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Concevoir une épreuve culinaire dont le nom de baptême se référerait au célèbre personnage auxerrois devait tôt ou tard s’inscrire dans le calendrier des réjouissances gastronomiques de l’Yonne. La première édition du concours « Cadet Roussel » s’est donc tenue au lycée des métiers Vauban vendredi. Un challenge réunissant trois équipes de l’Hexagone : Colmar, Gérardmer et La Rochelle. La victoire est revenue aux Alsaciens…

 

AUXERRE: La joie est à peine dissimulée à l’annonce des résultats. On se congratule entre co-équipiers, on se donne l’accolade entre représentants de la délégation alsacienne, on s’embrasse parmi les plus jeunes. Les couleurs du CFA de l’hôtellerie et de la restauration de Colmar flottent dans le vent icaunais, de manière très symbolique bien sûr.

Celui de la réussite puisque le team alsacien vient d’empocher la première édition de ce nouveau concours « Cadet Roussel » que l’on doit au niveau de sa conception à deux esthètes des arts de la table auxerrois : François HENNARD, professeur de sciences et technologies culinaires et Serge GOULAIEFF, un des « Meilleurs Ouvriers de France » (MOF) que l’on ne présente plus, lui-même professeur de sciences et technologies des services de l’hôtellerie et de la restauration.

Un habitué fidèle dans l’organisation des grands évènementiels : n’était-il pas à l’origine des championnats nationaux des maîtres d’hôtel, accueillis avant la COVID au lycée des métiers Vauban ?!

Si l’établissement bourguignon ne pouvait pas, pour cause de stricte déontologie tout à fait légitime présenter une équipe lors de cette première édition – il n’en sera rien la saison prochaine lorsque ce « Cadet Roussel » seconde mouture posera ses jalons en terre d’Alsace après le succès initial obtenu -, ce sont trois autres villes participantes qui tinrent les membres du jury en haleine au moment du verdict.  

 

 

Un binôme original formé d’un enseignant et d’un enseigné…

 

Et, à ce petit jeu, entre Colmar, Gérardmer et La Rochelle, ce sont les Alsaciens qui tirèrent finalement les marrons du feu. Accompagnés de leurs formateurs, René WERLEN et Jonathan GROSHENS, les deux apprentis du CFA alsacien, Valentine JENN et Clément LAMBERT surent convaincre les membres du jury de leur dextérité à maîtriser les épreuves de ce concours relevé.

Ouvert aux élèves des classes de Terminale Bac Pro, Terminale Bac STHR, mais aussi aux classes de MAN et aux BTS MHR de première ou de deuxième année des lycées d’enseignement public et privé, le concours « Cadet Roussel » offrait l’opportunité de faciliter la relation entre enseignant et enseigné, et bien au-delà de partager le savoir-faire et les connaissances entre les deux membres de cet étonnant binôme, réuni en compétition officielle.

Concourant dans deux catégories (la cuisine et le service, indissociables l’une de l’autre dans le métier), élèves et enseignants se sont livrés à ce défi singulier mais ô combien révélateur permettant de renforcer les liens entre l’apprenant et celui qui y puise le savoir. Une véritable transmission du partage en quelque sorte.

Du côté de la cuisine, les candidats devaient proposer à la sagacité du jury une entrée à base d’escargots pour six personnes ainsi qu’un plat à base de plat de côte et queue de bœuf agrémenté de sa garniture légumière. Pour le service, il s’agissait pour le concurrent de créer un cocktail pour deux personnes à base de ratafia, boisson emblématique de Bourgogne ! Une épreuve complétée par un flambage d’escargots en salle avant que cette entrée n’arrive sur la table des dégustateurs agréés.

Une édition qui trouvait son terme de la plus belle des manières par la remise des prix, notamment le magnifique trophée transmis par le président du jury, le chef Jean-François GIRARDIN, président de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France et MOF lui-même à l’équipe lauréate.

Une édition qui fut aussi saluée très positivement par Capucine VIGEL, proviseure du lycée des métiers Vauban, satisfaite d’une telle initiative en ses murs…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est dans la bonne humeur et avec une certaine maîtrise qu’une dizaine de salariés de la société BERNER ont contribué à embellir les locaux de l’association de l’Yonne. Celle-ci aide les personnes en situation de précarité et les demandeurs d’emploi en leur proposant de réparer leurs moyens de locomotion. Entre le distributeur en outillage et la structure associative, l’hyménée ne date pas d’hier !

 

GURGY : Un petit coup de rouleau sur la surface murale noircie avec l’apport de peinture, un petit coup de pinceau pour fignoler les travaux déjà réalisés ; le tout vécu dans l’allégresse et une bonne humeur faisant plaisir à voir : décidément, les retrouvailles entre les représentants de la société BERNER et ceux de « Mobilités 89 » se produisent toujours avec le sourire. Et l’efficience, au vu du résultat final, une fois l’équipe de la dizaine de salariés repartie !

Fruit d’un partenariat sans borne existant depuis plusieurs années, la rencontre entre ces deux acteurs de la vie économique de l’Yonne s’est faite à l’occasion d’une opération de réhabilitation des locaux, accueillant la structure associative. Pour qu’elle puisse exercer ses compétences dans les meilleures conditions possibles !

Ici, en ces murs, on cultive l’art de l’altruisme, en le rendant accessible à celles et à ceux qui n’hésitent pas à franchir la porte de ce local relooké afin d’y louer un véhicule servant à leur mobilité mais aussi de réparer une automobile en besoin de cure de jouvence mécanique. Cibles privilégiées : les personnes précaires mais aussi les demandeurs d’emploi.  

 

 

  

 

Deux ateliers concernés par ces travaux de relooking…

 

Ce sont les ateliers de réparation automobile et celui des deux roues qui ont été le sujet de ces travaux nécessitant un peu d’huile de coude et de dynamisme. Parallèlement, il était aussi question d’isoler le bloc sanitaire, histoire de réaliser de substantielles économies d’énergie et de disposer de quelques degrés de plus à l’intérieur du local côté températures.

Une implication concrète sur le terrain qui correspond à la vocation sociétale de l’entreprise de Saint-Julien-du-Sault. C’est en 2017 que le groupe  BERNER s’est positionné sur le volet de la RSE et de la citoyenneté au travers d’actions spécifiques particulières. Dont le soutien volontariste au milieu associatif local afin que celui-ci poursuive de nouveaux projets à l’avenir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Y avait-il vraiment des écologistes dans la salle ? C’est la question que l’on pouvait se poser au terme de la brillante conférence donnée à Auxerre par l’éditorialiste économique de LCI, Pascal PERRI, qui répondant par l’affirmative à l’invitation de l’UIMM, du MEDEF et de la Fédération Française du Bâtiment 89, a brossé un portrait peu flatteur de ce courant de pensée politique, s’inspirant des bonnes feuilles de son dernier opus, « Le Péril Vert ». Face aux patrons de l’Yonne, le chroniqueur de RMC n’a pas fait dans la dentelle, en démontant point par point le programme de décroissance et de déconstruction voulu par le mouvement vert…

 

AUXERRE : Ils ont été habillés de la tête au pied et pour les quatre saisons à venir les représentants idéologiques de l’écologie hexagonale ! Mieux que la source d’inspiration de Vivaldi et bien moins coûteux que s’ils avaient été revêtus par les couturiers stylisés du Grand Paris !

On le savait féru de bons mots et non-inféodé à la pratique de la langue de bois, lors de ses multiples interventions médiatiques audiovisuelles et radios au quotidien, Pascal PERRI n’a donc pas usurpé son talent de narrateur pédagogue lors d’une conférence de belle facture donnée face aux représentants patronaux de l’UIMM, du MEDEF et de la FFB 89.

Une conférence que le maître de cérémonie, Claude VAUCOULOUX, en sa qualité de délégué général de l’UIMM et du MEDEF dans l’Yonne, avait su peaufiner aux petits oignons depuis plusieurs mois comme il en a l’habitude au moment des traditionnels vœux.

L’éditorialiste économique n’était donc que l’antépénultième invité de poids à participer à ce rendez-vous auxerrois qui lance en règle générale l’année des milieux d’affaires de l’Yonne après la sempiternelle trêve des confiseurs. Après Luc FERRY, Yves THREARD, Philippe DESSERTINE ou encore Christophe BARBIER –entre autres car Claude VAUCOULOUX ne manque jamais de ressources nouvelles pour étayer la manifestation parmi son réseau -, c’était au tour de Pascal PERRI, figure matinale de LCI et de RMC de venir tâter le public entrepreneurial de l’Yonne, présent en nombre pour assister à cette causerie passionnante et « détonante » à plus d’un titre !

 

Un exposé servi à la sauce truculente, humoristique, mais aussi sérieuse…

 

L’intitulé du carton d’invitation ne portait en préambule à aucune source d’ambiguïté possible : « Le monde a-t-il besoin des écologistes ? ». Vu du prisme des syndicats patronaux organisateurs de l’évènement, il était évident que la réponse figurait presque dans l’énoncé de la question ! Un non, net, catégorique et sans atermoiement pour le conférencier d’un soir qui devait réaffirmer avec force son désir d’écologie – là, il s’est mis la salle dans la poche, avec évidence – mais sans les écologistes politiques dont il ne tressera guère de lauriers positifs in fine.

Durant une cinquantaine de minutes, se référant parfois à sa feuille de route posée face à lui sur le pupitre de la tribune, Pascal PERRI déroulera ses multiples arguments, les étayant d’exemples précis et d’analyses concrètes.

Entre truculence, humour, ironie, sérieux, conviction, le journaliste exposera son plan de réflexion détaillé en mettant en lumière les aberrations et les paradoxes de cette écologie à la française, items qu’il a par ailleurs approfondis tout au long de son dernier ouvrage, « Le Péril Vert » paru aux éditions de l’Archipel. Un opus que l’homme de presse dédicacera après coup pendant le cocktail avant de s’en retourner à bord du dernier train vers la capitale.

« Si le monde a besoin sans conteste d’écologie, soulignera-t-il, il a aussi besoin des sciences, des technologies, de la recherche et de l’innovation, le tout au service d’une politique environnementale éducative et non punitive qui soit socialement acceptable et soucieuse de la pérennité des entreprises… ».

Bref, être capable de concilier la préservation de la nature et la sauvegarde des droits humains s’inscrit parmi les grandes priorités pour l’homme de lettres.

 

 

« L’écologie en France n’est pas une secte, la porte d’entrée est toujours fermée ! »...

 

Lors de son préambule, Pascal PERRI retracera longuement l’historique de l’écologie politique en Europe (Allemagne) avant d’aborder la France. Lâchant de bonnes formules qui feront mouche plus d’une fois parmi un public totalement réceptif : « le principe de précaution, c’est devenu un principe de castration ! » ; évoquant ensuite les parcours atypiques de Brice LALONDE, Antoine WAECHTER, Yves COCHET, Dominique VOYNET ou encore Daniel COHN-BENDIT (« Il parle mieux des marchés économiques que moi » plaisantait-il) mais en oubliant le précurseur René DUMONT et ses 0,4 % obtenus aux présidentielles de 1974.

« L’écologie en France, c’est le contraire d’une secte, argumente le journaliste très à l’aise ; la porte d’entrée est toujours fermée ! ».

Puis de rajouter, « Les Verts ne sont ni prosélytes ni œcuméniques, c’est un parti de missionnaires qui accueillent dix mille membres en France et qui souhaitent convertir la société à leur idéal de la dictature du prolétariat… ».

Des propos qui décoiffent et qui engendrent un tonnerre d’applaudissements dans la salle qui n’a pas besoin d’applaudimètre forcé pour montrer sa satisfaction.

Un peu plus loin, Pascal PERRI en rajoute une nouvelle couche : « Nous avons à faire à une gauche anti humaniste, l’homme est forcément déraisonnable et coupable de tout ce qui l’entoure… ».

Avant de citer la dernière petite phrase de Marine TONDELIER, la nouvelle responsable d’Europe Ecologie Les Verts (EELV) : « Nous revendiquons une France sans milliardaire… ».

Face au patronat de l’Yonne, Pascal PERRI ne pouvait immanquablement pas éviter le sujet du travail. Sujet ô combien préoccupant pour les entrepreneurs qui peinent à recruter et se privent de marchés pouvant gonfler leurs carnets de commandes.  

« Les écologistes mènent une offensive idéologique contre le travail et ses valeurs, expliqua l’orateur, le travail ne doit pas être une contrainte avec les 35 heures, le télétravail, etc. Question que l’on est en droit de se poser : les Français sont-ils devenus paresseux ? ».

Lors de sa conclusion, le conférencier insista sur la confiance que l’on doit accorder à l’homme, afin de sortir de ses peurs. « Nous avons besoin d’écologie dans le monde qui est le nôtre aujourd’hui, mais pas des écologistes ! ».

Faute de temps, il n’y eut pas la place au terme de la conférence pour prendre quelques questions parmi l’assistance – dommage, on y aurait peut-être entendu de la contradiction pour animer le débat ! - ; le journaliste et son public se retrouvant ensuite pour une séance de dédicaces organisée dans le grand hall de la Maison de l’Entreprise, plein comme un œuf.

Et comme le suggéra, non sans humour Claude VAUCOULOUX pour conclure respectueux de la tradition accueillante de la Bourgogne, « après avoir parlé des Verts, il est temps de lever les nôtres ! ». Dont acte.

 

Thierry BRET

 

 


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Des classes surchargées avec des effectifs se situant au-delà de trente-cinq élèves, des options linguistiques supprimées à l’heure de l’internationalisation des savoirs, des réductions drastiques au niveau des heures d’enseignement… : il n’en fallait pas plus pour que les élues de l’Auxerrois montent au créneau et réclament davantage de moyens au rectorat. Parents d’élèves et enseignants étaient eux-aussi de la partie devant les grilles du lycée Jacques Amyot à l’aube de ce vendredi 03 février…

 

AUXERRE : Mobilisées pour la bonne cause, Céline BAHR, Isabelle JOAQUINA et Emmanuelle MIREDIN ? Les trois élues communautaires de l’Auxerrois – elles occupent aussi des mandats électifs à la Région et au Conseil départemental – se sont rendues dès potron-minet devant les grilles du lycée Jacques Amyot afin de marquer leur désapprobation contre les agissements réducteurs du rectorat et soutenir ainsi parents d’élèves et représentants du corps enseignant, ayant décidé de pratiquer une opération « lycée mort », ce vendredi matin.

Si elles ne sont que trois à avoir effectué le déplacement au centre-ville de la capitale de l’Yonne pour y faire entendre leurs voix, d’autres élus (et non des moindres avec le président du Département Patrick GENDRAUD et le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT) vont se manifester ainsi que ceux de l’opposition, pour faire part de leur mécontentement dans la gestion de la communauté éducative locale. Un courrier commun sera adressé par ailleurs au rectorat à Dijon pour faire part de cette insatisfaction alors que la vie scolaire vit déjà un certain nombre de turbulences depuis quelques temps.

 

 

Des options en langues étrangères supprimées, voire menacées…

 

Seul établissement pédagogique à proposer jusqu’alors l’enseignement du russe – la matière a été tout bonnement supprimée -, le lycée Jacques Amyot perd ainsi de sa superbe et de sa renommée avec l’option grec qui y est menacée, la suppression de la langue vivante deux pour les CPGE, mais aussi la réduction en seconde à une heure de la section européenne.

Quant aux dédoublements de classe en langue vivante et en sciences, ils se réduisent à peau de chagrin depuis plusieurs années alors que les effectifs des classes n’en peuvent plus d’être saturées d’élèves ! A la rentrée, c’est simple : les classes de seconde comprendraient 35 élèves, tandis que celles de première et de terminale en accueilleraient 36 ! Inqualifiable pour espérer étudier convenablement dans de bonnes conditions…

Des faits qui font dire à Céline BAHR les choses suivantes : « On déplore parfois le manque d’ambition des jeunes de l’Yonne, écrit-elle sur les réseaux sociaux, mais ce n’est pas en supprimant les options qui leur permettent de viser les filières d’excellence ou en les réduisant à peau de chagrin que cela va les inciter à oser davantage… ».

Il est donc grand temps que la voix du bon sens reprenne ses droits au rectorat et qu’il accorde enfin des dotations qui soient conformes aux ambitions d’excellence visées par les établissements de l’Auxerrois…

 

Thierry BRET

 

 


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Réunis à Auxerre, les représentants icaunais de la NUPES ont lancé la bataille contre la réforme des retraites. Quelques jours avant que ne débute à l’Assemblée nationale, l’examen de la réforme, les représentants de la NUPES 89 – cette union de la gauche constituée lors des dernières élections législatives - ont fourbi leurs armes au cours d’une réunion publique rassemblant une cinquantaine de personnes…

 

AUXERRE: Deux invités vedettes, le député LFI du Val-d’Oise Arnaud LE GALL et le sénateur PCF du Val-de-Marne Pascal SAVOLDELLI avaient effectué le déplacement depuis l’Ile-de-France voisine en terre de l’Yonne pour y exposer leurs points de vue.

Ils intervenaient sur la scène de la FFB 89 aux côtés de deux élus Auxerrois : les conseillers communautaires et municipaux d’opposition de l’Auxerrois et d’Auxerre Mani CAMBEFORT, premier fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne et Florence LOURY, représentante les couleurs vertes d’EELV (Europe Ecologie Les Verts). Signalons également l'intervention pour La France Insoumise (LFI) d'Adrien PROVENCE.

Une union sacrée de la gauche réunie sous le même toit et les mêmes projecteurs, dans le cadre de la NUPES, pour expliquer en profondeur les enjeux de la réforme des retraites et surtout les raisons de s’y opposer.

Première intervenante à prendre la parole, Florence LOURY, candidate défaite par le Rassemblement National lors des dernières législatives sur la première circonscription de l’Yonne. L’oratrice a rappelé les préjudices de cette réforme envers les femmes, à la carrière souvent hachée, et aux métiers aux horaires extrêmes.

 

 

Les deux parlementaires, rompus à l’exercice des réunions publiques, détaillaient avec la précision d’un horloger suisse les différents aspects de la loi, les points d’achoppement. A commencer par le report de l’âge légal à 64 ans, refusé par une majorité de Français, comme devait le réaffirmer Pascal SAVOLDELLI, s’appuyant sur les enquêtes d’opinion concordantes.

Le député a plaidé pour une réforme plus juste qui passerait par une carrière complète de 18 à 60 ans, comme un retour aux sources de l’emblématique réforme de François MITTERRAND.

Le mot de la fin est revenu à Arnaud LE GALL. Conscient de l’importance des prochains jours, le parlementaire LFI se prépare à tout mettre en œuvre pour bloquer le projet de loi. « On ne lâchera rien », promettait-il en guise de conclusion de son présent exposé.

 

 

En savoir plus :

 

L’intervention du socialiste Mani CAMBEFORT est à retrouver dans nos colonnes sous la forme d’une tribune à paraître…

 

Thierry BRET

 

 

 


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