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En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…

DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.

Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.

Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la  fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…

Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.

« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».

 

 

Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…

 

Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.

Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.

Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.

Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.

« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».

Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.

 

 

« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».

En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?

« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».

Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.

« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».

 

 

Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…

 

Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.

« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».

Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».

Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».

Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.

Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…

 


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Stridente, la sirène alertant d’une menace importante retentira ce vendredi vers midi dans le ciel sénonais par trois coups longs. Les habitants devront-ils pour autant s’inquiéter de cette sonnerie si désagréable à l’oreille ? Non ! Elle marquera en fait le début des opérations de secours réalisées à titre préventif sur le site de l’industriel de type Seveso. Un exercice grandeur nature, conçu dans le cadre d’un PPI (Plan particulier d’intervention) qui sera conduit par les services de la préfecture et la gendarmerie…

SENS: Emploi du temps quelque peu complexe à gérer pour la fin de la semaine pour le directeur du site industriel, Patrick GRUBERT ! Ce dernier, parmi sa kyrielle d’occupations, doit aussi se préparer au pire (heureusement de manière fictive) : le lancement d’une alerte générale dans son unité de production.

Filiale de l’allemand BASF, CHEMETALL fabrique des produits chimiques destinés aux professionnels du traitement des surfaces. Pour alimenter le marché hexagonal mais aussi ceux d’autres pays européens : Belgique, Allemagne.

Précautionneuse quant à la sécurité et à la protection de l’environnement, l’unité de production de Sens doit se conformer régulièrement à des exercices permettant de tester l’efficience des secours en cas de soucis majeurs. Ce sera le cas ce vendredi 13 décembre entre midi et quatorze heures.

Ainsi, la préfecture de l’Yonne activera son centre opérationnel départemental et son poste avancé accueilli à la sous-préfecture. Comme devait le confirmer Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet Patrice LATRON, lors d’une conférence de presse.

 

 

L’Yonne n’a pas connu d’incidents majeurs depuis longtemps…

 

Outre les services de l’Etat, seront également mobilisés ceux de la DREAL et du SDIS, le service départemental d’incendie et de secours. Ainsi que les forces de l’ordre, il va de soi.

Ce sont au total plus de quatre-vingts personnes dont une vingtaine de sapeurs-pompiers qui évolueront durant cet exercice. Celui-ci aura aussi pour vocation de tester l’aptitude des secours à réagir promptement et la manière dont pourrait être gérés les riverains du lieu endommagé. Même si dans le cas présent, aucun périmètre de blocage ne sera réellement mis en place lors de cette manœuvre.

Au terme de cette opération, seront étudiés les points forts et points faibles de l’intervention, la validation des procédures, la technicité de la manœuvre, le mode opératoire de la chaîne de commandement depuis la préfecture via les élus, la transversalité des échanges d’information, etc.

Même si le territoire de l’Yonne n’a pas observé de tels incidents depuis longtemps, la préfecture se doit de veiller au grain car les risques sont toujours réels.

Tristan RIQUELME a précisé que trois à quatre autres sites industriels à risques bénéficieraient des mêmes exercices l’année prochaine.

 


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Principal club sportif de portée nationale de la ville la plus septentrionale de Bourgogne, le SOC met de la couleur et de l’image sur son mode de locomotion le plus usuel : le bus. Jusqu’au mois de septembre prochain, et dans le cadre de son partenariat avec TRANSDEV, le véhicule affiche les couleurs, voire ses prétentions grâce à des visuels dynamiques d’un groupe qui évolue en élite féminine nationale. L’équivalent de la seconde division…

SENS: Bien ancré dans la vie locale, le SOC (Sens Olympique Club) a su démocratiser l’art et la manière de pratiquer le volley-ball depuis son accession en 2013 en ligue élite. Un championnat qui rassemble des formations tutoyant les sommets.

Vendredi 06 décembre, il a vécu une nouvelle étape qui concerne sa stratégie de communication. Un petit évènement à l’importance peu anodine en termes de visibilité qui a réuni dirigeants et joueuses autour d’un bus estampillé aux couleurs du club.

Customisé par les soins de l’un de ses partenaires, la société de transport TRANSDEV, l’autocar circulera dans les rues de Sens et à sa périphérie afin d’assurer la promotion de club qui gagne à chaque saison en popularité.

Une tactique nécessaire pour assurer le maintien au niveau actuel, voire pour viser plus haut dans les ambitions sportives.

 

 

Les filles de l’équipe première n’avaient pas encore eu connaissance de l’information. Les choses avaient été tenues secrètes entre le président du SOC, Bernard PLISSET, et Pierre BALCON, directeur de TRANSDEV.

C’est à l’occasion d’une réception cocktail des plus sympathiques organisée au gymnase habituel (René Binet) que ce joli cadeau de Noël a été dévoilé en présence du groupe.

Précisions que la société de transport est partenaire de l’association sportive et la soutient financièrement depuis six ans.

Au plan sportif, et après huit journées de compétition, le SOC occupe une méritoire seconde place de sa poule (A) derrière Quimper mais devant Evreux…

 

 

 


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Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye)  les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.

Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.

A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.

Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.

Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.

« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».

Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !

 

 

 

Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…

 

 

Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.

« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».

Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.

Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.

Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.

« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est  incapable de procéder à une addition raisonnable… ».

Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !

 

 

 

Ne pas être trop dépendant de l’électrique…

 

Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?

L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…

« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».

Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.

Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.

« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».

Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.

Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.

Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.

Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.

 

 


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Enregistrant une hausse très significative de plus de 10 % du taux d’adhésion des assurés sociaux sur notre territoire, la Caisse primaire de l’assurance maladie atteint déjà l’un des premiers objectifs inhérent à la promotion du dossier médical partagé…

AUXERRE : La barre des trente mille documents effectifs vient d’être atteinte dans le département de l’Yonne. Il s’agit même d’un chiffre un peu plus élevé par ailleurs car la statistique officielle apportée par le service communication de la Caisse primaire de l’assurance maladie de l’Yonne, ce vendredi 06 décembre, confirme que le nombre de DMP souscrits par les assurés sociaux du territoire nord-bourguignon avoisine les trente-et-un mille exemplaires.

Lancé en octobre 2018, le DMP a pour vocation de se propager à l’ensemble des assurés sociaux de l’Hexagone. Son principe, élémentaire, est de répertorier sur un document dématérialisé unique l’ensemble des actes médicaux et des examens qui ponctuent l’existence humaine.

Consultable uniquement par le corps médical, l’outil peut se révéler d’un sérieux secours en cas d’intervention urgente sur un patient.

Depuis avril, le taux d’adhésion au DMP est de 10 % dans l’Yonne. Une preuve tangible que la communication faite autour de ce support informatif personnalisé a su faire mouche auprès des différentes strates de la population.

Ingénieuse, la CPAM avait même initié un concours au printemps dernier pour encourager la création de dossiers avec en jeu des téléphones portables. Confirmant ainsi que la santé n’a pas de prix !

 

 


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