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De l’aveu, même, de la présidente Marie-Guite DUFAY, ce n’est pas un scoop ! Au vu du contexte imputable à la crise. La construction du budget de la Région Bourgogne Franche-Comté n’a donc pas été facile. Conséquence : si celui-ci est adopté lors de la séance plénière cette semaine à Dijon, les habitants du territoire et les partenaires de l’institution ne doivent pas s’attendre à des miracles financiers. Mais, plutôt à une orientation budgétaire devant faire face aux contraintes inflationnistes et énergétiques, sous le sceau de la « prudence » et du « volontarisme » avec en sus, un gel radical des dépenses sur les nouveaux investissements…

 

DIJON (Côte d’Or) : On la sent déterminée jusqu’au bout des ongles, la responsable de l’exécutif régional. « Notre marque de fabrique n’est pas de baisser les bras, glisse-t-elle en préambule et se voulant rassurante lors de la conférence de presse d’avant session qui réunira deux jours durant les élus régionaux dans l’hémicycle dijonnais mercredi et jeudi. Nous sommes là pour penser et porter le développement de notre économie dans nos territoires et le bien-être de nos concitoyens… ».

Pourtant, les visages des trois interlocuteurs – Michel NEUGNOT et Nicolas SORET l’accompagnent pour cette conférence - faisant face à un panel exhaustif de la représentation médiatique régionale font plutôt grise mine. Les jours de fête d’entre Noël et Nouvel An sont déjà oubliés et loin derrière nous. Il faut vite revenir à la dure réalité d’un quotidien, morose et incertain, plombé par une inflation galopante et un coût des prestations énergétiques sans commune mesure. Autant de paramètres conjoncturels, plus ou moins prévisibles indexés au contexte international qui impactent par effet gigogne l’élaboration du budget de la Région.

 

S’appuyer sur l’Etat pour faire pression sur la SNCF…

 

Soumis au vote durant la séance plénière qui débute ce mercredi et annonciateur d’échanges dans l’hémicycle que la présidente ne souhaite pas trop houleux mais constructif, le budget de la Région marque le pas. Une orientation sous le prisme de la « prudence », le maître mot de cette explication de texte que Marie-Guite DUFAY répètera à maintes occasions comme un fil d’Ariane justificatif.

« Nous sommes comme un ménage qui voit ses dépenses explosées, souligne-t-elle, et qui n’a pas les recettes en face. Donc, ce ménage doit réduire son train de vie. Nous allons forcément, dans ce budget, prendre des mesures de ralentissement qui vont porter essentiellement sur les investissements ».

Mais, pouvait-il en être autrement au plan comptable lorsque l’on sait que l’excédent des dépenses inflationnistes et énergétiques s’élève à 130 millions d’euros alors que les recettes supplémentaires n’en ont rapporté que vingt millions ?

Posant tout haut les questions (avant d’en apporter les réponses), la présidente socialiste de l’exécutif régional déroule le fil de ses idées, se faisant pédagogue pour que chacun comprenne la nécessité de proposer un budget « volontariste » le plus adapté possible à la situation.

« Nous ne pouvons pas déséquilibrer nos ratios, nos fondamentaux, observe-telle, d’autant qu’à date, je n’ai pas la réponse à toutes les interrogations que je pose à mes interlocuteurs importants sur le bouclage de ce budget, à savoir l’Etat et la SNCF… ».

Mais, que l’on ne s’y méprenne pas ! Lorsque Marie-Guite DUFAY cite l’Etat dans ses propos, « ce n’est pas à lui de combler les déficits qui sont les nôtres, ce n’est pas du tout ça le sujet ! ».

Non, elle fait référence à la représentation étatique afin que cette dernière l’aide à faire pression sur la SNCF, notamment sur l’important volet des mobilités à la charge de la Région.

« Les coûts de l’énergie ont explosé de façon dramatique, poursuit-elle, et l’envolée de l’inflation fait que la convention passée avec la SNCF parce que nous avons un réseau ferroviaire important doit être renégociée. Même si notre budget s’élève à deux milliards d’euros, il n’en demeure pas moins un petit budget par rapport aux autres régions de l’Hexagone… ».

 

 

Un exécutif en plein brouillard de l’aveu de la présidente…

 

Conséquence, les excédents des dépenses sont difficiles à lisser, de l’avis de la présidente. Un démarrage de négociations avec la SNCF se formalise ces jours-ci afin de trouver des solutions appropriées pouvant réduire la facture énergétique. C’est le souhait de Marie-Guite DUFAY qui veut ainsi s’appuyer sur l’aide de l’Etat pour faire baisser structurellement les charges imputables au coût de l’énergie, du fait de l’exploitation des trains.

Il s’agirait d’aborder ces négociations à partir d’un processus « moins absolu » et beaucoup plus favorable à la SNCF, en matière d’ouverture à la concurrence, ce qui fit l’objet d’un vote de l’assemblée régionale, pour 2026 – pour des raisons techniques, cette libéralisation du marché s’effectuerait même à partir de 2027 -, rappelait la présidente. Une ouverture à la concurrence qui serait donc repoussée pendant la durée du mandat de la majorité actuelle si une nouvelle convention était négociée, entraînant de facto la baisse considérable de ces charges énergétiques, la rendant plus progressive et étalée dans le temps.

A date, la négociation démarre pour la présidente qui avoue être « dans le brouillard » compte tenu de l’inéluctable explosion des dépenses.

Les choses ne se dérouleront pas comme d’habitude, visiblement. D’ordinaire, le budget se vote en bonne et due forme en janvier et au mois de juin, une décision modificative permet d’ajouter ou de soustraire des éléments complémentaires au budget initial. Ce qui ne sera pas le cas, cette année a déjà prévenu Marie-Guite DUFAY.

Le brouillard qui entoure l’exécutif régional devrait cependant se lever petit à petit et éclaircir la ligne budgétaire de la Région d’ici là, compte tenu de l’évolution des négociations avec l’Etat, et la SNCF. Rendant le budget du printemps beaucoup plus important au niveau de l’enveloppe que ce qu’il n’est aujourd’hui.

Mais, c’est au niveau des investissements que la présidente socialiste de la Bourgogne Franche-Comté a placé le curseur. En agissant avec « prudence », une fois de plus.

« Je précise à tous nos partenaires, les entreprises, les porteurs de projets du territoire que nous n’engagerons aucune dépense d’investissement entre le mois de janvier et le mois de juin. Sauf coup parti, c’est-à-dire qu’il y a des travaux effectués dans les lycées, principale compétence de la Région et que nous n’arrêterons pas les chantiers… ».

Le message destiné aux partenaires habituels qui sollicitent la manne financière de la Région est on ne peut plus clair au final : « ne venez pas chercher de financement entre janvier et juin ! ». La suspension des règlements d’intervention est donc actée par la présidente.

Y verra-t-elle plus clair au printemps ? Oui, assure-t-elle. Précisant en corolaire que son administration travaille à l’élaboration d’un plan pluriannuel d’investissements qui confèrera à l’exécutif une lisibilité optimale sur ses capacités d’intervention. Un plan qui sera soumis au vote de l’hémicycle en juin. Et qui permettrait à la Région de reprendre les investissements qu’elle a sciemment ralentis à partir d’un budget vert et solidaire.

Quant au milliard d’euros (927 millions avec exactitude) dédié au fonctionnement – culture, sport, solidarité territoriale avec les collectivités, la politique des quartiers -, il ne sera pas impacté par ce ralentissement.

   

Thierry BRET

 


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Ils se sont réunis en fin de semaine dernière les membres du bureau de l’Association des Jeunes Elus de France (AJEF) afin de désigner quatre nouveaux délégués régionaux qui incarneront les valeurs de la structure dans leurs fédérations. Parmi ces quatre nominés, et avant l’assemblée générale hexagonale qui se déroulera le 01er février, Julien JACQUET. Conseiller municipal de Dixmont le jeune homme de 24 ans endosse la vêture de responsable régional de l’organisme en Bourgogne Franche-Comté…

 

AUXERRE : Leurs patronymes ne sont pas encore connus des médias et des observateurs de la sphère politique mais pourtant ils agissent sans relâche et avec abnégation à leurs tâches citoyennes depuis la prise de leurs fonctions. « Ils », ce sont les jeunes élus de France qui, fédérés au sein d’une association (AJEF), entendent bien s’engager davantage au service de leurs territoires et de leurs administrés. Parmi ceux-ci, il y a Julien JACQUET.

Agé de vingt-quatre ans, le garçon vient d’être désigné par le bureau national de l’AJEF (Association des Jeunes Elus de France) en qualité de délégué régional de la Bourgogne Franche-Comté. A l’instar de trois autres de ses camarades, Manon DELIOT pour le Grand-Est, Alex GERBAUD pour la Nouvelle-Aquitaine et Rémi CAPEAU qui officie dans le Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Feuille de route de Julien JACQUET : animer localement l’association à l’aide de référents départementaux. Celui de l’Yonne jouit déjà d’une certaine notoriété dans le landerneau puisqu’il s’agit du premier fédéral du Parti Socialiste dans l’Yonne et conseiller d’opposition d’Auxerre et sur l’Auxerrois, Mani CAMBEFORT.

 

Promouvoir l’engagement citoyen auprès des plus jeunes…

 

Présidée par un élu des Républicains, adjoint d’une commune des Alpes-Maritimes, Florent ROSSI – le particularisme de l’AJEF est de rassembler ces jeunes élus de tout horizon politique de manière « trans-partisane » -, la structure aide les jeunes pousses à se former, à échanger, à visiter les institutions, à rencontre les têtes de réseaux politiques (voire les autres), et à promouvoir, surtout, l’engagement citoyen. La condition sine qua non pour en être membre est de ne pas dépasser l’âge rédhibitoire de 35 ans.

Parmi les axes de réflexion de l’AJEF, signalons la mise en place d’un atelier de travail au Sénat et une journée à la rencontre des professionnels de l’univers de la presse. Sans omettre l’idée de créer un campus « trans-partisan » autour de débats et de conférences qui seraient animés par de jeunes élus. L’AJEF désire également renforcer ses liens avec l’Association des maires de France (AMF).

Venu à la politique lors des municipales de 2020, Julien JACQUET ne supportait plus d’entendre les critiques des uns et des autres sur la vie politique sans que ces mêmes donneurs de leçons ne s’investissent réellement au service des citoyens.

« Je me suis présenté sciemment dans ma commune car je préférai être dans le camp de celles et ceux que l’on critique ! ».

Collaborateur de groupe d’élus à la Région pour l’aspect professionnel, ce jeune homme d’obédience intellectuelle « divers gauche » entend montrer la voie à toutes celles et ceux de sa génération qui ne croient plus en la chose politique, en s’abstenant d’aller aux urnes.

Un travail de titan, certes, mais que le garçon souhaite rondement mener dans le territoire de prédilection qui est désormais le sien !

 

Thierry BRET

 


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En ouverture des réunions FERMOSCOPIE départementales, déclinées en ce début d’année par les services ad hoc du réseau associatif de conseil et d’expertise comptable, l’administrateur de CERFRANCE dans l’Yonne (et en région Bourgogne Franche-Comté) Philippe DEOTTE a été très clair sur la portée de son message. « Travailler le vivant est une véritable chance pour la filière mais nous avons le devoir de transformer notre métier en autant de diversités… ». Limpide, en vérité !

 

VENOY : Exploitant céréalier qui exerce son activité professionnelle dans le Tonnerrois, Philippe DEOTTE ne se limite pas à sa commune de prédilection d’Arthonnay pour vivre pleinement sa passion pour le milieu agricole. Les multiples mandats qui se sont additionnés au fil des ans tout au long d’une carrière bien remplie lui permettent aujourd’hui de tenir un rôle de premier plan dans l’organigramme de CERFRANCE.

Depuis deux décennies en effet, le personnage s’est investi au sein du conseil d’administration de l’établissement de Bourgogne Franche-Comté. Exerçant même le rôle de secrétaire, un poste essentiel dans les rouages de la structure, experte en comptabilité.

Alors, ouvrir la séance de ce rendez-vous, un classique qui ponctue l’existence de CERFRANCE à pareille époque chaque année, ne représentait pas une difficulté en soi pour Philippe DEOTTE, face à un parterre de professionnels désireux de découvrir les résultats prévisionnels des références par filière à l’échelon départemental. Des analyses statistiques fines se rapportant aux grandes cultures, aux bovins et à la viande ainsi que le lait.

« Les décisions qui se prennent aujourd’hui ont des conséquences pour l’avenir, expliqua-t-il en guise de préambule, il nous faut impérativement anticiper sur notre secteur d’activité… ».

 

 

« Transformer, c’est encourager les diversités… »…

 

Face aux grands enjeux qui perturbent le monde économique et sociétal, Philippe DEOTTE rappellera que « des transformations en profondeur sont nécessaires dans la filière agricole ».

Puis, poursuivant, il évoque les temps jadis : « Hier nous cultivions les terres de manière très productive pour optimiser les rendements ; aujourd’hui, nous sommes face à des défis majeurs… ».

Et de citer, à l’instar d’un inventaire à la Prévert, les maux qui font que le monde tel que nous le connaissons ne tourne plus vraiment très rond : le climat bouleversé, la pression parasitaire en hausse, le conflit à l’est de l’Europe qui change la face du monde dans la distribution des matières premières, l’inflation et les répercussions de cette guerre sur les énergies, la raréfaction de la main d’œuvre…

« Il est grand temps d’entreprendre des actions vertueuses, martèle l’orateur du prélude de cette réunion, en transformant un certain nombre de choses. Transformer, c’est encourager les diversités qui restent notre meilleur atout pour anticiper l’avenir. Les diversités dans le choix des cultures, celles de nos activités, celles de la diversification… ».

Un discours introductif qui laissa une belle lueur d’espérance à ses auditeurs. Puisque Philippe DEOTTE insista sur le fait de travailler le vivant, « une grande chance pour chacun des agriculteurs ».

Toutefois, il mettait en exergue les notions de responsabilités qui vont de pair dans la construction d’un projet professionnel face aux évolutions de l’environnement et de la multitude de solutions à adopter pour y parvenir. Le meilleur moyen de s’adapter aux changements de paradigme que nous impose le contexte conjoncturel ?

 

Thierry BRET

 


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Le mandat court sur deux années. Suffisant pour y imprégner sa griffe personnelle et représenté convenablement l’ensemble des banques françaises et étrangères qui exercent sur notre territoire. Succédant à Emmanuel VEY, son directeur général au sein du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, Laurent HARO – il exerce lui-même les responsabilités de numéro deux dans l’établissement vert – prend les rênes de cet organisme, la FBF régionale, cheville ouvrière de la vie bancaire territoriale…

 

DIJON (Côte d’Or) : La passation de pouvoirs entre ces deux connaissances professionnelles – ils pilotent ensemble aux côtés de leurs équipes la destinée du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne – s’est faite au mois de décembre. Succédant à Emmanuel VEY, directeur général de la banque verte, Laurent HARO s’installe donc dans le fauteuil de président du Comité régional des banques de la Fédération bancaire de France (FBF) de Bourgogne Franche-Comté pour un mandat de vingt-quatre mois qui trouvera son terme en décembre 2024.

Une nomination qui n’est pas une surprise en soi tant ce cadre dirigeant s’est déjà investi au fil de sa carrière, au bénéfice du secteur bancaire.

Elu par le comité régional de l’organisme fédérant l’ensemble des banques hexagonales et internationales qui exercent leurs activités en France, Laurent HARO jouera un rôle représentatif primordial sur les huit départements de la Bourgogne Franche-Comté.

 

Des banques régionales solides et ouvertes à la proximité…

 

Première déclaration de l’intéressé à l’issue de sa désignation : « Je suis honoré de représenter notre profession sur notre territoire régional et de succéder ainsi à Emmanuel VEY… ». Dont il a salué le travail.

Indispensables partenaires et vecteurs de la vie économique de notre région, les banques accompagnent quotidiennement la clientèle de particuliers, de professionnels et de collectivités dans la réalisation de leurs projets.

« Nos banques sont solides, a précisé le nouveau responsable du Comité régional de la FBF, elles ont pour valeur essentielle la proximité… ».

Un atout qui est d’ailleurs reconnu par 89 % des habitants du territoire bourguignon franc-comtois qui en possèdent une excellente opinion selon une étude réalisée par l’IFOP sur les « Français, leurs banques et leurs attentes ».

Avec leurs 10 900 collaborateurs, les banques de Bourgogne Franche-Comté pèsent par leur présence physique avec 1 380 agences et vitrines commerciales tout réseau confondu sur le territoire et injectent chaque année 87 milliards d’euros de crédits en faveur de la consommation et de l’économie.

 

 

En savoir plus :

La Fédération bancaire de France rassemble 334 établissements français et étrangers depuis 2001. Ceux-ci exercent des activités dans l’Hexagone.

Il existe 103 comités régionaux et départementaux qui sont présents sur tout le territoire national.

La FBF dispose d’un bureau à Bruxelles.

Son rôle est d’intervenir sur les questions réglementaires et financières aux niveaux national, européen et international. L’organisme aborde également tous les sujets relatifs à la place de la banque dans l’économie et la société.

Le secteur bancaire emploie plus de 350 000 salariés en France.

 

Thierry BRET

 


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Accompagner les établissements scolaires du public s’inscrit parmi les prérogatives principales de la Région Bourgogne Franche-Comté. On le sait, la ligne budgétaire accordée par l’organe institutionnel est importante pour améliorer la qualité de vie des élèves et étudiants mais aussi des enseignants chaque année. Un effort qui est également consenti auprès des établissements issus du privé. Ce qui n’est pas une surprise en soi, comme devait le rappeler la conseillère régionale Isabelle POIFOL-FERREIRA, inaugurant le nouveau foyer des BTS, du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre.

 

AUXERRE; Ce serait presque une lapalissade. La jeunesse représente l’un des socles essentiels des nombreuses missions régaliennes assurées par le Conseil régional sur notre territoire.

L’une de ses représentantes, la conseillère en charge de la Culture, Isabelle POIFOL-FERREIRA – figure de la vie politique auxerroise par ailleurs- assistait il y a peu à la cérémonie inaugurale du nouveau foyer devant accueillir lors de séances salvatrices de repos et de moments de ressource bien mérités, les étudiants des deux sections BTS du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle. Celles et ceux qui suivent les cursus de commerce international et de formation à la filière du notariat.

Une phase d’officialisation où l’élue icaunaise qui connaît particulièrement bien l’établissement, l’ayant déjà visité à maintes reprises, devait rappeler que « l’éducation et la formation représentaient l’avenir des jeunes générations… ».

Très surprise, mais de manière agréable, d’avoir été accueillie par des étudiants posés et polis – le savoir-vivre est une règle de bonne conduite inculquée dans l’établissement catholique de la capitale de l’Yonne -, Isabelle POIFOL-FERREIRA a félicité les responsables du groupe lasallien pour la qualité de l’enseignement proposé en ces murs.

« Nous avons pour obligation de nous occuper des conditions de travail et à leurs améliorations des étudiants reçus dans les établissements publics, souligna-t-elle, mais aussi de soutenir celles et ceux qui fréquentent aussi les établissements privés car ces derniers contribuent à dispenser un enseignement qualitatif… ».

Et de ponctuer ainsi ses propos par la formule suivante, « si l’on est bien accueilli dans un établissement scolaire, c’est qu’il s’y passe de belles choses… ».

Avant de visiter la nouvelle extension de ce bâtiment, ouvert depuis le printemps, qui occupe deux niveaux de surface avec une mezzanine du plus bel effet, Isabelle POIFOL-FERREIRA devait insister sur la nécessité de pouvoir disposer à Auxerre de telles infrastructures permettant d’accueillir et de fidéliser des étudiants dont le département a grandement besoin afin de mieux rayonner au niveau de son attractivité. Qu’elle soit éducative, voire économique, il va de soi…

 

Thierry BRET

 


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