Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Drôle d’idée que celle-ci ! S’extraire du milieu de l’assurance pour s’immerger de plain-pied dans un autre univers professionnel aux antipodes du précédent, soit le monde du funéraire. C’est le challenge insolite mais réussi que s’est fixée Frédérique CHATON, nouvelle franchisée du groupe PFF (Pompes Funèbres de France). Elle vient de formaliser son désir en inaugurant la nouvelle vitrine commerciale de la franchise nationale à la lisière de la capitale de l’Yonne…

AUXERRE : Le syndrome de la répétitivité du quotidien a donc finalement eu raison de la jeune professionnelle à l’émotivité évidente. Grand bien lui en a pris !

Le désir avouable de faire autre chose de son existence aura été le plus fort dans ses choix stratégiques : Frédérique CHATON n’a pas donc pas tergiversé longtemps avant de claquer la porte du secteur assurantiel, et ce de manière définitive.

Elle y exerçait jusqu’alors son savoir-faire. Lasse, elle s’est décidée à franchir le Rubicon pour relever un défi un tantinet beaucoup plus cocasse. Mais, qui lui correspondait. Une vocation propre qu’elle a su faire remonter à la surface : accompagner les personnes en proie aux doutes et à la douleur. Des atermoiements qui nous touchent tous lorsque l’on est confronté à la perte d’un être cher, à titre d’exemple.

Aujourd’hui, investie de cette nouvelle mission, la jeune femme joue les maîtres de cérémonie, suivant scrupuleusement les us et coutumes d’un rituel de deuil. Plaçant le vecteur psychologique parmi ses priorités.

Il restait à trouver l’emplacement idoine pour exercer ce nouveau talent. A la périphérie d’Auxerre, une infrastructure appartenant à la société conduite par Frédéric PEDRINA (Espace et Volume) offre ce point d’ancrage indispensable à la pérennité de son projet.

 

 

 

Un rafraîchissement du lieu, puis agencé pour les besoins de développement de l’entreprise, mobilisera des artisans du cru avant l’été. Dès le 12 juillet, PFF s’installait dans ses meubles en ouvrant une succursale supplémentaire dans le paysage hexagonal.

Cette agence dont la vocation initiale est de servir l’ensemble des agglomérations de l’Auxerrois peut accueillir globalement tout la zone de chalandise potentielle représentée par l’Yonne.

Présente à la cérémonie inaugurale, la présidente de la franchise, Sandrine THIEFINE, salua l’engagement de sa nouvelle franchisée ; porteuse de valeurs où sont mises en exergue les notions d’éthique, de qualité, de respect, d’écoute et de savoir-faire.

Pari réussi pour Frédérique CHATON qui a fait part de ses émotions devant une assistance à l’écoute de ses projets…

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Faire montre d’exemplarité et de pragmatisme. Surtout dans le domaine de la transition énergétique afin de s’extirper de la dépendance imposée par les pays de l’OPEP. Le principe est, certes, vertueux mais aussi coûteux. Nonobstant, ce choix, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, l’assume en connaissance de cause. Car, demain, la population devra diriger ses orientations consuméristes vers le véhicule électrique. D’où, la pose de la première borne rechargeable dans sa localité de prédilection : la sienne…

MOULINS-sur-OUANNE : Associer le milieu scolaire à l’inauguration de la première borne rechargeable dans la commune est un signe empli de symboles et d’espérance. Car, l’avenir de la planète en matière de préservation de l’environnement passe par ces jeunes pousses, qui, demain, seront de potentiels utilisateurs de véhicules électriques.

Aussi, c’est entouré de deux « têtes blondes » que le président de la CC de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et le président du Syndicat départemental des énergies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY, officialisaient cette énième borne installée au cœur d’une agglomération icaunaise.

Mais, comme un bonheur ne vient jamais seul, le président hôte de cet évènementiel évoqua les efforts budgétaires consentis par la commune en vue d’améliorer son bilan carbone.

 

 

 

Faire montre d’exemplarité en optimisant les moyens…

 

Non seulement, la localité proche de Toucy a pris en charge 50 % de l’investissement nécessaire à la pose de cette borne électrique (18 500 euros –le reliquat revenant au SDEY), mais en outre, son maire et président de l’agglo en rajouta une couche, mettant en exergue le véhicule électrique de type Kangoo Renault à disposition des habitants de la bourgade.

Cofinancé avec le concours de judicieuses subventions (Leader, contrat de territoire, SDEY), la voiture n’aura en tout et pour tout grevé le budget communal que de la modique somme de 4 705 euros ! Sachant que le coût initial du véhicule s’élevait à 16 380 euros…

Autre bonne nouvelle : l’aménagement de l’éclairage public qui est bénéficiaire d’ampoules leds.

Identifiée en qualité de commune raisonnable, Moulins-sur-Ouanne fait donc le choix de combattre les émissions d’effets de serre en réalisant de conséquentes économies d’énergie.

Une orientation que la Communauté de communes a déjà fait sienne en devenant un des leaders pour la préservation du patrimoine et de l’environnement.

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Tous les Français ont appris à l’école que la nuit du 04 août 1789, les grands privilégiés de l’état, dans un magnifique élan d’enthousiasme et de cohésion nationale, ont renoncé à leurs privilèges. Cela ne s’était jamais produit auparavant. Cela ne s’est, par ailleurs, plus jamais reproduit depuis…

TRIBUNE: Qu’est-ce que les régimes spéciaux ? Ce sont des régimes qui consistent, en matière de retraite, à donner moins que l’immense majorité des Français pour recevoir beaucoup plus. Autrement dit, nous ne sommes plus en République. Nous avons fait un saut en arrière de plus de deux siècles. D’un côté se trouve la noblesse. C’est-à-dire les bénéficiaires de ces fameux régimes et, de l’autre, le Tiers-Etat, soit les adhérents de la CNAV, les employés, les artisans et professions libérales, etc.

Résumons le système : il est à l’apanage des employés des grandes sociétés appelées « les services publics » tels que de grandes structures comme SNCF, RATP, auxquelles on peut ajouter la Banque de France et autres forteresses. Il consiste, d’un côté, à payer un montant de cotisation moindre que la majorité des bénéficiaires des régimes normaux. Et d’un autre, à cotisation égale, à recevoir un montant de pension plus élevé ainsi que de bénéficier d’un âge de départ en retraite plus avancé. Mais alors beaucoup plus avancé, que celui du « pecus vulgare », le commun des mortels.

 

Une première tentative de réforme déjà avortée en 1995…

 

Alors, dira Candide, « pourquoi ne respecte-t-on pas les principes de la République et, en l’occurrence, ceux inhérents à l’égalité, voire ceux de la fraternité ? ». Oui, mais qui a l’autorité pour les faire respecter ? Le pouvoir n’est plus là où on le croit… Le pouvoir est là où l’on peut faire des grèves et des manifestations monstres à satiété comme on le vit à l’automne 1995.
Cette année-là, un gouvernement fraîchement élu décidait de réformer les retraites en commençant par supprimer les régimes spéciaux. Le chef de gouvernement l’annonce à l’Assemblée nationale. A la fin de son discours tonitruant, il reçoit une « standing ovation ».

Quelques jours plus tard, se déclenche une grève totale sur toute la France. Pendant près de deux mois, voici les beaux jours de Mai 68 qui refleurissent ! Trains, RER, métro, La Poste paralysent le pays… Le gouvernement cède et recule. Il n’y aura pas de réforme des retraites des régimes spéciaux ! La messe est dite !

Comme dans la Bible, partons du commencement. A l’origine, des compensations, et non des privilèges, ont été  accordées aux ouvriers exerçant des tâches particulièrement dures. Ceux qui conduisaient des trains à la lointaine époque des locomotives à vapeur fonctionnant avec du charbon. Puis, progressivement, ces avantages furent étendus à tout le personnel de ces entreprises.  Les   employés de bureau dont la pénibilité ne semble pas une caractéristique bénéficièrent des mêmes avantages que  les conducteurs de locomotive.

 

 

Pourquoi ces régimes spéciaux ne s’appliquent-ils pas aux secteurs du bâtiment et à l’industrie ?

 

Le monde évolua, les métiers aussi et les avantages se multiplièrent à l’infini. Comme de petits pains si agréables à manger…
Il convient de mettre en évidence un phénomène propre à la société française : si certains emplois, au sein de grandes sociétés nationales, ont été reconnus comme empreints de pénibilité, ils n’en avaient pas l’exclusive. De très nombreux métiers sont durs, notamment dans le bâtiment et les travaux publics. Les ouvriers exercent leur emploi, dehors quand il gèle à pierre fendre et quand il fait une chaleur d’enfer. N’oublions pas le labeur parfois exténuant en usine, dans l’hôtellerie-restauration, où l’on travaille jusqu’à point d’heure selon des horaires toujours décalés. Jours fériés compris. Mais, eux, ils n’ont droit à rien et doivent se taire.

Pourquoi ? Toujours pour la même raison que notre « bon fabuliste » » a exprimé : « Que vous soyez puissant ou misérable … » Autrement dit : « Que vous soyez salarié dans un service public ou dans une PME ou une TPE, vous serez un noble nanti de privilèges ou vous serez un manant… ».
Si vous pouvez bloquer le pays par des grèves et des manifestations dures vous conserverez vos privilèges. Et à l’instar de notre grand réformateur, le président de la République, le gouvernement ne souhaite pas de vagues. Il est à parier qu’in fine, il n’y aura pas de réforme des régimes spéciaux. Et ce, toujours en vertu des grands principes !

Emmanuel RACINE

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Prolixe Véronique MORLIGHEM ! La déléguée régionale de l’opérateur en Bourgogne ne s’est pas contentée de divulguer quelques chiffres à la clé lors de sa conférence de presse de rentrée. Un exercice lui permettant de procéder à un large éventail de la situation sur les différents chantiers assurés par son entreprise. Pédagogue, la dirigeante s’est montrée tour à tour constructive, précise et minutieuse dans les informations fournies avec abondance. In fine, ORANGE continue d’enclencher la vitesse supérieure dans le cadre du « New Deal » voulu par le gouvernement pour que l’Yonne bénéficie, entre autres, de tous les atouts liés à la fibre optique comme ceux de la téléphonie…

AUXERRE: Quoi de neuf du côté de l’aménagement de la fibre optique et de la téléphonie mobile sur notre territoire ? Question récurrente que se posent la plupart des Icaunais, particuliers et entrepreneurs, souvent confrontés à une impatience croissante et compréhensible : vouloir bénéficier des mirobolants avantages offerts par cette technologie dès que possible.

Présente dans la capitale de l’Yonne, il y a quelques jours, la déléguée régionale du groupe ORANGE s’est fendue d’une explication de texte détaillée, sous la forme d’un bilan et perspective, lors d’un exercice oratoire face à la presse. Au lieu d’être dubitatifs, les suiveurs de cette actualité ô combien stratégique (notamment dans le domaine de l’économie) ont eu tôt fait d’être rassurés par les propos encouragements de la patronne de ce poids lourd technologique.

ORANGE, la structure qui déploie le plus en France, confirme son ambition de couvrir vingt millions de logements et locaux professionnels raccordables à la fibre optique à l’orée de 2022. Dans le cadre de la zone AMII, c’est-à-dire à la suite d’un appel à manifestation d’intention d’investissement. Alors que les abonnements fibre d’ORANGE représentent à ce jour plus de 50 % du marché hexagonal de la fibre optique jusqu’aux logements, l’enseigne compte désormais à fin août trois millions de clients. Précisons, que près de 13,5 millions de logements et locaux professionnels sont raccordables à la fibre à fin juin 2019. Des éléments chiffrés qui ne manquent pas d’interpeller la responsable régionale…

« A titre de comparaison, précise-t-elle, nous allons équiper la France de la fibre en une quinzaine d’années à peine alors qu’il aura fallu près de quarante ans pour obtenir un résultat similaire dans le cadre de la téléphonie fixe… ».

Peu avare de chiffres, Véronique MORLIGHEM déroule ses explicatifs de manière méthodique : « Prenons la Bourgogne Franche-Comté, renchérit-elle, l’engagement d’ORANGE en zone AMII correspond à la pose de 740 000 prises, soit 46 % des 1,6 million de foyers… ».

Autre vérité : la photographie exacte de la situation arrêtée au 31 août 2019, où plus de 336 000 prises étaient déjà raccordables à la fibre, soit 48 % du projet global, sur 139 communes.

 

 

Quid de la situation dans l’Yonne ?

 

Immanquablement, une interrogation légitime brûlait sur toutes les lèvres des débatteurs : et l’Yonne, dans tout cela ?

« C’est très clair, souligna Véronique MORLIGHEM, à la fin août, le département icaunais enregistre un solde de 26 300 foyers raccordables, c’est-à-dire éligible à la fibre optique avec le choix de son opérateur... ».

D’ailleurs, celles et ceux qui douteraient encore de l’évolution positive des choses seraient marris ! Depuis décembre 2018, six mille nouveaux raccordements ont été déployés sur le territoire.

Schématiquement, les faits sont les suivants. L’agglomération auxerroise concentre 20 330 foyers en phase d’être raccordables tandis que la ville de Sens en englobe plus de six mille.

A ce stade des commentaires, il est judicieux d’user de pédagogie. Nous l’avons dit : la déléguée régionale d’ORANGE en use et en abuse positivement pour clarifier les informations. Introduisant au passage un autre terme, adressable, à la signification capitale…

« A titre d’exemple, ajoute-t-elle, à fin août, l’Yonne comprenait 48 900 foyers adressables (soit 15 000 de mieux qu’au mois de décembre). Qu’est-ce que cela veut dire ? Par adressable, il faut comprendre que la fibre est dans la rue mais à ce stade, elle ne permet pas encore aux habitants d’être éligibles au Très Haut Débit. Concrètement, des travaux restent à réaliser pour amener la fibre jusqu’aux paliers des appartements ou devant les maisons individuelles… ».

 

 

 

Orange prend ses marques sur les réseaux d’initiatives publiques

 

C’est le cas dans l’agglomération auxerroise où 31 900 foyers sont adressables. Cela l’est tout autant à Sens (plus de 17 000 foyers).

« Nous avons l’engagement de rendre 100 % des logements raccordables d’ici 2020, concède la responsable de l’opérateur, hors refus d’un tiers… ».

Un autre aspect de ce volumineux dossier fut abordé lors de cet entretien : les réseaux d’initiatives publiques (RIP)…

Ceux-ci représentent à ce jour environ 40 % des logements en France, soit près de 15 millions d’habitats hors DOM TOM. ORANGE a affiché son ambition de déployer environ 30 % des infrastructures en zone RIP.

« Dès le mois de mars, nous avons annoncé l’arrivée de la fibre Orange dans toutes ces zones spécifiques, rappelle Véronique MORLIGHEM, qu’elles soient ou non opérées par notre structure. L’objectif étant d’atteindre deux millions de prises dans ces zones d’ici fin 2019. Nous avons déjà signé des accords avec SFR, COVAGE, AXIONE, ALTITUDE pour venir en qualité de fournisseur d’accès à Internet (FAI) sur les RIP déployés par ces opérateurs… ».

 

 

La 4G poursuit sa propagation…

 

Alors que la 5G pointe déjà le bout de son nez (les tests techniques se consolident avec différents partenaires industriels tout en continuant les essais des terminaux), le déploiement de la 4G, nécessaire à l’optimisation de la téléphonie mobile, progresse.

Depuis le début de l’année, ORANGE a installé de nouveaux sites, 1 500, sur l’ensemble de l’Hexagone. Soit plus de 40 % des sites mis en service sur le territoire tous opérateurs confondus.

« Rien que sur le mois de juillet, stipule Véronique MORLIGHEM,  sur 426 sites mis en service en France, 50 % sont imputables à ORANGE… ».

Enfin, d’ici la fin de l’année 2020, l’ensemble des antennes 3G en propre auront été passées en 4G. Ce qui représente une couverture à 99 % de la population en France métropolitaine (20 756 communes dont 16 673 localités rurales).

L’Yonne a vu seize nouvelles communes profiter de l’offre 4G depuis le 31 décembre 2018. Si bien que le taux de population couverte par la 4G s’élève à 94,7 % soit 321 319 habitants couverts.

Reste le réseau cuivre. Il représente 30,3 millions de paires de cuivre en 2017. C’est-à-dire avec précision, 21 000 nœuds de raccordements abonnés, un million de kilomètres d’artères à 50 % souterrain et 50 % en aérien, porté par quine millions de poteaux.

Des statistiques impressionnantes qui font dire à Véronique MORLIGHEM que le groupe investit à la fois pour renforcer l’entretien et la modernisation de ce réseau tentaculaire. Sachant que l’entretien global de ce réseau coûte environ 500 millions d’euros par an.

 

 

  

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Et de cinq pour la Communauté de communes du Grand-Sénonais qui prendra part ce jeudi 03 octobre à une nouvelle édition des Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté ! Une excellente opportunité pour sa présidente Marie-Louise FORT de rappeler à qui voudra l’entendre le poids que représente cet incontestable « poumon économique » dans le paysage régional…

SENS : Le Grand-Sénonais ne fera pas le déplacement à vide dans la capitale de l’Yonne ce jeudi. Bien au contraire, la vénérable institution disposera d’une vitrine conséquente, visible sur le fameux évènementiel industriel, les RIDY, concoctés tous les deux ans par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

A l’instar de la précédente édition, la communauté de communes du nord de l’Yonne fera toute la lumière sur les aspects qualitatifs justifiant l’attractivité de ce secteur géographique qui profite de la proximité francilienne.

 

 

Labellisé territoire industriel, travaillant en étroite osmose avec l’Aube et la Haute-Marne, le Sénonais demeure dans les esprits le « poumon économique » de notre territoire. Il entend bien le conforter même si, plus au sud, l’Auxerrois souhaite lui contester ce titre non officiel.

Sans doute présente à la tribune inaugurale comme en 2017, Marie-Louise FORT, édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, incitera-t-elle, comme elle sait si bien le faire lors de ses élans oratoires, les investisseurs et entrepreneurs de l’Yonne et des départements limitrophes à poser leurs jalons professionnels en choisissant sa contrée. C’est aussi l’autre enjeu de ces Rencontres industrielles !

Un article réalisé avec le concours du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil