatifs fournis par Marcel FONTBONNE sur l’organisation et la gestion de cet atelier pédagogique très prisé de la jeune génération.

 

 

Un échange avec la relève de la filière boulangère …

 

Avant de se saisir d’une baguette (ce fameux fleuron croustillant de la gastronomie française dont la reconnaissance universelle se jouera dès l’année prochaine dans les commissions consultatives à l’UNESCO) et de la soupeser en exégète de la corporation qu’il est. S’en suivit un bel échange avec l’un des mitrons, fier de pouvoir échanger avec le symbole syndical de la profession.

Conquis par la vision d’autant de diversités pédagogiques réussies, le président de la Confédération nationale de la boulangerie pâtisserie pouvait s’en retourner vers la capitale avec bon nombre d’idées lumineuses en tête.

Après un  court arrêt à Villeneuve-sur-Yonne pour y remettre le label de « Boulanger de France » à l’artisan Jean-Marc DANIEL, l’un des mille professionnels à bénéficier de cette nouvelle certification de l’excellence. Un accessit qui rappelle la philosophie du CIFA, en somme !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Premier indice qui explique ce rendez-vous proposé à la presse pour faire plus ample connaissance : la raison d’être de ce mouvement souhaitant plus qu’une simple transition, une « véritable transformation sociétale ». Si quelqu’un doit se mouiller pour prendre de bonnes initiatives afin de faire bouger les lignes, ce sera eux ! Eglantine BORGNAT, Charisse NGOUMBI, Olivier BOURGEOIS et Rachid EL IDRISSI, seul candidat de ce team newlook à être inféodé à une formation politique, celle des « Nouveaux Démocrates » dont il est le porte-étendard départemental…

 

AUXERRE : C’est la liste du « territoire en mouvement ». Dans sa parfaite globalité, son éclectisme absolu et son universalité réaffirmée. Ici, le projet ne s’oriente pas à grands coups d’étiquettes politiques. Encore moins à l’estampille politicienne, le « gros mot » à ne pas prononcer !

Les candidats de cette liste résolument humaniste et citoyenne concourant sur le canton d’Auxerre 3 veulent être bercés par le chant des sirènes du pragmatisme et de l’efficience. Au service des autres, pour qu’ils aient le bénéfice d’un avenir meilleur, équitable et surtout plus juste.

Alors de là à évoquer quels seraient les soutiens potentiels accordés par les formations politiques à leur endroit, la question est balayée d’un large revers de la main par la tête pensante de ce collectif, qui croît au fil des jours sur les pages des réseaux sociaux, Rachid EL IDRISSI.

Les « Gens d’Ici », une appellation que ne pourrait renier le faiseur de mots Etienne RODA-GIL sur une mise en musique de Julien CLERC dans l’un de ses succès de 1975 (« This melody »), ne portent pas d’étiquettes, ne répondent qu’à leur seule vision du monde (peut-être un peu trop utopique ?) et clament leur indépendance d’esprit vis-à-vis de l’intelligentsia habituelle !

 

 

Un référentiel d’idées qui distille une trentaine de propositions…

 

Beaucoup peuvent se retrouver derrière ces mots. Où il est question de liberté, de paix, de préservation de l’environnement, d’initiatives collectives et participatives en faveur de la nouvelle économie.

Pas celle trop productiviste des libéraux à tout crin, mais celle qui, au contraire, encourage le développement de proximité avec ses circuits courts, l’auto-partage ou l’alimentation saine. En somme, en étant respectueux d’une éthique et de la qualité de la vie. Axiomes que recherche dorénavant tout être humain bien-pensant en cette période de crise.

Trente propositions constituent ce programme plutôt digeste qui est dévoilé parfois avec moult détails par leurs thuriféraires.

On y valorise le volet social. On y favorise le renforcement des échanges avec Paris dans les domaines de l’enseignement, de la culture, des affaires. On y marque l’identité viticole de ce territoire où les crus regorgent. On y parle de la « Cagnole », cette valeur numéraire locale permettant de payer des prestations dites de proximité. On y recycle les friches industrielles pour y accueillir des artistes et des intellectuels. On y soutient les jeunes désireux se lancer vers l’emploi. On y remodèle l’existence pour les citoyens du monde que nous sommes tous !

 

 

Bref, c’est une noria de préconisations vertueuses ne demandant qu’à faire consensus et florès auprès du plus grand nombre.

L’une de ces idées maîtresses, défendue depuis très longtemps par le leader des « Nouveaux Démocrates », reste l’instauration du revenu universel. L’ex-socialiste Benoît HAMON en avait parlé en son temps lors de la présidentielle 2017. Une idée que s’arroge à l’échelle départementale le très déterminé Rachid EL IDRISSI sur cet item.

Lui qui a toujours eu une longueur d’avance dans son vécu professionnel consacré à la cause du digital croit dur comme fer à la pertinence de ce précepte social très altruiste.   

Toutefois, l’accélérateur de projets qu’il aimerait devenir le sait très bien. Derrière cet inventaire à la Prévert pavé de louables intentions, le plus dur reste à faire car désormais il faut convaincre. Sur les réseaux sociaux, évidemment, la crise sanitaire étant si persistante, il faudra donc repasser pour assister cette année à la moindre réunion de campagne…

 

 

 

Une équipe accro à la révolution environnementale et sociétale…

 

Pour se faire, le natif d’Auxerre (quartier Rive-Droite) – le curieux dénominateur commun des prétendants de cette liste des « Gens d’Ici » -- s’est entouré de personnes motivées et combattantes dans l’âme. Certaines sont connues, d’autres sont à découvrir.

A commencer par l’autre versant du sommet de l’iceberg, l’entrepreneure Eglantine BORGNAT, chantre d’une viticulture qualitative et gouleyante. On connaît le passé mâtiné de volontarisme et d’originalité de l’hébergeuse de tourisme, via le domaine éponyme que l’on ne présente plus. La voici qui endosse une toute autre vêture, inhabituelle cette fois, de tête de gondole aux départementales !

Deux remplaçants accèdent à ce dernier carré électoral, composé d’un double binôme. La première se nomme Charisse NGOUMBI. Une personne très investie auprès des Auxerrois depuis une décennie, se disant très « timide » mais qui ne l’est nullement en vérité lorsqu’elle explique, dithyrambique, sa vision des choses pour améliorer le sort de ses congénères.

 

 

Il y a aussi Olivier BOURGEOIS. Le fonceur au tempérament bien trempé, pur produit de la filière rugbystique locale. Lui, il a déjà vécu une expérience d’élu municipal sous l’ère FEREZ il y a longtemps. Il se définit comme un facilitateur de l’émergence d’une filière d’excellence dans le domaine de l’agriculture biologique pour approvisionner la restauration collective et individuelle en encourageant les circuits courts.

La légitimité des Gens d’Ici suinte à fleur de peau à la moindre parole édictée. Leur seule vocation dans cette joute est de fédérer des électeurs flirtant sur un prisme hétéroclite dont le curseur de pensées s’étalerait du centre droit à l’écologie.

Proposant un mix de suggestions basées sur la fraternité et le social, cette liste atypique se veut être le mouvement  représentatif d’un autre entrepreneuriat sur le volet de l’économie.  Au seul bénéfice d’une profonde transformation de la société, plus que d’une simple transition.

Les citoyens qui se rendront aux urnes les 20 et 27 juin seront-ils prêts à tenter l’expérience ?

 

Thierry BRET

 

 


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