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Depuis plusieurs mois, la monde médiatique est en ébullition et se fait l’écho des affaires de pédophilie qui enflent au sein de l’Eglise catholique, apostolique et romaine dans le monde occidental. Les victimes ont parlé et le couvercle a sauté. Dans cette affaire sinistre, il convient de distinguer la question de la pédophilie et celle de la non-dénonciation de ce crime abject…Deux éléments bien différents, en vérité…

TRIBUNE : Parlons de la pédophilie d’abord. Elle est aussi vieille que le monde. C’est d’ailleurs un mot grec. Faisons donc un saut en arrière de vingt-cinq siècles et relisons « Le Banquet » de Platon où l’amour des jeunes gens est abordé sans complexes : « Ceux qui se réclament de l’Aphrodite populaire aiment les femmes aussi bien que les hommes et les jeunes garçons. Ils aiment le corps plus que l’âme. Ceux qui se rattachent à l’Aphrodite céleste n’aiment que les hommes parce qu’ils ont plus de vigueur et d’intelligence que les femmes, (je suis obligé de citer le texte de Platon in extenso !). Ils n’aiment les jeunes garçons que lorsqu’ils commencent à être intelligents. Ils préfèrent leurs âmes à leurs corps. (…) Chaque ancienne moitié recherche désormais sa moitié complémentaire, d’où les trois formes d’amour possible : homme-femme, homme-homme, femme-femme. Pour ceux qui s’arrêtent aux apparences, Socrate est celui qui recherche les jeunes gens. Ceux qui sont plus perspicaces ne manqueront pas de se demander plutôt pourquoi Socrate retient les jeunes gens. Ils comprendront alors que Socrate « figure » (au sens rhétorique) tout ce qu’on recherche dans la quête amoureuse… ».  Un peu plus loin, Platon pose la question suivante : « Le précepteur doit-il être également l’amant de son élève ? ».

Ainsi, dans le monde grec, l’amour pour les jeunes gens, voire les jeunes garçons, était chose naturelle. Mais, ce qui apparaissait comme normal à cette époque ne l’est plus aujourd’hui. La pédophilie est devenue un crime pour les adultes qui la pratiquent, et une blessure indélébile qui ne se referme pas pour ceux qui l’ont subie…

L’expérience, la somme des erreurs que l’on a commises…

Ensuite, il convient de dire qu’associer la pédophilie au célibat, en l’occurrence à celui des prêtres, est une grave erreur. Dans quelques pays d’Asie, notamment au Cambodge et en Thaïlande, et dans une certaine ville d’Afrique du Nord ainsi qu’à Cuba du temps du dictateur Batista et de nouveau lors de l’ouverture au tourisme amorcé par Fidel Castro, la pédophilie ou, plutôt, le marché de la pédophilie pour étrangers, a fleuri.

J’en ai été le témoin à La Havane en 1996. Cuba ne vendant plus ses cannes à sucre aux Russes a recommencé de commercialiser des filles de tout âge et de jeunes garçons aux touristes… Puis, conscient que le pays avait ouvert les portes de Pandore au n’importe quoi, le gouvernement cubain a remis de l’ordre. Attirer des devises, oui ! La démocratisation de la prostitution à outrance, non ! La vente des enfants cubains à des occidentaux dépravés ne s’inscrit plus parmi les priorités de la ligne politique du parti au pouvoir.

La pédophilie demeure une tare inéluctable de l’espèce humaine. Et, l’on n’en sera pas quitte pour autant avec cette grande lessive médiatique. La question qui se pose désormais est simple mais implacable : comment faire pour que cela ne se reproduise plus ?

« L’expérience, disait Oscar Wilde, c’est la somme des erreurs que l’on a commises ». Mais, a ajouté un jour le directeur général de mon entreprise, « que l’on n’a pas le droit de refaire… ». Pour cela, il me semble que deux mesures simples mais rigoureuses doivent être prises au sein de l’Eglise : la première consiste à mettre en place un réseau de psychologues au service du clergé en invitant tout religieux qui détecte en lui-même une tendance à la pédophilie à prendre contact avec l’un de ces praticiens. La deuxième mesure réside dans la rédaction d’une charte précisant les actions qui doivent être prises à tous les niveaux de la hiérarchie dès qu’un soupçon de pédophilie se fait jour dans l’une des branches de cette vénérable institution séculaire.

On pourrait confier à l’Ordre des jésuites la mission de créer le réseau de psychologues, d’en assurer le suivi et d’élaborer la charte. La psychologie et l’énergie ont été leurs attributs principaux depuis six siècles.

Prenez connaissance de l’histoire des « Réductions » en Amérique latine où ils furent les seuls au cours de la colonisation à défendre énergiquement les indigènes… et lisez le livre de Jean Lacouture, « Les Jésuites ».

D’ailleurs, peut-être avez-vous entendu dire qu’ils viennent de placer l’un des leurs à Rome, à la tête de l’Eglise catholique, apostolique et romaine ! Signe des temps d’une évolution favorable au retour de la morale ?

Emmanuel RACINE


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Parmi les rencontres de cette vingt-septième journée du championnat de Ligue 2, une affiche ne peut laisser indifférents les aficionados de football. L’AJ Auxerre recevra en effet ce vendredi à l’Abbé Deschamps, dès 20 heures, son voisin aubois, le club de Troyes. Un derby sur le papier qui ne semble pas perturber, outre mesure, l’entraîneur franco-uruguayen de la formation nord-bourguignonne. « Affronter le premier du classement ou le dernier, ou n’importe quelle équipe, c’est du pareil au même… ». Dont acte !

AUXERRE : Entre l’ESTAC voisine et l’AJ Auxerre, il ne serait pas question de derby si l’on suit le raisonnement du coach auxerrois ? Sans être irrespectueux des Troyens – et il le précise tout de go lors de sa conférence de presse d’avant-match-, il n’y a rien de comparable entre les deux clubs à y regarder de plus près. Question de palmarès, au vu de l’histoire vécu par ces deux formations au cours de leurs pérégrinations en championnat de France, toutes divisions confondues, et en Coupe de France.

Pour Pablo CORREA, une chose demeure évidente : il demande à ses poulains d’être avant tout autre chose de vrais compétiteurs. Et c’est tout ! Le mot clé est lâché et qu’importe finalement l’adversaire du jour. Il les invite à ne jamais abandonner cet état d’esprit.

Pointés à la douzième position du classement (33 points), les protégés du coach sud-américain retrouveront, néanmoins, sur leur route, la sixième équipe dans la hiérarchie de cette saison.

« Je le concède, il nous faut nous améliorer après notre échec d’Ajaccio, précise le coach de l’AJA, il nous faut ressentir la saveur de relever ce nouveau défi… ».

Oui, mais voilà, reste-t-il des traces indélébiles de la défaite de la phase « aller » qui s’était soldée au bout du compte par un revers (1-0) des Icaunais ?

Le coach constate qu’il existe toujours un petit quelque chose de spécial entre ces deux clubs, sans doute est-ce lié à leur proximité géographique, les deux villes étant distantes d’environ 80 kilomètres. Au-delà de ces considérations, Pablo CORREA espère trouver les solutions adéquates pour obtenir un résultat acceptable. Quoi d’autre que la victoire, par exemple ?

Face à Troyes, il n’est nullement question de rivalité et de suprématie à la « Clochemerle ». Simplement, les joueurs doivent prendre en compte, en se les appropriant, tous les ingrédients nécessaires à leur progression. Tant au plan comptable à l’issue de cette journée qu’au plan technique afin d’évoluer.

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Corriger les erreurs individuelles qui ont fait défaut…

Convaincu qu’il lui reste beaucoup de choses à accomplir dans ce championnat – douze journées sont encore au programme avant le clap définitif -, l’entraîneur auxerrois souhaite la mobilisation de l’ensemble du groupe.

« Certains ont démontré leur motivation réelle, ajoute-t-il, d’autres, non. Je ne suis pas là pour les punir mais pour qu’ils soient dans l’investissement. Quand l’équipe ne tourne pas rond, les meilleurs, ce sont les absents. Donc, s’ils ne sont pas présents, c’est parce qu’il y a des éléments qui produisent un jeu plus qualitatif qu’eux. Les joueurs détiennent seuls la clé de leur présence ou pas sur le terrain… ».

Conscient de ce besoin de corriger impérativement les erreurs individuelles qui ont fait du mal lors des dernières rencontres, le coach envisage la troisième partie du championnat en phase avec ses objectifs.

« Les joueurs doivent exprimer de la fierté et de la satisfaction lorsqu’ils portent ce maillot. Pour l’heure, je n’ai pas encore tranché sur la composition définitive de la feuille de match. Je cherche toujours celle qui doit donner le maximum, en prenant en compte les blessures de quelques-uns qui sont à déplorer… ».


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Présent lors de l’adaptation locale du Grand Débat à Saint-Bris-le-vineux, vendredi dernier, Thomas MONARCHI-COMTE, 23 ans, diplômé de Sciences-Po, est consultant en communication dans une agence française de conseil à Paris. Très attaché à son territoire originel, le jeune homme revient régulièrement dans l’Yonne où il s’implique dans les milieux associatifs et politiques. Il nous livre ses impressions à l’issue de cet exercice de consultation qu’il a qualifié de positif et de démocratique…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Vous avez pris part à l’exercice de ce Grand Débat national à Saint-Bris-le-Vineux, que pensez-vous de cette rencontre après coup ?

C’est un moment très positif, auquel je suis heureux d’avoir pu participer. C’est, l’air de rien dans notre village de Bourgogne, l’essence de la démocratie qui s’illustre, telle que pensée par les Athéniens il y a 2 500 ans, où une foule, le demos, parle des « affaires de la Cité », y donne son avis sur la manière de mener ces affaires, et s’écoute. La présence surprise d’un des cinq garants du débat national, le politologue Pascal PERRINEAU, ainsi que celle d’élus locaux, a renforcé le cadre et l’intérêt de cet échange. C’est une belle réussite pour l’équipe municipale qui a organisé le débat avec l’Association des Maires de France de l’Yonne.

La faible participation, imputable à une problématique d’horaire, a limité la présence de nombreux villageois. Est-ce dommageable au plan de la représentativité imputable à cet exercice ?

Je ne suis pas sûr que ce soit réellement dommageable. Il existe d’autres moyens de s’exprimer comme les cahiers de doléance ou la participation sur le site officiel du Grand débat. Quant à la représentativité, les organisateurs m’expliquaient que, chose rare dans cet exercice, tous les participants ont pu s’exprimer, plusieurs fois, et dans une ambiance d’écoute et de discussion, ce qui n’a pas toujours été le cas ailleurs.

De nombreuses doléances et autant de suggestions sont sorties de ces échanges avec les organisateurs de la séance. L’ensemble de ces informations est-il cohérent avec vos propres attentes ?

La tendance générale que j’ai ressentie parmi tout ce que nous avons dit durant la soirée, c’est la peur du déclassement de notre campagne par rapport aux villes : diminution de la présence des services publics, fiscalité complexe, voire injuste, infrastructures vieillissantes et baisse des moyens pour les entretenir, poids de la transition écologique, et affaiblissement du lien avec les élus/représentants politiques. Je travaille à Paris la semaine et vis à Saint-Bris le week-end, cela est cohérent avec ce que je ressens ici : une fracture se creuse entre des zones très bien intégrées dans la mondialisation (comme Paris), et des zones qui ont plus de mal et craignent de se retrouver carrément marginalisés. On ne peut plus penser Saint-Bris seulement comme un village de l’Yonne par rapport aux autres communes du canton mais par rapport au reste du monde. Nos viticulteurs en sont un bon exemple : leurs produits viennent « du coin », de nos coteaux, et s’exportent à New York, Sydney ou Shanghai.

Vous êtes intervenu pour évoquer le droit à l’Internet pour tous, expliquez-vous…

C’est une réflexion qu’il faut se poser : aujourd’hui, personne n’imagine un monde moderne sans Internet. Internet est présent, chaque jour dans nos vies. Pourtant tous les territoires ne sont pas égaux devant l’accès à Internet. La connectivité parisienne est excellente tandis que Saint-Bris ne dispose pas de la fibre optique. Le débit y est très poussif, sans parler des zones blanches ou de l’absence de 4G en Puisaye.

La question de l’Internet est primordiale : aujourd’hui, beaucoup d’emplois ne nécessitent réellement qu’un ordinateur et un téléphone. Si les infrastructures Internet étaient suffisantes, qu’est-ce qui empêcherait des employés de bureau de télétravailler ici, et donc de consommer localement plutôt qu’à Paris ? Le coût de la vie y est inférieur, la pollution moindre, tout en restant relativement à proximité de la capitale. L’Yonne a d’énormes atouts que de meilleures infrastructures Internet renforceraient assurément. Cela pourrait représenter une des solutions, à la fois pour l’engorgement des villes et la désertification rurale dans l’ensemble du pays.

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Mais dire : « il suffit d’imposer aux opérateurs de mettre des installations » n’est pas aussi simple. Ce sont aujourd’hui des groupes privés, qui n’ont pas une logique de service public, donc de bien-être. Et au nom du droit à la propriété privé, on ne peut pas leur imposer de le faire de manière prétorienne. Sinon à termes, on pourrait aussi vous imposer dans votre propriété de peindre vos murs de telle couleur ou d’avoir un portrait du camarade Staline dans votre salon !

Il y a donc une vraie réflexion à mener sur le droit à l’Internet : est-ce un droit pour tous ? Ou est-ce un service que s’achètent ceux qui peuvent payer ? À condition qu’il soit disponible !

La présence de Pascal PERRINEAU, en qualité de garant et d’observateur de cette séance oratoire, a-t-elle apporté une plus-value supplémentaire à l’exercice ?

Je pense que Pascal PERRINEAU a « incarné » pour nous le Grand Débat. Ce n’est plus une chose abstraite, décidée depuis le cœur de Paris. L’un des garants, politologue et sociologue reconnu était là. Sa conclusion des échanges de la soirée par une explication claire et détaillée de ce qui se passera ensuite, de comment seront traités les échanges et des mesures qui pourront en découler a été appréciée.

Pensez-vous qu’il aurait fallu sortir du cadre, peut-être trop protocolaire, imposé par la formulation de ce Grand Débat ?

Les mots « règles » et « cadrer » ne sont pas des gros mots. On l’a vu avec le bazar des « Gilets jaunes ». Si les débuts du mouvement pouvaient être intéressants, l’absence de structure, de cadre et de règles internes de fonctionnement a conduit à tous ces débordements, à décrédibiliser et à rendre inaudible ce mouvement, dont les participants ne s’écoutent même pas entre eux. Donc non, un protocole de la prise de parole évite une foire d’empoigne, où personne ne s’écoute et sort ce qu’il lui passe par la tête. Vous l’avez vu vendredi soir : chacun a pu exprimer ses idées, même si certaines d’entre elles étaient clivantes et extrêmes, sans que cela ne se termine en bagarre.

Vous-même, auriez-vous des thématiques supplémentaires dont vous auriez pu évoquer l’existence ?

L’Europe et l’éducation auraient pu être des thèmes à part entière. La France n’est rien sans l’Europe et ce serait une erreur de penser, comme les Anglais semblent le faire, que notre pays peut agir en solitaire, comme c’était le cas au XIXe siècle… Mais l’Europe d’aujourd’hui a du mal à nous toucher. Le mot qui me vient tout de suite est « abstrait ». Pourtant l’Europe est là ! Je me souviens par exemple lors d’un passage à Saint-Sauveur-en-Puisaye d’avoir vu qu’une partie de la rénovation de la Tour Sarrasine était financée par les fonds européens.

L’éducation, c’est la formation des générations futures. Beaucoup serait à discuter comme par exemple la reconnaissance des enseignants, l’autorité et l’enseignement civique à l’école, l’enseignement des symboles de la République…

Peu de jeunes participent à ces débats. Selon, vous, pourquoi une telle démobilisation de la jeunesse eu égard aux grands enjeux de notre société ?

De quels jeunes parle-t-on ?  Qui y a-t-il de commun entre un jeune apprenti, un jeune surdiplômé, un jeune chômeur, un jeune salarié, un jeune chef d’entreprise ou bien un jeune de quartier, de Paris intramuros, de la campagne, etc... Peut-être que l’âge comme seul point commun n’est pas suffisant pour en faire un groupe réel.

Ensuite, les thèmes proposés ne sont peut-être pas très parlants pour des jeunes peu politisés, qui ne connaissent pas forcément le fonctionnement des institutions et ne se sentent donc pas aptes à en débattre. La fiscalité n’est sans doute pas encore leur problème, du moins pour tous ceux qui ne sont pas encore salariés.

Quant à la possibilité de s’exprimer dans un débat, ce n’est pas encore quelque chose qui s’apprend beaucoup en classe. L’enseignement reste très pyramidal.

Qu’attendez-vous de la suite de ces consultations, à la fois au plan personnel, et dans l’intérêt de la Nation ?

J’attends d’abord une synthèse et une restitution des tendances des consultations. J’attends que ces consultations apaisent également les esprits : pas clore les débats, c’est signe d’une démocratie vivace, mais stopper les violences. Que l’on ne vienne pas me dire que ceux qui détruisent les petits commerces le samedi après-midi le font au nom de la démocratie.

Pensez-vous que le gouvernement changera de cap et devrait faire une inflexion à sa politique actuelle pour répondre aux attentes ?

Le gouvernement a été élu sur un programme, tout comme les parlementaires qui le soutiennent. Je pense que les Français ont conscience que notre pays doit être réformé. Changer de cap ? Pour aller où ensuite ? Pour faire quoi ? L’inflexion que le gouvernement devrait produire serait une inflexion vers plus de pédagogie, plus de simplicité autour des mesures : vers une politique plus lisible et moins technocratique.

Dans le cas contraire, comment voyez-vous le devenir de la France ?

Dans le cas contraire pour moi, c’est une France dirigée par des Le Pen ou Mélenchon. Une France refermée sur elle-même, plus violente, qui n’avance plus, qui critique toute tête qui dépasse, qui s’appauvrit, et qui finit par s’effondrer. Bref, un pays triste et xénophobe. 

Je vous invite à lire le livre le plus vendu après la Bible aux Etats-Unis : la « Grève », d’Ayn Rand (1957). Outre le fait que c’est un roman philosophique qui a façonné la pensée libérale américaine, le livre ouvre une réflexion sur les conséquences de la disparation des créateurs (d’entreprise, de cinéma, de littérature, scientifiques…).  

 


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Présent dans l’effectif de la formation professionnelle icaunaise depuis juillet 2017, le gardien suppléant de l’AJ Auxerre profite de la période des transferts pour rompre son engagement avec son club. C’est une légère anticipation sur la fin de son contrat. Celui-ci arrivait à son terme au mois de juin. Le franco-américain, âgé de 32 ans, évoluera d’ici peu en MLS (Major League Soccer), la première division nord-américaine qui rassemble des équipes du Canada et des Etats-Unis.

AUXERRE : Départ imminent pour les States pour le natif de Suresnes. Un rêve qui devient réalité après l’accord trouvé avec l’AJ Auxerre. Le club de Ligue 2 a accepté de résilier le contrat qui le tenait avec son joueur jusqu’à la fin de cette saison.

Une anticipation réussie qui permettra à Quentin WESTBERG de quitter plus tôt que prévu ses partenaires afin de traverser l’Atlantique et de poser ses valises dans le pays continent d’ici quelques jours.

Là-bas, l’ex-gardien de but de l’AJA (il avait disputé une vingtaine de matches sous le maillot bleu et blanc) entamera une nouvelle carrière sportive. Sans pour autant être dépaysé. En effet, détenteur de la double nationalité, le footballeur connaît bien les USA pour y avoir déjà pratiqué son sport de prédilection dans les équipes de jeunes.

Avant de protéger les cages de l’AJA, Quentin WESTBERG avait officié à Troyes, Evian, Luzenac, Sarpsborg (Norvège) et Tours.

Ce départ profite, par effet gigogne, au jeune international Sonny LAITON. De fait, le garçon grimpe d’un cran dans la hiérarchie des gardiens du club bourguignon.


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La Maison de quartier de Sainte-Geneviève sera le théâtre du futur Grand Débat que la Ville souhaite concocter le lundi 07 mars prochain. Le bras droit de Guy FEREZ y a confirmé sa présence afin de recueillir les précieux témoignages devant être relevés dans le cadre de cet exercice de communication participatif…

AUXERRE : La date et le lieu ont été arrêtés et communiqués par la direction de la communication de la Ville. A partir de 19 heures, le lundi 07 mars, la Maison de quartier changera sa raison d’être initiale, associative et culturelle, pour y accueillir un exercice que ne devraient pas bouder les habitants de la capitale de l’Yonne.

Dans le cadre du Grand Débat national, la Ville d’Auxerre a décidé de se prêter au jeu de cet acte citoyen, proposant une rencontre informative autour des quatre grandes thématiques retenues par la présidence de la République.

Ainsi, les Auxerrois auront tout le loisir d’analyser et de soumettre leurs préconisations sur la transition écologique, la fiscalité, la démocratie et la citoyenneté, sans omettre l’organisation des services publics.

Mais, la Ville qui est ouverte à la concertation et au dialogue dans cette opération, ne souhaite pas fermer la porte à d’autres sujets qui peuvent donner lieu à échanges.

Si les débats seront animés par l’ancien rédacteur en chef de l’Yonne Républicaine, Gérard DELORME, qui excelle d’ordinaire dans ce travail consensuel de Monsieur Loyal, on notera également la présence remarquée du premier-adjoint, Guy PARIS. Le relevé de conclusion sera assuré par la Ville d'Auxerre.


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