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Eiryo KUDO, jeune prodige de la cuisine nipponne, en poste à l’ambassade de l’Empire du Soleil Levant à Paris, a eu la divine surprise de découvrir, aux côtés du Premier secrétaire aux affaires économiques de l’archipel et de son attaché agricole, les méthodes d’affinage d’une viande bovine labellisée qui ont établi la notoriété de l’artisan sénonais à travers la planète. Aujourd’hui, les plus belles références des arts culinaires et de la gastronomie française, dans l’Hexagone comme dans leurs établissements à l’international, se fournissent chez ce virtuose du goût et de l’authenticité. Ce long et délicat travail de maturation a conquis les officiels japonais en visite dans l’unité de production de Sens. Ils n’oublieront pas de sitôt cette immersion surprenante dans cet univers du savoir-faire, poussé à son paroxysme et à sa maîtrise absolue…

SENS : Moins 21 degrés. Les espaces frigorifiques où sont entreposées les carcasses de bœufs ne se visitent pas. Furtivement, le maître de cet antre atrophié par le froid daigne ouvrir le temps d’une courte séance photographique l’une des zones d’affinage de cette viande succulente au palais qui fait désormais le bonheur gustatif des esthètes et la renommée planétaire de l’artisan icaunais.

Bienvenue au cœur des établissements DENAUX ! Munis de leurs smartphones, les membres de la délégation nippone immortalisent ces instants, très cordiaux et chaleureux, menés dans une langue de Shakespeare parfaite. Répondant de manière positive à l’invitation de l’entrepreneur, les personnels de l’ambassade, accompagnés de Karine BERTHOLON, chargée de mission Asie de l’Est à la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises, au sein du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, et de Nadège PALANDRI, chef du service régional de l’économie agricole au sein de la DRAAF (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté), furent accueillis en fin de matinée de ce vendredi 15 juin par le chef d’entreprise et son épouse.

Des liens déjà privilégiés entre la société DENAUX et le Japon…

Une présence asiatique qui n’avait rien de surprenante dans cette structure moderne dont l’histoire fut narrée par le dirigeant avec moult précisions. Depuis cinq ans, les établissements DENAUX distribuent leurs produits au Japon. Cibles privilégiées : les restaurants gastronomiques. Certes, il y a ceux tenus par les grandes signatures françaises de la gastronomie dont les noms illustres tutoient toujours les sommets (Pierre GAGNAIRE, Joël ROBUCHON…). Mais, l’appétence des jeunes chefs nippons pour la gastronomie de qualité n’est plus à démontrer. Nombreuses sont les tables qui ont fleuri au cours de cette dernière décade avec de jeunes chefs ambitieux et respectueux du goût et des saveurs.

A l’image d’Eiryo KUDO, un talent à l’état pur, qui est au service de l’ambassadeur de son pays en France, et qui agrémente avec maestria les délices sucrés et salés à l’envie, essence même de cette cuisine d’Extrême Orient à redécouvrir sans modération.

Avec ses deux compagnons de voyage, Hideki YAZAWA, Premier secrétaire aux affaires économiques à l’ambassade et le responsable du volet agricole de cette même délégation, Kensuke ASAHI, le chef cuisinier aura pris soin de découvrir avec beaucoup d’intérêt les méthodes d’affinage de la viande de bœuf travaillée par l’entrepreneur sénonais.

Présentation de la société familiale, de ses effectifs, de sa stratégie à l’export mais aussi de sa modernité avec un site à l’ergonomie éprouvée, Jean DENAUX déroula avec conviction et sens du détail les objectifs mis en place depuis une vingtaine d’années au sein de la structure.

« Le Japon a toujours été ouvert à la découverte de la viande française de qualité, glisse l’entrepreneur, désireux d’optimiser cette visite courtoise en potentialité économique réelle. D’ailleurs, depuis cinq ans, je livre des produits carnés pour les besoins de l’ambassade à Paris ».

L’affinage de la viande : un discours comparable à la vinification et à l’élevage du vin…

S’en suivit un échange passionnant sur la perception de la nourriture française vue par le prisme du consommateur nippon. Et les moyens de l’accommoder. Puis, séance tenante, Jean DENAUX fit goûter à ses hôtes une variété de plante avec laquelle il aime préparer ses produits, le fenouil des Alpes, mieux connu sous l’appellation de cistre.

« Le processus de maturation de la viande requiert de la patience et un goût immodéré pour le travail approfondi du produit, stipula le chef d’entreprise de l’Yonne, la viande du Charolais, connue et reconnue à travers le monde, se prête idéalement bien à ces techniques naturelles… ».

Ce procédé a été développé au cours de cette décennie par l’établissement artisanal qui possède même une boutique intégrée à son lieu de production. Là, les aficionados de la viande de grande qualité y découvrent des pièces de bœuf mais aussi de porc et d’agneau à la saveur et la tendreté exceptionnelles.

« L’affinage de la viande courant sur des périodes de plusieurs semaines peut se comparer à la vinification d’un vin, explique Jean DENAUX, voire celle de charcuteries ou de fromages. Aujourd’hui, cette technique est devenue la signature de notre enseigne ».

Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.

Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.

Une quarantaine de pays dont ceux de l’Asie du Sud-Est apprécient cette viande qui confine à l’excellence. Gageons que les représentants du Japon se feront les ambassadeurs de ce produit made in France bien au-delà de la représentation diplomatique de leur instance à Paris. La vingtaine de kilos de produits maturés, acquise par le jeune chef nippon au terme de cette visite, atteste que les Japonais y ont trouvé le plus grand intérêt…

 


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Le directeur de la filiale française de ce leader mondial dans la fabrication et la commercialisation de machines et systèmes de nettoyage par ultrasons, Rudy BADEY, a rencontré une cinquantaine d’industriels et artisans lors d’un déplacement qualifié d’instructif effectué à Sens. Invité par la structure associative « défiSON », le dirigeant a pu expliquer, exemples à l’appui, les caractéristiques vertueuses de ce procédé à la conquête de la planète industrielle. Même si, a contrario de l’Europe et de l’Amérique du Nord, la France accuse une nouvelle fois un retard important dans l’application de ce dispositif…

SENS : Bientôt implanté en Allemagne, TIERRA TECH, groupe international rayonnant sur le Vieux continent depuis son unité de production espagnole et en Amérique du Nord via son antenne mexicaine, conçoit et développe des machines de nettoyage par ultrasons, adaptées aux besoins spécifiques de chaque secteur industriel.

L’entreprise, leader en ce domaine, intervient aussi bien auprès de structures positionnées dans l’industrie de la pêche que les milieux agricoles, les arts graphiques et les sociétés d’imprimerie, l’industrie minière, le secteur électronique ou naval, le textile ou l’aéronautique, l’alimentaire ou encore la filière métallurgique. Grâce à l’emploi des techniques utilisées, les bénéficiaires réduisent ainsi leurs coûts de nettoyage et améliorent la compétitivité, tout en obtenant des finitions de haute qualité dans le traitement de pièces et de surfaces.

Un marché exponentiel dans toute l’Europe sauf en France…

Décapage, décalaminage, dégraissage, décolletage sont devenus désormais des termes techniques qui prennent ici toute leur dimension. Profitant de l’énorme marché européen, TIERRA TECH commercialise ses machines de différentes capacités vers le Portugal ou l’Italie tandis que la France montre davantage de réticence face à ce processus de nettoyage par ultrasons.

« Souvent, explique le directeur de la filiale hexagonale, nos contacts en France s’imaginent que l’on préconise de petites machines. Or, ce n’est pas toujours le cas ! ».

Visuels à l’appui, au cours de son exposé, le dirigeant laisse défiler des diapositives saisissantes de cuves de très grande taille, certaines pouvant accueillir jusqu’à 24 000 litres de solution de traitement.

Il y a peu, TIERRA TECH a installé une cuve de 12 000 litres destinée à équiper une société sous-traitante pour AREVA. La fabrication de machines permet aussi de moduler la démarche technique, en y conférant les aspects du sur mesure répondant aux réelles attentes d’un partenaire industriel.

Deux contacts aboutis avec des sociétés industrielles de l’Yonne…

La société aux origines ibériques conçoit également ses propres produits lessiviels, indispensables à l’emploi des ultrasons. Ceux-ci sont les plus alcalins possibles. Car, dans sa quête d’optimiser les bienfaits du développement durable, l’ingénierie de TIERRA TECH propose des solutions alternatives afin de réduire, voire d’éradiquer les produits nocifs.

Pouvant ôter la corrosion dans les moindres recoins, le nettoyage par ultrasons suppose en revanche une plus forte consommation électrique du fait du temps de chauffage des bains qui peuvent monter en température de 40 ° à 75 °. Mais, une fois stabilisé, la consommation énergétique demeure tout à fait correcte.

TIERRA TECH possède parmi ses références au portefeuille clientèle, le groupe allemand SIEMENS. Pour eux, l’entreprise de nettoyage a automatisé certaines machines et développé des produits lessiviels spécifiques.

A l’issue de cette conférence, fort utile pour en savoir davantage sur les pratiques des ultrasons dans le secteur industriel, deux entreprises adhérentes au concept économique de « défiSON » ont accepté de travailler avec la filiale française basée à Mérignac (Gironde). Elles devraient en tester très prochainement les effets sur leur site de production.

https://www.tierratech.com/FR/home


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En s’implantant chez notre voisin d’Outre-Rhin, le leader français dans les ingrédients et auxiliaires technologiques au cœur de la filière blé, farine et pain souhaite proposer des services novateurs, notamment la création d’un fournil d’essais franco-allemand. Mais, l’ouverture de cette dixième filiale à l’international permettra aussi au groupe piloté par Jean-Philippe GIRARD, PDG et créateur de l’entreprise, et Benoît HUVET, directeur général délégué de favoriser les liens de proximité avec sa clientèle et ses prospects allemands en vue d’y développer des relations pérennes…

DIJON (Côte d’Or) : Porté sur les fonts baptismaux en 1989 (bientôt trente ans), le groupe EUROGERM n’en finit pas de conquérir de nouvelles parts de marché à l’international. Côté sur le marché Euronext de Paris, la structure dont le siège social est localisée en territoire de Bourgogne (Dijon) vient de créer sa nouvelle entité en Allemagne ce mercredi 15 mai. Sa dixième filiale étrangère. Située à Francfort, dans l’une des places fondamentales de l’économie européenne, cette société, baptisée « EUROGERM GmbH » optimisera la croissance du groupe dans les pays germanophones.

Présent depuis plusieurs décennies en Allemagne, Autriche et Suisse, le concepteur-producteur de correcteurs de meunerie, des améliorants de panification et des ingrédients servant à améliorer la régularité et à valoriser la qualité des produits de la filière blé, farine et pain renforce ainsi sa dynamique. L’objectif étant d’accroître ses parts de marché sur cette zone géographique.

L’Allemagne et les pays satellites représentant des cibles commerciales très importantes pour l’entreprise, la nouvelle filiale aura pour vocation de rayonner très largement vers ces territoires depuis Francfort sur le Main, plaque tournante non négligeable. L’entité sera dirigée par Grégoire FAIVRE D’ARCIER, qui était précédemment responsable commercial de la zone méridionale de l’Allemagne.

Après sa récente implantation en Italie, le groupe EUROGERM continue sur sa lancée qui s’avère très positive : son développement sur l’ensemble des territoires du continent européen…et de la planète. L’entreprise bourguignonne occupe des positions importantes en matière de présence physique aux Etats-Unis, au Mexique, au Brésil mais aussi au Maroc ou au…Sénégal.

En 2016, le groupe réalisait près de 95 millions d’euros de chiffre d’affaires et tutoyait le cap des 310 collaborateurs.


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Membre de la délégation des 17 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté qui ont eu le privilège d’être immergés du 09 au 12 janvier au Salon international de l’électronique à Las Vegas (le fameux « Consumer Electronic Show »), le dirigeant de la société IDXPROD à Auxerre a fait montre de valeurs altruistes en conviant la semaine dernière une trentaine d’entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les évolutions technologiques qui se concoctent au niveau planétaire par des start-ups imaginatives. Didactique dans ses propos et incitatif par son geste ouvert à la mobilisation, l’initiative impulsée par le président de la structure « YONNE NUMERIQUE » aura permis à chacun de se faire une idée précise sur les grandes tendances high-tech de demain…

AUXERRE : Manifestation annuelle à la renommée internationale, le C.E.S. de Las Vegas (Etats-Unis) fait figure d’étape incontournable pour les acteurs de la filière électronique. L’édition 2018 n’aura pas dérogé à la règle des rendez-vous antérieurs avec sa grandiloquence coutumière liée à ses infrastructures logistiques et à son avalanche de nouveautés issues des têtes bien pensantes qui rivalisent chaque année d’ingéniosité à travers leurs start-ups.

Robotiques, réalité augmentée, véhicules se conduisant de manière autonome, images numériques, réseaux, jeux, technologies émergentes, audiovisuel…les plus grandes innovations autour de l’intelligence artificielle, des objets connectés ou de l’impression 3D y auront trouvé grâce : elles auront émerveillé les visiteurs se promenant dans les allées qui avec leurs regards de gamin ont eu la sensation de vivre une réalité onirique…A l’exemple de Yannick DAVOUSE, l’entrepreneur Icaunais à la tête de sa société IDXPROD…

Avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté, le dirigeant auxerrois a eu l’opportunité de se rendre en Amérique du Nord en compagnie de seize autres chefs d’entreprise, tous adhérents comme lui du cluster numérique régional, Bourgogne Franche-Comté Numérique. Les décideurs économiques ont pu parcourir les travées de ce maelström technologique indéfinissable où ils auront côtoyé les génies de la technologie du futur, soit 4 000 exposants en provenance de 150 pays pour une affluence de 170 000 personnes.

Une vision approfondie d’un marché de 120 milliards de dollars…

A Auxerre, dans ses bureaux qu’il occupe au sein de la pépinière d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Yannick DAVOUSE a su créer le climat propice pour résumer ce qu’il avait vu sur place. Et évoquer en substance et en l’illustrant de la manière la plus visuelle possible ce que seront les tendances consuméristes issues de ce CES 2018 en matière de technologie.

Commentant la réalité économique de ce marché à fort potentiel, Yannick DAVOUSE ne lâcha qu’un seul chiffre mais de taille : 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires obtenus d’ici quelques années ! Toutefois, certains freins au développement de nouvelles gammes de produits pouvaient ralentir leur croissance.

« Prenons l’exemple de la réalité augmentée, lança-t-il en guise d’explications, au bout d’une vingtaine de minutes, l’utilisateur peut ressentir des sensations nauséeuses et un mal-être qui peuvent induire des vertiges. Pourquoi vit-on cela ? Parce qu’il y a un phénomène incommodant pour l’être humain. Le cerveau ne peut pas tout absorber d’où ces problèmes engendrés au niveau des sensations visuelles. Mais aujourd’hui, les grands leaders de ces marchés injectent beaucoup d’argent pour résoudre cela… ».

Les nouvelles technologies du futur en cinq tendances…

Puis, tour à tour, et en cinq grands chapitres, Yannick DAVOUSE détaillera les axes stratégiques de ces grandes tendances technologiques qui se présentent à nous.

A l’instar de l’AI (intelligence artificielle) qui est désormais abondamment employée dans le monde de l’automobile avec la présence de système de caméras embarquées. Elles facilitent la lecture des panneaux qu’elles identifient avant le passage du véhicule.

A l’instar aussi du « CHATBOT », un robot aux vertus novatrices qui, grâce à un logigramme, accomplit des tâches de plus en plus intelligente telles que l’analyse des informations en utilisant des formules polies, directes, construites.

« Ces appareils pratiquent la reconnaissance d’objet : on prend les colis sous le contrôle d’une caméra et cela va générer des habitudes de courses, à partir de listing et de base de données, tout en s’adaptant aux besoins des consommateurs. En fait, preuve d’une interconnexion importante, les objets vont connaître toutes vos habitudes… ».

Avec le « Voice Contrôle », on s’exprime via une interface à un appareil muni de micros qui répond. La voix devient dominante dans la relation que l’humain entretient avec la machine. C’est la porte ouverte au marché de l’économie du son telle que l’envisage déjà le programme économique régional DEFISON.

Le quatrième item expliqué par Yannick DAVOUSE fera référence à l’IoT, c’est-à-dire « Internet of Thing ».

« Tous les objets sont connectés entre eux, depuis la cafetière jusqu’à la voiture, en pensant par la domotique. Tous ces appareils sont reliés à l’ordinateur et au cloud. « IoT» : c’est une connexion au monde. BIG DATA en est aussi une illustration tangible…Argument différenciant : c’est la sécurité qui est au centre des enjeux pour rassurer les gens ».

Reste le point 5 : le « Smart Building », c’est-à-dire la migration vers les services.

« De plus en plus, on se situe sur des notions de confort et de partage des informations entre nous. Par exemple, dans le domaine de l’automobile, on achète plus le véhicule. On le loue avec de la maintenance et de la tranquillité sans être propriétaire. Dans le bâtiment, on achète des usages du service, de la fonctionnalité et de la capacité… ».

Ne plus être des chefs d’entreprises français complexés…

Aujourd’hui, poursuivit l’entrepreneur Icaunais, « on parle de moins en moins de start-up (vendre de la technologie avec une maîtrise particulière) mais de « smart up » pour vendre du service et de l’intelligence… ».

Ainsi, dans le milieu agricole, les tracteurs se négocient avec des cellules GPS qui pilotent l’engin et en assurent la parfaite mobilité. Pendant ce temps-là, l’agriculteur peut assumer d’autres fonctions dans ses champs.

Rappelant que le territoire de l’Yonne possédait une très belle cote au niveau du numérique, Yannick DAVOUSE a voulu donner de la positivité et de la dynamique en partageant ses connaissances ramenées depuis Las Vegas.

Il incite déjà les entrepreneurs locaux à se rendre au salon ISE d’Amsterdam prévu en 2019 et pourquoi pas de représenter comme lui, les 320 entreprises françaises de la French Tech invitées aux Etats-Unis en janvier prochain.

« Cessons d’être complexés ! Ne nous posons plus de questions alors que les autres pays s’engouffrent sur le marché mondial. Il nous faut changer de mentalité et faire triompher le savoir-faire de nos entreprises, start-ups et PME, qui n’ont absolument rien à envier à celles des autres nations… ».

Le message de Yannick DAVOUSE, on l’imagine, aura été reçu cinq sur cinq.


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Souhaitant promouvoir l’ensemble de ses attraits touristiques, économiques et sportifs, notamment au niveau de ses équipements, notre territoire par la voix du Département et du Comité départemental olympique et sportif entame une vaste campagne de séduction auprès du Comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Un exercice de lobbying mobilisateur à enjeux multiples où il ne faudra pas perdre la moindre minute pour convaincre les organisateurs, les délégations sportives et les tours opérateurs des avantages offerts par une immersion des acteurs de l’olympisme et de leurs supporters dans le nord de la Bourgogne Franche-Comté en amont et pendant l’été 2024. Les J.O. qui induiraient des répercussions physiques dans l’Yonne ? D’une improbable utopie, ce rêve pourrait devenir une réalité tangible d’ici quelques mois…

AUXERRE : La référence identitaire de cette opération peu commune se nomme « Club Yonne 2024 ». Avec à sa tête, plusieurs partenaires qui se mobilisent pour porter haut et clair les couleurs de notre territoire auprès des sphères internationales de l’Olympie.

Le Conseil départemental, tout d’abord, très investi sur la défense de ce nouveau dossier aux retombées évidentes aura comme chef de file son président, Patrick GENDRAUD, en personne. Le CDOS, le comité départemental olympique et sportif, piloté par Patrice HENNEQUIN, lui a aussitôt emboîté le pas afin de sélectionner une demi-douzaine de sites d’exception pouvant accueillir les athlètes soucieux de façonner leurs préparatifs et leurs entraînements avant la grande échéance de Paris.

Quant à l’Agence de développement touristique de l’Yonne (ADTY), représentée par Bénédicte NASTORG, elle apportera ses compétences pour mettre en lumière la dynamique promotionnelle de notre territoire à travers ses atouts et ses nombreuses potentialités d’hébergement.

Une conférence de presse, réunissant ces diverses composantes impliquées dans ce projet favorable au rayonnement de l’Yonne, aura permis ce mardi 30 janvier dans l’amphithéâtre du 89 d’y voir un peu plus clair sur les intentions louables de ces protagonistes. Auxquels il aura fallu ajouter l’élue du Conseil départemental Isabelle JOAQUINA, en charge de la promotion du tourisme, et l’ancien champion du monde de canoë-kayak et triple compétiteur olympique, l’Auxerrois Cyrille CARRE qui faisait office sans que cela soit précisé de parrain de ce lancement officiel.

Une opportunité unique pour le territoire à ne manquer sous aucun prétexte

« C’est une chance inouïe qui ne se reproduira pas deux fois, insista le responsable de l’exécutif Icaunais Patrick GENDRAUD, nous devons tous être unis, élus, forces vives de l’économie et sportifs, en étant capables de mettre en exergue les attraits de l’Yonne avant, pendant et après les Jeux Olympiques de Paris ! Notre territoire possède d’incontestables atouts en matière de tourisme et notre proximité avec l’Ile de France nous octroie ce devoir de postuler auprès du Comité d’organisation des Jeux olympiques d’été 2024 (COJO) en adressant un dossier de candidature afin de montrer nos velléités participatives à cet évènement universel… ».

Un projet ambitieux en matière de communication et de logistique qui n’engendrerait aucune dépense particulière de la part du Département. Et Patrick GENDRAUD de renchérir à ce propos : « je fais référence à la célèbre maxime de Pierre de COUBERTIN, le rénovateur des Jeux Olympiques modernes, « l’essentiel, c’est de participer ! ». Nous devons aborder le montage de ce projet dans un esprit de bonne volonté… ».

Soucieux de rassembler autour du Club Yonne 2024 tous les partenaires institutionnels, économiques et sportifs, à l’instar des chambres consulaires et de l’Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie (UMIH), l’homme politique Icaunais a rappelé que « le délai temporel nous séparant de l’échéance olympique de Paris en 2024 était à la fois très éloigné de nous mais aussi très proche à la fois. Il faudra s’appuyer sur toutes les forces de notre territoire pour imposer ce dossier… ».

Les valeurs sûres du tourisme au service de l’olympisme…

Egrenant quelques exemples de sites touristiques pouvant interpeller les innombrables touristes/supporters présents en France lors de ces Jeux, Isabelle JOAQUINA rappela que la basilique Marie-Madeleine de Vézelay avec ses 1 023 413 visiteurs en 2017 constituait un incontournable lieu du séjour spirituel et patrimonial, connu dans le monde entier. Le site historique de la Colline éternelle devance d’ailleurs nettement le château de GUEDELON avec ses 300 000 visiteurs annuels.

« J’entends souvent dire que nos capacités d’hébergement ne suffisent pas,  reprit Patrick GENDRAUD, dois-je rappeler que l’Yonne propose 130 586 lits sur l’ensemble de son offre qui se répartissent entre les 117 hôtels, les 283 meublés, la centaine de chambres d’hôtes, les hébergements collectifs comme les gîtes et les auberges de jeunesse (une centaine), l’hôtellerie de plein air (42 campings), des chalets. Quant à nos richesses patrimoniales et culturelles, elles n’ont rien à envier à d’autres territoires avec ses 17 châteaux, ses 42 musées et centres de création, ses 45 centres artistiques, ses 88 édifices religieux, ses 27 parcs et jardins, et une trentaine d’autres sites encore… ».

Que dire à l’analyse des slides qui auront été présentés et commentés aux soutiens de ce club réunis au 89 sur les autres forces attractives que représentent le tourisme fluvial (17 166 bateaux de plaisance ayant transité l’année dernière sur l’Yonne et les canaux du Nivernais et de Bourgogne), les 4 000 kilomètres de chemins équestres, les 2 000 kilomètres de circuits de grande randonnée, les 120 kilomètres accueillant la pratique du cycle en toute sécurité, etc.

Même les adorateurs des loisirs aériens y trouvent leur compte en profitant des aéroclubs et aérodromes propices à la pratique de disciplines offrant toute la liberté de se mouvoir dans le ciel : ULM, vol à voile, parachutisme, montgolfière…

Des infrastructures sportives parfaitement adaptées aux préparations des équipes

« Accueillir, non pas les épreuves olympiques in situ, mais les délégations sportives qui chercheraient à se mettre au vert bien avant les Jeux afin de peaufiner dans un cadre champêtre leurs phases de préparation intègre également notre stratégie, compléta Patrice HENNEQUIN, le président du CDOS. Les infrastructures départementales peuvent parfaitement remplir ces critères et offrir des conditions optimales à ces athlètes de très haut niveau… ».

Parmi celles-ci, une demi-douzaine de complexes sportifs répertoriés par l’organisme olympique départemental. En premier lieu, le stade de l’Abbé Deschamps avec ses 19 000 places et ses terrains annexes où évolue l’AJ Auxerre. Homologuées par la FIFA et l’UEFA, ces installations uniques s’étendent sur 16 hectares de terrain, à la pointe de la modernité avec ses salles de récupération (sauna, jacuzzi, kiné, salle antidopage…).

A Brienon sur Armançon où sévit le fameux club de tir à l’arc de la Sentinelle (celui qui a forgé de la vraie graine de champions dont Bérangère SCHUH primée au niveau mondial), l’enceinte de tir aux distances olympiques propose un ensemble de 24 cibles permanentes. Les archers peuvent s’exercer sur des distances de 20 à 70 mètres.

Accessible aux sportifs qui pourront concourir dans les compétitions des Jeux paralympiques (ils suivront de peu les épreuves des valides) à Paris, le complexe de tennis localisé à VERGIGNY a été retenu dans cette liste. Le site dispose de plusieurs courts de très belle facture au plan technique. Un peu plus loin, à Saint-Florentin, le stade Jean LACRAY est entré dans la postérité sportive en 2016 puisque le record national du 50 mètres minime y fut battu sur sa piste. Disposant d’une salle de musculation de 72 mètres carrés, agrémentée de nombreux agrès, ce complexe a permis l’éclosion de quelques belles pépites de l’athlétisme français dont le régional de l’étape Sébastien MAILLARD sur le 400 mètres.

Plus au nord du territoire, Sens pourrait permettre aux adeptes du tir sportif de se distinguer au sein des installations du club local de la Patriote Sénonaise. Soixante-dix postes de tir, sur des distances de 10, 25 et 50 mètres, sont fonctionnels. L’équipement est considéré comme le plus important de Bourgogne Franche-Comté.

Enfin, les amateurs de BMX, une discipline de cyclisme version mi-acrobatique, mi-tout terrain, auront peut-être l’heureuse opportunité de voir évoluer sur la future piste de Saint-Georges sur Baulche prévue en 2019 les stars olympiques de demain.

Sept groupes de travail parés à étudier le dossier

L’ensemble des partenaires institutionnels, économiques et sportifs travailleront aux côtés des représentants du Conseil départemental dans le cadre de sept commissions spécifiques pour élaborer le dossier de candidature soumis à la sagacité des membres du COJO.

Hébergements, équipements et infrastructures, communication et opérations événementielles, éducation, promotions touristiques…les thèmes seront tour à tour examinés par ces unités de réflexion qui devront plancher jusqu’au mois de mars. Date à laquelle sera transmis le dossier à Paris. Il faudra ensuite s’armer de patience et attendre quelques semaines de plus avant de connaître le verdict rendu par le COJO.

L’important dans ce dossier sera de mener à terme et de la meilleure manière possible les missions de lobbying auprès des tours opérateurs et des délégations sportives internationales pour vendre un territoire, le nôtre, qui a grandement besoin de ce sérieux coup de projecteur planétaire pour entrer définitivement dans le concert des destinations incontournables de notre Hexagone aux yeux de ces millions de visiteurs potentiels…

Un pari, certes, osé mais qu’il ne fallait surtout pas omettre de relever de manière collective.


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