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La crise sanitaire a ouvert la boîte de pandore ! Quid des activités des centres villes ? Comment endiguer la faillite des TPE ? Comment contrer la concurrence des géants de la distribution comme « Amazon » ? C’est quoi un commerce non essentiel ? Un journal télévisé nous informe qu’un armurier vend trois fois plus d’armes de défense qu’à l’habitude ! On peut donc conclure qu’il s’agit d’un commerce bien plus essentiel que les fleuristes ou les coiffeurs… Même si les règles de confinement semblent s’assouplir, mieux vaut anticiper le retour de confinements durs et contraignants…

TRIBUNE : Les fédérations de commerçants proposent des solutions pour rouvrir les boutiques et leur éviter le dépôt de bilan. Rouvrir les vitrines pour Noël, c’est éviter la multiplication des faillites ! Parmi les solutions avancées, la mise en place de rendez-vous dans les magasins, par plage horaire et en jauge réduite, a le vent en poupe. Une mesure qui s’ajouterait au protocole sanitaire et au système de « click and collect » déjà existant.

Pour les magasins, Noël c’est 60 % du chiffre d’affaires dont 40 % pour la seule maroquinerie ! Que dire des parfumeries, des fleuristes, des producteurs et distributeurs de sapins de Noël…

Les commerçants ont déjà fait énormément d’efforts pour la mise en place des mesures sanitaires. Mais pour rouvrir, « ils sont prêts à faire encore plus de concessions », assure le président de la CPME François ASSELIN. Les premières solutions proposées peuvent aussi se décliner dans la suite des activités, pandémies ou pas.

L’une des principales propositions des fédérations serait l’organisation de rendez-vous pour pouvoir aller chez les commerçants. « Un nombre limité de clients pourrait prendre rendez-vous sur un créneau horaire défini. Un peu comme chez le médecin. Une possibilité pour ceux qui ne veulent pas attendre ! ».

 

Le  « click and collect » : une solution complémentaire…

 

Des solutions déjà structurées lors du premier confinement se développent allégrement. Dont le fameux « click & collect ». Le problème avec ce système, c’est qu’il n’est pas adapté à tous les commerces. D’abord, parce que certains n’ont même pas de site Internet ou de compte Facebook. Ou tout simplement parce que cela ne marche pas pour certains produits. Par exemple, lorsque vous achetez des chaussures, vous ne savez pas toujours quel modèle vous voulez à l’avance, vous devez les essayer. Toutefois, les commerçants peuvent certainement s’organiser collectivement ou individuellement en créant des sites Internet.

Une campagne de mise en place de sites Internet, individuels ou collectifs (association ou groupes de commerçants) est opportune. On peut mobiliser les étudiants pour la création des sites, demander des subventions locales afin de mettre en place lesdits sites, solliciter les journaux locaux pour en assurer la promotion…

 

 

 

 

Agir suppose sortir des a priori !

 

A la question : « pourquoi êtes-vous installé à cet endroit ? ». La réponse des commerces est trop souvent : « parce qu’il n’y avait personne ! » ou « parce que ce n’est pas cher ». S’il n’y a personne, c’est qu’il n’y a pas de marché ! Les grandes enseignes s’installent au beau milieu de marchés présupposés et après étude. L’étude de marché est l’une des grandes absentes de la ligne stratégique des petits commerces ! A la suite des confinements successifs, l’étude de marché devient vitale. Pour ce faire, mobilisons les chambres professionnelles, les INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), les étudiants des écoles de commerce, ceux des filières « DUT Action Commerciale », en insistant sur la kyrielle de BTS commerciaux (commerce international, digitalisation de la relation commerciale, communication des entreprises, management commercial,…)…

Sortir du désir de vendre ou de produire ce que j’aime bien faire pour mieux s’attacher aux besoins des clients demeure la priorité. S’installer au cœur de la concurrence, là est le marché. Cela permet de rafler la mise avec un service et un savoir-faire différentiateur. Il faut aussi mobiliser les élus qui ne demandent qu’à servir la cité, contacter des journalistes locaux qui sont prêts à réaliser des reportages sur des sujets originaux. L’inventivité est un facteur clef de succès indispensable aujourd’hui comme hier.

 

Le prix ne fait pas tout eu égard aux nombreux atouts des petits commerces…

 

On doit contacter son expert-comptable. Il possède aussi des compétences en gestion. Il faut lui demander des prévisions qui sortent des référentiels habituels, avec le calcul du seuil de rentabilité et le moment où il sera atteint. Connaître le volume du chiffre d’affaires minimum qui, compte tenu des charges fixes, permet de réaliser le bénéfice égal à zéro est indispensable. Le plus : identifier le moment dans l’année à partir duquel je commence à gagner réellement de l’argent. Le petit commerce doit sauver sa peau, supplanter les géants du « retail » à plus long terme et autres GAFA !

« La grande distribution, c’est moins cher » ! Certes, pourtant, le prix ne fait pas tout. Le commerce de proximité possède aussi des atouts qui lui sont propres : le conseil, la proximité, le service, l’originalité de l’offre à défaut de sa profondeur, la compétence du personnel, la qualité de l’accueil, l’authenticité du cadre…

 

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La normalisation des rapports humains avec plus d’humanité et de fraternité dans les contacts est un passage obligé. Ce lien humain suscite l’émotion et le plaisir d’acheter. Il reste l’atout numéro un du commerce de proximité : « l’homme est un animal social » nous disait Aristote. C’est la carte maîtresse du petit commerce de nos chers « centres villes ». Il est possible de mettre en place un système collectif de livraisons à domicile : des expériences positives sont déjà menées. En moins d’une heure, on peut se faire livrer fruits, légumes, côtes de bœuf… Des commerçants ont ainsi créé des emplois sans générer des coûts exorbitants. Dans cette course au temps, les petits commerces présentent un atout majeur : les courtes distances et la réactivité d’exécution permet des délais très courts à la demande avec des fenêtres extrêmement précises. La grande distribution n’est pas en mesure de fournir autant de possibilités en centre-ville, du « click & collect », en passant par le coup de téléphone ou l’e-mail, à la livraison « express ». Des situations de concurrence commerciale existent : elles offrent une ponctualité et une flexibilité sans égales et un suivi très précis de la distribution à des coûts réellement compétitifs.

 

Une réflexion autour des chèques-cadeaux…  

 

Aujourd’hui, les services de livraison remettent ainsi les commerces de proximité en selle face à leurs grands concurrents. Nous connaissons l’adage : « no parking – no business ». Les communes sont dans l’obligation de poursuivre leurs efforts vers davantage de flexibilité dans l’amélioration des conditions de parkings gratuits lors des périodes « court terme » des courses. Les conditions de circulation et d’arrêts momentanés dans les zones piétonnes, voire la création de nouvelles aires de stationnement s’imposent…

La crise sanitaire fait naître la solidarité et la fraternité entre les commerçants, elle mobilise les énergies. Les chèques-cadeaux, distribués par les comités d’entreprises pourraient, par exemple sur une proposition de Bercy, voir leurs montants augmenter, assortis d’une incitation à les dépenser dans les petits commerces. Bercy réfléchit à ces mesures incitatives pour les entreprises distributrices de chèques cadeaux qui peuvent aussi s’orienter vers le commerce de proximité. On en est encore au stade de la réflexion…On peut aussi lui suggérer de supprimer (ou réduire) la TVA sur certains articles sur la durée des cadeaux de fin d’année…

Nous devons sortir impérativement de nos habitudes, du ronron quotidien, des solutions éculées et inopérantes du passé,…Même notre Premier ministre trouve des solutions originales qui sortent des sentiers battus : « On va pouvoir aller dans les stations de ski mais sans skier (sans remontées mécaniques, ni hôtels, ni restaurants, ni boîtes de nuit…) » ! Vous savez du genre : « Les salles de cinéma sont ouvertes mais sans projection de films… » ! Ce serait risible si ce n’était pas tragique !

 

Le petit commerce doit croire en son avenir : il en a un !

 

Le commerce de proximité se trouve à une époque charnière où, pour ne pas péricliter, il lui faut saisir les opportunités de la technologie et de l’évolution des modes de vie pour se réinventer. Cela ne réclame pas d’investissements énormes. Mais, il faut être prêt à se retrousser les manches et à faire le pari de l’innovation. Pour les commerçants, le moment est venu de croire en l’avenir. N’attendons pas que les solutions viennent de « l’Etat providence ». Développons notre propre créativité. Donnons une belle finalité aux solutions proposées : plus de solidarité et davantage de fraternité. Encore 17 dodos et c’est Noël ! Encore trois confinements et c’est l’été : que du bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…

PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.

Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.

Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.

 

Davantage de technologies embarquées à son bord…

 

La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.

 

 

On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.

 

Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….

 

La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.

Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.

Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série  sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.

Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.

 

 


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Le plaisir de lire est irréversible quand on possède cette fibre en soi. Y compris lors de la crise sanitaire qui a condamné les librairies, commerces non essentiels à fermer leurs portes. Il reste d’autres solutions que le « click & collect » à adopter pour les amoureux des lettres qui se sentent floués et orphelins en manque d’ouvrages à compulser. Les bibliothèques d’Auxerre en proposent une toute nouvelle, à l’heure du numérique…

AUXERRE : Eureka ! Les bibliothèques de la capitale de l’Yonne innovent en cette période de confinement alors que les équipements publics trouvent toujours porte close.  

A l’ère du numérique, il fallait y penser pour satisfaire les aficionados de la lecture, fort nombreux à fréquenter avec une régularité constante ces lieux de culture et de partage.

Un nouveau service a vu le jour. Il propose aux usagers de la bibliothèque municipale ayant souscrit un abonnement de télécharger des livres numérisés. Ceux-ci sont consultables sur PC, liseuse, smartphone et tablette.

Ainsi, ce sont près de 260 œuvres qui sont accessibles en ligne. Eclectiques, ces ouvrages digitalisés englobent tous les genres de la littérature : policiers, science-fiction, essais, documentaires…

Il est possible d’emprunter trois livres pour une durée de trente jours. D’autre part, le système de prêt à emporter classique est toujours opérationnel, et ce de très belle manière.

Signalons que les bibliothèques proposent en parallèle quatre-vingt titres de presse en accès gratuit et illimité pour les abonnés, un service d’auto-formation en ligne (« Tout apprendre ») et bientôt, une offre de films via Arte Vidéo.

 

En savoir plus :

Toutes les modalités d’inscription aux bibliothèques d’Auxerre sont consultables sur la référence suivante : www.bm-auxerre.fr

 

 

 

 

 

 


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Le mot d’ordre servant de fil d’Ariane à cet événementiel décliné en numérique est simple. Sans circonvolution inutile. Il s’agit de construire coûte que coûte la relance économique sans carbone applicable dans les régions de l’Hexagone. C’est la trame éthique prioritaire qui est abordée durant quatre jours d’ateliers et de conférences dispensées jusqu’au 27 novembre…

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’événement se décline sur quatre jours jusqu’au 27 novembre. Malheureusement, de manière virtuelle. Qu’importe, cela ne nuira nullement à la qualité des débats qui y sont proposés autour d’une thématique pertinente, à la pointe de l’actualité. « Comment construire une relance économique sans carbone sur notre territoire ? ».

Un vaste débat de fond, certes, qui devrait trouver son lot de réponses adéquates lors d’échanges et d’ateliers qui se veulent clairs et engagés au niveau des organisateurs.

En l’occurrence, les responsables de NUCLEAR VALLEY, l’unique pôle de compétitivité de la filière nucléaire civil en France, accueilli dans la capitale de la Saône-et-Loire.

Parmi les participants à cette animation digitale d’envergure, citons chez les incontournables donneurs d’ordre de cette filière : FRAMATOME, EDF Bourgogne Franche-Comté, ORANO et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).

Une centaine de responsables achats, projets et techniques des donneurs d’ordre et de grandes entreprises de la filière nucléaire se sont également inscrits à cette animation.

 

 

Une initiative encouragée par l’Etat et les régions dont BFC…

 

En outre, de nombreux experts couvrant l’ensemble des domaines du cycle du combustible, de l’extraction au démantèlement, en passant par la recherche, la construction, l’exploitation, la maintenance et la formation suivent avec grand intérêt ces échanges digitalisés.

Dans ce contexte de crise sanitaire et de crise économique, NUCLEAR VALLEY dirigé par Jean-François DEBOST mobilise avec cet événementiel tous les moyens pour dynamiser et lancer des pistes de réflexion favorables à la filière.

En valorisant des préconisations innovantes et durables pour bâtir une relance économique sans carbone, nécessaire à la sauvegarde de la planète. Une relance qui par extension ne peut se concevoir autrement que par le biais de l’innovation, l’emploi et la formation. D’où les nombreux ateliers déclinables lors de cet évènement avec la présence des nombreux donneurs d’ordre de ce secteur d’activité. Soutenue par l’Etat et les régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône Alpes, l’initiative démontre ainsi tout le potentiel de la filière nucléaire, une industrie d’avenir et porteuse d’emplois…

 


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Décliné sous la forme d’un webinaire, ce rendez-vous informatif concerne les acteurs de l’industrie. Celles et ceux qui souhaitent intégrer le numérique et la robotique au sein de leur unité de production afin de mieux en optimiser les potentialités. D’autant que des aides de l’Etat, initiées par le plan « France Relance », peuvent en assurer le financement…

 

SENS : Voilà une date intéressante à biffer d’ores et déjà sur les agendas ! Celle du jeudi 26 novembre, à partir de 17h30.  

Dans le cadre de ses échanges mensuels initiés au nom de la communauté des « Positives Entreprises », la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne invite les industriels et autres entrepreneurs à se relier au webinaire consacré à l’apport du numérique et de la robotique en entreprise.

Une intervention à multiples entrées qui facilitera la compréhension et le bon usage de ces technologies à travers leurs champs d’application. Mais aussi d’évoquer leur financement.

Le gouvernement a lancé un plan d’action pour accélérer l’adoption des technologies relevant de l’industrie du futur dans les entreprises de la filière industrielle.  

Ainsi, l’apport de robots, cobots, machines de production à commandes numériques, fabrication additive, réalité virtuelle ou augmentée, réseaux de capteurs, logiciels de conception intègrent ce processus de développement visant à renforcer la compétitivité de l’industrie en France et sa capacité à créer de l’activité et des emplois sur le territoire.

 

 

Un plateau de choix pour faire toute la lumière sur ce dossier…

 

Lors de cet échange, coordonné par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et le Club Business Sens, différents dispositifs seront présentés à l’auditoire. Notamment l’aide transformée en subvention à l’investissement, élargie aux ETI, relevée jusqu’à 40 % de subventions de l’investissement hors taxes pour les sociétés impactées par la pandémie et 20 % pour les autres, sur du matériel neuf ou d’occasion.

Parmi les intervenants de ce rendez-vous en virtuel, citons la présence des entreprises de l’Yonne, RB3D et NEED ROBOTICS qui parleront des potentialités offertes par la robotique ; de Gérard VALLET du CETIM qui interviendra sur le programme industrie du futur en Bourgogne Franche-Comté et du tandem de la CCI, Christine JAN et Patrick COTTIN, dont les propos se focaliseront essentiellement sur les aides pour l’industrie du futur.

Les aides de droit commun au niveau régional seront spécifiées en partenariat avec l’Agence Economique de la Région (AER) et la Région Bourgogne Franche-Comté.

 

 

 

 

 


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