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Au détour de la troisième Journée « En bonnes compagnies », concoctée par « L'Yonne en Scène », l’élue en charge des affaires culturelles au Département, Isabelle FROMENT-MEURICE, s’est prêtée au jeu de l’interview afin de rappeler les grandes orientations de la structure dont elle assume la présidence…

VEZELAY : L’élue de Puisaye-Forterre n’est jamais avare en prise de parole lorsqu’elle est sollicitée par les médias. Elle a pu profiter de la tenue de cette journée annuelle où étaient réunies à la Cité de la Voix vingt-sept compagnies artistiques icaunaises pour répondre à nos interrogations.

Pouvez-vous nous rappeler les fondements essentiels de la structure « L'Yonne en Scène » ?

Cette entité présente depuis un quart de siècle sur le département a pour objectif le prêt de matériel aux différentes associations culturelles icaunaises, adhérentes au concept. Mais, ces prêts concernent aussi les collectivités, c’est-à-dire toutes les communes qui organisent des évènements culturels. Soutenue financièrement par le Conseil départemental, « L'Yonne en Scène » a bénéficié en 2016, et à son initiative, d’un processus de restructuration. Il a eu pour effet de donner une orientation supplémentaire à la structure et de lui permettre de devenir un outil au service des compagnies artistiques de notre territoire.

Que dire de ce concept « En bonnes compagnies » et de ce rendez-vous ?

Fort d’un postulat, celui que les compagnies ne se connaissent pas les unes des autres, l’idée est venue de proposer une journée spécifique à leur intention. C’est l’occasion de découvrir leur travail de manière collégiale qui, même s'il est différent, permet d’observer que les problématiques demeurent identiques. Ce rendez-vous annuel s’institutionnalise petit à petit. L’idée de base est d’appartenir à une véritable communauté ayant envie de mieux appréhender comment l’autre travaille et fonctionne. A ce titre, un annuaire a été créé : il regroupe les coordonnées des cinquante-cinq compagnies exerçant à l’heure actuelle sur notre territoire…

 

 

Comment envisagez-vous les phases évolutives de l’association ?

Le parc est déjà conséquent. Il devrait l’être encore plus dans les années à venir. Grâce au rapprochement et au partenariat qui devraient être conclus prochainement avec l’ARTAM, qui réalise désormais le même type d’opération en Bourgogne Franche-Comté.

Actuellement, au nombre de cinquante-cinq, les compagnies culturelles de notre département connaissent une augmentation permanente. Vingt-deux d’entre elles ont bénéficié cette saison d’un besoin concret.

A contrario, seize structures ne nous ont pas sollicités pour une demande spécifique.

Mais, certains pensent qu’il ne faut pas solliciter de l’aide parce qu’ils sont persuadés en leur for intérieur qu’ils ne l’obtiendront pas.

C’est vrai que le monde de l’art reste suggestif pour celui qui le voit, l’écoute, le lit, le saisit émotionnellement.

Pour autant, ne doit-on pas résoudre cette équation basique, posée par cette simple interrogation : que faut-il faire pour bénéficier des soutiens nécessaires et plaire afin de les obtenir ?

Propos recueillis par Maryline GANDON

 


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Foisonnante. C’est le qualificatif de circonstance qui résume le mieux la riche actualité de l’édifice érigé à la Renaissance par des bâtisseurs inspirés des vertueux principes mathématiques du nombre d’Or. Financé par le loto du Patrimoine, cher à Stéphane BERN, bénéficiant d’une délégation de service public qui échoie à la société ALFRAN (voire notre article), l’infrastructure pentagonale, unique en France, fait l’objet d’une campagne de souscription. Celle-ci a été actée ce jeudi 12 décembre grâce aux paraphes du Département et de la Fondation régionale du Patrimoine…

AUXERRE : C’est l’un des cent-vingt sites de l’Hexagone à pouvoir bénéficier du soutien de la mission patrimoine qui a été confiée à l’animateur Stéphane BERN par le chef de l’Etat.

La singulière silhouette de l’édifice du Tonnerrois, joyau de l’architecture né de cette période si prolifique en termes de créativité, la Renaissance, est au centre de beaucoup d’intérêts en cette fin d’année 2019.  

Non seulement, la construction pentagonale intègre le cercle restreint des dix-huit sites emblématiques nationaux à être aidé en priorité. Mais en outre, elle est la raison d’être d’une campagne de souscription dont les principes opératoires ont été validés par le Conseil départemental de l’Yonne et la Fondation du Patrimoine.

C’est un grand appel à la générosité populaire mais aussi au mécénat d’entreprise qui a été doublement lancé afin de contribuer à la sauvegarde de ce bijou patrimonial de Bourgogne d’exception.

 

 

Une construction bâtie avec le chiffre 5 et le nombre d’Or…

 

Dans l’absolu, chaque donateur profitera de déductions fiscales incitatives après son geste altruiste à la suite d’un don réalisé par chèque ou en ligne sur le site sécurisé de la Fondation. C’est ce que devait expliquer avec moult détails le délégué régional de la fondation, Guy BEDEL.

« Maulnes représente le fruit d’une aventure architecturale exceptionnelle où l’homme a su ériger un bâtiment avec intelligence… précisa le président de la structure. Saluant ce symbole de la tolérance né d’une culture humaniste, Guy BEDEL livra ensuite ses théories sur ce chiffre, le 5, creuset fertile de l’imaginaire des bâtisseurs de ce site dont le pendant existe en Italie à Pouilles où furent tournées les scènes de l’adaptation cinématographique de l’ouvrage d’Umberto ECCO, « Le nom de la rose ».

« Ce chiffre cinq dont Léonard De Vinci s’inspira pour concevoir l’une de ses plus célèbres esquisses, « l’Homme de Vitruve », exprime le savoir et l’intelligence de l’être. Il en est de même pour le nombre d’Or qui n’est ni plus ni moins que la divine proportion des choses de tout ce qui est et ce depuis la période de l’Antiquité… ».

Des éléments informatifs ajoutés par Guy BEDEL dont se délectèrent avec savante curiosité les participants à cette cérémonie protocolaire, Patrick GENDRAUD, président du Département, la sénatrice Dominique VERIEN qui aura été l’une des instigatrices de ce rapprochement entre les deux structures, et les élus du Conseil départemental, Anne JERUSALEM, également présidente de l’agence Yonne Tourisme et de la CC du Tonnerrois, Isabelle FROMENT-MEURICE, cheville ouvrière également du projet sur la délégation de service public, Maurice PIANON, Jean MARQUAND et Gérard ANDRE.

 

 

Une aide de 430 000 euros grâce au loto du Patrimoine…

 

Satisfait de la tournure des opérations, le président du pouvoir exécutif territorial ne pouvait que se réjouir des circonvolutions faites autour de ce dossier. Rappelant l’aspect collectif mis en place autour du projet.

« J’ai foi en de belles espérances quant à la réalisation de ce projet qui va servir à valoriser le Tonnerrois, une contrée où il y a plus de richesses patrimoniales et culturelles qu’ailleurs… ».

Autre motif de satisfecit : l’aide financière globale obtenue par le loto du patrimoine et accordée au Département, propriétaire du site. Elle s’élèvera à 430 000 euros pour une dépense hors taxes de travaux estimés à ce jour à 1,6 million d’euros.

L’enveloppe budgétaire sera affectée à la restauration des deux derniers pans de toitures et façades correspondantes en 2020 et 2021. Pour mémoire, la remise symbolique de ce chèque eut lieu le samedi 21 septembre à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.

Quant à la souscription qui démarre, ses cosignataires en espèrent une collecte de 70 000 euros sous forme de dons. Sachant que les particuliers, les entreprises et les associations sont ciblées par cette campagne volontariste et des dépliants qui circuleront en abondance par les relais de renseignements touristiques habituels.

 


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Le business center de la Banque Verte continue de se remplir en Côte d’Or. Dernièrement, ce sont six entreprises supplémentaires qui ont rejoint la dizaine de structures aux secteurs d’activités et aux profils variés déjà présentes en ce lieu de la technologie et de l’innovation. Prouvant de manière inéluctable la pertinence du concept sur le territoire régional…

DIJON (Côte d’Or) : Excellente idée que ce Village by CA Champagne Bourgogne ! Depuis sa création, le concept peut s’enorgueillir d’avoir accueilli une quinzaine de start-up issues des secteurs de l’alimentation/nutrition, santé/médical, industrie, gastronomie…

Ces entités aux ambitions prometteuses figurent aux côtés de deux partenaires résidents et acteurs incontournables de la Bourgogne Franche-Comté que sont VITAGORA et la Food Tech.

Facilitateur du développement des entreprises, le Crédit agricole Champagne Bourgogne s’est fait l’écho récemment de l’agrandissement de ce site avec l’accueil de six nouvelles entreprises.

Ces nouveaux occupants sont MEREMPSA, Le GRAND VERRE, LIFE LOVING FOOD, COCOLIS, BEBE SOON et ORA VITIS.

Ces sociétés interviennent respectivement dans les domaines du recrutement dans la santé, la distribution pour rendre le vin français plus accessible aux jeunes Américains, l’utilisation de protéines végétales en guise d’alternatives aux viandes animales, la livraison de colis, l’organisation de week-ends bien-être pour futurs parents et le développement commercial des domaines viticoles.

D’autres structures devraient les rejoindre au cours de 2020…

 


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Ultime session de l’année pour le club R.H., une structure informelle animée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Deux invités y étaient conviés pour prendre la parole autour d’une thématique importante pour le milieu entrepreneurial : la loi avenir professionnel…

AUXERRE : Opérationnel depuis plusieurs saisons, le club des Ressources humaines de la CCI de l’Yonne ponctue ces rendez-vous réguliers par des séances explicatives en ayant recours à des intervenants extérieurs, autour de l’actualité inhérente à ce poste éminemment stratégique dans la vie des entreprises.

A l’occasion de la dernière session programmée en 2019, Jean-Pierre LANTERNIER, conseiller formation au sein de la chambre consulaire, exposait à son auditoire le sujet principal de la matinée. Face à une assistance studieuse et en besoin d’informations.

C’est le fameux texte de loi datant de 2014, relatif à la formation professionnelle, et baptisé, on s’en souvient, Loi avenir professionnel, qui était au centre des débats ce jeudi au siège de l’organisme.

Habituée des lieux, Me Delphine LORAIN, avocate du cabinet FIDAL, avait la charge d’ouvrir les échanges en proposant un rappel applicatif de ce texte six ans après avoir été publié. Sachant que la date butoir de celui-ci est prévue le 31 mars prochain.

 

 

 

 

Puis, en seconde partie d’intervention, la collaboratrice de Frédérique NIKA (Madame VAE de l’Yonne), Sophie BAILLY enchaînait au titre du CIBC (Centre interinstitutionnels de bilans de compétences) afin de faire toute la lumière sur le concept « SOL’EN », une solution qui facilite l’entretien professionnel lors des évaluations. Elle présenta en aparté les principes du CEP, le Conseil en évolution professionnelle.

L’occasion fut aussi donnée à Jean-Pierre LANTERNIER de présenter la toute nouvelle recrue de la CCI de l’Yonne, Marie-Claire BATISTA. Cette dernière, conseillère, remplacera Cécile NOIROT, partie poursuivre sa carrière sous d’autres cieux fin novembre, sur le secteur septentrional du département.

Le prochain club CCI RH se déroulera le 06 février dans la grande salle de réunion de l’édifice rue Etienne Dodet. Ses thèmes en seront la flexibilité et les contrats courts au travail…

 

 

 


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En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…

DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.

Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.

Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la  fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…

Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.

« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».

 

 

Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…

 

Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.

Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.

Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.

Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.

« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».

Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.

 

 

« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».

En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?

« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».

Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.

« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».

 

 

Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…

 

Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.

« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».

Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».

Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».

Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.

Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…

 


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