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Quelle est sympathique la tradition gourmande de cette galette dont les origines remontent au Moyen-Age ! Depuis lors, cette fête connut toutefois diverses fortunes. Elle fut notamment proscrite sous le règne du Roi-Soleil. Un peu plus tard, les Sans-culottes ne furent pas en reste. Comme on pouvait s'y attendre, la Restauration (1815-1830) tira à nouveau les rois dans la plus pure tradition !

 

CHRONIQUE : Mais en deux siècles, nonobstant le plaisir de se retrouver autour de la table, le monde a changé. Dame galette s'est industrialisée avec force et vigueur. L'usine agro-alimentaire, sise à Torcé (Ille-et-Vilaine), en fabrique des millions annuellement, appelant crème d'amande le honteux broyage du noyau d'abricot afin de réduire coût et goût, s'asseyant sans vergogne sur une séculaire tradition gustative.

Leurs mégas camions inondent les rayonnages des grandes surfaces de leurs produits approximatifs, mais aussi – hélas certaines boulangeries qui dès lors ne méritent plus la noble dénomination artisanale.

 

Marine et Christopher QUIRIE : l’art et la manière de concevoir la galette…

L'injustice est criante lorsque l'on sait que pareilles pratiques, un brin contestables, sont plus rémunératrices pour le commerçant que celles des honnêtes artisans, fiers de fabriquer l'un des gâteaux préférés des Français.
De tout ceci, Marine et Christopher QUIRIE n'en ont cure. Bien qu'installés le long de la Vanne !

Voilà dix ans qu'ils se sont implantés à Malay-le-Grand. Depuis leur  famille s'est agrandie avec comme credo, celui unique, de faire bien et bon pour le plus grand plaisir d'une clientèle fidèle et gourmande.

Christopher fut à bonne école. Il fut apprenti de Philippe DURAND, de Toucy, l'un des meilleurs pâtissiers icaunais. Ce dernier remporta par ailleurs en 2020 le concours départemental de la meilleure galette.

Alors à l'unisson de ce début d'année,  ils le clament haut et fort nos jeunes artisans : « une bonne galette, c'est un bon feuilletage (pas conçu avec de l'huile précise la souriante Marine !), mais un bon beurre ainsi que de bonnes amandes (CQFD) ».

 

Ne pas confondre entre la crème d’amande et la frangipane…


Evidemment, comme chaque année pour les fêtes, le beurre a, non point, pris de  l'embonpoint, mais juste quelques euros supplémentaires ! Notre pays est riche de terroirs à beurre (Bresse, Charente-Poitou...) et Christopher affectionne un nectar normand.

La garniture à 100 % crème d'amande (celle-ci venant souvent de l'ensoleillée Californie) ne doit pas être confondue avec la frangipane (un mélange de crème d'amande et de crème pâtissière) pouvant s'assimiler à une sorte de flan. Ce n'est pas pareil.
Modes actuelles obligent, on trouvera aussi une garniture pistache-griotte ou pommes confites en cube, mais pour nos deux artisans LA galette, c'est à la vraie crème d'amande. Hum ! Comme on les comprend.

 

Valoriser les artisans en se référant à la succulence de leurs produits…

 

Les indispensables fèves sont aussi de la partie. Elles sont fabriquées en France, du côté de Faverney (Haute-Saône). Cette année, les jouets anciens sont à l'honneur avec petits chevaux ou locomotives à vapeur. Le prix d'une fève est de l’ordre d’un euro.
Pour nos artisans malaysiens  et leurs collègues, l'année commence avec un gâteau emblématique : la galette (jusque fin janvier) pour se terminer par un autre : la bûche de Noël. 
La morale de cette histoire,  car il y en a une, est la suivante ! Par nos achats, valorisons les honnêtes artisans, celles et ceux qui se lèvent tôt et fabriquent leur galette par amour de leur métier- ici appris au CIFA de l’Yonne à Auxerre - mais aussi par respect de leur clientèle. 

Cela vaut bien un ou deux euros en sus, largement mérités, non ! Mais, il est l’heure. Vite un couteau et coupons-nous une bonne part forcément de cette délicieuse pâtisserie. Quelle belle tradition, vraiment !

Gauthier PAJONA

 


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Ce n’est in fine un secret de polichinelle pour personne. Et surtout pas pour les aficionados de l’actualité automobile qui suivent scrupuleusement le moindre petit doigt qui bouge au gré des stratégies économiques dans le microcosme. Supposée dès le début de l’automne, l’acquisition par le groupe JEANNIN Automobiles de quatre vitrines commerciales jusque-là à l’estampille de la société ROSE en Seine-et-Marne s’est donc concrétisée ce premier janvier. Un acte d’achat qui est désormais officiel…

 

AUXERRE : Les informations bruissaient avec plus ou moins de certitude depuis un moment dans le landerneau de l’activité automobile. Plus exactement depuis le mois de septembre selon une note émise par l’Autorité de la Concurrence.

Il aura donc fallu s’armer de patience et attendre que les transactions se concluent de manière définitive pour que le dirigeant du groupe JEANNIN Automobiles valide enfin l’acquisition de quatre nouvelles concessions implantées en Seine-et-Marne.

Accueillant les marques Volkswagen et Audi, ces points de vente appartenaient jusque-là au groupe éponyme piloté par Jean-Louis ROSE. Une famille toute acquise à la cause automobile.

Les droits à la retraite de ce dernier ont sans doute accélérer le processus de cession de l’activité entrepreneuriale. Localisés en périphérie de Melun et de Fontainebleau, ces points de vente offrent de réelles perspectives pour le distributeur de l’Yonne, déjà présent au sud de l’Ile-de-France depuis 2016 avec Nissan. Une présence qui se renforcera deux années plus tard avec la gestion des enseignes Seat, Skoda, Mazda et Suzuki.

 

 

La reprise d’un groupe pesant 69 millions d’euros de chiffre d’affaires…

 

L’ajout à son escarcelle du groupe ROSE est synonyme d’excellentes perspectives pour le dirigeant Yves JEANNIN. Non seulement, la structure salarie 88 collaborateurs qui auront atteint leurs objectifs en commercialisant 1 580 véhicules neufs et près de mille véhicules d’occasion l’année dernière malgré le contexte de crise économique que l’on connaît. Mais en outre, l’entreprise rachetée pèse à date 69 millions d’euros de chiffre d’affaires. Preuve de sa rentabilité.

Stratégiquement, JEANNIN apparaît plus fort que jamais sur ce territoire de conquête de parts de marché que représente la Seine-et-Marne, porte d’entrée légitime sur l’Ile-de-France. Avec sa diversité protéiforme reposant sur une offre commerciale articulée autour de plusieurs marques, l’entreprise de l’Yonne continue de progresser là où bien d’autres de ses concurrents piétinent en faisant du surplace.

Le groupe aux 26 concessions qui développe depuis peu les produits MG et Cupra conforte ainsi sa brillante 65ème position au classement des cent principaux groupes de distribution automobile en France.

Réalisant un chiffre d’affaires de 205 millions d’euros en 2020, JEANNIN Automobiles qui agit sur un terrain de jeu englobant l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne, a obtenu des résultats plus qu’honorables l’an passé avec la vente de 11 000 véhicules neufs et d’occasion, et des activités générant au passage un flux de 70 000 véhicules dans ses ateliers.

 

Thierry BRET

 

 


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Le groupe avait quitté le métier d’armateur en 1988, date de la cession de la Navale Caennaise. C’est dire si le rachat des parts du capital détenus jusqu’ici par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne revêt de la plus haute importance pour l’entité doublement centenaire. Plus que jamais, la structure familiale dirigée par Guillaume BLANCHARD renforce sa position au sein de LOGIYONNE…

 

GRON : La corbeille de la mariée n’en est que plus séduisante après cette transaction financière réalisée fin 2021. Surtout que ce couple entrepreneurial présente un joli pédigrée depuis le début de leur existence. Si l’entité icaunaise LOGIYONNE ne date que de 2010, que dire en parallèle du groupe SOGENA qui est issue d’activités de transports maritimes dont les origines remontent à…1828 !

Par ce tour de magie capitalistique n’ayant rien de providentiel qui lui a permis d’acquérir les 34 % du capital possédé jusque-là par la CCI de l’Yonne, la structure spécialisée dans la logistique portuaire accède désormais à 49 % du capital de LOGIYONNE, la plateforme qui assure le développement et l’exploitation du Port de Gron, près de Sens. Les 51 % du capital restant sont détenus par la holding de Didier MERCEY, l’homme en forme olympique du moment côté business sur notre territoire.

 

 

Une alliance prometteuse avec un groupe qui pèse 66 millions d’euros de chiffre d’affaires…

 

Il y a peu, Guillaume BLANCHARD, directeur général de SOGENA, s’est rendu dans l’Yonne afin de formaliser la transaction de ce rapprochement plutôt prometteur sur le papier. Il devait y rencontrer Alain PEREZ, à l’époque encore président de la chambre consulaire, et Didier MERCEY, pour valider cet accord.

L’opération est intervenue avant le lancement de la SAS LOGISHIP, autorisant de surcroît LOGIYONNE et son actionnaire à devenir armateurs. Dans le but d’exploiter la liaison régulière de colis lourds entre les infrastructures portuaires de Normandie (Le Havre, Rouen) et de l’Yonne. Voire à ce titre, l’article publié dans nos colonnes le 23 décembre 2021 sur le bateau « Exelmans », bientôt rebaptisé « Le Bourgogne ».

Pour SOGENA, ce n’est que du bonheur. Non seulement, le groupe dont le siège social est implanté à Caen, renoue avec le métier d’armateur qu’il avait lâché en 1988.

Mais en outre, il ajoute une corde supplémentaire à son arc au niveau de ses prestations et services. Pour mémoire, SOGENA développe un ensemble de compétences liées au passage des marchandises sur les ports à l’instar de la manutention, du stockage, du transit et des douanes, de la consignation, de l’agence de ligne ou encore de la commission de transport international.

Au terme de 2021, SOGENA pesait plus de 66 millions d’euros de chiffre d’affaires et employait 440 collaborateurs répartis sur une trentaine d’implantations.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Les Icaunais aiment les circuits courts. Ils ne sont pas les seuls, évidemment, à privilégier cette filière de consommation qui aura fait florès au plus fort de la crise sanitaire l’an dernier. Avec plus de 12 200 connexions obtenues au terme de 2021, la plateforme « J’veux du Local » promue par la Chambre d’Agriculture de l’Yonne a répondu à leurs attentes. Ce n’est sans doute pas fini…

 

AUXERRE : L’alimentation reste l’une des priorités essentielles de la Chambre départementale d’Agriculture au plan stratégique avec cette nouvelle année qui débute. De la pure logique quand on sait ce qu’apportent la filière et ses diverses composantes dans notre paysage sociétal.

Aussi, le développement des circuits courts, ceux qui permettent de mettre en relation directe producteurs et consommateurs dans leurs échanges, fait partie intégrante des axes de réflexion et de concrétisation du vénérable organisme. Cela ne devrait pas déroger en 2022.

Surtout à l’annonce des résultats de la fréquentation de la plateforme « J’veux du local » qui est fonctionnelle depuis le mois de mai 2020.

Obtenant plus de  12 200 connexions depuis son lancement, le support est sur de bons rails. Lancé au summum de l’épidémie de COVID-19 au printemps dernier, l’outil s’est petit à petit imposé comme une référence incontournable auprès d’internautes en quête de renseignements utiles sur les lieux leur permettant d’acheter des produits de qualité.

 

Un potentiel d’une centaine de nouveaux producteurs d’ici fin 2022…

 

Désormais, le site élaboré avec le concours du Conseil départemental et soutenu par la Région regorge d’adresses indispensables à connaître presque par cœur.

Attention, toutefois, il y en a, à date, déjà 253 ! Ce chiffre fait référence au nombre de professionnels issus de diverses filières agricoles et viticoles qui commercialisent une production au-dessus de tout soupçon. Côté qualitatif et traçabilité, il va de soi !

Toujours aussi enthousiaste quand il en évoque les fondements, Arnaud DELESTRE, président de l’organe consulaire qui en assure la promotion, trace la feuille de route de ce concept, répandu aujourd’hui à l’ensemble de la contrée régionale, pour les douze prochains mois. L’objectif est simple : atteindre, voire dépasser les trois cents adresses de contacts d’ici la fin 2022. Autant dire que cela est du domaine du réalisable pour ses services qui animent le support.

« Le potentiel pour pouvoir intégrer de nouveaux adhérents à ce dispositif est important, précise-t-il, pas moins d’une centaine de représentants de la filière agricole… ».  

Une filière qui devra se rajouter à la viticulture encore peu présente sur cette vitrine du made in Yonne. Signalons que les marchés figurent sur le site. L’ajout de restaurateurs s’approvisionnant en produits locaux pourrait suivre d’ici peu.

Récemment, Arnaud DELESTRE a rencontré la plupart des présidents des EPCI de l’Yonne afin de s’entretenir avec ces derniers sur le développement des circuits courts au service des collectivités. L’une des priorités du Conseil départemental. Sans doute, aura-t-il fait allusion au site « Agrilocal 89 », favorisant la relation entre les gestionnaires de la restauration collective, les cuisiniers et les producteurs. Une rencontre entre ces différents acteurs est d’ailleurs inscrite au planning du président de la chambre consulaire, le 30 mars prochain à Tonnerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il a beau additionner les charges ministérielles depuis quelques semaines, l’unique bourguignon présent au sein du gouvernement, il n’en oublie pas pour autant les priorités de son mandat initial en matière de tourisme et de son développement. Le récent coup de pouce qui vient d’être accordé à une vingtaine de stations de montagne l’atteste. Il vise à transformer l’immobilier de loisirs…

 

PARIS : Il ne chôme pas malgré cette période festive propice au farniente, Jean-Baptiste LEMOYNE ! Le nouveau  ministre délégué en charge du Tourisme, des Français de l’étranger, de la Francophonie et des Petites et Moyennes Entreprises (depuis le récent retrait d’Alain GRISET) ne s’accorde guère de répit.

Entre le poids de ses différentes missions et les rendez-vous médiatiques, multiples et variés, lui permettant de faire le point sur ce qui préoccupe le plus nos concitoyens, à savoir leurs vacances, le temps lui est compté. Ce qui ne l’empêche nullement de raisonner tourisme, et notamment montagne.

Il a eu, il y a quelques jours, la possibilité de s’exprimer sur ce sujet en dévoilant le nouvel accompagnement dont vont bénéficier durant cinq ans vingt-cinq stations de l’Hexagone, réparties dans les Alpes, les Pyrénées et le Jura.

Dans le cadre du programme Avenir Montagnes Ingénierie, France Tourisme Ingénierie, organisme ad hoc à l’aide vers cette évolution, apportera ses compétences et son expertise à la suite d’un appel à manifestation d’intérêt autour de quatre grands critères : la transition touristique durable, la gouvernance, la cohérence d’ensemble du projet et son opérationnalité.

 

 

Seule la station de Métabief sauve l’honneur du Jura dans ce projet…

 

Si deux des grands massifs montagneux de l’Hexagone sont bien représentés dans cette liste de bénéficiaires (les Alpes et les Pyrénées), a contrario, aucune station des Vosges ou Massif central n’y figurent. Ne parlons pas du Morvan !

Seule la station de Métabief, dans le Jura, bénéficie de ce coup de pouce salvateur qui vise la rénovation de l’immobilier de loisirs. Elle sauve l’honneur pour la région Bourgogne Franche-Comté !

Commentaires de Jean-Baptiste LEMOYNE : « Le plan Avenir Montagnes représente du concret ! Avec Atout France et la Banque des Territoires, nous aidons les stations de montagne à rénover et transformer leur immobilier de loisirs. C’est un pas de plus pour que le tourisme de montagne qui reste l’un des fleurons de notre offre de service territoriale, retrouve la première place sur le podium des destinations les plus attractives… ».

Un projet qui a reçu l’appui de Joël GIRAUD, le secrétaire d’Etat chargé de la Ruralité.

 

Thierry BRET

 


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