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Découvrir les opportunités en faveur de l’emploi grâce à un nouveau forum à Migennes…
septembre 04, 2018Le 03 octobre se déroulera à la salle Jean Ferrat une première manifestation consacrée à la recherche d’emploi. Concoctée par la Communauté de communes de l’agglomération du MIGENNOIS et la Mission Locale, elle aura pour objectif de développer et renforcer les partenariats entre les milieux institutionnels et ceux de l’économie.
MIGENNES : Pour connaître toutes les subtilités de cette future manifestation, il faudra encore s’armer de patience. Et attendre le déroulé de la conférence de presse, prévue le lundi 24 septembre, dans les locaux de la Mission Locale.
Ce jour-là, les organisateurs de l’évènementiel dévoileront les arcanes de ce premier forum baptisé « Opportunité Emploi sur le MIGENNOIS ».
Une chose est sûre et s’avère déjà évidente avant de vivre cette date, ce futur rendez-vous, du mercredi 03 octobre, sera ouvert à toutes celles et à tous ceux en recherche de recrutement. Qu’il s’agisse des entreprises du MIGENNOIS, de prime abord ; mais aussi aux demandeurs d’emploi, eux-mêmes.
D’où ce lieu d’échange prolifique qui devrait permettre d’instaurer des liens entre les deux parties, l’offre et la demande.
Un forum composé de trois pôles…
S’adressant aux salariés, étudiants et demandeurs d’emploi, cette manifestation favorisera l’information pratico-pratique sur le sujet. Trois espaces seront opérationnels : l’Espace Conseil consacré à l’orientation, au coaching, à la mobilité ; l’Espace Recrutement où les entreprises locales évoqueront leurs offres mais aussi leurs besoins de stages, de formation, etc. ; l’Espace Formation qui apportera un éclairage sur l’ensemble des possibilités pédagogiques assurées par les centres de formation du territoire icaunais.
L’entrée de cette animation sera gratuite et libre.
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Le coach Phileas FIQUEMONT, en quête de son Graal intérieur, a vécu son « petit » Compostelle en jeûnant…
septembre 04, 2018D’ordinaire, lorsqu’ils entreprennent le pèlerinage pour gagner Saint-Jacques de Compostelle, les marcheurs empruntent une voie classique, en partance de Vézelay ou du Puy-en-Velay. Spécialiste de coaching et de ludocoaching, une approche de la connaissance de soi par le prisme de jeux cérébraux, Phileas FIQUEMONT a choisi de vivre une expérience en solitaire sur un chemin inhabituel du pèlerinage, cet été, de Paris à Vézelay. Un cheminement initiatique long d’une dizaine de jours où il a pratiqué le jeûne et la méditation. Première partie d’un voyage sous la forme d’une interview (1/3)…
AUXERRE : Vous avez pris les observateurs qui vous ont suivi à rebrousse-poil, en effectuant un autre trajet que celui habituellement emprunté reliant Paris à Vézelay. Pourquoi ?
Les chemins de Compostelle sont très nombreux, en France et en Europe. Si les départs de Vézelay et du Puy-en-Velay sont très courus, le vrai chemin comme on le dit dans le monde des pèlerins est celui qui part de chez soi. C’est-à-dire qu’on embrasse les siens sur le pas de la porte et on part rejoindre une voie balisée.
Et si l’on habite à Strasbourg, on aura déjà marché 15 jours avant de passer à Vézelay. Un chemin part de Bruxelles, d’autres serpentent en Pologne, en Allemagne… Nous devons davantage parler des chemins de Compostelle plutôt que du chemin.
Pour ma part, mon projet de « faire Saint-Jacques » date de plusieurs années et cette année 2018 m’était apparue comme année butoir pour une raison qui parlera à beaucoup : je fêterai mes 50 ans en 2019. Je voulais ce chemin avant mes 50 ans. Je le désirais tellement que c’en était devenu une obsession. Seulement partir pour Saint-Jacques depuis chez moi ça représente 1 700 km, soit 70 jours environ. Quand on est encore en activité, il n’est pas des plus facile de s’absenter autant.
Et puis, lors d’une conférence, j’ai rencontré un homme qui porte une association de pèlerins et qui s’est attaché à démocratiser la partie Paris-Vézelay. Je l’ai gardé en tête et à la première occasion, je me suis réservé deux semaines pour « faire mon petit Compostelle ».
C’était un moyen pour moi de me tester sur une plus petite distance tout en me joignant à l’esprit du pèlerinage.
Etes-vous parti de Notre-Dame de Paris ?
Je suis effectivement parti de la Cathédrale Notre-Dame, surtout du point zéro, sur son parvis, d’où sont calculées toutes les mesures de distances depuis Paris. Aussi, il me semblait important dans ce contexte de pèlerinage de respecter l’esprit religieux de millions de pèlerins qui ont précédé mes pas depuis plusieurs siècles. En leur mémoire, j’ai brulé un cierge avant de m’ébranler.
Une première anecdote a émaillé votre chemin initiatique vers cette quête de l’âme et de l’esprit : une paire de chaussures quelque peu récalcitrantes au départ de Paris… Expliquez-vous.
C’est vrai. J’ai eu la très mauvaise idée de partir avec des chaussures ultra faites à mes pieds et ultra confortables mais aussi trop usées pour assurer la distance.
Ma deuxième mauvaise idée a été de m’acheter des chaussures neuves avant de quitter Paris. Tous les marcheurs vont hurler en lisant ces mots mais oui, j’ai démarré avec des chaussures neuves (et les vielles dans le sac en secours). Huit kilomètres plus loin, je remettais mes vieux godillots. Et puis, en jonglant avec les deux paires, je m’y suis fait.
Dans tout projet, existe une genèse. Quelle est la vôtre pour justifier ce long périple en solitaire concocté durant une dizaine de jours ?
C’est justement pour me préparer à un vrai long périple que je me suis lancé dans ce « petit Compostelle ». Le vrai long périple dure entre 70 et 90 jours. Il traverse la France du nord au sud et l’Espagne d’est en ouest. Il passe par des plaines, des montagnes, des grandes villes et des hameaux.
Ces dix jours n’étaient qu’une prise de contact avec mon moi profond. Un auto-test de capacité, un entraînement.
La vraie genèse est en processus puisque mon projet reste entier. Je pense m’offrir des plages de temps pour marcher sur le chemin dans les années à venir sans toutefois faire le parcours en entier, les Dieux Chronos et Economicos se disputant mon emploi du temps !
Et puis, un jour viendra où une fenêtre temporelle s’ouvrira et m’offrira tout le loisir de parcourir les chemins à ma guise.
Quels ont été les préparatifs auxquels vous vous êtes soumis pour arriver dans les meilleures conditions physiques sur ce rendez-vous, mais aussi logistiques ?
Je marche quasi quotidiennement. Tous les matins, une heure de marche représentant 6 kilomètres et dès que j’ai un peu plus de temps, je double ou triple le parcours. Ce n’est pas tant de l’entraînement physique mais plutôt un entraînement du goût de la marche.
Je maîtrise la marche à peu près comme tout le monde depuis mon premier anniversaire et je n’en ai découvert les vertus que depuis que je marche. Je m’explique : aller jusqu’à la boulangerie à pieds n’est pas marcher, c’est se déplacer à pieds. Tout comme le déplacement dans les couloirs du métro n’est pas marcher.
J’ai réappris à marcher sur la base de ma capacité à mettre un pied devant l’autre et de recommencer en additionnant les pas sur des dizaines de kilomètres. Concernant la logistique, j’ai ressorti mon sac à dos de voyage qui s’est révélé inapproprié parce que trop grand. Plus on a de place et plus on est tenté de charger. Or, le poids est l’ennemi du marcheur. Conclusion : j’ai vendu mon sac, je ne serai pas tenté de le réutiliser la prochaine fois.
Un budget est-il nécessaire avant de tenter cette aventure pittoresque ?
Un budget est indispensable et dépend entre autres du niveau de confort que l’on souhaite pour ses nuits. Depuis les nuits en bivouac qui ne coûtent que le matériel le rendant possible jusqu’à des hôtels ou des chambres d’hôtes, on peut s’offrir le chemin qui nous ressemble.
Quoi qu’il en soit, le chemin lui-même se chargera de nous ramener vers nos valeurs profondes. La simplicité et la modestie semblent les meilleures alliées du marcheur au long court. L’autre budget qui ne m’a pas concerné et que l’on va développera dans la seconde partie de l’interview est l’alimentation. A chacun ses exigences.
Qu’est-ce qui pousse l’entrepreneur que vous êtes dans votre état civil à procéder à un break dans votre existence afin de répondre à cet appel du cœur ?
Je suis entrepreneur récidiviste depuis plus de 25 ans et je n’ai pas encore trouvé le Graal. J’innove sans discontinuer depuis toutes ces années sans toutefois rencontrer mon public parce que toujours en avance ou décalé vis-à-vis du marché. Aujourd’hui j’ai une telle expérience d’entrepreneur que je suis en mesure d’accompagner des porteurs de projet grâce à mon regard extérieur.
Concernant mes propres projets, j’ai besoin de prendre de la distance pour mieux revenir dans la course. La marche booste ma créativité et apaise mes ardeurs. Partir pour plusieurs jours me permet de revisiter, de peaufiner ou même d’abandonner mes idées au fil des pas…
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Les sélections du Meilleur Apprenti de France de l’Yonne rendent leur verdict dans la filière boulangerie…
août 28, 2018Le 01er octobre, le CIFA de l’Yonne accueillera les finales régionales du traditionnel concours du Meilleur Apprenti de France. Deux jeunes Icaunais, Louis FLORIAN, lauréat de la sélection départementale et son dauphin, Gauthier BOSSELIER, y participeront dans la catégorie boulangerie en espérant tutoyer les sommets. C’est-à-dire ceux qui leur permettraient d’accéder aux épreuves nationales…
AUXERRE : Huit heures durant, les deux candidats des sélections départementales du concours du Meilleur Apprenti de France (M.A.F.) se sont livrés à un duel farouche afin de décrocher le titre suprême.
Travaillant avec beaucoup d’enthousiasme dans les cuisines du centre de formation d’apprentis d’Auxerre, le CIFA, Louis et Gauthier n’avaient guère le temps de flâner vu le copieux programme qui les attendait.
Parmi les réalisations à concevoir afin de respecter le cahier des charges précis de l’épreuve : des pains de tradition française, des pains de campagne, voire des variantes de produits à vocation nutritionnelle. Et, ce n’était pas tout.
Les deux candidats durent proposer aussi des assortiments de croissants et brioches, avant de s’atteler à la confection d’une création salée. Sans se consulter pour autant, Louis et Gauthier élaborèrent par le pur des hasards une recette à base de chaource.
Un thème imputable à la pratique de la bicyclette à Paris était obligatoire lors de ce concours. Les deux garçons eurent tout le loisir de laisser courir leur imagination pour concevoir leur pièce avec raffinement.
Lauréat de cette édition 2018, Louis FLORIAN, apprenti évoluant chez Anthony LIBAULT, le président du syndicat professionnel de l’Yonne à Pontigny, fut félicité par le président du jury, Alexis BEUZIN.
Il en fut de même pour le jeune Gauthier, auréolé par les autres représentants du jury, Adrien GAILLARD du groupe EUROGERM, leader national qui commercialise des correcteurs de meunerie, des améliorants de panification et des ingrédients servant à améliorer la régularité, la qualité et la valorisation des produits de la filière blé-farine-pain et Nicolas GRAZIALI, de la FLORENTINE.
Rendez-vous est pris pour les deux candidats à l’automne avec l’objectif de finir sur la plus haute marche du podium régional, qualificatif pour le concours national.
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Le MUSEOPARC Alésia obtient le label Tourisme et Handicap et privilégie l’accès gratuit aux personnes à mobilité réduite
août 27, 2018Après deux longues années de réflexion autour de ce projet, le MUSEOPARC Alésia s’est vu délivré par l’Etat la fameuse labellisation nationale. Celle-ci a pour vocation de donner une information objective et homogène sur l’accessibilité des sites et des équipements touristiques. Quatre grandes familles de handicap sont ainsi prises en compte pour pouvoir y prétendre : l’auditif, le mental, la motricité et le visuel. La délivrance de ce label, très recherché par les personnes à mobilité réduite, est un motif de satisfaction pour Michel ROUGIER, directeur général de ce haut lieu du tourisme de Bourgogne Franche-Comté…
ALISE SAINTE REINE (Côte d’Or) : Inauguré en 2012, le bâtiment accueillant les activités du MUSEOPARC Alésia a été examiné de manière minutieuse lors du montage de ce dossier. Celui qui lui a permis au terme de vingt-quatre mois d’analyses et de modifications de pouvoir obtenir le précieux sésame, remis par la marque Tourisme et Handicap.
Toutes les équipes de la structure culturelle avaient été mobilisées sur ce chantier visant à améliorer ce lieu très prisé des visiteurs français et étrangers. Résultante : différents points névralgiques du site ont subi de sérieuses transformations. A commencer par le pôle d’accueil, grâce à la création d’une aire de dépose-minute devant le bâtiment.
L’apport de nouvelles signalétiques (identification des nez de marche dans les escaliers afin d’éviter les chutes malencontreuses) et de couleurs spécifiques sur les mains courantes et autres poignées de portes constituent là-aussi de précieuses aides pour les personnes handicapées. Les toilettes ont été sécurisées avec la pose de flash lumineux en cas d’alerte. Quant au ponton d’accès aux fortifications, il bénéficie désormais de garde-roues.
Gratuité de l’accès au site pour les personnes handicapées et son accompagnant…
En fonction de la nature du handicap, il est même possible de demander un projet de visite conçu sur mesure. Quant aux chiens guides, ils sont acceptés sans l’ombre d’une difficulté.
Grâce à ces aménagements, le site de Côte d’Or se distingue en favorisant la compréhension des lieux et sa circulation. Ainsi, une borne tactile, placée à l’accueil, identifie toutes les ressources liées au handicap et au confort de visite. Des vidéos confèrent une touche de modernisme appréciée des utilisateurs. Enfin, des boucles magnétiques ont été installées à différents endroits stratégiques du musée : l’accueil, la billetterie et au restaurant. Une offre de fauteuils roulants est à disposition sur simple demande à l’accueil de ce site qui privilégie la gratuité pour les personnes atteintes d’un handicap et son accompagnant.
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Isabelle DUMONT (Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne) sait mouiller le maillot en signe de solidarité !
août 27, 2018Soutenant l’élu consulaire de Côte d’Or, Jean-Sébastien NONQUE, lors de l’épreuve de la « France en Courant » cet été, Isabelle DUMONT, l’une des pièces maîtresses de la vénérable institution dans l’Yonne, a délaissé son stand le temps de l’arrivée de l’équipe des artisans lors de l’étape de Villeneuve sur Yonne pour se mêler à la fête…
VILLENEUVE SUR YONNE : Epreuve originale et unique par sa distance à parcourir à pied à travers l’Hexagone (2 800 kilomètres), la « France en courant » devait faire une halte remarquée cet été au bord de l’Yonne.
Cette course de relais pédestre, créée à l’initiative des artisans boulangers il y a une trentaine d’années, effectuait une fois n’est pas coutume une étape dans notre département. Villeneuve sur Yonne avait été choisie par les organisateurs de cette manifestation d’endurance à l’instar des 320 villes traversées.
Labellisée depuis 1992 par la Fédération française d’athlétisme (FFA), la compétition accueillait huit équipes de relayeurs dont une formation 100 % féminine, une autre composée de sportifs russes avec une ancienne concurrente ayant participé aux Jeux Olympiques et le team des artisans. Equipe où l’on notait la présence de Jean-Sébastien NONQUE, élu consulaire de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Côte d’Or.
Faire preuve de solidarité à la cause de l’artisanat…
Responsable de l’Unité administrative de la Chambre de l’Yonne et exerçant son savoir-faire professionnel auprès du président Jean-François LEMAITRE, Isabelle DUMONT encourageait ces valeureux contributeurs à une manifestation très sympathique, plaçant l’artisanat sur un piédestal.
Non seulement, l’organisme consulaire disposait d’une vitrine installée dans le village d’accueil ouvert au public. Mais en outre, la jeune femme fit preuve de solidarité sportive envers ses camarades artisans en les accompagnants en petite foulée lors des derniers mètres de cette étape, courue sous une chaleur caniculaire. Ce geste solidaire fut apprécié de l’artisan maçon d’Aiserey (Côte d’Or) qui devait passer la ligne d’arrivée en tenant la main de chacun de ses coéquipiers…Où l’on retrouvait également le président des boulangers de l’Yonne, Anthony LIBAULT venu prêter main forte à ces artisans courageux…
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