Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…

TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…

Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !

Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !

Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !

 

Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022

 

Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.

Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !

Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !

Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…

Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !

Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.

Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !

L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.

Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.

Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !

 

Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?

 

Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.

Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.

Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…

EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».

Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».

Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain  !

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Analyste politique et expert en géographie électorale, le conférencier d’un soir, Jérôme FOURQUET, brossera le portrait de ce pays dans lequel nous vivons, un véritable « archipel », né d’une nation multiple et divisée. Pour mieux comprendre la crise politique dans laquelle nous nous trouvons…

SENS: Directeur du département Opinion à l’IFOP (Institut français d’opinion publique), l’orateur invité par le Cercle Condorcet apportera un éclairage aiguisé sur la situation complexe que rencontre notre pays au niveau de ses organes politiques et institutionnels.

Au cours de cette conférence-débat, articulée autour de la naissance de « l’archipel français » (référence aux divisions multiples qui secouent notre nation depuis fort longtemps), l’intervenant évoquera le désir de vivre ensemble dans l’Hexagone en 2020 et de ce qu’il en reste.

D’ailleurs, si la question est posée et qu’on en parle tant aujourd’hui autour de soi ou dans les médias, ne serait-ce pas justement pour masquer par l’incantation sa disparition ?

Il est vrai qu’en un laps de temps relativement court, quelques décennies à peine, beaucoup de choses ont changé dans notre pays. Morcelé, notre état providence est devenu au fil des années un archipel d’îles qui s’ignorent les unes des autres parmi les strates hétéroclites de notre société.

 

 

 

Jérôme FOURQUET apportera des explications concrètes sur la dislocation progressive de cette France ainsi que les incidences qui vont en résulter tant au plan sociologique que culturel.

Un constat s’amorce en évidence : cette France nouvelle qui s’effrite en une noria d’archipels laisse la place à la sécession des élites, à l’autonomisation des catégories populaires, à la formation d’un réduit catholique, à l’instauration d’une société multiculturelle de fait et bien sûr, à la dislocation progressive des références culturelles communes.

Autant d’explications tangibles et d’exemples concrets à ce bouleversement anthropologique qui permet de mieux appréhender le contexte actuel dans lequel se meut notre nation. Avec comme la conséquence naturelle suivante : face à toutes ces fragmentations, l’agrégation des intérêts particuliers au sein de coalitions larges, au plan politique, est devenue tout bonnement impossible à envisager…

 

Mardi 18 février 2020 à 19h

Salle plénière du complexe Roger Breton face à la piscine

78 ter rue René Binet à Sens

Participation : 3 € pour les non adhérents au CCS (pas CB) – gratuit pour les adhérents au CCS.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Veiller à la bonne santé financière de la commune tout en proposant des perspectives d’avenir, autour de l’amélioration de la qualité de vie, du développement économique et de la préservation de l’environnement : le programme du maire sortant de la localité de Puisaye-Forterre ne souffre d’aucune ambiguïté stratégique dans ses choix. Il illustre tout simplement la continuité de son action…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Il ne fallait pas être prophète en son pays pour deviner que Jean-Michel RIGAULT, édile de l’une des bourgades à la typicité reconnue dans l’Yonne pour la richesse de son patrimoine touristique, se présenterait sur la grille de départ des futures échéances électorales au printemps.

Le maire sortant s’il n’a pas encore tiré les enseignements définitifs du précédent bilan est d’ores et déjà entré en campagne, à la tête d’une liste de onze personnes, inféodées à la bannière « Continuons ensemble pour notre village ».

L’analyse tactique de ce credo évocateur ne nécessite pas de se conforter sur l’avis appuyé d’un politologue averti : la  poursuite des orientations déjà mises en place lors de la précédente mandature anime bel et bien le chantier qui attend cette équipe si elle obtient le maximum de suffrages au soir des 15 et 22 mars.

En l’occurrence, priorité à la solidarité, au développement économique qui puise l’essentiel de ses ressources sur la découverte du site et de ses potentialités d’hébergement, au respect de la nature et de l’environnement. Des items qui ne peuvent trouver leur totale cohérence qu’avec le soutien légitime, imputable à un partenariat fructueux qui est engagé avec la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.

 

Une liste équitable entre actifs et retraités…

 

Rappelons que Jean-Michel RIGAULT, en sa qualité de vice-président en charge de l’essor touristique au sein de cette institution, y joue un rôle prégnant. Nombreux furent les efforts déployés autour de cette thématique (le tourisme) dans la localité cette année qui possède avec son château représentatif de l’art architectural du Moyen-Age une pièce maîtresse à faire valoir.

Soucieux de l’implication participative de ses administrés, l’élu de Forterre invite les habitants (ils n’excèdent pas les trois cents âmes à l’année) à enrichir et examiner les propositions qui seront faites lors de futures réunions publiques. Pour cela, il compte sur la mobilisation de tous : structures associatives, représentants du monde économique (si, si, il y en a !), bénévoles, citoyens, à se manifester.

Quant à l’équipe, structurée autour de l’aura de ce professionnel navigant de l’aviation civile aujourd’hui à la retraite, elle oscille entre actifs (artisan, fonctionnaires, milieu agricole…) et inactifs (retraités de la fonction publique territoriale en grande majorité).

Mais, tous, n’ont qu’un seul dénominateur commun qui les pousse à agir : le bien-être et le dynamisme de leur charmante localité !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Evènement pour le moins insolite à la Jeune Chambre Economique d’Auxerre en cette année de double vingt ! Un frère, Clément, succède à un autre membre de sa fratrie (Adrien) à la présidence de la vénérable institution. Un évènement plutôt original dans les faits qui flirte avec le rarissime. D’autant que parmi l’assistance, on notait aussi la présence du président du Tribunal de Commerce d’Auxerre, Pascal BAILLY. Et qu’il revenait le droit à l’adjoint au commerce de la Ville de prononcer les quelques mots d’usage : exercice qui fit sourire forcément…Jean-Philippe BAILLY !

AUXERRE : Sans rire : ce n’était pas une passation de pouvoirs ordinaire que nous avons vécu là mais bel et bien l’illustration anecdotique d’un jeu des sept familles imputable au pur hasard ; sans qu’il y ait des liens officiels entre toutes les parties présentes dans la salle !

Qu’un grand frère succède à son cadet à la présidence d’une association, passe encore ! Mais, qu’un élu de la municipalité locale prenne ensuite la parole au moment officiel des allocutions en portant le même patronyme que les deux  responsables associatifs présents sur l’estrade : cela tient de l’étrange, convenez-en !

Et cerise sur le gâteau, pour couronner le tout, que ces déambulations scéniques se réalisent sous le regard attentif du président du Tribunal de Commerce auxerrois qui possède lui-aussi un point commun patronymique avec les principaux acteurs de cette soirée, décidément peu commune, ressemble à s’y méprendre à un miracle !

Bref : dans ce jeu de cartes de cette fausse famille des « BAILLY », nous avions là un sacré carré d’as de personnalités qui sortaient du lot !

 

 

 

Forger les leaders citoyens de demain…

 

De bon augure, sans aucun doute, pour le jeune Clément qui hérite de la gouvernance laissée vacante par son frère d’une association que l’on ne présente plus tant ses faits d’armes sont connus et reconnus dans le sérail.

Il suffisait de contempler l’auditoire (en nombre) qui avait pris possession de l’espace accueil du théâtre d’Auxerre, un peu exigu en la circonstance, pour s’en rendre compte.

Partenaires et décideurs faisaient corps dans ce parterre d’invités, attentifs à la moindre syllabe prononcée par nos duettistes, Adrien et Clément, qui présentèrent tour à tour leurs bilans et perspectives avant de replonger dans le grand bain de l’action.

Echanges de cadeaux entre les deux frangins, présentation de la nouvelle équipe et remerciements accordés à l’ancienne ; rien ne manquait dans ce fil d’Ariane qui rythmait une soirée bon enfant et réussie sous le prisme de l’implication citoyenne.

Même le vice-président du Département, Christophe BONNEFOND, membre de la vénérable structure puisqu’il en dirigea il y a encore quelques années l’organe régional de Bourgogne, ne put que saluer les mérites de cet outil qui forge les leaders citoyens de demain.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Premiers jours de départ vers les stations de sports d’hiver. La mobilisation des forces de l’ordre aura été maximale aux abords des autoroutes et routes de notre département. Objectif : contenir les envies excessives des automobilistes de brûler les étapes. Celle, de la vitesse. Qui se traduit par un gain de temps précieux selon les adeptes de la glisse, pressés d’en découdre sur la poudreuse. Oui mais voilà : le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a quelque peu bouleversé leur style de conduite lors de l’opération initiale de sécurisation du réseau. Entre prévention et prise de conscience…      

MONETEAU : Le survol de l’hélicoptère au-dessus du ruban autoroutier de l’A6 n’était pas pour le « fun ». Juste pour constater qu’en cette heure tardive de la journée, un vendredi en fin d’après-midi de début de vacances pour les Franciliens, la densité de la circulation virait déjà presque au rouge.

Alors, à peine descendu de l’appareil qui lui aura permis de faire ce tour de reconnaissance avec un soleil tombant, Henri PREVOST a voulu se montrer pédagogue pour expliquer un tel déploiement des forces de l’ordre sur la zone de péage de la bretelle Auxerre-Nord.

« Sécuriser les départs de vacances des Parisiens et Franciliens n’a d’autres vocations que de rappeler à ces automobilistes qu’ils doivent arriver à bon port sans encombre. On le sait : ce jour-là, l’excitation et la fatigue, après une journée de travail, sont à leur paroxysme. Or, déployer en les cachant pas les forces de l’ordre rappelle à toutes et à tous qu’au volant, il est bon d’adopter un comportement responsable. Beaucoup d’éléments distracteurs (en particulier le téléphone) créent de la gêne à une conduite apaisante. Si l’on respecte les fondamentaux évoqués par le Code de la Route (une vitesse maîtrisée, l’observation de pauses régulières toutes les deux heures, s’arrêter au moindre signe d’endormissement…), les déplacements s’effectuent alors dans la sérénité. Il ne faut jamais regretter le kilomètre de trop car les accidents surviennent à cause d’une somme de conjonctions multiples… ».

Et c’est vrai qu’en matière accidentologie et prévention, le haut-fonctionnaire a eu largement le temps de faire ses gammes avant qu’il n’endosse la vêture de préfet. Durant plusieurs années parmi le staff décisionnel de la Sécurité routière nationale.

 

 

 

Le préfet ne baissera pas la garde pour gagner ce combat…

 

 

Est-ce à dire que son appétence pour cette thématique va le conforter à accentuer les contrôles sur le département de l’Yonne, l’un des plus meurtriers de l’Hexagone ?

Henri PREVOST ne baissera pas la garde tant qu’il sera à ce poste dans le nord de la Bourgogne ; c’est une certitude. Autant de vies gâchées par le deuil imputable au décès d’un être cher ou le handicap du survivant, paralysé à jamais dans un fauteuil, ne peuvent le laisser insensible, loin s’en faut.

Le préfet de l’Yonne ne souhaite qu’une seule chose à l’échelle de son territoire : la modification des comportements.  

Certes, il existe des sanctions pour les contrevenants récidivistes. Mais, le représentant de l’Etat pense davantage à la prévention pour réussir ce pari.

« Tous les acteurs de la sécurité routière vont être mobilisés avec comme objectif prioritaire de propager les messages forts parmi toutes les strates de la population. Y compris dans les écoles… ».

Alors que l’année 2019 s’est conclue sur une très mauvaise note en termes d’accidentalité (41 décès), le préfet de l’Yonne envisage-t-il raisonnablement d’inverser cette funeste tendance au cours des onze prochains mois ?

« Le chiffre idéal à atteindre serait celui de zéro ! Une disparition est toujours de trop. Et malheureusement, le mois de janvier a déjà endeuillé des familles aujourd’hui malheureuses. Nous n’avons d’autres solutions que d’accepter les règles et les contraintes que nous impose le Code de la Route. C’est le prix à payer pour ne pas finir son existence au détour d’une courbe prise trop rapidement ou contre un arbre… ».

 

 

Trop de routes droites qui incitent à la vitesse…

 

Certes, mais qu’est-ce qui peut alors expliquer cette propension aux accidents mortels dans ce territoire ?

« Nous sommes en présence d’un département qui possède un réseau dense de longues routes droites, argumente Henri PREVOST, elles se pratiquent à la circulation avec relative aisance ; les conducteurs accentuent les risques en matière de vitesse et finalement, ils perdent le contrôle de leur véhicule avant de se tuer… ».

A cela, s’ajoutent les ingrédients favorables à l’accidentologie : l’alcool et surtout des comportements néfastes où l’incivisme et le non-respect d’autrui sont devenus légion.

« Aujourd’hui, mon objectif est de comprendre et de réduire avec les équipes concernées, ces risques et leur causalité afin de les maîtriser… ».

Reste pour conclure les indécrottables « Icaunais réfractaires » qui polluent de leur présence irrespectueuse les routes de notre département. Que leur dire en vérité ?

« Le message que je leur délivre est simple, conclut Henri PREVOST, c’est leur vie, celles de leurs proches et celles des autres qui sont en jeu. J’en appelle à la responsabilité civique et citoyenne de chacun pour endiguer ce fléau qui ne doit plus nous mettre en danger chaque jour sur les axes de circulation… ».

Sera-t-il entendu par ces « fous » du volant ?

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil