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80 % des collaborateurs exercent en télétravail : GROUPAMA répond aux contraintes de la COVID en gardant le cap
avril 07, 2021Il ne faut pas se fier à la première impression. Elle n’est pas nécessairement la meilleure des conseillères. La suite de bureaux traversés au pas de charge par la petite délégation qui en a visité le moindre de ses aspects ne signifie nullement que l’activité professionnelle y est absente ! C’est là toute la subtilité du télétravail quand il est réussi. D’ailleurs, chez l’assureur mutualiste régional, la productivité demeure excellente. Que l’on soit à domicile ou sur son lieu de travail !
AUXERRE: D’ordinaire, le siège social de la direction départementale de GROUPAMA Paris Val-de-Loire bruisse de mille sonorités. Ces signes de vie traduisent l’effervescence qui y règne.
Tapotements rapides de mains expertes sur les touches d’un clavier, réception d’appels téléphoniques sans discontinuer afin de résoudre les besoins des sociétaires, voix des occupants qui communiquent des informations : bref, c’est le rythme de croisière d’une entreprise d’assurance et de prévoyance dans son jus quotidien.
Quarante-sept personnes s’y affairent avec âpreté et se répartissent les différents espaces prévus à leur accueil.
Or, ce n’est pourtant pas la vision naturelle qu’aura aperçue le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite des lieux.
Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’unité départementale de la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités), le représentant de l’Etat se sera très vite rendu compte que cette enfilade d’espaces professionnels qu’il aura franchie en compagnie de ses hôtes demeurait vide de tout occupant.
Ou presque à de très rares exceptions. Logique, seuls neuf collaborateurs de l’entreprise mutualiste exercent encore leur activité en présentiel. Parce que leurs tâches ne sont pas transposables à leur domicile.
L’épine dans le pied du télétravail : l’isolement du personnel…
Curieux sentiment de solitude pour celles et ceux de ces collaborateurs qui avaient les yeux rivés devant les écrans de leurs ordinateurs au passage de la délégation préfectorale. Pour autant, interrogées par le haut fonctionnaire, ces personnes affichaient plutôt avec un sourire facile de l’enthousiasme à pouvoir exercer leur métier dans ces conditions si inhabituelles.
Mais, cet isolement est aussi vécu avec appréhension par une large frange des autres employés de la fameuse maison séculaire : celles et ceux qui restent à demeure. La vraie épine dans le pied de ce bel édifice qui se décline sous nos yeux et se nomme le télétravail.
Une activité qui est fortement encouragée depuis le retour du confinement de troisième génération par Henri PREVOST lui-même (à lire l’article consacré à ce sujet à paraître).
Conscient des aspects psychologiques que cette situation peu commune peut engendrer sur le moral de ses « troupes », le directeur d’établissement de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT (il est aussi lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale) a mis en place un système de rotation favorisant le retour avec parcimonie du personnel qui souhaite évacuer leur stress.
Ce n’est pas le seul outil dont il utilise les saines vertus. Les managers de la place s’appuient sur des plannings de présence en essayant de redonner un supplément d’âme dans ce lieu qui manque singulièrement de convivialité.
Exit la kyrielle d’opportunités où chacun des salariés pouvait allègrement célébrer une fête ou un anniversaire, partageant le gâteau et le verre d’un nectar de notre terroir !
Fini les accolades et les bises matinales entre collègues afin de se souhaiter la bienvenue : le monde du travail a perdu de sa superbe en termes de relations humaines. Même si quelques velléités de recréer une atmosphère chaleureuse réchauffent les âmes affectées par l’imprévisible.
A l’instar du corner café accueilli sur TEAMS et décliné à distance entre les collaborateurs.
Tous les indicateurs sont orientés vers le beau fixe…
Seul rayon de soleil dans cet univers un peu morne de tant d’absences physiques : les résultats du groupe. La productivité de l’entreprise n’a pas disparu, loin s’en faut. La qualité de service, non plus. Chacun y trouve son compte. Surtout les clients de la société assurantielle devant faire face aux problématiques, nées de sinistres automobiles.
Côté investissement, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas ergoté sur les moyens technologiques pour équiper son personnel afin qu’il puisse exercer ses tâches dans les configurations les plus optimales.
La direction régionale a consacré une enveloppe budgétaire de 800 000 euros à la dotation des 1 600 collaborateurs en matériel numérique adéquat : écrans, unités et webcams ! D’ailleurs, d’ici peu, de nouvelles webcams seront déployées sur le territoire.
Commentaire avisé de Jacques BLANCHOT à ce propos : « La pandémie nous a fait faire des efforts colossaux en un laps de temps record ! ».
Au mois d’octobre 2020, l’entité avait proposé à ses salariés un accord d’entreprise, reposant sur le volontariat, permettant de réguler au mieux le télétravail. Accord qui concerne le personnel en contrat à durée indéterminé (CDI), d’une ancienneté de plus de douze mois.
Cet accord a fait l’objet d’un avenant au contrat de travail des collaborateurs. Clin d’œil anecdotique mais révélateur de l’art d’anticiper les choses : GROUPAMA évoquait déjà la possibilité de mettre en place tôt ou tard le télétravail, et ce à partir de janvier 2020.
Cela se déroulait il y a dix-huit mois. Depuis, on connaît la suite…
Thierry BRET
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Une Master class lui est consacrée à Vauban : l’agneau se dévoile façon puzzle aux élèves cuisiniers !
mars 29, 2021A l’instar de la fameuse formule s’appliquant à la viande porcine, tout serait-il bon à consommer également dans l’agneau ? C’est en toile de fond le fil rouge qui a prévalu lors de cette séance concoctée au lycée des Métiers ce lundi 29 mars. Afin d’en découvrir chaque morceau et ses modes de cuisson…
AUXERRE : Dépecer une carcasse d’un agneau représente tout un programme de dextérité et de minutie à réaliser. Comme l’a démontré l’exercice d’un professeur de l’établissement, retraité de surcroît, sachant manier avec parfaite maîtrise la scie et le couteau.
Les élèves du groupe scolaire VAUBAN se sont familiarisés avec les techniques de la découpe de la pièce carnée. Comme phase liminaire à cette « Master Class » spéciale, on ne pouvait trouver meilleure entrée en la matière !
Quelques jours avant la fête pascale, il semblait judicieux pour le professeur de cuisine François HENNARD de mettre l’agneau au goût de cette session.
En connaître les différents morceaux les plus usités dans les recettes tout en les visualisant dans la carcasse de l’animal était l’un des objectifs de cette animation.
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Un autre volet thématique a permis aux futures pousses de la cuisine de découvrir les différences existantes entre des agneaux issus du Label Rouge (les deux pièces travaillées ce lundi matin offertes par Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, correspondaient à cette qualité de viande) et les autres catégories plus inférieures. Entre deux séances, on aborda aussi la notion des prix et la traçabilité lors de ces échanges instructifs.
L’après-midi fut réservé à la conception des recettes et leurs modes de cuisson. Celles préparées par le chef du Rive Gauche Jérôme JOUBERT. Il en présenta plusieurs à une dizaine d’élèves qui les réalisèrent avant de les restituer et les soumettre à l’appréciation gustative des professionnels fréquentant les travées du magasin METRO à Auxerre. Une manière agréable de joindre la boucle en mettant l’eau à la bouche à qui voulait goûter !
Thierry BRET
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Elle se pratique différemment dans les amphithéâtres : la laïcité est-elle mise à l’épreuve à l’université ?
mars 23, 2021La France étant un pays laïc, les établissements scolaires se doivent d’en respecter ses grands principes. A la suite des récents évènements qui sont survenus dans l’Hexagone et qui ont fait la une de l’actualité, la laïcité est devenue bien malgré elle un véritable sujet de discussion dans les amphithéâtres des universités.
TRIBUNE: Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), la laïcité est un « principe de séparation dans l’État de la société civile et de la société religieuse. »
Dans l’enseignement primaire et secondaire, les écoles sont laïques. Mais, les élèves n’ont pas le droit de porter des objets de façon ostentatoire en rapport avec leur religion. Au sein de l’enseignement supérieur, la laïcité est quelque peu différente. Il est autorisé pour les étudiants de porter une croix, la kippa ou encore le voile, par exemple.
L’article L141-6 du Code de l’Education stipule que : « Le service public de l’enseignement supérieur et de la recherche est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique. Il tend à l’objectivité́ du savoir ; il respecte la diversité́ des opinions. Il doit garantir à l’enseignement et à la recherche leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique ».
Toutefois, les questions de faits religieux ont été relevées dès les années 2000 par la Conférence des présidents d’universités. Ces remarques ont fait l’objet d’une actualisation du guide « La laïcité dans l’enseignement supérieur » en 2015. Ce fascicule a pour objectif de répondre à toutes les interrogations en rapport avec la laïcité à la fois pour les étudiants, pour les enseignants ou encore les institutions.
La laïcité est-elle à revoir ?
L’assassinat de Samuel PATY a remis en jeu les cartes des règlements des institutions d’enseignement. Ce n’est pas seulement les collèges qui ont été touchés par ce drame mais tout le corps enseignant dont les universités.
Quelques mois plus tard, l’enquête demandée au CNRS par la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique VIDAL a aussi touché les rapports entre le monde estudiantin et les aspects religieux.
Pour rappel, elle a déclaré le 14 février 2021 : « L’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et l’université n’est pas imperméable ».
Ces deux évènements touchent de manière très profonde la question de la laïcité. A en croire l’assassinat de Samuel PATY ou encore les propos de la ministre Frédérique VIDAL, la laïcité n’est plus respectée dans le monde de l’enseignement.
Plusieurs enseignants ont depuis été accusés d’avoir tenu des « propos islamophobes ». Deux professeurs de Science Po Grenoble ont vu leurs noms affichés sur les murs de l’IEP.
C’est le jeudi 04 mars à l’université de Saint-Martin-d’Hères en Isère que les noms ont été divulgués. Le procureur de Grenoble Eric VAILLANT a indiqué deux jours plus tard qu’une enquête avait été ouverte.
Celle-ci avait pour objet les « injures publiques » et la « dégradation légère » après le signalement de Science Po Grenoble au sujet des affiches. Au final, cette enquête a été classée sans suite.
Depuis l’intervention de la ministre Frédérique VIDAL à propos de l’islamo-gauchisme dans les universités, le débat entre étudiants, enseignants et syndicats est devenu quelque peu tendu.
Par conséquent, la sénatrice (RDSE) de Gironde Nathalie DELATTRE appelle à la création d‘une « commission d’enquête ou une mission d’information sur le sujet » de la laïcité sur Public Sénat.
A l’initial, des visites d’université étaient prévues avant la COVID-19 ; aujourd’hui, selon elle, « il faut que l’on arrive à retrouver un dialogue apaisé… ». Un dossier à suivre dans la sphère estudiantine.
Jordane DESCHAMPS
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Les aides de l’Etat à l’apprentissage : vitales et nécessaires pour les élus de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat
mars 22, 2021La tribune lancée par les présidents de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté est explicite. Maintenir les aides en faveur de l’apprentissage représente une mesure vitale pour ces dirigeants. Eu égard aux 100 000 jeunes qui ont fait le choix de suivre ce type de formation dans les métiers de la filière. Soit une hausse de 4 % par rapport à 2019…
DIJON (Côte d’Or) : Malgré la crise sanitaire, l’apprentissage enregistre un net regain d’intérêt auprès de la jeunesse. Près de cent mille de ces apprenants ont choisi en effet de suivre cette voie pédagogique notamment dans la filière de l’artisanat en France. D’où le nécessaire maintien par le gouvernement des aides en faveur de ce mode d’orientation, selon les responsables de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la région.
S’exprimant de manière conjointe par le biais d’une tribune, ces leaders de la vie économique ont renouvelé leurs souhaits de voir proroger lesdites aides déjà mises en place par la ministre du Travail Elisabeth BORNE. Cette dernière devrait en annoncer le prolongement d’ici peu.
Réfléchir aux suites à donner à ces aides une fois la crise finie…
Deux hypothèses sont toutefois avancées quant à la poursuite de ces mesures. La première concerne l’arrêt de ce dispositif fin mai. Avec un retour à la seule aide unique qui précédait la crise.
La seconde se rapporte à la prolongation de ces mesures jusqu’à la fin du mois de mai. Puis, entre mai et décembre, d’exclure les Bac + 5 du dispositif et de réduire de facto l’aide à 4 000 euros pour les entreprises de plus de 250 salariés. C’est cette dernière option qui interpelle les élus de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat régionale.
Ils ont pu juger des effets positifs de cette aide sur le recrutement de jeunes majeurs.
« Cela doit d’ailleurs nous amener à réfléchir aux suites à donner à ce dispositif une fois que la crise sera derrière nous, écrivent-ils dans un message commun.
Les présidents de ces chambres consulaires rappellent que « l’apprentissage représente la clé de voûte de la réussite et de l’insertion professionnelle de ces jeunes générations ».
Il est vrai que des faits concrets viennent étayer leurs propos. Chaque année, 85 % des apprentis trouvent chaussure à leur pied en s’insérant dans la vie active avec dans leur besace un emploi qui est obtenu dans les sept mois au sortir de leur formation. Peu de filières pédagogiques peuvent s’enorgueillir de tels résultats !
En savoir plus :
Les signataires de cette tribune publiée en fin de semaine sont :
Régis PENNECOT, président de la délégation Côte d’Or,
Michel CHAMOUTON, président de la délégation du Jura,
Frédéric CAVAGNAC, président de la délégation de Haute-Saône,
Jean-François LEMAITRE, président de la délégation de l’Yonne,
Manuela MORADINHO, présidente de la délégation du Doubs,
Sébastien THOMAS, président de la délégation de la Nièvre,
Jean-Philippe BOYER, président de la délégation de Saône-et-Loire,
Christian ORLANDI, président de la délégation du territoire de Belfort.
Emmanuel POYEN, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté (photo).
Thierry BRET
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Le chiffre 13 s’appréciera-t-il désormais comme un véritable porte-bonheur pour le CIFA de l’Yonne ? En tout cas, ce nombre va revêtir de la plus haute importance les 07 et 08 avril prochains pour le centre de formation auxerrois. Ces jours-là vont être consacrés à la réception des phases finales nationales de la 46ème compétition des ex-Olympiades des Métiers, catégorie « cuisine ». La fine fleur des toques de l’Hexagone en devenir y disputeront les qualifications en vue d’intégrer l’équipe de France. Sacré challenge en perspective !
AUXERRE: Objectif « Shanghai 2023 » pour les professionnels de l’artisanat ! Celles et ceux de ces jeunes loups aux dents aiguisées qui se lancent le super défi d’être retenus parmi l’équipe tricolore afin de disputer les WORLD SKILLS !
Mais, avant d’intégrer le saint des saints très sélectif de ce savoir-faire à la française et prétendre décrocher le précieux Graal lors de cette équivalence des Jeux Olympiques des métiers en Asie, les 632 compétiteurs français, issus des 56 métiers de la filière, devront tout d’abord en découdre durant des finales nationales sur une cinquantaine de sites répartis dans l’Hexagone devant les accueillir début avril.
Et par pur bonheur, le CIFA de l’Yonne, toujours un brin précurseur pour se distinguer honorablement, sera l’un de ces endroits stratégiques, bénis par les dieux de la bonne chère devant profiter de l’aubaine.
Au même titre que ceux de Mâcon et de Besançon qui recevront respectivement les épreuves de mécanique pour la préfecture de Saône-et-Loire et celles incombant à l’industrie dans le Doubs.
Dans l’absolu, ce sont donc treize compétiteurs et autant de membres du jury qui occuperont plusieurs jours durant les infrastructures techniques et le laboratoire du centre de formation auxerrois pour relever ce singulier challenge.
Promouvoir les jeunes et les métiers de la cuisine vers le plus grand nombre…
Deux experts de référence prodigueront également leurs conseils à ces jeunes pousses de la gastronomie qui pourront compter sur le dévouement de leurs commis (de jeunes apprentis du CIFA local) pour espérer décrocher la timbale qualificative. L’un d’entre eux n’est autre que Stéphane COLLET, meilleur ouvrier de France 2018 et professeur de cuisine au lycée Saint-Martin à Amiens.
Signalons également qu’un jeune cuisinier ayant participé à la fameuse émission de M6, « Top Chef », sera l’un des treize finalistes à se présenter sur la grille de départ les 07 et 08 avril à Auxerre.
Quant aux couleurs de la Bourgogne Franche-Comté, elles seront défendues par Simon LEFEBVRE dont nous reparlerons d’ici quelques jours.
Pour le CIFA de l’Yonne, la réception de ces épreuves nationales de cuisine représente un excellent tremplin pour valoriser la filière et asseoir sa promotion auprès des jeunes et de leurs familles.
Outre l’accueil de la manifestation (celle-ci ne sera malheureusement pas ouverte au grand public), l’établissement assurera la logistique organisationnelle de ces journées tant au niveau de l’hébergement, du transport, de la restauration ou encore de la gestion des ingrédients devant servir à la création des recettes.
Les finalistes prépareront au cours de deux modules de quatre heures des recettes élaborées ayant comme point de départ une visite du patrimoine gastronomique lyonnais : le saucisson brioché et un sandre ou encore la jambonnette de volaille et un dessert chocolaté. Autant dire que les épicuriens apprécieront et le jury aussi !
Thierry BRET
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