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Trente places supplémentaires s’ouvriront en septembre sur l’ensemble des instituts de formation en soins infirmiers de notre contrée. Un choix, pleinement assumé par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY qui désire répondre aux besoins des territoires en cette période de crise sanitaire…

DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour celles et ceux qui souhaitent faire carrière dans les métiers de la santé. La Région a décidé d’augmenter le nombre de places en formations d’infirmiers et aides-soignants pour la saison 2020/2021.

Déjà lors du récent « Ségur », la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté avait plaidé en faveur d’une refonte de la gouvernance du système de soins, redonnant ainsi aux régions toute leur légitimité pour mieux anticiper les crises et mailler l’offre de soins.

En autorisant des places supplémentaires pour accroître le nombre de professionnels de santé, l’élue régionale souhaite aller encore plus loin dans la mise en œuvre d’un dispositif efficace.

Dans le concret, cette augmentation porte à 1 380 le nombre de futurs professionnels qui commenceront leur cursus dès la rentrée. Ce n’est pas tout. 175 aides-soignants bénéficieront d’un parcours pédagogique. A terme, ces nouvelles recrues viendront renforcer les effectifs des structures de soins collectifs et à domicile.

 

 

Parallèlement, le secteur social verra le nombre de ses accompagnants éducatifs et social (AES) progresser afin de suivre de près les personnes vulnérables.

Le coût de cette initiative est estimé à plus d’1,16 million d’euros pour la Région dont 900 000 euros seront financés dans le cadre du Pacte régional d’investissement dans les compétences.

Mais, au-delà de cette augmentation du nombre d’élèves, Marie-Guite DUFAY prévient que cette hausse des apprenants ne doit pas faire oublier le besoin de disposer de structures de soins capables d’assurer leur suivi en stage…

 

 


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Ultimes visions iconographiques de ce qui fut une manifestation rondement menée à l’aérodrome de Saint-Florentin-Chéu il y a quelques jours. L’édition 2020 des premiers championnats de France en vol relatif concoctés en Bourgogne du nord restera dans les annales de cette discipline de haute précision pour la qualité de ces épreuves selon les organisateurs…

SAINT-FLORENTIN : Rideau, ils sont bel et bien terminés les championnats nationaux de vol relatif à quatre et à huit ! Une compétition à laquelle prirent part plus de cent cinquante compétiteurs de haute volée, venus des quatre coins de l’Hexagone. Ils étaient venus en découdre dans les cieux de l’Yonne, au-dessus de Saint-Florentin et de Chéu, base arrière du club organisateur (Paris Jump) qui avait repris en main le dossier logistique après la défection de dernière minute de l’aérodrome de Vichy.

 

 

 

 

 

Et à ce petit jeu, ce sont les équipes de Mojo Pamiers, Aérodyne Cyprès Maubeuge et Monaco Aérokart Maubeuge qui ont su tirer les marrons du feu en s’octroyant les accessits suprêmes au terme des dix manches de figures imposées dans les airs.

Pour le superviseur de la manifestation, le vice-champion du monde Paul GRISONI, la manifestation a été très réussie ; les candidats au podium ne manquant pas de s’illustrer entre 3 et 4 400 mètres d’altitude en maîtrisant leur art. Il restera d’excellents souvenirs au terme de ce rendez-vous et l’espérance folle de revoir un jour en terre de l’Yonne une compétition mobilisatrice auprès de ses adeptes….

 

 

 


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C’est l’heure de la rentrée pour la formation politique conduite dans l’Yonne par le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et conseiller régional Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. Vendredi soir à la salle des fêtes de Coulanges-la-Vineuse, ces retrouvailles se voudront studieuses mais aussi conviviales avec la venue du directeur général du mouvement, François MOREAU…

COULANGES-LA-VINEUSE : AGIR La Droite Constructive a d’ores et déjà réglé ses pendules sur l’heure de la rentrée. Les représentants icaunais de cette formation, née en novembre 2017 à la suite de l’exclusion du parti Les Républicains de certains députés membres du groupe Les Constructifs à l’Assemblée nationale, en termineront de manière définitive avec leurs devoirs de vacances. Pour mieux se retrouver sur le chemin des rencontres officielles et se concentrer sur les joutes préparatoires aux futures échéances politiques.

Cette première séance de travail offrira justement l’opportunité à ses adhérents de s’entretenir avec le jeune directeur général du mouvement, François MOREAU, désigné à ce poste depuis novembre 2018.

Rappelons que le parti est présidé par Franck RIESTER, ex-ministre de la Culture aujourd’hui en charge au sein du gouvernement du Commerce extérieur et de l’Attractivité.

Proche collaborateur du fondateur de ce mouvement de droite qui se reconnaît dans l’action appliquée par Emmanuel MACRON, François MOREAU possède déjà un solide cursus dans la sphère politique.

 

 

Une formation bien représentée dans les instances…

 

Durant quatre ans, le jeune homme issu de Sciences-Po assiste la députée européenne Elisabeth MORIN-CHARTIER à Bruxelles. Avant de rejoindre la capitale de l’Hexagone pour y endosser la vêture de collaborateur parlementaire de Franck RIESTER, qui siégeait alors au Palais Bourbon.

Après la nomination de ce dernier au sein de l’équipe gouvernementale pilotée par Edouard PHILIPPE, le jeune homme natif des Deux-Sèvres se voit propulser à la direction générale du parti AGIR La Droite Constructive. Son rôle est double : faire croître le nombre des adhérents et faire gagner les couleurs de cette formation lors des enjeux électoralistes.

Précisons que cette jeune formation recense dans ses rangs un ministre, neuf députés à l’Assemblée nationale, deux au parlement européen et cinq sénateurs.

Dans l’Yonne, le mouvement présidé par Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI compte parmi ses élus les conseillers régionaux Eric GENTIS et Aurélie BERGER ou la conseillère départementale Irène EULRIET. Jean-Michel RIGAULT, maire de Druyes-les-Belles-Fontaines ou Philippe VIGOUROUX, maire de Coulangeron, en sont également les porte-étendards. A l’instar du référent auprès des jeunes, le conseiller municipal de Saint-Bris-le-Vineux, Thomas MONARCHI-COMTE…

 


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Ah ! Enfin la belle rentrée des classes sur fond d’automne et de ses parfums de fougères, de champignons… La joie de retrouver les copains dans l’anxiété de connaître celle ou celui qui allait passer un an à enseigner les rudiments de la grammaire et de l’arithmétique : l’institutrice ou l’instituteur. Vous le devinez : on vous parle d’un temps que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître… Aujourd’hui nos braves enseignants se nomment « professeur des école ». C’est un peu plus pompeux et bien moins romantique…

TRIBUNE : La rentrée à la communale commençait par la tenue. L’occasion d’inaugurer une nouvelle culotte courte. Dans la tradition, on ne portait le pantalon qu’à partir de la classe de 6ème ! Pas de montre bien sûr : elle n’était arborée qu’après la communion solennelle… Et  enfin une nouvelle blouse. Celle-ci donnait de la fierté aux impétrants de l’Education nationale.

Pour être obligatoire, la blouse permettait malgré tout de se distinguer des amis par une couleur ou un imprimé. La blouse grise avec ceinture restait le grand classique. Les enseignants portaient également une blouse, sans fioriture ni originalité particulière. Certains ont sûrement gardé dans la mémoire ces odeurs de rentrée des classes : des parfums de cahiers neufs et de livres poussiéreux qui se mêlent aux fragrances de l’encre versée dans les encriers et du matériel scolaire prêté ou donné.

On remettait également la plume « sergent-major » qui permettait de remplir un cahier de belles lettres de l’alphabet. Il ne fallait pas oublier les pleins et les déliers. Les premiers mots écrits sur le tableau noir : la date et la phrase du jour.

« Nul ne doit se faire justice lui-même » : une citation de l’éducation civique était commentée par l’instituteur. La morale républicaine imprégnait les jeunes esprits. Le bon point récompensait une bonne réponse. Dix bons points donnaient droit à une image et dix images se voyaient récompensées par un tableau d’honneur. Les tablettes n’existaient pas, les ordinateurs non plus. Pour les leçons de vocabulaire, un tableau représentant par exemple un sous-bois en automne permettait de découvrir le langage et le vocabulaire de cette belle saison. C’était mieux dans le temps ? Que nenni !

Mais à une exception près : le respect de la loi : « l’école est laïque et gratuite jusqu’à 16 ans ». Aujourd’hui qu’en est-il ?

 

Une école qui a beaucoup évolué…

 

Pour l’école laïque : des pressions d’ordre religieux ont abouti à interdire la viande de porc à la cantine. L’histoire doit prendre en compte un récit de la guerre d’Algérie afin de ne pas heurter les élèves d’origine musulmane !

Pour la gratuité : depuis Jules Ferry, l’école est gratuite et obligatoire, ainsi l’école crée un espace sans distinction sociale. Pour l’obligation de scolarisation : l’école est toujours obligatoire jusqu’à seize ans mais la scolarité do

it commencer dès l’âge de trois ans.

Dans le cadre de la prévention et de lutte contre la pauvreté, la loi de 2020 instaure l’obligation pour tous les jeunes âgés de 16 à 18 ans, de faire une formation.

En France, près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification. Notre pays compte 60 000 jeunes mineurs ni en emploi, ni en formation, ni en études. Ces jeunes mineurs se heurtent à de grandes difficultés pour s’insérer dans le marché du travail et sont les premières victimes de la pauvreté. Avec l’obligation de formation, le gouvernement entend répondre aux besoins des personnes les plus fragiles en les accompagnants mieux et plus longuement, pour faciliter leur insertion et les faire sortir de la pauvreté.

Malgré tout, les contrôles sont peu pratiqués. De nombreux élèves de moins de seize ans ne vont plus à l’école et les parents ferment les yeux ! Quant aux jeunes plus âgés, ils refusent fréquemment les formations proposées. Ils alimentent parfois les faits divers : délinquance et réseaux de trafic de drogue !

 

La tentation du marketing a été la plus forte…

 

Dans le Morvan, au début des années 2000, l’Assistance Publique a récupéré une jeune fille de 16 ans, élevé officiellement par des habitants d’un petit village et qui ne savait ni lire ni écrire : elle n’avait jamais été à l’école, passant ainsi au travers de tous les contrôles possibles ! Elle eut la chance d’être placée chez des apiculteurs, qui en plus de l’école, lui ont appris leur beau métier.

Ecole gratuite : oui ! Jusque dans les années 60, l’école communale fournissait livres, cahiers, plumes et porte-plume, encre, double décimètre, règle. Compas et  équerre étaient prêtés lors des cours de géométrie. Le plumier et le cartable était remis par les parents. Quelle fierté d’emporter le plumier du grand-père ou du père ! Les familles devaient également recouvrir les livres : du papier épais, marron-clair pour les plus humbles. Pour certains une grosse courroie de cuire faisait office de cartable pour emporter livres et cahiers.

Nous avons fini par céder à la tentation des marques et autres artifices de la publicité : les trousses, les cartables et autres chaussures de sport qui peuvent frôler les deux cents euros !

Alors que fait-on ? Pour la communale, on peut tenter l’expérience : envoyer la gamine et le gamin avec juste un cartable et une trousse…

De toute façon « L’école, ça sert à rien ! ». Français : je le parle déjà. Technologie : je suis sur Facebook. Histoire : de toute façon, ils sont tous morts. Géographie : j’ai un GPS. Musique : j’ai You Tube.  Maths : j’ai la base : 2+2 = 4. Anglais : je regarde « Dora ». Physique chimie : je regarde « C’est pas sorcier ! ». Pour l’EPS, je regarde « Euro sport ». Ainsi va notre monde moderne !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Après l’aménagement d’un espace dédié aux plantes aromatiques, le lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration d’Auxerre dispose dorénavant d’une surface potagère. Un petit lopin de terre travaillé par les élèves où poussent les premières tomates…

AUXERRE: Ce sont des vacances studieuses et pratico-pratiques que vivent en ces derniers jours du mois d’août une poignée d’élèves du lycée auxerrois. Aux côtés de leur enseignant, ils se sont pris au mot d’élargir la bande de terre faisant office de potager, un petit espace de culture qui jouxte l’un des bâtiments pédagogiques du site.

Munis des instruments nécessaires et d’un motoculteur, les élèves ont consciencieusement retourné la terre pour agrandir ce bout de jardin en suivant les consignes de leur enseignant.

 

 

 

Après l’aménagement d’un espace réservé aux plantes aromatiques (elles agrémentent depuis les recettes des cuisiniers en herbe), la création d’un potager devait occuper les esprits de ces jeunes gens volontaires pour prendre part à cette expérience pendant leurs vacances.

Une expérience enrichissante à plus d’un titre qui les aura rapprochés de leur enseignant. Une manière ludique et gourmande de découvrir les produits de la terre, base de la gastronomie qui est enseignée en ces lieux…

 

 

 

 


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