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Dans son for intérieur, il le savait très bien. La ligne se traçait petit à petit comme une simple évidence, jalonnée d’expériences réussies, conjuguées aux rencontres judicieuses faites avec les bonnes personnes. Le tout servi par les diplômes adéquats. Tôt ou tard, sa destinée le placerait dans des conditions optimales pour endosser le rôle de dirigeant d’entreprise. C’est fait : Remzi KURBAN, pur produit de l’IFAG Auxerre, préside désormais à 37 ans la SAS BELLIER, spécialiste de l’escalier sur mesure.

 

FAY-AUX-LOGES : Il possède un look de « winner » l’ancien diplômé de l’IFAG Auxerre. Déjà lorsqu’il s’adonnait à ses chères études, le garçon s’était manifesté à tous ses suiveurs, y compris celles et ceux du monde de l’entreprise, comme une pépite prometteuse dont il fallait observer le moindre soubresaut dans le temps. Un look de « vainqueur », certes, assorti d’un sens inné de la prise de responsabilités teintées d’humanisme. Logique, quand on est pourvu d’une tête bien pleine. Bref : le gendre idéal à faire épouser à sa fille si cette dernière avait quelque peu de l’ambition !

A 37 ans, ce père de famille aimant (les photographies de ses enfants ornementent le vaste bureau accueilli dans le siège social de cette PME en devenir), l’ancien Auxerrois change de statut en relevant un nouveau défi. Celui de dirigeant de l’entreprise BELLIER, un faiseur de qualité dans l’art et la manière de concevoir des lignes d’escaliers de bois, en acier ou de verre.      

 

 

Six ans à peine après avoir intégré la SAS du Loiret, l’Icaunais s’installe au poste de commandement pour y jouer désormais les premiers rôles. Mais, attention, pas en capitaine d’industrie qui déciderait de tout, isolé dans sa tour d’ivoire. Non, comme un entrepreneur à l’écoute de ses salariés, dans un mode de pensée participative où l’écoute et le dialogue sont autorisés.

Avant de prendre les rênes de la structure, Remzi KURBAN s’est fait les dents en découvrant tous les rouages d’une PME qui est opérationnelle depuis bientôt cinq décennies. Directeur commercial et du marketing entre 2014 et 2018, avant d’occuper la fonction stratégique de directeur général par la suite, le jeune homme se forge un parcours accompli dans cet univers si riche de l’entreprenariat.

En rachetant la majorité des parts à l’ancien dirigeant, Samuel POISSON, l’Auxerrois assure à l’instant « t » la double casquette de président et de directeur général, avant de restructurer l’organigramme, sans doute dès 2023. Une transition qui s’est faite en douceur. Dans la continuité éthique, parfaitement maîtrisée…

Thierry BRET

 


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Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.

 

AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.

« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».

Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.

Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.

 

 

Une aide qui intègre le programme France 2030…

 

A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.

Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !

Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.

Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.

 

 

Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…

 

Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».

Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !

Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !

Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.

« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».

 

 

Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…

 

Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.

« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».

Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.

Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.

Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.

 

Thierry BRET

 

 


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Le 09 juin prochain paraîtra son troisième volet autobiographique aux éditions du Sarment. Il se nommera « La Valeur ». Un clin d’œil à son ancienne vie « De la banque à la rue, de la rue à la paix ». Après ses deux premiers opus « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…moi c’était dans la rue », sorti en 2011 et « Cancer, de l’espoir à l’espérance » en 2018, cet ultime ouvrage sera l’aboutissement de tous les coups durs qu’il a connu dans sa vie. Mais qui lui ont aussi permis de se trouver là où il est aujourd’hui et d’avoir enfin pu poser ses valises et retrouver une sérénité.

AUXERRE : Pour passer une retraite paisible, Jean-Paul ALLOU a choisi le sud de la France dans un petit village situé entre Grasse et Draguignan. Il y alterne son temps entre l’écriture et le bricolage, passion récente, mais nécessaire pour l’embellissement de sa maison. Pourtant lors d’une rencontre avec un compagnon du Tour de France lorsque ce dernier avait voulu lui montrer comment travailler, à l’époque cela lui semblait une perte de temps vu qu’il n’était pas très doué de ses mains ; vexé le compagnon lui avait alors rétorqué : « un homme n’est pas qu’une tête ou que des mains, mais il est un tout ».

Aujourd’hui, il va même, jusque dans les détails et en souvenir de cet apprenti qui lui avait dit « ce qui ne se voit pas, doit être mieux fait que ce qui se voit », emprunter un nouveau chemin. Celui de l’écriture, alternant textes poétiques et brèves de comptoir.

 

 

 

Inspiré de Christian BOBIN, Jean-Paul ALLOU se livre dans son dernier opus. « Journal froissé ». A l’instar des réseaux sociaux où fleurissent de petites phrases inspirantes, l’auteur nous offre ses mots « cadeaux ». Ils sont une invitation où chacun doit y puiser un message.

« Victime ou coupable, ce ne sont que des rôles que l’on a envie de jouer. On met le costume qui convient, jusqu’au jour où on décide de se dépouiller et de se parer de la joie d’aimer ». Mots glanés au comptoir : « Non, je ne porte pas de petite culotte, le temps de l’enlever et tu peux laisser passer une occasion… ».

La plupart de ses textes se veulent provocateur vis-à-vis du pouvoir mais cet ancien formateur, conférencier, coach dans le domaine de la finance, qui a connu la rue et une vie de SDF, a vécu deux ans chez les moines. Il a enfin appris à lâcher prise sous le soleil du sud, et y vit sereinement avec sa nouvelle compagne qui le soutient dans son écriture, étant elle-même artiste. Elle a d’ailleurs illustré le recueil de textes « Journal froissé ». A lire sans modération !

 

Maryline GANDON

 

 


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C’était inévitable. Surtout en présence d’un taux de contamination à la courbe exponentielle galopante et des pics d’hospitalisations records enregistrés aux quatre coins de l’Hexagone. Exit donc la cérémonie des vœux de l’Agglomération de l’Auxerrois sous sa configuration initiale, un « journal télévisé » face aux spectateurs. Qu’à cela ne tienne ! L’évènementiel est d’ores et déjà reprogrammé à la date du 09 février selon son plan B : à l’aide d’images mais sans public !

 

AUXERRE: Le tome 1 du copieux volume ayant narré les péripéties inhérentes à la cérémonie des vœux de l’Auxerrois se clôt donc sur un épilogue sans surprise dont beaucoup, y compris les propres instigateurs de l’évènement, connaissaient déjà la chute.

Nada : il n’y aura donc pas in fine de grand spectacle à l’allure festive et protocolaire, aux contours insolites en présence du public au soir du 20 janvier au parc des expositions.

La COVID-19, toujours aussi omniprésente sur le territoire, ne l’aura pas autorisée avec plus de 278 000 cas répertoriés au terme de la journée dominicale du 16 janvier. Alors que la libre appréciation de maintenir ou pas ce rendez-vous de pure communication, avec les perspectives futures de l’Auxerrois en guise de thème fédérateur, ne dépendait finalement que du maire-président de l’organisme communautaire, Crescent MARAULT.

 

Le regret de ne pas pouvoir partager l’évènement avec le public…

 

La décision aura été longue, très longue à prendre même de la part de l’édile d’Auxerre. Pas si simple, en effet, de trancher dans le vif lorsque l’on peaufine depuis plusieurs semaines le moindre rouage de cette machinerie complexe, très lourde et forte d’une cinquantaine d’exécutants qui repose sur de la pure logistique et de l’organisation au cordeau. Mais, au final, c’est le bon sens et la logique qui l’emportent.

« J’ai pris mes responsabilités », précise le maire dans un communiqué de presse adressé ce jour aux rédactions. Le report de la manifestation devant être animée par l’ancien présentateur vedette du 13 heures de TF1, Jean-Pierre PERNAUT, est entériné. De manière définitive.

L’inéluctable décision était connue de la plupart des maires de l’agglomération et des élus de la ville d’Auxerre dès lundi soir au terme d’une réunion de travail devant permettre d’examiner tous les aspects de faisabilité en l’état du dossier.

 

 

Forcément, pour les élus, c’est un crève-cœur de ne pas avoir été au terme de l’ambitieux projet ayant nécessité une enveloppe budgétaire de 70 000 euros.

Un regret, évident, pour l’organisation de ne pas pouvoir partager aussi ce moment rare de communication clinquante avec les Auxerrois et les habitants de l’Agglomération.

Plus d’un millier d’entre eux avaient déjà biffé sur leur agenda la date de ce rendez-vous unique en son genre, s’inscrivant par voie numérique à ce concept.

Celui-ci, baptisé « L’Auxerrois à la Une », faisait référence avec un clin d’œil appuyé à la chaîne audiovisuelle qui employait il y a encore douze mois de cela Jean-Pierre PERNAUT, libre de décliner désormais ses projets personnels en matière d’information.

 

Une diffusion sur Internet assurée le 09 février dès 20 heures…

 

Considéré comme une opportunité novatrice servant à promouvoir les projets portés par la collectivité, ce journal télévisé à la sauce auxerroise offrait un décryptage détaillé des desseins de la majorité communautaire lancés au cours de l’année. Sachant que ces derniers intègrent le Projet de Territoire à dix ans.

L’objectif initial était de réunir sur un plateau conférence des acteurs extérieurs de l’Auxerrois, de la sphère économique et institutionnelle, prêts à s’investir dans les semaines à venir en faveur du développement du territoire et de son attractivité. Chacun devant être interviewé de facto par le journaliste Jean-Pierre PERNAUT comme il en a l’habitude.

La clé de voûte de cet édifice, faisant la part belle à la communication et à la circulation du verbe, était de conforter les ambitions profondes de la gouvernance actuelle de vouloir transformer l’Auxerrois.

Toutefois, ce report ne condamne pas stricto sensu le principe de ce concept imaginé selon les codes de l’audiovisuel. Bien au contraire, puisque ce journal télévisé newlook à la mode icaunaise se déroulera au final le mercredi 09 février en début de soirée. C'est donc le début du tome 2 de la série !

Du fameux 13 heures qui en a fait son immense succès, l’inusable Jean-Pierre PERNAUT bifurquera quelque peu sur la grille horaire pour animer ce plateau à partir de 20 heures. L’évènement sera d’ailleurs retransmis sur les sites Internet et les pages Facebook de la Ville d’Auxerre et de la Communauté de l’Auxerrois. Privant de fait le public d’une rencontre en live avec les différentes personnalités devant prendre la parole ce soir-là.  

Un changement de cadre technique, certes, mais qui ne devrait pas empêcher le maire-président et ses invités de faire des annonces qui vont permettre de transformer l’Auxerrois rapidement.

Croisons les doigts pour qu’il n’y ait ni pannes ni d’interférences sur les réseaux de la fibre optique et numériques ce soir-là ! Par chance, la période des orages ne devrait pas gêner l’organisation…

 

En savoir plus :

 

Pour assister à l’évènement « L’Auxerrois à la Une » le mercredi 09 février 2022 à 20 heures, il suffit de cliquer sur les liens suivants :

www.agglo-auxerrois.fr

www.auxerre.fr

www.facebook.com/agglo.auxerrois

www.facebook.com/villedauxerre

 

Thierry BRET

 


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C’est une très mauvaise blague. Non pas à deux balles. Mais, à 0,29 centimes d’euro qu’a lancé cette semaine le PDG d’hypermarchés dont je tairai le patronyme (même s’il rappelle des heures glorieuses passées de la Libération de notre pays en 1944/45..).

 

BILLET : En évoquant à ce tarif démagogique une sorte d’ersatz de baguette dans ses rayonnages, cette chaîne de distribution alimentaire hexagonale fait preuve de mépris tant pour les 32 000 boulangers de France que pour le palais des « consomm’acteurs » !

Un bon pain, c’est de la farine, du sel, de l’eau, de la levure et un brin de talent aussi. Chaque jour, nos boulangères et boulangers se lèvent très tôt pour fabriquer artisanalement un pain de qualité. Il est normal qu’ils en soient équitablement rétribués, autour d’un prix équivalent à un euro la baguette.

 

 

Parfois dans nos villages - comme à Vaudeurs - la boulangerie demeure l’ultime commerce de proximité. C’est un fort symbole de notre art de vivre. Défendons-les en faisant régulièrement sonner le carillon de leur porte d’entrée…

 

Gauthier PAJONA

 


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