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Proposée sur une cadence bimestrielle, la formule offre une excellente opportunité pour les entrepreneurs de l’Yonne septentrionale de pouvoir se rencontrer en découvrant à chaque rendez-vous les spécificités des métiers exercés. La trêve estivale se situant derrière nous, la Communauté d'agglomération du Grand-Sénonais convie une trentaine de dirigeants ce mardi 17 septembre à la visite de la filiale française du groupe MATISA, un spécialiste des équipements de pose et renouvellement de voies ferrées…

SENS : Le site industriel de la zone des Sablons recevra dès 8 heures ce mardi matin  une petite délégation d’entrepreneurs et d’institutionnels, invités par la structure communautaire. Une reprise toute en douceur et de bel aloi, après environ trois mois de rupture imputable à la très longue pause estivale.

Mis en place au terme de l’été 2014, les « petits déjeuners d’entreprise » du Grand-Sénonais commémorent leur cinquième année d’existence ce mois-ci.

Compte tenu de l’appétence de ses participants à vouloir découvrir de nouveaux cadres professionnels, le schéma permettant d’entretenir un réseau relationnel efficient n’est pas prêt de s’interrompre visiblement. La demande est toujours forte pour y prendre part, sachant que le nombre de convives est à chaque fois limité pour des soucis logistiques.

D’autant que l’instigatrice de ces contacts privilégiés avec la sphère de l’entrepreneuriat, l’édile de Sens, Marie-Louise FORT, présidente de l’Agglomération, prend plaisir à y participer.

 

 

Des visites couplées à des échanges liés à l’actualité économique…

 

Avantage de ce processus d’échanges directs pour l’élue : tâter le pouls des milieux économiques et anticiper sur leurs divers projets. Les concepteurs de ce module d’expression et d’immersion en entreprise profitent aussi de ces retrouvailles pour y développer des thèmes de réflexion.

A titre d’exemples, le développement de la fibre optique, les aides apportées par BPI, les pistes menant à la formation supérieure ou l’insertion des travailleurs handicapés en entreprise ont représenté autant de sujets de discussion abordés au cours de précédentes rencontres.

En juin, dernier, dans les locaux du centre d’affaires, EUROPOLE, piloté par Thierry HOFFMAN, il fut même question des gens du voyage et la complexité de gérer ce type de dossier en cas de délogement lors d’occupation intempestive de terrains industriels par des caravanes.

On l’aura compris : il n’y aucun tabou sur les sujets d’actualité proposés en marge de la visite d’entreprise accueillante.

Parmi celles-ci, on peut citer CHEVILLON Imprimeur, ABA, TUBAUTO, CHAROT  ou encore FMC. On sait déjà que le calendrier du mois de novembre favorisera la découverte de la société CHEMETAL BASF.

Un article en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens

 

 


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Faire de la Bourgogne Franche-Comté, la première région de France à se positionner comme un leader mondial dans la conception industrielle du livre papier conçu sur mesure grâce à l’apport de la robotique représente l’objectif numéro un de la société coopérative de production nivernaise. Mais pour se faire, une levée de fonds de 2 millions d’euros est indispensable à l’essor de ce concept peu ordinaire. Si l’Elysée, via sa cellule « néo-médias », suit avec intérêt l’évolution de ce dossier, c’est surtout la Région qui entend prendre la main à propos de sa méthodologie économique et de ses financements. Marie-Guite DUFAY s’y est engagée lors de sa récente découverte du site…

CLAMECY (Nièvre) : Bluffée la présidente de la Région qui a pourtant l’habitude de s’immerger au cœur des processus industriels lors de ses visites à travers les huit territoires dont elle a la gestion ? Visiblement, oui. Elle le confirme en aparté : « c’est incroyable, je n’ai jamais vu cela ! Quel projet ! ».

Toutefois, rien à voir avec de la science-fiction. Ni de la pure utopie métaphysique !

Mais, il est vrai que la petite délégation institutionnelle qui a eu l’opportunité de découvrir les arcanes de cette société d’impression est restée admirative à l’issue de cette plongée de plus de deux heures dans le monde futuriste de l’édition de demain.

Produire de manière instantanée depuis une librairie, chez un buraliste, voire dans des écoles ou des universités, des livres sur support papier à la demande d’un lecteur ou client à l’aide d’un robot numérisé qui travaille comme un bras humain articulé possède quelque chose d’irréel en soi.

Certes, ce fameux spécimen, le robot baptisé astucieusement « Gutenberg One » (référence au célèbre père de l’imprimerie, cela ne s’invente pas !) n’était pas physiquement présent lors de cette visite à caractère officiel.

Ce jour-là, le précieux objet de toutes les convoitises, y compris celles des Américains et sans aucun doute des Chinois, bénéficiait d’une ultime appréciation technique chez son fabricant originel, la société alsacienne R&D TECHNOLOGIE à Saverne.

Mais, une chose est sûre : le robot qui devrait révolutionner le monde de l’édition et par excroissance celui du livre sera bel et bien visible le 27 septembre prochain lors d’un salon à Nevers. En attendant, le projet piloté par le directeur général de LABALLERY, Hubert PEDURAND, a pu être détaillé en long, en large et en travers afin qu’il soit perceptible pour chacun des interlocuteurs présents, avides d’en savoir davantage sur cette idée de génie. Pouvant à terme si elle était menée jusqu’au bout changer la face de la Nièvre mais aussi par effet gigogne de la Bourgogne Franche-Comté au niveau de l’emploi et de l’industrialisation.

 

La guerre est déclarée face à AMAZON…

 

Sur un segment de l’activité en pleine déconfiture depuis des lustres, l’initiative est porteuse de réelles espérances. 1 654 sociétés d’impression ont fermé leurs portes en l’espace d’une décennie en France, générant une perte d’emplois équivalente à 35 % ! Or, avec la solution technologique préconisée par Hubert PEDURAND, qui a d’ailleurs déposé le brevet mondial à l’INPI, il serait possible à brève échéance de pouvoir construire une quinzaine de ces fameux robots pouvant concevoir une vingtaine de livres à l’heure. Et de lutter plus efficacement contre l’hégémonisme de la méga plateforme AMAZON.

Le directeur général n’a pas manqué de le mentionner durant sa présentation : « Aucune imprimerie au monde ne peut rivaliser avec un tel processus. Mais, il faut le rendre accessible à tous au plus vite possible car la course est déclenchée avec les Américains et les Chinois… ».

 

 

Pragmatiquement, et en cas d’une levée de fonds immédiate pour financer le déroule du programme, la Bourgogne Franche-Comté pourrait se voir dotée de quinze robots. Cela dans un premier temps. 222 autres engins seraient ensuite dispatchés sur l’ensemble de l’Hexagone pour équiper libraires et buralistes. Ceux qui sont installés dans les agglomérations bénéficiant du programme de développement Cœur de Ville. Bref, les distributeurs de la filière.

Car, c’est sur ce maillage précis de la distribution de proximité que souhaitent s’appuyer les dirigeants de la structure pour étayer leur projet.

« Dans l’absolu, n’importe qui pourrait passer dans une librairie pour y faire éditer un livre personnel –on va peut-être découvrir de nouveaux talents littéraires et pourquoi pas la relève de Saint-Exupéry ! – ou se faire publier un livre dont les stocks seraient épuisés… ».

 

 

Solliciter des subventions ou requérir au leasing pour convaincre les libraires…

 

Côté estimation financière, cent mille euros seraient alors nécessaires au libraire pour se doter de la prodigieuse technologie. Le leasing, voire d’autres moyens qui prendraient la forme de subventions aideraient à se munir de l’incontournable appareil.

In fine, la France pourrait devenir avec l’essor de ce procédé révolutionnaire la première puissance mondiale à pratiquer l’auto édition. Mieux, vu sous un prisme local, la Bourgogne Franche-Comté officierait en qualité d’antichambre de la révolution numérique autour du livre papier ! Proposant une solide alternative industrielle originale qui posséderait un modèle économique bien à lui.

L’Etat s’est dit intéressé à soutenir l’initiative et à l’aider à se développer. Aujourd’hui, une enveloppe budgétaire globale de 4,2 M d’euros est vitale pour que le procédé puisse voir le jour de façon pérenne. Notamment, les deux premiers millions d’euros en vue de l’installation sur le site de LABALLERY de ces quinze robots à la mission de vérité.

Cinq années de recherche et développement ont servi à concevoir le bras articulé « Gutenberg One ». Celui-ci imprime la couverture et le corpus de l’ouvrage. L’appendice a été éduqué aux gestes des techniciens d’un atelier d’impression. Puis, l’assemblage de l’ensemble ne peut être réalisé sans l’objet même de la dépose du brevet : c’est-à-dire la phase d’encollage de tous les éléments. Créant ainsi la première imprimante 3D munie de colle au monde !

« Il nous aura fallu cinq ans pour arriver à ce résultat, concède Hubert PEDURAND, quand on sait que dix minutes suffisent pour fabriquer un livre de 400 pages grâce à ce système ! ».

 

 

Le Canada et les Antilles se disent prêts à acheter le matériel

 

A terme, l’efficience de ce marché pourrait s’appuyer sur près de cent mille robots en activité. Parmi les projets, créer une manufacture dans la Nièvre (à Clamecy par exemple) ce qui satisferait l’élue locale, Claudine BOISORIEUX, sur le volet de la plus-value apportée à l’emploi n’est pas exclu.

Soutenu par BPI Bourgogne, aidé par la Région, le concept technologique « Gutenberg One » sera-t-il le procédé révolutionnaire qui marquera de son empreinte le monde de l’édition du XXIème siècle ?  

L’avenir devrait le préciser d’ici peu. Marie-Guite DUFAY réunira tous les acteurs du développement industriel en octobre prochain à Dijon pour analyser les potentialités de financements et d’aides existantes.

Une chose s’avère déjà très probante : l’international se  passionne par cette curieuse trouvaille. Le Canada se dit très intéressé pour acheter ces futurs robots. Quant aux deux territoires des Antilles, la Guadeloupe et la Martinique en tête, ils sont dans les starting-blocks pour acquérir une centaine de robots dès l’automne 2020. Soit un équivalent de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires qui s’amoncelleraient dans la besace de LABALLERY. Sachant que 65 % des investisseurs convaincus par la pertinence du concept sont des insulaires…

 

 


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A quoi bon investir des trésors d’ingéniosité et de technologie, si ce n’est pour servir le progrès ? Expert à la réputation de renommée internationale, exerçant ses activités professionnelles auprès des institutions, notre personnage possède une intime conviction. Il faut faire évoluer le contexte de production d’innovations. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré Pierre GOHAR. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre cet expert de l’innovation…

TRIBUNE : Après avoir créé une start-up technologique et dirigé l’innovation dans les institutions de recherche les plus prestigieuses, Pierre GOHAR est devenu un expert réputé et incontournable dans ce domaine. Au CEA, en tant que directeur-adjoint de l’innovation au CNRS et à l’Université Paris-Saclay comme directeur de l’innovation, Pierre GOHAR a accumulé des connaissances précieuses de ce monde. Il a acquis des convictions qu'il met aujourd'hui au service de son entreprise WISIM (www.wisim.tech - Wisdom In Motion). La réflexion qu'il développe aujourd'hui est le fruit d'une longue expérience et d'une analyse méticuleuse du champ de l'innovation.

Pierre, pour choisir il faut qu'il y ait du choix. Mais le néophyte que je suis, a plutôt l'impression que l'innovation est rare, qu'en est-il ? 

En fait, elle est pléthorique. Plus de 2,9 millions de brevets ont été déposés (dont 30 % chinois) en 2015. Au CNRS, on recense 4 500 familles de brevets. Mais la transition entre celui qui crée et celui qui exploite ne se produit que dans un cas sur cinq. Par ailleurs, souvent l'innovation naît là où les marchés ne sont pas les plus mûrs : elle émerge en France alors que son marché se situe en Asie, aux États-Unis, ou en Afrique...De plus, contrairement à ce que l'on peut croire, le potentiel d'innovation est immense au sein des PME traditionnelles, mais il faut bien connaître la PME, son métier, son histoire, ses équipes.

Justement, comment repérer les innovations à fort potentiel d'un développement durable ? 

Pour être synthétique, je vous livre trois axes qui, une fois combinés, permettent de clarifier cet exercice apparemment complexe. Appréhender les innovations à partir de ces critères permet assez aisément de distinguer celles qui seront réellement porteuses, sur les plans économique, éthique et sociétal.

- Le premier axe tient à la notion de progrès.

Le progrès n’est pas l’innovation. Il y a des innovations qui ne servent pas le progrès. Une innovation qui s’inscrit dans le progrès respecte l’individu, la collectivité et l’environnement. Et ceci de façon durable. Les jeunes générations sont sensibles à cette notion du progrès car elles portent en elles-mêmes celle du sens. Or, aujourd’hui, le sens est devenu une valeur qui détermine l’engagement et qui met en perspective le besoin de réalisation de soi à travers des réalisations extérieures à soi. Dans certains pays, on voit actuellement apparaître, et même se substituer à la notion d’innovation, cette notion de progrès ou même de sagesse.

 

 

- Le second axe relève du marché, plus particulièrement de la compréhension des comportements des utilisateurs.

Nombre d’innovations ont échoué et échouent car les équipes en charge de la conception de celles-ci ne se sont pas intéressées aux comportements des utilisateurs. La difficulté de cet exercice est que les comportements varient selon les cultures. Donc, dès que l’on pense à l’international, il faut avoir une compréhension très spécifique des comportements des utilisateurs dans un contexte culturel différent. Cette compréhension s’inscrit aussi dans le progrès car elle replace l’individu au cœur du processus de conception d’une innovation. Et là, dans cette approche, nous ne sommes pas égaux sur l’échiquier international. En effet, on voit aujourd’hui que les pays qui sont performants en innovation ont des systèmes éducatifs qui intègrent une dimension collaborative dès les plus jeunes âges. Il est clair, dans ce cadre, que le système éducatif français, basé sur la compétition, n’est plus en phase avec l’émergence de ce monde nouveau.

- Le troisième axe, enfin, appartient au registre des valeurs.

Si les valeurs de l’entreprise, qui reflètent les valeurs du ou des dirigeants, sont basées sur des notions d’écoute, de respect, de bienveillance, qui sont toutes des piliers d’une intelligence collaborative féconde en créativité et production d’innovations, alors nous avons une base solide pour réussir dans ce monde nouveau dont nous ne percevons aujourd’hui que les prémices. Des enquêtes ont montré que les entreprises qui avaient intégré ces valeurs dans leur ADN avaient un indice élevé de sentiment  de bonheur au travail de leurs salariés. Et également des performances supérieures à la moyenne. Une entreprise qui intègre ces trois axes dispose d’un fort potentiel de productions d’innovations durables. Elle est également prédisposée à développer une stratégie d’innovation collaborative que l’on appelle aujourd’hui « l’innovation ouverte » ou « open innovation ». L’open innovation est une des sources de productions d’innovations les plus performantes et elle est appelée à s’amplifier dans les prochaines années. Dans cette perspective, le rôle d’éco-systèmes, où peuvent se croiser des entreprises qui se situent dans des métiers différents, est particulièrement important.

Finalement, êtes-vous plutôt optimiste par rapport au contexte actuel ? 

Je le suis complètement. J'entrevois aujourd'hui de très belles opportunités pour les entreprises qui s'engagent dans une dynamique de coopération et d’ouverture à l'international. Et en France, spécifiquement, ces approches peuvent se nourrir du riche potentiel de créativité des femmes et des hommes - pour l’entreprise, ses salariés - pourvu que les valeurs normatives qui stérilisent en permanence les visions rebelles  - que ce soit au niveau de l’individu, de la collectivité, ou de la nation - soient réduites au silence.

 L’application :  

Considérez que chaque collaborateur peut porter un autre regard sur votre entreprise et booster le processus de création de valeur.

Réunissez votre équipe autour de ce sujet et emmenez-la à la découverte d'autres territoires.

Portez-vous volontaire pour un projet de mentorat de start-up.

Rencontrez l'incubateur le plus proche de chez vous.

Enfin, en tant que manager, impulsez une dynamique d’innovation ouverte !

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com


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Pourvu depuis peu d’une nouvelle agence fonctionnelle à La Chapelle Saint-Luc (Aube), ce leader régional de la gestion et de la prévention des risques pour assurer la sécurité des biens et des personnes étend un peu plus chaque jour sa zone de chalandise. Hormis la Bourgogne où la SARL possède déjà un solide ancrage depuis 2005, la structure pilotée par les frères BOUCHROU croît aussi en Ile de France où ses perspectives de développement apparaissent comme exponentielles…

APPOIGNY : L’effervescence est constante lorsque l’on s’immerge au beau milieu de cette entreprise qui assure des prestations de service bien au-delà de sa zone originelle. Un axe naturel qui englobe l’Aube (le secteur de Troyes vit une belle mutation économique) et l’Yonne. Mais pas seulement.

PACK SECURITE n’a jamais hésité à bousculer les codes du professionnalisme et de la performance ainsi que les frontières géographiques pour réussir, selon la volonté opiniâtre et affichée de son principal chef de file, le toujours dynamique Karim BOUCHROU malgré quinze années d’entrepreneuriat.

Aujourd’hui, la Côte d’Or et la Saône-et-Loire (avec des interventions estivales récentes déclinées autour de la célèbre manifestation des arts dans la rue à Chalon-sur-Saône) constituent l’un des terreaux privilégiés de l’entité sur le territoire bourguignon. Pour autant, la SARL où travaillent également en étroite osmose les deux frères du dirigeant, Nordine et Hafid, n’occulte jamais l’étude de nouvelles possibilités où son savoir-faire serait mis en exergue.

La nouvelle saison qui débute ne devrait en rien déroger à cette règle élémentaire : celle d’une croissance obtenue dès que possible.

« Nous sommes positionnés sur plusieurs segments d’activité, explique Karim BOUCHROU, notre objectif est de les conforter en y développant les services associés… ».

Dans la besace de ses prestations et services, PACK SECURITE déploie une véritable panoplie d’opportunités destinées à répondre aux desiderata des professionnels.

 

L’une des rares structures indépendantes de ce secteur d’activités…

 

Surveillance, gardiennage, alarme, sécurité incendie, sécurisation des évènements, y compris ceux du domaine sportif (les rencontres importantes de football disputées dans le quart Grand-Est) représentent le panégyrique hétéroclite de cette société très discrète qui n’occupe pas la tête de gondole des médias. C’est un tort !

Dans ce long inventaire à la Prévert, PACK SECURITE se développe aussi sur des secteurs où on ne l’attendait pas, à l’instar de la conciergerie ou des espaces verts. Et ce depuis près de deux ans maintenant. Là aussi, les idées se bousculent pour aller encore plus loin…

« Notre philosophie est simple, résume Karim BOUCHROU, la meilleure protection à apporter à nos partenaires passe par la prévention des situations dites de crise et surtout par la souplesse des interventions plutôt que par le déploiement d’un excès de force aveugle et qui, in fine, se révèle impuissante… ».

Membre à part entière du SNES, le Syndicat national des entreprises de sécurité privée, l’enseigne se targue d’être l’une des rares entreprises indépendantes de l’Hexagone à ne pas avoir à subir l’influence d’autres groupes dans le choix de ses orientations. Un positionnement qui sied très bien à la stratégie mise en place par Karim et ses frères en vue de faire perdurer longtemps une affaire à fort potentiel.

Eclectique, la clientèle de la société comprend des entreprises issues de l’aéronautique, de l’assurance, de l’automobile, des banques, des collectivités, du secteur de l’évènementiel et de la communication. Auxquelles il est indispensable d’ajouter le secteur industriel, la distribution, l’immobilier, le numérique, la logistique et la filière pharmaceutique.

Bref : un champ d’actions qui frise l’indécence tant les possibilités sont nombreuses !

Signalons enfin que la structure a aussi déployé un pôle audit, conseils et formations en parallèle de son panel de vastes prétentions.

Le groupe emploie au bas mot plus de trois cents salariés. Une force de frappe indéniable qui lui a permis de gravir progressivement les échelons conduisant au succès et de présenter un prometteur chiffre d’affaires de cinq millions d’euros au terme du dernier exercice.

 


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Débutés en février, les travaux d’aménagement du nouveau point d’accueil de l’organisme dans le quartier Sainte-Geneviève s’achèvent. Sur une surface de 240 mètres carrés, une dizaine de professionnels pourront y exercer d’ici peu leur savoir-faire et accueillir les locataires et demandeurs de logements…

AUXERRE: Dire que le site de réception de la nouvelle agence de l’OAH ne serait pas situé dans un endroit propice aux activités du bailleur serait une pure galéjade !

Implanté au beau milieu d’un quartier où résident près de 3 500 bénéficiaires de logements loués par l’organisme, ce point de contact nécessaire est à l’évidence synonyme de lieu de convergence idoine pour celles et ceux qui s’acquittent chaque mois d’un loyer correspondant à leur habitat. Mieux que le précédent local qui existait jusque-là, rue Ingres, devenu un tantinet vétuste et inadapté au fil des ans…

La physionomie du lieu parle d’elle-même. Ergonomique, fonctionnel, ouvert vers l’extérieur, l’Office profite ici d’un ancrage favorable au développement de son savoir-faire et de ses activités.

A commencer par celles qui intègrent sa fonction quasi régalienne : accueillir de la manière la plus agréable et confidentielle possible les locataires de Sainte-Geneviève.

 

 

Une réhabilitation du site mûrement réfléchie…

 

Dans l’absolu, et cela traduit toute la subtilité créative du maître d’œuvre, JMF Ingénierie, représenté par son responsable, Joël FOUGEREAU, il aura fallu métamorphoser le rez-de-chaussée de l’édifice. Exit l’ancienne loge du gardien ! Deux espaces beaucoup plus saillants abritent désormais la zone de réception du public. De prime abord, le lieu ouvert à tous. Dans le prolongement de ce premier sas, une pièce aveugle qui garantit la totale confidentialité et la discrétion des échanges. 

Les deux niveaux supérieurs contiennent les bureaux de la dizaine de collaborateurs qui s’affaireront d’ici peu en ces murs. Certains nous remémorent que nous nous trouvons bien en présence de classiques appartements : ils disposent encore de leurs balcons.

Les travaux d’aménagement de cet office délocalisé au plus près des habitants auront durée six mois. Ils ne sont pas tout à fait terminés. La pose de caméras de surveillance est prévue ces prochains jours ; elles garantiront une extrême sécurité pour le personnel, pouvant parfois être confronté à des contacts virils.

L’enveloppe globale de ce chantier s’élève à 191 688 euros TTC. Pour le financer, l’Office Auxerrois de l’Habitat a eu recours à l’emprunt : plus de 182 000 euros. L’équivalent d’environ dix mille euros de fonds propres a été injecté dans le projet.

Précisons, en dernier point, que l’OAH aura bien fait les choses auprès des personnes à mobilité réduite. Une rampe d’accès facilite leur venue.  

 

 


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