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Ils ont jusqu’à ce soir pour rejoindre les rangs de la grève ou pas. Remontés tels des coucous suisse contre les décisions gouvernementales dans la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école, les enseignants ont déposé par le biais de leurs syndicats (SNUipp, FSU, SNE, CGT, UNSA, Sud Education, FO…) un préavis pour ce jeudi 13 janvier. Ce mouvement sera suivi par les fédérations de parents d’élèves et par les scolaires eux-mêmes…

 

AUXERRE : Pagaille en perspective dans les rues des grandes villes de l’Hexagone, ce jeudi, mais pagaille qui vient surtout mettre l’accent sur la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école.

Devant une situation épidémique qui flirte avec les sommets en ce mois de janvier du fait de la virulence des variants de la COVID (le nombre de contaminations explose chaque jour un peu plus chez les élèves et leurs enseignants), les syndicats de l’Education nationale appellent ces derniers à faire grève pour s’insurger contre le protocole sanitaire en vigueur, jugé « inacceptable » et « ingérable ».

L’Yonne ne devrait pas déroger à la règle de cette mobilisation, souhaitée par une intersyndicale regroupant tous les acteurs sociaux de l’éducation. Le secrétaire départemental de la  FSU 89 Philippe WANTE le confirme pour expliquer ce nouveau mouvement de grève : « la situation n’est plus tenable ».

Lors de l’audience qui a été demandée auprès de la DASEN (direction départementale des services de l’Education nationale de l’Yonne) et sans doute accordée, la délégation intersyndicale ne se privera pas de faire connaître ses nombreuses doléances auprès de ses interlocuteurs.  

 

Un ministre de l’Education qui reste sourd aux doléances du terrain…

 

« Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER continue de faire le choix de maintenir les écoles ouvertes selon le principe du « quoi qu’il en coûte, précise Philippe WANTE au nom de l’intersyndicale, il allège les mesures protectrices notamment sur les fermetures de classe et l’isolement des élèves, désorganisant totalement l’école… ».

Ce qui provoque un profond désarroi et une extrême lassitude de la part des personnels mais aussi des familles et des élèves qui devraient s’inviter dans les cortèges.

Considérant que le ministre reste sourd à toutes les sollicitations de la base, alors qu’il a enfin admis lors des questions au gouvernement au Sénat mercredi dernier que les difficultés étaient bien réelles, les syndicats de l’éducation mais aussi les fédérations de parents d’élèves (FCPE) et les mouvements de collégiens/lycéens, ont décidé une fois de plus de descendre dans la rue afin de protester et de se faire entendre. Il y va aussi du respect et de la protection des enseignants, en souffrance professionnelle face à ces mesures d’une rare complexité.

 

Thierry BRET

 

 


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Lumineuses, agréables, pratiques. Deux vitrines de la banque mutualiste implantées dans le nord de l’Yonne (Pont-sur-Yonne et Villeneuve-la-Guyard) se parent depuis peu de nouveaux atours pour optimiser sa relation avec la clientèle de particuliers et de professionnels. Un accessit bien au-delà de l’esthétisme visuel qui s’inscrit dans le cadre du vaste programme de rénovation, entamé depuis plusieurs années dans l’Hexagone par le réseau bancaire, au nom de code très évocateur : « e-nov’agence » !   

 

PONT-SUR-YONNE : En voilà deux autres qui tombent dans l’escarcelle du modernisme et de la technicité ! Les agences commerciales de Pont-sur-Yonne et de Villeneuve-la-Guyard à l’estampille de la Banque Populaire font peau neuve au niveau de leur configuration architecturale, conformément à l’ambitieux programme de rénovation voulu par le groupe depuis 2015.

Un vaste chantier déclinable à dix ans qui concerne sur notre territoire régional (plus le pays de l’Ain) 185 agences.

Repenser la relation professionnelle avec sa clientèle répond ainsi à ces exigences immobilières qui offrent l’opportunité à la structure de faire montre d’adaptabilité pour y parvenir.

Alors que certains de ses concurrents mettent désormais la clé sous le paillasson en réduisant la voilure en matière de présence dans les zones rurales, question de rentabilité, la Banque Populaire ne déroge pas à sa règle de favoriser la proximité en se maintenant au plus près du terrain.

 

 

La clientèle au cœur des priorités de ce nouvel édifice…

 

Mais, pour ce faire, il fallait donner un sérieux lifting à l’ensemble de ces vitrines commerciales en les équipant de possibilités digitales à la pointe tout en préservant la relation en b to b avec les clients dans des espaces dédiés. Surtout dans les secteurs géographiques les plus reculés.

Territorialement, la Banque Populaire Bourgogne-Franche-Comté et Pays de l’Ain a donc décidé d’injecter une enveloppe de cent millions d’euros (voire un peu plus avec le temps) pour transformer au cours de cette décennie l’existant en points de vente compétitifs et très novateurs.

Nouveaux moyens de communication, nouvelles méthodes pour travailler : chacun y trouve son compte, tant le client qu’il soit particulier, collectivité et professionnel que le collaborateur qui se sent à l’aise parmi cet univers imaginé selon ses attentes. Entretiens à distance, signature électronique, rendez-vous personnalisé, facilitation de contact avec un conseiller : la Banque Populaire à l’aide de cette conceptualisation mirifique de l’agence commerciale a su réinventer les rapports entre un spécialiste de la finance et du placement et celui qui en attend ses services.

En plaçant au cœur de cet édifice le client.

 

 

Dans notre département, les vingt-deux agences que compte l’établissement sont ou seront progressivement transformer à l’identique de ce que celles des deux localités septentrionales de l’Yonne proposent désormais.

Les prochains points de vente bénéficiaires de ces travaux sont déjà connus : il s’agit des agences de Charny et de Monéteau. D’autres infrastructures suivront à l’instar de Vermenton ou de Bléneau dans les mois à venir.

Président du conseil d’administration de l’entité régionale, le Sénonais Michel GRASS a pu se rendre sur place courant décembre, accompagné du directeur régional des établissements de l’Yonne, Yann NUNES, afin d’apprécier l’ergonomie des lieux. Une appréciation qui se conjugue avec la satisfaction…

  

Thierry BRET  

 

 


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Soixante mille doses de vaccins sont disponibles à l’heure actuelle dans le département de l’Yonne pour transformer l’essai de la vaccination anti-COVID en schéma sanitaire complet. Processus qui garantit le maintien du passe sanitaire au-delà de la date butoir arrêtée par le gouvernement au 15 janvier 2022. Or, à date, 17 573 Icaunais n’ont pas encore pris de rendez-vous pour la troisième injection.

 

AUXERRE : Il ne reste plus que quelques jours à plus de dix-sept mille habitants de l’Yonne pour se faire injecter la troisième dose de vaccin permettant de juguler les effets dévastateurs de la crise épidémique du moment.

En effet, passé le délai inéluctable fixé par le gouvernement au 15 janvier 2022, il sera en principe trop tard si aucune extension ou dérogation émanant du ministère de la Santé n’est possible. Un compte à rebours qui vient de se déclencher et que les Icaunais en attente de la troisième injection se doivent de connaître afin de mieux l’anticiper ?

 

 

D’autant que les personnes ciblées par ce message ont déjà reçu il y a au moins sept mois de cela la seconde dose vaccinale.

En visite au centre de vaccination d’Auxerre, en début de semaine, puis de celui de Sens, ce vendredi 07 janvier, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a bien insisté sur le nombre de doses disponibles sur le département. Soixante mille unités qui, on l’aura compris, couvrent allègrement les besoins quantitatifs de ces retardataires à la piqûre.

 

Thierry BRET

 


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S’il y avait un mot, un seul, à retenir de la conférence de presse, organisée à l’occasion de la naissance officielle du comité de soutien à Valérie PECRESSE pour le rendez-vous présidentiel 2022, ce serait celui-là : « mobilisation ». A 93 jours de ladite échéance électorale et de son premier tour, le 10 avril, les élus Républicains et UDI de l’Yonne se sont réunis à Saint-Clément pour affûter leur stratégie avant de livrer ce qu’ils pensent être l’ultime combat pour sauver la France…

 

SAINT-CLEMENT : On se croirait presque dans un QG de campagne. Non pas, électoral. Mais, bel et bien, militaire. Toutefois, toute proportion gardée, il n’est pas question d’en découdre physiquement et de manière belliqueuse sur le terrain ! Sauf sur celui des idées et de la prospective puisqu’il s’agit de sauver la France ! De qui, de quoi, en vérité ? De sa paupérisation chronique, de son apathie économique, de son manque de fermeté à l’international, de son déficit de brillance et de rayonnement intellectuel, de son leadership européen !

Bref, derrière la « générale en chef » de l’armée tricolore, Valérie PECRESSE, qui prétend relever ce défi au nom de la droite et du centre en prenant les rênes du pouvoir élyséen au printemps prochain (si les citoyens lui donnent le nombre de suffrages nécessaires), ses fidèles lieutenants se préparent à mener bataille au plus près du terrain. Deux objectifs dans cette campagne qui s’amorce dans les semaines à venir : convaincre et rassembler !

Or, à un plus de trois mois du scrutin, il n’y a plus une minute à perdre pour déployer avec finesse et abnégation les tactiques subtiles pour y parvenir. Le temps presse, d’autant que les candidats à ce zénith suprême du pouvoir exécutif se bousculent au portillon. Certains rivalisant à une poignée de points près dans les derniers sondages, relayés par les médias.

C’est le cas précisément de la présidente de l’Ile-de-France qui se situe au coude-à-coude avec Marine LE PEN (RN) dans l’obtention de la seconde place qualificative pour le crucial deuxième tour, juste devant l’imprévisible Eric ZEMMOUR. Emmanuel MACRON faisant encore cavalier seul devant…

 

 

Un Guillaume LARRIVE à la pointe de la manœuvre en sa qualité de conseiller politique…

 

« L’avenir de l’Hexagone est en jeu ». Le député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE le martèle en guise de préambule de cette rencontre stratégique face à un parterre représentatif d’élus icaunais inféodés à la cause du jour.

Lui qui vient d’être touché par la grâce de la candidate, première représentante de la gent féminine au sein du parti gaulliste à pouvoir briguer la fonction suprême de présidente de la République. Même Simone VEIL ou Françoise GIROUD ne s’y étaient pas frottées !

Le parlementaire de l’Yonne fait partie intégrante de l’équipe de campagne devant propulser la candidate LR/UDI sur orbite élyséenne. Il a été nommé conseiller politique et lui prodiguera sans doute de précieux avis sur bon nombre de dossiers qu’il a eu à traiter par le passé, au détour de son parcours en politique.  

 

 

Mais, le lancement de ce comité de soutien fait aussi la part belle aux symboles. Celui de l’union et de la réciprocité en matière d’engagement entre Les Républicains et l’UDI ; celui de l’appel à la mobilisation fait à l’ensemble des élus de droite et du centre que compte le département de l’Yonne à les rejoindre dans les jours qui viennent. Un message qui se véhicule également vers les citoyens lambda et les acteurs de la société civile.

« Cet appel ne se cantonne pas aux appétences des personnes qui se reconnaissent dans les valeurs de la droite et du centre, lancera de manière énigmatique le conseiller départemental Gilles PIRMAN, force invitante de la réunion, tenue dans la salle des fêtes de Saint-Clément. Sans doute ce dernier voit-il plus large encore cet esprit de rassemblement ?

 

 

Un organigramme bien établi pour répondre aux besoins du comité…

 

« Notre conviction profonde, c'est que nous pouvons changer l'avenir de la France en élisant Valérie PECRESSE à la présidence de la République, devait ajouter l’orateur LARRIVE, dans sa prise de parole introductive, elle a la force de diriger l'Etat, de réconcilier les Français et d'incarner la France en Europe et dans le monde… ».

Structurellement, deux co-présidents animeront ce comité qui n’aura rien de « Théodule », selon la formule chère au Général de GAULLE.

Bien au contraire, les deux présidents de partis que sont Dominique VERIEN,  sénatrice UDI de l’Yonne et Guillaume LARRIVE, aux manettes directionnelles pour Les Républicains de l’Yonne, impulseront le mode opérationnel de cet outil de relais et de communication.

Figurent dans le premier cercle de ce comité les poids lourds de la droite et du centre de la zone septentrionale de la Bourgogne : Marie-Louise FORT, présidente du Grand Sénonais et maire de Sens, Gilles PIRMAN, conseiller départemental de l’Yonne et maire de Saint-Clément, Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental et maire de Pont-sur-Yonne, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne, Crescent MARAULT, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département et maire de Venoy ou encore François BOUCHER, conseiller départemental et maire de Migennes.

L’organe fera entendre sa voix par le truchement de deux porte-paroles, des figures féminines connues du landerneau : Céline BAHR, conseillère régionale et élue à Auxerre, et Clarisse QUENTIN, conseillère départementale et élue de la ville de Sens.

Pour être tout à fait complet, trois jeunes pousses du sérail politique de l’Yonne joueront également un rôle intéressant, en leur qualité de délégué de ce comité sur les trois circonscriptions : Kevin LEGENDRE-BONIFACE, le bras droit de Dominique VERIEN et président des Jeunes UDI désigné dans la première circonscription, le conseiller départemental de l’Avallonnais Jordan HEITZMANN, dans la seconde et Nicolas BOURSIN, responsable des Jeunes Républicains 89 dans la troisième.

Dans les jours prochains, le comité de soutien passera à l’offensive en multipliant les actes de présence sur les réseaux sociaux. A défaut de grands raouts publics contraints d’être abandonnés du fait de la crise sanitaire.

Toutefois, Guillaume LARRIVE promet quelques réunions publiques dans le respect d’un cadre législatif spécifique à la tenue de cette élection présidentielle qu’il a fait voter via un amendement par l’Assemblée nationale il y a peu. Moralité : on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !

 

Thierry BRET

 

 


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Où sont passées les grandes voix, les intellectuels de tous les bords et de tous les courants de pensée ? Qui va pouvoir partager une vision prospective et engagée sur la situation sociale, politique et économique d’aujourd’hui ? Des journalistes, des vrais, des philosophes, des vrais qui n’auront pas peur de s’exprimer, sans contrainte et sans la peur de se voir embastiller à la moindre incartade ou au moindre écart avec la doxa ambiante. Il est évident que la presse aujourd’hui subit les contraintes du pouvoir politique, la tyrannie des éditorialistes et le dictat des annonceurs publicitaires. Jean YANNE, dans son film « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », le dénonçait déjà, en 1972 : les rapports entre la presse, les politiques et les annonceurs sont complexes…

 

TRIBUNE : Des sondages nous indiquent que l’on ne croit plus en Dieu. Est-ce que l’homme ne croit plus en rien ? Non, il croit aux sondages ! Il croit le premier politique qui déballe des idées capables de mettre à mal le pouvoir, il croit dans les mondes virtuels… L’homme est prêt aujourd’hui à croire en n’importe quoi !

Les hommes politiques, incultes pour la plupart (à de rares exceptions dont Jean-Luc MELENCHON), n’aident pas à élever le niveau de la pensée. Georges MARCHAIS avec ses « Taisez-vous Elkabbach », « Elevons le débat » ou encore lorsque le journaliste lui disait « ce n’étais pas ma question », répondait allègrement : « Oui mais, c’est ma réponse !». Il assurait l’audimat et crevait tous les plafonds d’audience ! Une manière de rendre accessible le débat, à tous et proche du peuple…   

 

Où sont passés les responsables scientifiques ? 

 

Je ne parle pas de ceux qui sont dans le conflit d’intérêts en défendant des positions pseudo-scientifiques soutenues par les grands laboratoires pharmaceutiques. J’exclus du débat, les soi-disant spécialistes qui n’ont pas vu de malades depuis des lustres mais qui passent leur temps sur les plateaux télé ! Les véritables savants, qui en dehors des dogmes, poursuivent leurs recherches dans l’humilité et la discrétion. Un Pierre-Gilles de GENNES qui après avoir reçu son prix Nobel de physique remerciera l’équipe d’étudiants-chercheurs qui ont contribué à la réalisation du succès de ses travaux. Ce n’est pas avec les différentes réformes scolaires et le nivellement par le bas que nous allons générer de futurs prix Nobel ! Les Louis LEPRINCE RINGUET, physicien ami des arts, LAVOISIER, scientifique et homme de conscience, Louis  de BROGLIE physicien et prix Nobel,... tous ces savants qui ont marqué notre histoire et parfois même l’histoire de l’humanité manquent terriblement au paysage scientifique actuel par leur esprit et leur humilité. La science doit-elle être apolitique, sans connotation spirituelle ? Nous sommes très loin d’un LAVOISIER qui déclarait : « science sans conscience n’est que ruine de l’homme ».

Les savants d’hier ne niaient jamais l’histoire en déclarant qu’Einstein s’était trompé sur tel type de découverte mais plus simplement situaient les nouvelles découvertes, dans un contexte particulier et le paradigme scientifique. Aujourd’hui, pour exister, certains savants cherchent à faire le buzz, à défrayer la chronique en déclarant de manière péremptoire qu’untel s’est lourdement trompé…

 

 

Philosophes ou philousophes ?

 

Au sein de la grande tradition de la philosophie, celle-ci s’est toujours pensée comme la possibilité inhérente à l’être humain de se départir de son discours national en vue de le faire accéder à l’universalité de la raison.

Platon, Socrate, Thalès et autre Archimède sont remis aux calendes… grecques, évidemment ! Une petite élite peut toujours les évoquer. Nous sommes encore loin de feu Michel SERRE, qui dans la grande tradition pouvait concilier les démarches mathématiques et purement philosophiques. Ledit Michel SERRE écarté de l’Université, puisque atteint par la limite d’âge mais surtout connu pour des convictions chrétiennes. Pour les intégristes de la laïcité, à l’Education Nationale, c’était franchement rédhibitoire… Qu’à  cela ne tienne, il partit enseigner aux Etats-Unis et en Angleterre.

Il nous reste peu de monde dans le paysage philosophico-littéraire ! Si on écarte les « philousophes » en quête de médiatisation et assez peu convaincants, comme BHL et Raphaël ENTHOVEN pour les français, je rejette l’exécrable Peter SINGER, chantre de l’euthanasie, gourou des vegans, qui défend l’idée que l’animal est l’égal de l’homme et qui séduit l’ONU pour des intérêts plus financiers que littéraires ! J’écarte bien entendu tous ceux qui comme Matthieu RICARD ou Aymeric CARON sont séduits par les idées d’un tel personnage…

 

 

Ceux qui peuvent accompagner une élévation sereine du niveau de nos débats politiques et des enjeux de la prochaine élection sont Michel ONFRAY, Julia de FUNES, André COMTE-SPONVILLE dont les références à Montaigne ou Spinoza ne sont plus à vanter. Des philosophes en quête d’une vérité sans être des donneurs de leçons. Au panthéon des références philosophiques, on peut s’inspirer de Raymond ARON, Albert CAMUS, André GLUCKSMANN, René GUENON et certainement Montaigne. Je refuse un Edgard MORIN surtout sociologue mais un pauvre philosophe qui fait partie de ces personnes plus intéressées par l’argent que par la recherche ! J’ai écarté Sartre, gauche caviar qui finit, à la fin de sa vie, par reconnaître que Camus avait raison…     

Chers amis lecteurs, je suis conscient que mes choix et propos sont arbitraires et peuvent être contestés, c’est un peu le but du jeu !

 

 

Et les Francs-maçons dans tout ça ?

 

Même s’ils brillent par une légendaire discrétion, les Francs-maçons peuvent néanmoins éclairer la route qui nous même aux portes d’une forme de sagesse. Que disent-ils aujourd’hui pour la défense de la Veuve et de l’Orphelin, sur la fraternité entre les hommes quelques soient leur race, leur religion ou leurs idées politiques ? Voltaire, célèbre Franc-maçon (reçu à la Loge des Neufs Sœurs) nous ouvre grande la porte du « Siècle des Lumières ».

Parmi les obédiences maçonniques les plus importantes citons : le GO (Grand Orient), la GLF (Grande Loge de France) et la GLNF (Grande Loge Nationale de France).   

Pour notre éclairage, on peut lire les revues éditées par les grandes obédiences : « Bulim »,  « Points de vue initiatiques », « Journal de la GLDF »… J’émets une réserve pour « les Cahiers de Villard de Honnecourt » édités par la GNLF. Nous sommes très loin du temps de feu René GUENON (écrivain et philosophe), qui quitta son obédience et la Franc-maçonnerie. Cette revue, est devenue un document pseudo intellectuel pour adeptes de l’épistémologie universitaire…

Lesdits Francs-maçons (même s’ils ne savent ni lire ni écrire…sic) peuvent mettre à notre disposition des outils simples mais nécessaires à la bonne compréhension du monde : une règle, une équerre, un compas et un fil à plomb… A chacun de transposer ce que ces outils peuvent leur apporter.

 

 

N’oublions pas les journalistes !

 

Il y a ceux qui ont ouvert des voies universelles à ce métier, qui grâce à des Albert LONDRES aux mots sculptés au marbre de la culture ou un Joseph PULITZER, grand journaliste sans qui la statue de la Liberté n’aurait jamais pu être installée dans la baie de New-York. Bien sûr, un journaliste a des convictions politiques. Georges CLEMENCEAU nous en est témoin. Mais, il ne peut pas pour autant faire passer ses idées personnelles dans les tribunes nationales. Quels journalistes alors ? Tout le monde, à condition de respecter les critères de la bienséance, de la force de conviction et de la droiture. Les faits rapporté doivent être vérifiés et vrais ! Ce n’est pas toujours le cas. Reprocher au « Figaro » d’être à droite ou au « Monde » d’être à gauche ? Que nenni ! C’est là l’intérêt des lecteurs. Reprocher aux chaînes publiques (TV ou radio) d’être à gauche et sélectives selon leurs invités et « évités », mille fois oui ! C’est avec les impôts que l’on finance ces chaînes : elles doivent s’adresser à tous, sans aucune forme de discrimination ou de publicité subjective…

Un petit sourire : si vous me demandez quel est le meilleur journal ? Presse Evasion, bien sûr !

Beaucoup de monde, de tous horizons, peuvent apporter leur pierre, à la construction de l’édifice culturel qui nous conduit aux prochaines élections. Pour reprendre un lieu commun, ce n’est pas tant la destination qui est importante mais le chemin qui y mène…

"L'homme moderne, au lieu de chercher à s'élever à la vérité, prétend la faire descendre à son niveau" écrivait René Guenon.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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