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La thérapeute Anne MARMAGNE donne une conférence dans l’Yonne : retour vers le passé émotionnel du bébé…
septembre 02, 2019Deux heures durant, à grand renfort d’anecdotes personnelles mais aussi d’observations professionnelles, par le biais de consultations qu’elle donne depuis dix ans, la conférencière de Lille mais originaire de l’Yonne a expliqué les différentes empreintes émotionnelles de la naissance. Un passionnant retour sur soi…
MONETEAU : Retour aux sources pour la conférencière Anne MARMAGNE qui est intervenue lors d’une soirée la semaine dernière dans la salle où elle a célébré des évènements familiaux par le passé, étant native de la localité icaunaise.
Venant de la grande métropole nordiste, Lille, la réflexologue, analyste, thérapeute et formatrice devait présenter face à un auditoire de près de quatre-vingts personnes une intéressante causerie autour des mémoires émotionnelles issues de la vie prénatale et natale.
Co-créatrice d’un jeu consacré aux origines de la mémoire des bébés et auteur de plusieurs ouvrages didactiques, Anne MARMAGNE remonta aux origines de la naissance qui met en lumière notre histoire familiale.
« Certains choix que nous effectuons, nos projets et leurs réalisations, notre personnalité auraient une résonance avec la manière dont nous sommes nés. Que ce soit à la suite d’un accouchement complexe (circulaire du cordon, césarienne, forceps, prématurité, mise en couveuse…) ou tout simplement via aux évènements qui ont eu lieu autour de l’entourage de nos parents pendant la naissance. Mais, aussi par extension, aux évènements qui sont survenus quelques jours avant celle-ci ou après… ».
Un exercice introspectif à nos propres origines qui ne manqua pas d’interpeller le public.
En savoir plus sur cette thématique, consultez le site http://www.dememoiredebebe.com
Maryline GANDON
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Christophe CASTANER donne du grain à moudre aux policiers en lançant le livre blanc de la sécurité intérieure…
septembre 01, 2019Inscrire les représentants des forces de l’ordre au cœur de la société d’aujourd’hui et de demain en leur donnant les moyens techniques et humains pour qu’ils puissent accomplir de manière optimale leurs missions. C’est la priorité à laquelle est attaché le ministre de l’Intérieur qui, en visite dans l’Yonne lors de la cérémonie de sortie de la 250ème promotion de gardiens de la paix à l’Ecole nationale de Sens, en a esquissé les contours. Les préparatifs d’un livre blanc de la sécurité intérieure, assorti à un grand débat sur cet item sociétal, permettront d’identifier les enjeux et les moyens pour y parvenir…afin d’avoir un temps d’avance sur la délinquance.
SENS : Le déplacement du ministre de l’Intérieur sur le territoire de l’Yonne a permis aux observateurs et principaux intéressés, les représentants des forces de l’ordre, d’en connaitre davantage sur les intentions réelles du locataire de l’hôtel Beauvau en matière de stratégie autour du devenir de la filière.
Au cours de sa prise de parole, avant le terme de la cérémonie protocolaire de présentation de la nouvelle promotion des gardiens de la paix et des adjoints de sécurité formés à l’Ecole nationale de police de Sens, Christophe CASTANER a donné un aperçu de sa vision personnelle de ce que doit être le policier du XXIème siècle.
« Quand je parle de policier, glissa-t-il en guise de préambule sur ce sujet, je pense à une attitude, une manière d’être et d’agir… ».
Comment alors ne pas faire allusion ensuite aux dures réalités du quotidien vécues par les forces de l’ordre depuis le début de l’année ? Le représentant du gouvernement ne manqua pas de rappeler à chacun ce que signifie réellement à ses yeux le mot « servir ».
« Servir » : le summum de l’engagement envers la France…
« Ce mot superbe donne le sens de votre engagement, celui de votre vocation, de ce concours que vous avez passé, de cette formation que vous avez reçue, complétés par ces stages sur le terrain…Même si vous êtes confrontés à mille défis, toujours vous servirez votre pays ».
Le second mot trouvant grâce dans la bouche du ministre fut « famille ». Il s’en expliqua…
« Gardiens de la paix, adjoints de sécurité ou cadets de la République, en rejoignant la police, vous rejoignez une famille, soudée, unie, qui évolue et change au rythme de la société pour mieux la protéger… ».
Puis, sous un soleil de plomb, Christophe CASTANER, stoïque, apporta sa définition de ce policier du XXIème siècle. Tel que l’Etat l’a conçoit.
« Un policier de ce siècle, c’est d’abord un homme ou une femme d’honneur et de vertu. Mais, c’est aussi un professionnel qui vit avec la société, à son contact et qui en mesure le pouls à chaque intervention… ».
Le ministre eut un mot à l’égard de la police de sécurité du quotidien, « cette nouvelle méthode intégrée depuis peu au cœur du métier ». En lien avec les habitants, elle se définit comme une police de dialogue et de concertation, voire presque une force sur-mesure, pour faciliter la carte de l’adaptabilité dans les quartiers. Notamment ceux de la reconquête républicaine.
Livre blanc, hausse des salaires et rythme horaire à l’ordre du jour…
Concertation sera donc le mot clé qui servira à Christophe CASTANER pour introduire l’idée maîtresse explicitée ce jour : le lancement d’un livre blanc. Celui destiné à la sécurité intérieure.
« Qu’il s’agisse de trafic de stupéfiants, de terrorisme, de la violence qui gangrène notre société moderne, de criminalité environnementale ou de cybercriminalité : nous devons identifier les enjeux et trouver les moyens d’y répondre… ».
Un préambule qui amène de facto à la préparation de ce document officiel, synonyme de vaste réflexion permettant de se poser les bonnes questions et surtout de pouvoir y apporter des éléments de réponse appropriés.
Participatif, le projet ouvre la porte à l’échange et au recueil des suggestions, des ressentis, des espérances aussi surtout lorsque l’on est un jeune policier.
« Votre parole aura toute sa place parmi le grand débat sur la sécurité intérieure qui se tiendra ultérieurement… ».
Toutefois, le ministre de l’Intérieur n’en dira pas plus sur les modalités pratiques de ce futur chantier. Ni sur sa périodicité.
En revanche, Christophe CASTANER aura été moins disert sur un autre point de son long propos : les augmentations de salaire. Commentant la résultante de rencontres avec les partenaires sociaux, ayant eu lieu à Paris en décembre, le ministre a évoqué ce coup de pouce sur les feuilles de paie des gardiens de la paix et des gradés.
« Nous avons convenu d’une augmentation très nette du salaire, hausse qui s’établit en trois temps. Deux ont déjà eu lieu. La troisième sera effective au 01er janvier 2020. In fine, ce sont entre 120 et 130 euros de mieux chaque mois pour les forces de l’ordre…».
Evoquant la place du professionnel et ses engagements aussi envers sa cellule familiale, Christophe CASTANER a aussi abordé la réforme des cycles horaires de la profession.
« Personne ne devrait avoir à choisir entre sa famille et sa mission, précisa le ministre régalien, aussi, nous discutons à l’heure actuelle avec les partenaires sociaux pour que soit à l’avenir possible de bénéficier d’un week-end de trois jours tous les deux week-ends. Ce qui est bien loin d’un week-end sur six comme c’est encore souvent le cas aujourd’hui… ».
« Face aux Gilets jaunes, l’Etat n’a pas vacillé… »
Christophe CASTANER ne put clore son intervention sans évoquer l’une des crises les plus abruptes à laquelle les forces de l’ordre ont dû faire face sous la Vème République.
« Cette crise, la qualifia le ministre, a été longue et difficile. Certains ont voulu s’en prendre aux institutions et renverser l’Etat. Systématiquement, la police nationale a été mise en cause, engendrant les violences les plus brutales. Mais, nous n’avons pas vacillé ! Nous devons tirer de cette crise toutes les conséquences… ».
Puis, reprenant le fil de ses idées, « ces gens-là, les Gilets jaunes, ne cherchaient que le chaos et l’affrontement. Ils n’ont rien à voir avec l’expression libre des idées. Rien à avoir avec les manifestations légitimes… ».
Aux côtés de Laurent NUNEZ, le ministre de l’Intérieur a révisé le schéma national du maintien de l’ordre, une fois la tension retombée cet été. Consultant au passage des experts, des spécialistes étrangers, des magistrats et même des journalistes.
Des marges de progression ont pu ainsi être identifiées. Notamment sur la question des sommations ou encore de l’usage des armements intermédiaires.
Le grand débat national et le livre blanc de la sécurité intérieure qui se profilent à brève échéance permettront à Christophe CASTANER de tout mettre sur la table. Afin d’obtenir les meilleures solutions…
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Municipales : Guy FEREZ jaillira-t-il bientôt des starting-blocks et avec quelle étiquette ?
août 28, 2019La teneur de la conférence de presse, concoctée par le service communication de la Ville et mettant en scène l’édile d’Auxerre ce mardi n’avait pas pour objectif d’évoquer le sujet de sa candidature aux futures échéances municipales. Un thème qui est en substance déjà fort brûlant dans l’actualité du territoire icaunais. Toutefois, l’élu de l’Auxerrois sans avoir à occulter cet item de sa prise de parole a pu y faire une brève allusion. Il devrait se prononcer sur sa volonté ou pas de tenter la passe de quatre mandats entre la mi-septembre et la mi-octobre. Voire avant si le besoin s’en fait ressentir. Reste une question en suspens qui brûle toutes les lèvres des observateurs : avec quelle étiquette le maire actuel se représenterait-il puisqu’il n’est plus membre du Parti socialiste ?
AUXERRE : Trop tôt, mesdames et messieurs les journalistes ! Ce n’était ni le moment approprié ni l’objet de cet exercice oratoire de rentrée. La conférence de presse, prévue par le service communication de la Ville mardi après-midi, n’avait pas pour vocation de s’épancher davantage sur une thématique (les municipales) qui fait déjà couler beaucoup d’encre dans le microcosme.
Ira-t-il ou n’ira-t-il pas ? La sempiternelle question ne cesse de tourner en boucle auprès des esprits chagrins qui ne disposent, il est vrai aujourd’hui, que de bien peu d’indices à se mettre sous la dent quant aux réelles intentions du maire. Celui-ci aime cultiver l’art du secret…
Maître du temps et prince du suspense (le film « Les Oiseaux » d’Alfred HITCHCOCK demeure son long-métrage préféré), l’édile d’Auxerre fera connaître sa décision ultime à l’amorce de l’automne. Plus exactement dans une période comprise entre mi-septembre et mi-octobre selon ses desiderata.
« Peut-être, pourrais-je avancer quelque peu la date de cette annonce si le besoin s’en faisait ressentir…, précisera-t-il un brin évasif.
Un maire attentif à la conduite de son mandat jusqu’au bout…
Un bail où les prétendants à la chaire municipale devront donc s’armer encore de patience en attendant d’y voir plus clair dans la configuration de la future joute électorale qui s’esquisse à l’horizon de mars 2020.
Pour autant, Guy FEREZ a martelé qu’il saurait être un maire attentif et mobilisé jusqu’au terme de son mandat, au vu des nombreux dossiers déjà engagés, voire en projet.
Il profiterait alors, à l’instant de son choix, d’un nouveau point presse qui servirait d’état des lieux non exhaustif à son bilan, avant qu’il ne se déclare ou pas candidat à sa propre succession.
D’ici là, Guy FEREZ se contentera d’observer, comme il a pris soin de le faire avec célérité depuis plusieurs mois, une situation qui évolue chaque jour.
Mais, l’une des informations marquantes que le maire d’Auxerre aura consenti à lâcher au plan politique, avant qu’il n’égrène la présentation d’une douzaine de gros dossiers liés à l’aménagement de la ville (voir article complémentaire), est son départ définitif du Parti socialiste (PS).
Une formation à laquelle il appartenait depuis 1981. Date de l’avènement d’un certain François MITTERRAND au pouvoir suprême. Las des turpitudes politiciennes habituelles, ce radical modelé à la sauce Jacques DELORS se définit comme un homme d’ouverture en sa qualité d’ancien professionnel de la communication qu’il a été jadis.
Une candidature, s'il y a, sous le prisme de LREM ou libre et indépendante…
S’il se décidait à se lancer dans l’arène d’ici quelques semaines, subsisterait alors la question cruciale concernant son appartenance à une fratrie politique pour prétendre à ce nouveau mandat.
La République en Marche (LREM) pourrait-elle être raisonnablement celle-là ? Le Comité national d’investiture du mouvement présidentiel n’a pas encore tranché sur la désignation de l’élu(e) qui bénéficiera à Auxerre de l’adoubement officiel de la majorité.
D’autant qu’une noria de candidats est déjà bien présente sur la ligne de départ de cette course d’endurance.
En cas de non-investiture de LREM, Guy FEREZ aurait aussi, seconde hypothèse, l’opportunité d’y aller en qualité de candidat libre et indépendant.
Pour mémoire, au printemps, le délégué national de LREM, Stanislas GUERINI, en visite dans la capitale de l’Yonne, avait pris soin de s’entretenir publiquement avec le maire d’Auxerre. Une prise de contact qui s’était avérée chaleureuse et détendue entre les deux hommes à la terrasse d’un café. Une convergence d’intérêts qui augure de la mise en place d’une nouvelle stratégie à Auxerre ?
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Le G 7 se tient à Biarritz… en avant la musique ! Et qui paie les violons du bal ? Comme d’habitude ne cherchez pas ! Est-ce la France, c’est-à-dire les contribuables que nous sommes, c’est-à-dire vous et moi ? Plus ceux qui prêtent de l’argent à notre territoire et qui en sont à plus de 2 000 milliards d’euros de dettes ? Mais, pour être franc : on ne m’a rien dit ! Peut-être, comme au resto « U », les participants ont-ils acheté des tickets et ce sont les citoyens de ces pays qui paient pour leurs représentants ? Ne rêvons pas !
TRIBUNE : Beaucoup de politologues, d’éditorialistes, de journalistes écrivent que ce type de sommet donne du prestige à la France. Qu’on m’explique en quoi jouer les amphitryons durant deux jours apporte du prestige à celui qui met les petits plats dans les grands ? Mais, le principal sujet c’est que le monde aura les yeux tournés sur nous et sur notre président !
Ainsi, pensez-vous que Donald TRUMP, une fois retourné dans sa Blanche Maison, après avoir goûté nos grands vins fins va décider de ne point les taxer ? De son côté, Vladimir POUTINE qui, lui aussi, a pu apprécier les vins de l’Hexagone et notre gastronomie au Fort de Brégançon, va-t-il mettre un frein à son action en Ukraine et au Donbass ?
Tant qu’à faire, il va également arrêter son soutien à la Syrie : ses avions cesseront sur l’heure de pilonner de pauvres familles dans le dernier réduit d’opposants à Bachar El ASSAD. Voilà déjà deux questions résolues avec les Russes grâce au G7. Mais, continuons d’avancer...
Le président américain n’aime ni les Chinois, ni les Iraniens. Très certainement lors du G 7 va-t-il décider d’enterrer la hache de guerre avec Xi JINPING. Si vous avez des doutes, vous avez tort. Rien de tel qu’un petit G 7 pour changer d’avis ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, très certainement le même Donald TRUMP tendra-t-il la main aux Iraniens en leur disant : « Tout cela n’est qu’un ridicule malentendu. Effaçons tout et n’en parlons plus. Et faisons d’une pierre deux coups. Cessez vos ingérences en Syrie et de vous opposer partout aux Saoudiens sous prétexte qu’ils sont sunnites et vous chiites. Cela n’a pas de sens… ». Grâce à notre G 7 « basco-mondial », on avance, on avance comme le chantait Alain SOUCHON…
Du pain sur la planche pour résoudre les problèmes mondiaux…
Il y a aussi au menu les accords CETA entre l’Europe et le Canada. Ils ne semblent pas plaire à nos agriculteurs. Et comme cela ne suffisait pas pour organiser une concurrence déloyale contre nos agriculteurs, on a ajouté le MERCOSUR, traité de libre-échange avec des pays d’Amérique du Sud. Cela tombe bien. Donald TUSK, président du Conseil européen, sera là et pourra donner son avis. Ça va faire progresser le « Schmilblick » comme aurait dit le regretté COLUCHE.
Angela MERKEL est venue. Elle aussi ne voudrait pas que Donald TRUMP taxe les belles berlines allemandes … ces autos dont des techniciens habiles et malins avaient quelque peu « trafiqué » les systèmes de contrôle aux gaz néfastes…
Boris JOHNSON en profitera pour parler du BREXIT. Discutant avec le président des Etats-Unis, ils conviendront ensemble que, finalement, on s’entend bien entre Anglo-saxons. C’est comme en 1958 quand la Communauté européenne a été créée. Les Britanniques préféraient déjà le « Grand Large » et leurs liens privilégiés avec les Américains.
Les Britanniques avaient refusé alors de s’associer à cette communauté continentale. A l’époque, il se disait dans les coursives : « Vous ne vous entendrez sur rien et vous vous disputerez sur tout ! » (sic).
« Vous voyez, nous avions raison et nous retournons à la case départ. D’ailleurs, le Premier ministre des « Indes » dont notre reine était impératrice, est venu au G 7… ».
Que dire de la présence de Justin TRUDEAU, Premier ministre du Canada ? Lui aussi, à l’instar de Xi JINPING, a des problèmes de taxes avec Donald TRUMP. L’air de la côte basque aidera-t-il à résoudre les problématiques du moment ?
Ah, j’allais oublier l’essentiel : les incendies de la forêt amazonienne. Il y a aussi l’écologie au menu de ce copieux sommet.
Mais, pour que la forêt primaire, véritable poumon de la planète, ne flambe plus au Brésil, il faut que Jair BOLSONARO arrête de couper les arbres. Là aussi, sur ce dossier, un nouvel ordre mondial doit prendre acte à Biarritz. Quand je vous disais que la France allait régler tous les problèmes du monde au G 7 : il y a du pain sur la planche, en effet…
Emmanuel RACINE
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L’AJ Auxerre à l’abordage de Guingamp : elle se doit de faire trembler les filets des Bretons…
août 19, 2019Après les trois premiers rounds d’un championnat qui n’aura rien d’une partie de plaisir, l’AJA pointe à la seizième place. Mais ce positionnement n’est en soi guère significatif au plan comptable. L’équipe bourguignonne pourrait en cas de réussite profiter de la venue de l’ancien pensionnaire de Ligue 1 ce soir à l’abbé Deschamps pour marquer les esprits durablement. Il suffirait pour cela que les protégés de Jean-Marc FURLAN affolent enfin le compteur du nombre de buts inscrits (seules deux réalisations pour l’heure) pour que la dynamique et la confiance reverdissent enfin dans le cœur des supporters.
AUXERRE : L’affiche est alléchante. Elle constitue déjà un sérieux test pour la formation de l’Yonne qui l’a appréhendée avec beaucoup de philosophie et de sérénité. Reste à y mettre désormais la manière. Celle de l’offensive car les suiveurs inconditionnels du club ont grand faim de prouesses techniques, de montées d’adrénaline et surtout de buts !
Pourvu de quatre points, l’En Avant Guingamp n’a qu’un seul objectif en tête : retrouver l’élite après sa descente aux enfers après une laborieuse saison. Pas si simple, en vérité car la concurrence est rude dans un championnat qui ne cesse de s’aguerrir d’année en année. Lorient, Lens, Clermont ou le Paris FC ne s’en laissent pas compter. Ces clubs ont des prétentions : ils ne sont pas les seuls.
En s’appuyant sur les qualités professionnelles de leur nouveau coach, qui a, excusez du peu, assurer la montée du Stade Brestois à l’échelon supérieur la saison dernière, l’AJ Auxerre intègre ce maillage de moins en moins hermétique de formations pouvant jouer le titre. Et par effet gigogne l’accession.
Oui mais voilà, malgré les bonnes intentions de leur entraîneur qui ne se formalise pas le moins du monde après seulement trois journées de compétition, les scénarios tournent courts depuis le début du nouvel exercice. Et ils ne s’auréolent que de peu de réussite.
Les « blancs et bleus » possèdent la balle, la font tourner avec une relative assurance tout en occupant le terrain de l’adversaire, parfois avec de la fluidité dans la circulation du jeu. Mais, les offensives demeurent stériles et inquiètent peu les défenseurs adverses.
Bref : hormis la brillance initiale et enthousiaste face au Mans (toujours lanterne rouge du classement provisoire) du premier jour, Auxerre n’a pas encore trouvé depuis son rythme de croisière la menant vers une enfilade de victoires.
Inexpressifs en attaque lors du premier tour de la Coupe de la Ligue face à l’AS Béziers, les attaquants du club icaunais ont ensuite été piégés lors de la séance de tir aux buts (5-6) qui leur aura été fatale.
Un désir de revanche pour les deux formations…
Ce lundi soir soufflera un vent de révolte au-dessus des deux équipes. Du moins, l’espère-t-on ! Entraîné désormais par Patrice LAIR, le team breton aura sans doute à cœur de se refaire la cerise après sa piètre prestation face à Orléans en Coupe de la Ligue (4-1). Malmenés en championnat à l’instar de leurs homologues bourguignons, les défenseurs du maillot rouge et noir breton n’ont d’autres alternatives que de soigner leur image.
La méfiance est donc de mise pour les Icaunais : après une série de six saisons consécutives à l’étage supérieur, Guingamp effectue le voyage dans la cité de Paul Bert avec la ferme intention de glaner les trois points synonymes de succès.
Jean-Marc FURLAN est prévenu. Il lui faudra trouver les mots justes et précis sur le banc pour motiver ses troupes en leur instillant cette envie de vaincre le signe indien du moment. Et de ne plus connaître de mésaventure devant les buts de l’adversaire…
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