Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Idéalement, le concept devrait être opérationnel dès les premiers jours de septembre. Logique, car il faudra alors répondre avec célérité aux attentes et besoins de celles et ceux qui travaillent au quotidien dans la zone artisanale et industrielle la plus développée du Sénonais. Eriger une crèche au beau milieu d’une zone d’activité économique ne semble donc pas utopique en soi. Le projet, encouragé par l’Agglomération et les acteurs institutionnels qui agissent dans le secteur de la petite enfance, nécessitera un investissement d’un million d’euros. Et, il va sans dire, il sera créateur d’emplois…

SENS : Son sourire illumine son visage. Il traduit un optimisme rayonnant qui fait plaisir à voir. Celui d’une jeune femme de 36 ans, farouchement déterminée à atteindre ses objectifs professionnels.

Heureuse d’apporter un service concret qui résout l’épineuse problématique de la garde d’enfants lorsque les parents actifs travaillent, Christina NGOUMBI ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

A peine la crèche « COPAINS CABANA », sortie de terre il y a peu à Paron, que déjà elle se projette sur la seconde phase évolutive de sa société, une SAS, qu’elle pilote à la perfection.

La Sénonaise sait parfaitement ce qu’elle veut. Et aujourd’hui, son regard et ses choix stratégiques se tournent vers la zone industrielle sise en bordure est de Sens : celle des VAUGUILLETTES.   

Si tout se passe pour le mieux, septembre coïncidera avec l’ouverture du deuxième établissement qui accueillera les bambins des actifs s’affairant chaque jour dans les entreprises de ce secteur géographique.

Une opportunité que ne pouvait qu’encourager les stratèges du développement économique locaux. Demain, la zone se muera en zone d’activités d’intérêt régional (ZAIR) dans le cadre du programme « Territoire d’Industrie », auquel le Grand-Sénonais a décidé d’adhérer.

 

Le plébiscite des acteurs économiques et institutionnels…

 

Et pour faciliter l’accueil de nouvelles entreprises et forces vives sur la zone septentrionale de notre département, nul n’est besoin d’être un prophète en son pays pour considérer que l’apport de services spécifiques supplémentaires sera du pain béni pour accroître l’attractivité d’un secteur et faire la différence vis-à-vis d’autres contrées de l’Hexagone.

Or, parmi les projets d’extension de qualité auxquels les décideurs politiques, institutionnels et économiques croient dur comme fer, la prolifération de services communs intègre ces priorités. Dont la présence de crèches à proximité des structures entrepreneuriales !

Or, c’est peu dire que le concept déjà fonctionnel de Christina NGOUMBI (entrepreneuse soutenue par le réseau Entreprendre Bourgogne-elle en a été lauréate officielle- et l’accompagnateur INITIACTIVE 89 qui lui a consenti un prêt d’honneur) sur la localité voisine de Paron, interpelle en haut lieu.

Validé par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens, le dossier est désormais en bonne voie de concrétisation.

D’autant que le Conseil départemental et la Caisse d’allocations familiales (CAF) pourvoiront à son développement. Même si la société porteuse est sous statut privé.

 

Les entretiens d’embauche débuteront en mars…

 

Dans l’absolu, le second élément à ajouter au futur triptyque de ce programme ambitieux (on sait déjà qu’un troisième établissement verra le jour au nord de Sens un peu plus tard) créera de nouvelles embauches.

Des salariés au profil professionnel, certes classique pour exercer dans cette filière mais ô combien nécessaire à l’essor de l’entreprise : auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, titulaires de CAP petite enfance…

Déjà, les candidatures affluent sur le bureau de Christina. Les premiers entretiens s’effectueront courant mars.

Avant que n’ouvre la nouvelle structure, la jeune dirigeante aura pris soin de multiplier les contacts avec les services DRH des entreprises de cette zone, bien pourvue, mais aussi ceux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Rappelons que l’institution occupe une position éminemment stratégique avec son Village d’entreprises.

Une vingtaine de berceaux devraient être mis ainsi à la disposition des parents d’une soixantaine de familles dès cet automne. Un plus indéniable pour optimiser la gestion du quotidien et le rendre plus facile pour les parents…   

 

Un article réalisé en partenariat avec l’Agglomération du Grand-Sénonais, la Ville de Sens et INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils se sont retrouvés. « Tout naturellement » explique lapidaire le communiqué de presse. Logique, après tout puisqu’ils sont issus de la même représentativité politique, celle d’un centre droit aux multiples ramifications. Pascal HENRIAT s’était arrogé le droit à la prise de recul, le temps de la réflexion. Une série de nuits blanches où il s’est longuement interrogé sur la conduite à tenir qui a porté ses fruits in fine. Et voilà l’emblématique figure du MoDem de l’Yonne propulsé à nouveau sous le feu des projecteurs médiatiques. Désormais en joker de luxe aux côtés du chef de file d’« Auxerre au Cœur », Crescent MARAULT. Avec qui il fait dorénavant alliance…

AUXERRE : C’est l’évidence même ! Pourquoi ces deux acteurs de la politique auxerroise dans sa variante centre droit n’y avaient pas pensé plus tôt ?! Que le représentant officiel du Mouvement des Démocrates dans l’Yonne vienne frapper à la porte de la tête de pont d’« Auxerre au Cœur », qui réunit en son sein des figures de la droite et du centre droit, ne représente pas en soi une réelle surprise.

Parce qu’ils auront pris le temps de la mûre réflexion, aurait répondu goguenard Monsieur de LAPALICE ! Cette convergence d’intérêts, exposée au grand jour grâce au prisme d’une conférence de presse ce vendredi 31 janvier aux alentours de midi tapante, aura donc servi de prétexte utile aux deux challengers officiels du tenant du titre (Guy FEREZ) d’expliciter dans le détail les raisons de ce rapprochement.

« Nous avons une ambition similaire, constatent-ils, seul un réveil de l’environnement économique nous permettra de proposer aux Auxerrois de meilleures conditions de vie… ».

Il est vrai que le monde de l’entreprise, Pascal HENRIAT et Crescent MARAULT, le pratiquent à bon escient au quotidien. Chacun dans sa propre sphère professionnelle. Alors, cet argument de base justifie-t-il leurs retrouvailles ?

« Ensemble, nous accompagnerons le monde de l’entreprise en encourageant les initiatives, pour faciliter la création d’emplois. D’autres villes l’ont fait, ajoute Crescent MARAULT, elles ont su démontrer que la paupérisation n’était pas une fatalité dans laquelle il fallait sombrer… ».

 

Le déclic ultime obtenu auprès des seniors !

 

Mais, cette présence de Pascal HENRIAT, est-elle si anachronique et décalée que cela ? Nullement, selon l’intéressé. Ce dernier confirme en avoir terminé avec sa cure d’austérité médiatique entamée depuis plusieurs semaines. Une disette qui lui a visiblement redonné grand appétit. Et c’est sa présence en qualité d’élu de la Ville d’Auxerre au repas de fin d’année servi aux seniors au Parc des expositions qui aura agi comme un véritable catalyseur.

Le déclic ultime pour mettre fin à ce régime pain sec et à l’eau qu’il ne souhaitait plus observer.

« Une forte demande à ma présence dans ces municipales s’est faite ce jour-là. Cela a été un excellent indicateur quant à la démarche à suivre… ».

L’adjoint aux finances qui voue une admiration sympathique à l’engagement pris par sa collègue écologique Maud NAVARRE elle-même en piste à la conquête du Graal n’ira tout de même pas jusqu’à la rejoindre de manière officielle.

Mais, qu’importe, s’il joue de nouveau un rôle d’élu dans l’appareil municipal auxerrois, Pascal HENRIAT se dit prêt à travailler avec différentes composantes dans l’intérêt de la Ville et de son agglomération.

Quelles opportunités pouvaient bien se présenter à lui en somme ? Qui lui conviennent et soient dans ses appétences politiques ? Celle de Crescent MARAULT, of course.

« Nous avons soutenu Alain JUPPE et voté en faveur d’Emmanuel MACRON lors de la présidentielle, confesse le Conseiller départemental, Crescent et moi sommes des centristes de droite. C’est ce qui nous rapproche dans nos analyses politiques… ».

Le programme (il n’a pas encore été dévoilé à l’heure actuelle) l’a pourtant séduit. Justifiant ainsi son ralliement.

 

Deux leaders en parfaite symbiose coopérative…

 

Mais, avant de se prononcer, le représentant du MoDem s’est également appuyé sur les avis de deux maîtres à penser : François BAYROU, et celui qui fut maire d’Auxerre durant quarante-quatre années, Jean-Pierre SOISSON. Leurs commentaires ont conforté Pascal HENRIAT dans ses choix.

Le centriste qui n’avait pu négocier quoi que ce soit avec Guy FEREZ il y a quelques semaines se satisfait aujourd’hui de figurer dans la future équipe qui devrait être dévoilée d’ici peu.

« Je désire apporter ma pierre à l’édifice dans la construction du projet porté par Crescent MARAULT, conclura Pascal HENRIAT, c’est une liste d’ouverture au service de l’intérêt général de la ville. Elle ne peut que l’emporter… ».

Une manière de couper court aux hypothétiques arguties qui nourriraient une guerre des chefs entre ces deux leaders, opposés à l’édile sortant.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle incarne le renouveau politique sur l’Auxerrois. N’étant inféodée à aucune coterie traditionnelle. Sans appartenance enracinée de longue date au sein d’un parti, ni affublée d’une quelconque étiquette à lui coller dans le dos. Bref : c’est éprise d’une liberté totale tant dans la parole donnée que dans les actes à accomplir que Florence LOURY, digne ambassadrice des valeurs véhiculées par la société civile, souhaite donner du grain à moudre à toutes celles et ceux qui se retrouvent en elle. Pour la prise de responsabilités à l’aide des suffrages qui soient favorables au mieux-être des citoyens…

AUXERRE : Déterminée. Mais, aussi consciente de l’enjeu des responsabilités qui l’attendent si le chemin l’amène à bon port. Florence LOURY ne fera en aucun cas machine arrière.

Sa décision est mûrie de longue date. Depuis le mois de juin, période où elle décide de s’engager davantage sur cette voie constructive après avoir collaboré avec Denis ROYCOURT à la réussite des RADD, les Rencontres Auxerroises du développement durable.

Sa connaissance avec la figure emblématique (et historique) de l’écologie locale remonte aux Marches pour le climat. Un évènement qui l’a profondément marqué.

Ensemble, ils ont impulsé la création de cette liste « Auxerre Ecologie » qui nourrit de réels espoirs quant au résultat final. Pourtant, de sensibilité écologiste et sociale, cette professeur d’éducation physique et sportive au collège Paul Bert ne sort pas d’un écrin purement politique.

« Je n’ai pas d’étiquette de parti, concède-t-elle, je ne revendique qu’une seule chose : ma liberté ! ».

Sa substance intellectuelle, elle s’en nourrit parmi les strates de la société civile dont elle se réclame. Même si l’attachement à la sauvegarde environnementale lui est chevillée au corps.

« J’ai conscience de la fracture sociale. Au quotidien, dans ma vie, autour de moi, dans mon travail. J’en suis témoin. Je constate également que la crise environnementale a atteint un degré de gravité inéluctable. Chaque jour, je pratique l’inclusion de tous qu’il s’agisse d’enfants issus de tous les milieux sociaux, mais aussi de jeunes en situation de handicap, en difficulté, exilés. Je dialogue avec les parents et je les entends… ».

 

 

Porteuse d’un programme qui suscite de l’espoir et du changement…

 

Son engagement dans cette bataille électorale, elle le doit à cette jeunesse en déshérence qui interpelle. Mère et citoyenne, avant toute autre chose. Révoltée par ce qui nous environne. Florence LOURY n’a eu d’autres choix que de prendre ses responsabilités en s’impliquant localement pour l’avenir de ces enfants. De nos enfants…

« Candidate à la fonction de maire de ma ville est une très lourde charge mais ma détermination est totale. Notre liste, « Auxerre Ecologie », doit mettre en place des solutions pour lutter contre la crise sociale et environnementale qui nous menace… ».

Son credo : proposer aux Auxerrois un programme synonyme d’espoir. En le partageant, avec ses colistiers, mais aussi avec Denis ROYCOURT qui s’est effacé de la conquête légitime du fauteuil de maire pour mieux se consacrer à la présidence de l’Agglomération en cas de victoire de la liste.

Une dualité qui fait mouche auprès des partisans de la liste écologique et qui la distingue des autres prétendants au sésame suprême.

Chez « Auxerre Ecologie », volontairement, on a pris soin de ne pas courir après deux lièvres à la fois !

Un argument qui pourrait renforcer le sérieux et la crédibilité de cette double candidature sur le même ticket. Et si c’était cela la « botte de Nevers » redoutable pour contrecarrer les pronostics actuels qui circulent dans le microcosme auxerrois ?

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Parcourir près de 2 500 kilomètres à la seule force des jambes et en solitaire, soit un long périple d’un mois empruntant les chemins de traverse de France, d’Espagne et du Maroc, sous la touffeur estivale, ne fut pas une partie de plaisir. Même si les stigmates de cette course impensable qu’il a disputée avec lui-même sont  aujourd’hui effacés. Le valeureux auxerrois intègre désormais le Panthéon très restrictif des figures emblématiques qui ont écrit la légende du sport dans l’Yonne…

AUXERRE : 52 ans, et une silhouette perpétuelle de jeune homme ! Le coureur pédestre gravit les quelques marches le menant à sa récompense de manière leste et agile. Toujours très affûté. Sans doute, est-il prêt à se lancer un nouveau défi, tant son allure physique est ordonnée.

Nonobstant, il y a néanmoins ce voile insondable de tristesse qui se fige sur son visage. Un bref instant. Etrange pour ce garçon d’ordinaire si en phase avec l’optimisme et le rayonnement de la vie.

Un sentiment que ce garçon sympathique a dû cultiver dans sa prime jeunesse sous le chaud soleil du Maghreb. A Bzou, sa ville natale, dans le royaume chérifien. Le théâtre de son incommensurable performance qu’il a su rallier à la force de ses muscles l’été dernier.

C’est la raison de sa présence sur la scène de la Nuit des Sports, aux côtés du président du Département, Patrick GENDRAUD, et du parrain de la soirée, Jean-Marc FURLAN, coach de l’AJ Auxerre.

Abderrazzak apporte toutefois l’explication à ce vague à l’âme persistant qui fait mal et que la nombreuse assistance perçoit. L’épouse du champion n’a pu se rendre à la cérémonie et partager cet instant magique avec son mari. L’obtention de cette récompense ultime pour clore une splendide saison. Le « Coup de Cœur » du jury de cette édition 2020.

 

 

Déjà auréolé par la Ville d’Auxerre et la BGE…

 

Le coureur aurait tellement voulu brandir le trophée aux côtés de son épouse, absente pour maladie. Mêlant joie intérieure et tristesse apparente, EL BADAOUI a évoqué en quelques mots ce que furent ces heures terribles passées sur le bitume ou sur le sable en ne regardant que devant soi. Se fixer pas après pas un seul et unique objectif : atteindre le but matérialisé par cette petite localité de BZOU, un village typique du Maroc, où le héros est devenu une divinité après son exploit.

Déjà, la Ville d’Auxerre lui avait rendu les honneurs en septembre dernier, lui remettant au passage la médaille officielle de la cité.

D’autres structures, à l’instar de la BGE Nièvre Yonne, lui ont offert une vitrine d’expression pour que l’athlète de l’extrême puisse narrer ses aventures insolites devant un parterre d’entrepreneurs.

La logique voulut que le Conseil départemental et le Comité départemental Olympique et Sportif de l’Yonne lui rendent la pareille. Ce fut fait dans le cadre de cette Nuit du Sport, réunissant la fine fleur des compétiteurs de notre territoire.

Alors qu’une biographie se prépare actuellement sur le fantastique chemin de vie de notre personnage, Abder EL BADAOUI aura, malgré les circonstances personnelles, pu savourer les images d’un court diaporama retraçant les moments clés de son incomparable exploit devant une salle attentive et respectueuse.

C’est le plus bel hommage que l’on pouvait rendre à cet homme d’une rare humilité, au cœur gros comme ça et pétri d’un idéal altruiste…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Capturer des données, les rechercher et les analyser, exigent des outils de stockage et de gestion des informations recueillies, hyper sophistiqués. C’est ce que l’on nomme usuellement le BIG DATA. Ou littéralement : la récolte de données importantes, de données massives ou de méga-données. Ce procédé technologique condamne-t-il le principe même de la démocratie ? Celui de notre liberté de penser…

TRIBUNE : Chaque jour, nous générons plus de 2,5 trillions d’octets de données ! De quelles données parlons-nous ? Ce sont des messages envoyés, des vidéos publiées, ceux de nos interventions sur les réseaux sociaux. Auxquelles, il est nécessaire d’ajouter toutes les informations médiatisées, les signaux GPS, les transactions d’achats en ligne…

Mais, qui sont réellement les utilisateurs du BIG DATA ? Des informaticiens, des entreprises, des chercheurs. Mais, il y a aussi les spéculateurs qui influent sur les marchés financiers. Ils intègrent et gèrent des masses de données, qui leur permettent d’adresser des ordres de bourse toutes les nanosecondes. N’omettons pas de notre inventaire à la Prévert les décideurs politiques, les services marketing et de communication…

Le BIG DATA représente aujourd’hui une véritable révolution qui permet de manipuler l’information donnée et de gagner plus. En parts de marchés, mais aussi en nombre de clients, voire d’électeurs…

Le BIG DATA repose sur la règle sacro-sainte des cinq « V » : variété des informations, volume de ces mêmes infos, vélocité, véracité et enfin valeur des éléments collectés. 

Tous ces « outils » permettent d’optimiser les arbitrages et actions stratégiques des décideurs. Chacun apprend à manipuler les infos stockées et analysées, afin de mieux impacter de leurs poids le commerce et la vie politique.

 

L’IA supplante petit à petit l’intelligence humaine…

 

Les systèmes issus du BIG DATA décident pour les hommes. Qu’il s’agisse de recrutement et de licenciement, de conception de produits « vendables », des techniques de marketing, des stratégies politiques pour séduire les électeurs.

L’imperfection humaine laisse la place à l’intelligence artificielle (IA). C’est en fait la fin de notre vie privée ! Quant à la décision soumise au BIG DATA, c’est le robot qui valide les choix et remplace l’homme.

En politique, historiquement, ce principe technologique est devenu un acteur important dans trois des récents scrutins : la dernière présidentielle aux Etats-Unis, le BREXIT en Grande-Bretagne, et l’élection d’Emmanuel MACRON en 2017. Le BIG DATA a ainsi permis d’inonder les internautes de contenus conformes à leurs a priori !

Ainsi, chaque citoyen reçoit un discours ciblé. Dans ces conditions, comment tendre la perche vers le dialogue ? On votera pour des intérêts personnels au détriment du collectif.

Aujourd’hui, les solutions humaines et imparfaites s’effacent progressivement devant la détermination froide de l’informatique.

Ce sont des remèdes sans émotion. Sans la volonté d’unité de la nation. Sans âme !

Bref, qu’on se le dise autour de nous : le BIG DATA sonne irrémédiablement le glas de nos démocraties…et de nos libertés individuelles.

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil