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Au fur et à mesure que son mandat avance dans le temps – c’est l’une des prérogatives de l’institution départementale -, il en a fait son cheval de bataille. La santé, via le prisme de l’amélioration de l’offre de soins et l’accueil de nouveaux praticiens, représente l’une des préoccupations majeures du président Patrick GENDRAUD. Quoi de plus naturel, en somme, de le retrouver à l’ouverture des travaux des 5èmes Journées nationales des CPTS aux côtés de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LEBODO au parc des expositions…

 

AUXERRE : Face à plus de sept cent congressistes, venant des quatre coins de l’Hexagone, il ne peut que jubiler intérieurement, le président du Conseil départemental de l’Yonne/ Juste avant de prendre la parole.

Pour un territoire qui souffre de désertification médicale – l’Yonne semble néanmoins se revigorer depuis quelque temps en se positionnant davantage dans une forme tonique de « revitalisation » comme le qualifierait si bien avec ses mots, repris dorénavant par tout le sérail institutionnel et politique, le préfet Pascal JAN –, c’est presque un comble de voir autant de professionnels de santé (et de praticiens par déduction) dans une salle mise à disposition par Centre France Parc Expo, pleine comme un œuf !

Des médecins au mètre carré, il y en a donc dans les estrades ! Alors, accueillir pour la première fois un tel congrès, en présence de la ministre déléguée en charge de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LE BODO, représente du pain bénit pour un Patrick GENDRAUD qui se démène au quotidien comme un beau diable avec ses équipes – on pense volontiers à Gilles PIRMAN en charge de la santé au CD 89 ou au docteur Bernard CHARDON – pour que les choses bougent enfin sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

« Dans l’Yonne, affirma l’orateur, nous préférons le mot « redynamisation » à désertification lorsque l’on évoque la santé. Ce n’est pas la même démarche. Redynamiser, c’est engager une nouvelle dynamique en entrant dans l’action. C’est cela que nous devons privilégier à présent, une fois le constat effectué… ».

 

Les CPTS s’intègrent parfaitement à l’échelle des bassins de vie

 

Seul à son pupitre, s’inspirant parfois de ses notes posées devant lui, écouté très attentivement par David GUILLET, président national des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) déjà sur le plateau, Patrick GENDRAUD brossera ensuite un tableau concis des différentes actions entreprises par l’organe institutionnel qui se coordonnent sur le terrain.

Puis, de renchérir par la formule suivante : « Puisque nous sommes novateurs à notre échelle, nous étions faits pour nous rencontrer, lancera avec boutade le président de l’exécutif départemental, se tournant alors vers le responsable national des CPTS.  

Appelant à l’optimisation de l’offre de santé de tous ses vœux, l’ancien édile de Chablis rappela que celle-ci se construisait ensemble et fédérée, « loin de la logique de concurrence ou celle de clocher ».

Un temps de pause, avant de reprendre le discours : « Nous avons tous un rôle à jouer dans cette partition, souligna Patrick GENDRAUD, à l’échelle départementale, mais aussi à l’échelle des bassins de vie. Ces communautés professionnelles territoriales de santé s’intègrent parfaitement dans cette réalité de terrain, en atteste ce qui se passe avec le CPTS Nord Yonne… ».

Satisfait par la pertinence et le mode opératoire de ce modèle, l’élu de l’Yonne poursuivit en précisant que l’ensemble du territoire devrait être ainsi couvert par ce dispositif au cours du premier semestre 2024.

 

 

Un inventaire à la Prévert de réalisations pertinentes…

 

Puis, Patrick GENDRAUD éclaira l’auditoire sur le bien-fondé des pactes de territoire. Il ne manqua pas d’apporter plus amples précisions sur le « Pacte Santé 2022/2024 », un concept voté à l’unanimité le 10 décembre 2021 par le Département et abondé de 5,4 millions d’euros.

Et l’orateur d’ajouter en toute transparence : « C’était une décision politique forte de notre assemblée, car cette thématique de la santé n’est pas de notre compétence… ».

A bon entendeur salut ! Puis, après un temps de silence, « ce pacte nous l’avions contracté au bénéfice des Icaunaises et Icaunais auxquels nous devions beaucoup plus que de simples promesses mais des actes ! ».

Aujourd’hui, les actions entreprises par le Conseil départemental portent leurs fruits. L’accueil de la première année de médecine dans l’Yonne dans les locaux de l’IUT Auxerre avec l’Université de Bourgogne, la poursuite du maillage conséquent entre maisons et centres de santé – la dernière en date a été inaugurée il y a peu à CHEVANNES -, la création d’un centre départemental de santé avec le salariat d’un médecin et d’une assistante médicale à Villeneuve-sur-Yonne, le salariat d’un autre médecin et d’une secrétaire médicale à Migennes, c’est encore le déploiement de points conseils et d’une équipe mobile de médiation santé, sans omettre le soutien financier au développement de la pratique numérique en santé dans le cadre des téléconsultations accompagnées, à la promotion du centre santé solidarité, à la mise en œuvre d’un plan marketing territorial santé à l’échelle départementale, au groupement d’employeur des professionnels de santé, et au système de bourse dont celle à destination des infirmiers en pratique avancée…

Bref, un inventaire à la Prévert et autant d’argument énoncés avec fierté par un Patrick GENDRAUD très à l’aise au pupitre et ravi de cette efficience déclinable au service des habitants.

« Restons mobilisés, dynamiques et optimistes pour l’avenir, devait-il conclure, dans cette mission qui est devenue la nôtre. C’est ainsi que nous gagnerons sur le terrain de la santé ! ».

Rideau ! Longuement applaudi, Patrick GENDRAUD pouvait regagner le fauteuil qui l’accueillait pour la première table ronde du jour. Tant qu’il y a des choses positives à dire sur la santé, dans son département de prédilection, le président ne compte pas son temps de présence sur une manifestation !

 

Thierry BRET

 


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C’est un irrésistible pied de nez à l’actualité élyséenne ! Une date qui ne doit absolument rien au hasard. Et pour cause, la journée de grèves et de manifestations annoncée ce vendredi 13 octobre par l’Intersyndicale est lourde de symbole, se déroulant trois jours seulement avant que ne débute la conférence sociale sur les bas salaires, biffée sur l’agenda du Président de la République. Une manière visible de se rappeler à son bon souvenir et de montrer le mécontentement de la rue…

 

AUXERRE : Elle n’a pas été choisie par inadvertance, cette date du vendredi 13 octobre 2023 ! Même si elle a été annoncée dès le mois d’août par les organisations syndicales, réunies comme à l’accoutumée en intersyndicale, elle tutoie à quelques jours près l’actualité présidentielle sur le sujet des bas salaires, prétexte à une conférence sociale organisée au début de la semaine prochaine. A croire que les mouvements protestataires n’attendent pas grand-chose de ce rendez-vous élyséen, ils ont décidé en revanche de renouer avec une bonne vieille tradition sociale, le droit de grève et l’appel à manifester sur la voie publique !

CGT, FO, UNSA, FSU, CFDT, CFTC, Solidaires, CFE-CGC retrouveront le pavé de la rue ce vendredi, à partir de 14 heures place de l'Arquebuse à Auxerre, mobilisés plus que jamais contre l’austérité et tout ce qui s’en suit : le pouvoir d’achat, l’égalité femmes/hommes, la hausse des salaires, pensions et minima sociaux, peut-être en filigrane la réforme des retraites qui n’a toujours pas été digérée après la bordée de 49.3 gouvernementaux.

 

Un SMIC en hausse de 4,8 % pour une inflation qui culmine à 14 %

 

Ras le bol des coupes sombres au détriment des précaires et des salariés : c’est en filigrane ce qui fédère l’ensemble des acteurs de la cause syndicale ouvrière. Chacun des interlocuteurs y allant de son couplet, énumérant la litanie d’injustices et d’éléments négatifs qui grèvent le moral des Français.

« Le gouvernement n’a qu’un seul mot à la bouche, souligne Reynald MILLOT, le porte-parole de Force Ouvrière, c’est l’austérité ! Une austérité qui s’applique dans le budget de 2024. Une austérité qui se poursuivra en 2025 ! Les efforts doivent toujours être fournis par les salariés. Jamais par les grands patrons du CAC 40 qui accumulent les profits ! ».

Tirant un peu plus sur sa vapoteuse, on sent le secrétaire général de FO 89 quelque peu irrité devant le contexte. « Face à l’inflation, il faut le blocage des prix et celui de la TVA ! Et retourner à l’échelle des salaires en les valorisant ! ».

La représentante de la CGT s’engouffre à son tour dans la brèche béante de la discussion revendicative : « La hausse du SMIC de 4,8 % depuis le début de l’année, c’est une plaisanterie ! Quand on sait que la valse des étiquettes sur le prix des denrées alimentaires est de 14 % depuis janvier ! ».

 

 

Des étudiants qui sautent les repas et se prostituent…

 

Maigre compensation, il est vrai ! Le pouvoir d’achat des Icaunais est en chute libre et bon nombre de nos concitoyens sont désormais dans l’obligation de fréquenter les Restos du Cœur et la Banque alimentaire pour prétendre se nourrir. Les retraités ne sont pas mieux lotis. Philippe WANTE, de la FSU, n’est pas en reste pour rappeler que les pensions sont en berne. Et ce, depuis des lustres !

« Alors que les grands groupes se gavent outrageusement, nos retraités voient leur fin de mois dans le rouge… ». Une nouvelle génération de seniors est née ; celle qui vit dans la pauvreté. Quant à l’Education nationale, elle devrait se délester de 1 500 postes d’enseignants très prochainement alors qu’il n’existe pas de phénomène de déprise dans les classes sur-fréquentées qui peuvent accueillir en moyenne de 38 à 40 élèves dans les classes de seconde comme à Sens !

« Ne parlons pas de l’enseignement supérieur ! Les étudiants sautent des repas afin de pouvoir payer leurs études, quand ils et elles ne se prostituent pas face à des situations dramatiques… ».

Le tableau est sombre. Mais, tellement réel, malheureusement selon les témoignages fournis. Pendant ce temps-là, les riches vivent de mieux en mieux ! Et certains employeurs bénéficient des exonérations des cotisations sociales (72 milliards d’euros qui ne rentrent pas dans les caisses de l’Etat) : « c’est un vrai hold-up, lâchent en chœur les participants à cette conférence de presse intersyndicale.

« Nous, on demande une meilleure répartition des richesses, une égalité des chances entre les femmes et les hommes. Un véritable coup de pouce pour les retraites… ».

Une austérité que la France traverse à géométrie variable selon les syndicalistes départementaux, encore écœurés par les fastes de la récente réception de Charles III et de son épouse, Camilla, sous les ors de la République – euh, pardon, ne serait-ce pas ceux de la royauté ! – dans la magnifique galerie des Glaces de l’ancienne demeure des Capétiens dans les Yvelines !

Peut-être que certains des manifestants qui arpenteront les rues auxerroises vendredi oseront crier à l’attention de la gouvernance, « c’est pas Versailles, ici ! ». Chiche ?!

 

Thierry BRET

 


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S’il y a bien un terme dont il a une sainte horreur et qui lui fait hérisser le poil dans son usage pratico-pratique au quotidien, c’est bien celui de la communication ! Le président de l’Agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre préfère utiliser le mot « information » pour expliquer les avancées des différents dossiers qui se rapportent à la mise en œuvre de l’ambitieux « Projet de Territoire », décliné sur la décennie à venir. Des informations savamment relayées par ses soins, via une lettre officielle qui a été distribuée dans les boîtes aux lettres de l’Auxerrois, couplée à une série de rencontres publiques dans les quartiers de la ville phare de l’Yonne…

 

AUXERRE : Ne lui parlez jamais de « communication » lorsqu’il évoque sa stratégie, car il pourrait voir rouge ou presque, Crescent MARAULT ! Non, lui, ce qu’il aime, ce sont les points d’étape, les focus et autres photographies prises à un instant « t » pour mieux « informer » sur la mise en œuvre de sa politique, applicable sur l’Auxerrois. Toujours dans le cadre de son « Projet de Territoire », la feuille de route initiale qui avait fait l’objet d’un abondant pavé informatif dès le début de son mandat.

Alors, trois années après sa prise de fonction et son installation dans le fauteuil du premier des élus de la capitale de l’Yonne, il n’y a donc rien d’étonnant à ce que le maire-président s’exprime en s’adressant à la population, tant de manière scripturale via une « Lettre aux Auxerrois » de quatre pages en version grand format reçue il y a quelques semaines dans les boîtes postales des habitants, ou de manière orale lors d’un exercice public, décliné en neuf actes dans la ville, les « Rendez-vous avec Crescent ». Un nom de code qui supposerait presque une part d’intimité relationnelle dans ces échanges avec l’interlocuteur !

 

S’il ne se passe rien, alors on ne dit rien !

 

« Expliquer ce que nous sommes en train de faire et non pas nous projeter sur ce que l’on pourrait faire d’ici deux à trois ans » permet de comprendre cette envie d’informer tous azimuts d’un Crescent MARAULT jusque-là disert sur sa politique. D’une part, il est (grand) temps de tirer les premiers enseignements des projets initiés  par son équipe après trois ans de gouvernance. D’autre part, il est judicieux pour l’élu de l’Yonne, de reprendre la main sur ce volet, coupant ainsi l’herbe à toutes les supputations et autres rumeurs, et de dire ainsi « comment se font réellement les choses de manière concrète sur le terrain ».

Un peu comme si Sherlock HOLMES nous gratifiait de sa célèbre formule, « Elémentaire mon cher WATSON ! », sous la plume de Sir Conan DOYLE.

Méthodique et réfléchi, Crescent MARAULT l’est visiblement jusqu’au bout de ses relations publiques ! « Vous savez, s’il ne se passe rien et que l’on a rien à dire, eh, bien on ne dit rien ! ».

Ce n’est donc pas plus compliqué que cela pour comprendre comment fonctionne l’édile auxerrois dans sa stratégie de « communication/information » !

 

 

 

Chacun des administrés doit avoir accès à une information claire et précise

 

Quant au temps politique, il ne joue jamais en faveur des gens trop pressés et avides de tout savoir, avant les autres – tiens, tiens, on dirait qu’il vise les journalistes ! - : « il faut respecter tout un processus qui nous est imposé autour de la mise en place d’un projet dans une collectivité, avec la construction du projet, sa faisabilité, sa validation, la recherche de son budget, sa validation, sa construction, soit une longue période comprise entre deux et quatre ans… ».

Naturellement, plus le projet est complexe, voire kafkaïen à sa réalisation, plus les délais impartis pour le voir se réaliser et enclencher un début d’information seront longs. De la pure logique donc dans la tête de l’ancien maire de Saint-Georges que « tous les élus ayant exercé le pouvoir savent par essence… ».

D’ailleurs, renchérit Monsieur le maire, « c’est souvent à partir de là qu’il y a une incompréhension totale de la part des citoyens qui ne sont pas au fait de ces modalités de fonctionnement et qui supposent que leur municipalité n’agit pas en conséquence sur les projets puisque rien ne se passe ouvertement ni par voie de presse ni par communication inutile ! ».

D’où l’idée, enfin, d’informer en cette période automnale les Auxerrois sur l’avancée des nombreux dossiers en fonction des étapes intermédiaires.

Au fil des quatre pages de cette lettre, pur produit du service de la communication de l’Agglo, qui devrait en appeler d’autres, si l’on suit le raisonnement du maire de la capitale de l’Yonne, la plupart des items évoqués dans le « Projet de Territoire » sont ainsi abordés en toute transparence grâce à des encadrés explicatifs, agrémentés d’une iconographie abondante et de chiffres à l’appui.

« Le but de ce document est simple, souligne Crescent MARAULT, c’est que chacun des administrés puisse avoir accès à une information claire, précise sur les nombreuses actions entreprises par l’équipe en charge de la gouvernance municipale (et/ou) communautaire… ».

 

Après l’écrit, l’oral pour partager la passion pour Auxerre

 

Du devenir de l’abbaye Saint-Germain au développement de la transition mobilité via l’essor du vélo ou du covoiturage, de l’innovation favorisant la transition écologique au changement des 2 300 points lumineux de la ville, sans omettre le renouvellement de l’offre commerciale sur trois ans ou la réhabilitation des logements qualificatifs permettant de revitaliser le cœur de ville : rien ne manque dans cet inventaire non exhaustif qui éclaire sur la nouvelle attractivité que souhaite impulser la gouvernance actuelle. Parmi les autres grands items abordés : l’enseignement supérieur, la réindustralisation, l’eau ou l’hydrogène, évidemment.

« Tout cela répond à un double objectif, insiste Crescent MARAULT : préserver la qualité de vie de l’Auxerrois et attirer sur ce territoire de nouvelles entreprises et de nouveaux habitants… ».

Le bilan de ce mi-mandat étant couché noir sur blanc sur le papier (un couché brillant du plus bel effet pour les puristes !), il était logique dans cette continuité informative de le commenter ensuite en public, en allant au-devant des habitants des quartiers auxerrois.

A cet égard, neuf rencontres sont ainsi programmées d’ici la mi-novembre pour l’élu d’Auxerre qui entend partager sa « passion » de la gestion de la ville auprès de ses administrés.

Une passion qui l’amène à évoquer les changements visant à améliorer au quotidien la vie des quartiers. Mais, aussi sans langue de bois – ce n’est pas le style du personnage ! – ceux qui peuvent occasionner des doutes et interrogations parmi les esprits chafouins : à l’instar de la suppression de la collecte des déchets en porte-à-porte qui suscite depuis sa validation communautaire à cinq voix près, moult remous parmi l’opposition (c’est son rôle) et des habitants amers qui n’adhèrent pas du tout à ce projet contraignant.

Bref, un exercice d’information sans filet mais pas sans courage que Crescent MARAULT aborde seul ou aux côtés de ses élus municipaux, avec pugnacité et volonté de pédagogie afin de convaincre les plus réfractaires à l’adoption de son « Projet de territoire ». Dans un souci de partage d’idées et d’échanges constructifs selon les règles initiales de la démocratie…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il se frotte les mains, Sébastien FUENTES ! Le directeur de Centre France Parc Expo Auxerre aura eu une idée de génie il y a deux saisons de cela en proposant du théâtre de boulevard à son catalogue saisonnier. Résultat des courses : les quatre pièces programmées par Cœur de Scène Productions cette saison devraient voir converger les aficionados de l’humour tonique et déjanté, à l’image de cette savoureuse comédie, « Talons Aiguilles et Poil aux Pattes », interprétées par deux duettistes névrosées à souhait, Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT…

 

AUXERRE : Boire un petit coup, c’est agréable dit la chanson. Abuser de l’alcool peut nuire à la santé. Et surtout vous emmener dans des situations cocasses et ubuesques dont on a plus la moindre souvenance, une fois la gueule de bois passée ! C’est en filigrane ce que vont vivre deux copines de longue date – dans le genre des amies de trente ans ! – Anna et Rose qui trop éméchées la veille au soir ne se souviennent plus de ce qui s’est réellement déroulé dans leur chambre. Sauf que voilà, rien ne semble normal le lendemain matin, après la cuite !

A l’énoncé du pitch, on sent que l’on devrait s’amuser un tantinet lors de ce grand retour théâtral dans l’antre du parc des expositions d’Auxerre qui va accueillir samedi 14 octobre prochain en soirée, le premier des quatre spectacles désopilants (des  comédies, évidemment) proposés par Cœur de Scène Productions, partenaire de cette fête du rire à gorge déployée.

Joué régulièrement depuis trois ans au Festival Off d’Avignon avec toujours le même bonheur, en tournée hexagonale ce trimestre, ce spectacle à l’appellation déjà très équivoque est une quête quasi impossible et loufoque pour retrouver la mémoire. Surtout après l’avoir perdue pour cause d’alcoolisme d’un soir ! Pourtant, les indices dans la chambre des deux jeunes femmes ne manquent pas (coquards, drogue, argent, talons aiguilles, etc.) mais rien n’y fait : le mystère reste entier, pour le plus grand plaisir des spectateurs. On en dira plus sur le résultat des investigations des demoiselles : réponse samedi prochain en fin de soirée !

 

 

En savoir plus :

 

« Talons Aiguilles et Poils aux Pattes » de Lise HERBIN, avec Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT. Mise en scène de Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT.

Centre France Parc Expo à Auxerre à 20h30

Sur réservation.

 

Thierry BRET

 


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Emmanuel MACRON  a présenté  fin septembre les grands axes de sa planification pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant notamment d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur le prix de l'électricité ». Sortie totale du charbon d’ici à 2027, état des lieux des réserves naturelles d’hydrogène, voitures électriques à tout crin ainsi que les RER métropolitains intègrent ce plan. Sans omettre les pompes à chaleur…

 

TRIBUNE : Sans entrer dans des détails trop techniques, une P.A.C (Pompe à Chaleur) est composée d’un compresseur, de deux échangeurs, et d’un détendeur. Pour la transformation de la chaleur extérieure à l’intérieur du logement, le processus se décline de la manière suivante : un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur, elles passent ensuite d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur passe ainsi par le compresseur qui l’expédie à haute pression vers le condenseur.

La P.A.C. est un bon moyen écologique pour chauffer son habitation. L’énergie utilisée est puisée dans des ressources durables et renouvelables (air, eau, sol). La consommation de la P.A.C. est faible en électricité, sous certaines conditions que nous verrons plus avant. Quant aux prix, ils varient de 2 500 euros (se méfier) à des prix moyens de 7 000 à 15 000 euros.

 

Comment investir dans une pompe à chaleur ?

 

L’Etat contribue à l’installation de ces P.A.C. grâce à des primes qui vont de 4 000 à 10 000 euros. C’est aussi l’accès à une multitude d’aides : MaprimeRenov, primes CEE (Certificat d’Economie d’Energie), Eco Prêt à taux zéro, prêt avance rénovation, taux réduit de la TVA à 5,5 %, chèques énergie, aides des collectivités territoriales…

L’un des principaux enjeux économiques du développement des P.A.C. porte sur la construction neuve et la rénovation. Le Président de la République mise sur elle pour la planification écologique. La fabrication d’un million de P.A.C., associée à la formation de 30 000 installateurs, constitue un défi important. La planification écologique prévoit de réduire les gaz à effet de serre de 50 % d’ici à 2030 !

Il existe d’autres leviers dans le cadre de ce plan : la fabrication des batteries et des panneaux photovoltaïques. Pour l’instant les immeubles ne peuvent pas, techniquement, être équipés de P.A.C.

 

 

 

Sept millions de passoires thermiques dans l’Hexagone

 

Le magazine « 60 millions de consommateurs » indique qu’il est important de bien faire calculer la dimension de la P.A.C. En effet, si elle est trop grande, la consommation d’électricité peu annihiler le gain en énergie. De plus, il est inutile d’installer une P.A.C. dans une passoire thermique. Un diagnostic énergétique s’impose et il est indispensable de bien isoler avant tout investissement.

Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), la France compte plus de 7 millions de passoires thermiques ! Et « 60 millions de consommateurs » de poursuivre : il faut se méfier des prix les plus bas comme des plus élevés, et s’assurer de la qualité de l’installateur.

 

 

L’exemplarité de la gouvernance ? Que nenni !

 

En conséquence, il doit être détenteur au moins de la Certification RGE QUALITE P.A.C. Il faut aussi penser à inclure dans le devis le SAV et l’entretien de l’appareil.

Les écueils concernant la P.A.C. alimentent les controverses. Nous sommes très loin d’avoir les capacités industrielles pour fabriquer un million de P.A.C. aujourd’hui.

Produire tous ces appareils, c’est d’abord l’enjeu de notre souveraineté énergique, et c’est loin d’être gagné alors que les coupures de courant nous ont menacées tout l’hiver dernier !

Plus grave peut -être ? L’Elysée a fait remplacer ses vieilles chaudières par des chaudières à gaz ! Notre Président et ses ministres roulent bien-sûr à l’essence. Ils ne font pas confiance à l’électrique. Une remarque : quand on veut assurer la promotion de l’écologie, il vaut tout de même mieux avoir un échantillon sur soi !

On peut encore faire mieux : si on met d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous pompent l’air, on a une climatisation intégrée et gratuite !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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