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Le montant des irrégularités dans l’Yonne atteignait au terme de l’année 2018 une somme vertigineuse qui s’élevait à 938 000 euros. Réaliste pour les résultats de l’année en cours, la Caisse primaire de l’Assurance maladie prévoit de dépasser la barre d’1,3 million d’euros. Pourtant, les irréductibles réfractaires à la civilité et au respect d’autrui ne restent pas impunis. Dans le cadre du CODAF, aux côtés de partenaires institutionnels bien décidés à résorber ces pratiques malsaines, le vénérable organisme poursuit sa lutte. Avec pugnacité et efficience…

AUXERRE: Comment échapper à la récurrente problématique de la fraude à la protection sociale qui resurgit tel un marronnier chronique de la presse people chaque année à l’heure des bilans d’automne ?

Pas si simple d’éradiquer de manière définitive ce singulier problème qui concerne l’ensemble des caisses départementales de l’organisme en France. L’Yonne, malheureusement, ne déroge pas à la règle de ce constat de pratiques irrégulières et vénales dans sa relation avec son cœur de cible, à savoir ses 273 000 assurés sociaux où figure pléthore de strates sociétales : étudiants, actifs, retraités, travailleurs indépendants, etc.

Initiant des prestations proches du milliard d’euros, couchant sur des factures plus de cinq millions d’actes à l’année, le casse-tête n’est même plus chinois pour les services régulation et santé (et surtout comptables) de l’institution départementale.

Passer à travers les mailles du filet est tellement tentant par simple atavisme ou par profonde inadvertance que l’on ne peut envisager de s’y soustraire dans certains des cas. Certes, pas tous, fort heureusement car dans l’option contraire, il y a belle lurette que la CPAM aurait déposé le bilan et aurait rejoint la liste noire des structures organisationnelles ayant passé de vie à trépas !

 

 

Des résultats de plus en plus performants pour stopper l’hémorragie…

 

Toutefois, diverses procédures existent pour que chaque euro aille à son bon destinataire en respectant la règlementation en vigueur. En interne, un service ad hoc prend en charge les signalements, mène des investigations minutieuses et réalise différents contrôles, y compris à domicile.

Cette année, la Caisse primaire de l’assurance maladie a poursuivi, voire renforcé sa politique rigoureuse de détection et de sanction à l’égard des comportements frauduleux.

La méthodologie employée est classique. La CPAM de l’Yonne écoute avec grand intérêt les remontées informatives de ses agents mais aussi des assurés sociaux. Le signalement de tiers sous le sceau de la transparence et non de l’anonymat ne signifie pas pour autant qu’il y ait eu délation.

Les professionnels de l’organisme en charge de ces enquêtes croisent ensuite leurs renseignements pour débusquer les auteurs volontaires ou par mégarde de ces paiements douteux qui prêtent à interrogation.

Récemment, il est avéré que des malversations ont été constatées via l’emploi abusif des cartes VITALE. Mais si la fraude existe dans le département de l’Yonne, elle demeure somme toute marginale. Soit moins de 0,001 % !

Rappels à l’ordre, avertissements, réduction des remboursements : la convocation des assurés après contrôle de leurs arrêts de travail engendre parfois quelques désagréables surprises. Le développement de nouveaux programmes de contrôles facilite l’amélioration des méthodes de détection.

Au niveau de l’Hexagone, la Caisse primaire de l’assurance maladie a stoppé un équivalent de 2,4 milliards d’euros d’activités illégales. Rien que pour l’exercice 2017, l’organisme a initié 8 077 actions contentieuses. Soit 8 % de mieux que l’année précédente.

 

 

Des contrôles exercés en collaboration avec d’autres organismes…

 

Dans l’Yonne, le taux d’absence consécutif à un contrôle initié par un arrêt de travail s’élève à 34.5 %. Une hausse par rapport à l’exercice antérieur qui progresse de près de dix points ! Même si le constat est orienté à un léger ralentissement de ces abus, il s’avère que le territoire de l’Yonne offre une vision plus élevée que la moyenne régionale, voire nationale.

En matière d’assurance maladie, les contrôles concernent en règle générale les établissements de soins, les professionnels de santé et les assurés. Précisons que pour les employeurs, les vérifications découlent davantage de la branche recouvrement avec les URSSAF.

Mais, l’étroite osmose collaborative qui prévaut entre les différents organismes permet de découvrir les fraudes, notamment en matière d’indemnités journalières.

Une fois le forfait découvert, la CPAM n’a plus qu’à porter plainte contre tout assuré qui percevrait des indemnités journalières tout en exerçant une activité non autorisée.

Le premier organisme payeur du département de l’Yonne observe enfin une sensible hausse du nombre de dossiers à traiter en 2019 (93) pour un montant estimé à approximativement d’1,348 million d’euros.

Toutefois, les professionnels de santé exercent de leur côté des pressions considérables pour endiguer les brebis galeuses contrevenantes à ne plus fauter dans le système.

C’est pourquoi, la CPAM a décidé de rejoindre le CODAF (Comité opérationnel départemental antifraudes), placé sous l’égide de la préfecture et des procureurs de la République, pour faciliter la coordination locale des actions.

 

 

 

 

 

 


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L’actualité agricole a tenu le haut du pavé, partout en France mais aussi sur le territoire de l’Yonne au cours de la semaine écoulée. Revendications visibles dans les rues, conférence sur les vertus de l’agro-écologie, assemblée générale de la coopérative YNOVAE : le milieu de l’agro-alimentaire s’est signifié à notre bon souvenir de consommateur aiguisé que nous sommes. Cerise sur le gâteau : la venue de la présidente nationale de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) à Auxerre a ponctué de très belle manière cette semaine « verte et environnementale » vitrine promotionnelle idéale contre les zélateurs de l’agribashing…

AUXERRE : Christiane LAMBERT est en colère et le fait savoir à bon escient ! Peu avare en commentaires explicites sur le sujet de prédilection qui l’anime au quotidien, à savoir la défense des intérêts de sa corporation, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) ne lésine pas sur le temps de parole à accorder aux journalistes lors d’une conférence de presse. Plus d’une heure d’entretien où tous les thèmes liés à l’actualité du moment ont pu être balayés sans langue de bois.

De passage dans la capitale de l’Yonne, ce vendredi 29 novembre, la « wonder woman » du monde rural a pu s’expliquer longtemps avec les médias sur les motivations essentielles qui la poussent à mener bec et ongles ce combat de la dernière chance face à un gouvernement de moins en moins inflexible. Un combat qu’il est nécessaire de remporter car il y a péril en la demeure.

Mardi 03 décembre, la syndicaliste à la tête d’une exploitation porcine laissera de côté son emploi du temps professionnel pourtant bien garni afin de regagner Paris en vue d’une rencontre qui se présente déjà comme capitale avec le Premier ministre.

Fruit d’une âpre négociation obtenue avec les conseillers agricoles de l’Elysée et de Matignon au terme de la journée de revendication de mercredi, ce rendez-vous avec Edouard PHILIPPE et le ministre de l’agriculture Didier GUILLAUME peut-il augurer de l’adoption de préconisations judicieuses et pertinentes ?

 

Ne pas suivre les propos hystériques des politiques en campagne électorale…

 

Pas un jour ne passe en effet sans que le milieu agricole ne souffre de manière concrète et brutale dans sa chair. Placé sous haute vigilance, le secteur est en proie à de profondes désespérances humaines pouvant aboutir au drame. Conspuant le nouveau phénomène disruptif de l’agribashing, largement répandu par les réseaux sociaux, la présidente de la FNSEA n’a pas caché sa virulence et son émotion contre ces fauteurs de trouble de l’ordinaire qui retranchent les professionnels dans leur isolement.

Mercredi dernier, à Paris mais aussi dans la plupart des grandes agglomérations de l’Hexagone, les agriculteurs sont descendus dans la rue afin d’y manifester leur mécontentement mais aussi pour y faire entendre leur désarroi.

Plus de mille tracteurs ont ainsi bloqué les deux voies de circulation du boulevard périphérique qui contourne de la capitale au grand dam des forces de l’ordre, qui se sont contentés d’observer sagement la situation.

Comme devait le signifier Christiane LAMBERT, la présence de ces manifestants agricoles en nombre n’aura occasionné ni scènes de violence ni pillage dans les rues adjacentes de la capitale.

Lassés des incertitudes économiques qui planent au-dessus de leur tête, les agriculteurs ayant suivi la feuille de route de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs (JA) n’en rejoindront pas nécessairement les cortèges qui arpenteront les rues des métropoles françaises le 05 décembre prochain. Quant à participer au mouvement social imputable aux Gilets jaunes, il existe une frontière vers laquelle la dynamique présidente ne souhaite pas franchir.

Dénonçant la politisation de ces mouvements sociaux, dont celui prévu le 05 décembre, Christiane LAMBERT ne désire pas associer le syndicat de professionnels dont elle représente les valeurs à des phénomènes de masse qui ne cessent de prôner le chaos et la destitution de telle ou telle représentant institutionnel ou politique.

En outre, la dirigeante syndicaliste rappelle que les exploitants agricoles sont avant tout des chefs d’entreprises devant faire fonctionner leur modèle économique.

 

 

Faire confiance aux décisions de l’agence de sécurité sanitaire…

 

Bref, pour elle, il sera plus important de s’entretenir avec le pensionnaire de Matignon dès mardi en lui faisant part des doléances actuelles qui ont pour nom l’agribashing, la hausse des revenus, les attentes de la Politique agricole commune (PAC) européenne ou l’approche pratique des ZNT, ces fameuses zones de non-traitement aux pesticides, sujet à bon nombre de griefs et d’atermoiements parmi les représentants de la filière.

Sur ce dernier point – l’une des clés de voûte des revendications actuelles avec les revenus -, Christiane LAMBERT rappelle qu’il faut se fier pour y voir plus clair aux décisions émises par les scientifiques. Et non aux propos hystériques de bon nombre d’élus qui agissent au nom de leurs coteries personnelles dans un cadre de pré-campagne électorale.

« Je préfère m’en remettre aux décisions fournies par des organismes ayant des compétences sur ces sujets à l’instar de l’ANSES, devait-elle ajouter, en citant la fiabilité des travaux de l’agence de sécurité sanitaire.

Christiane LAMBERT qui avait répondu par l’affirmative à l’invitation de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire et de ses dirigeants (Daniel COLLAY, président de la Caisse régionale, Eric GELPE, directeur dudit établissement, Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l'Yonne, Jacques BLANCHOT, directeur d'établissement Yonne) s’est également entretenue au terme de ces échanges avec les leaders départementaux de la FNSEA (Damien BRAYOTEL), des Jeunes agriculteurs et de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Arnaud DELESTRE.

Avant de réviser ses dossiers en vue de se préparer à l’entretien avec le Premier ministre de mardi…

 

 

 


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Et le cœur de cible de ce projectile verbal qui n’aura pas manqué de surprendre la copieuse assistance réunie lors de la cérémonie protocolaire de remise de médailles et de distinctions du SDIS 89 ne fut autre que la municipalité d’Auxerre. Ce qui est loin d’être une surprise en soi, au demeurant ! 

AUXERRE : Alors que les discours officiels, ponctuant la cérémonie protocolaire de remise de distinctions et d’accessits aux sapeurs-pompiers de l’Yonne se succédaient les uns à la suite des autres de manière quelque peu monocorde, le député de la première circonscription fut convié à venir s’exprimer à son tour au pupitre.

Visiblement très en verve derrière le micro, le leader départemental des Républicains prit l’auditoire à contre-pied par la tenue de ses propos. Après avoir salué et remercié, il va de soi, les femmes et les hommes de la compagnie qui n’hésitent pas à pratiquer au quotidien la bravoure afin de sauver des vies.

Puis, le ton changea de manière radicale. A l’instar de la teneur du message qui n’avait plus pour objectif d’encourager l’engagement et le courage des soldats du feu. Mais de planter une banderille acidulée en direction de l’équipe municipale.

Guillaume LARRIVE profita du temps de parole qui lui était accordé pour asséner un coup de massue venant frapper la Ville. En présence du premier adjoint à la mairie, Guy PARIS, qui, stoïque sur l’estrade derrière l’orateur, écouta celui-ci en y portant pleinement attention.

« Je n’accepte pas que la commune d’Auxerre ne verse pas sa contribution financière au SDIS 89, clama haut et fort le parlementaire bien accroché à son micro.

Puis de poursuivre sur la même tonalité, « trouvez-vous logique que les responsables du SDIS soient obligés de se rendre à la banque au cours de ces trois derniers mois du trimestre pour quémander l’argent nécessaire afin de payer les sapeurs-pompiers en recourant à l’emprunt ! ».

Et un brin ulcéré eu égard à la situation, le pensionnaire du Palais Bourbon de conclure : « est-ce ainsi que la Ville d’Auxerre exprime sa reconnaissance envers ces femmes et ces hommes engagés loyalement au service d’autrui ? ».

Rideau : la critique incendiaire était envoyée sans poste restante.

 

Circonscrire l’incendie dans un cadre inapproprié à la polémique…

 

Le député de l’Yonne n’avait plus ensuite qu’à formuler les remerciements usuels avant de quitter promptement l’estrade des officiels pour continuer sa soirée.

Estrade sur laquelle Guy PARIS figurait encore. Le premier adjoint à la Ville gagna d’un pas calme à son tour la tribune pour faire part de ses commentaires à propos de ces allégations qui lui avaient été indirectement adressées en sa qualité d’élu.

« Nous ne sommes pas à l’heure des polémiques, lança-t-il, ce n’est ni le lieu ni l’instant en cette manifestation de la fête de la Sainte-Barbe. Il y aura un temps précis où les choses s’expliqueront… ».

Une manière de circonscrire avec sagesse et efficience le début d’incendie qui couvait depuis quelques minutes sur la scène de la caserne auxerroise.

Le cours des choses reprit, après l’intervention de l’élu d’Auxerre, sur un rythme tranquille de croisière inhérent à une cérémonie protocolaire qui était loin d’être terminée…Comme si de rien n’était.

 

 


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Depuis sept ans, le producteur d’énergie exploite une des plus puissantes installations solaires en France. Sur une zone de plusieurs hectares qui est située sur la commune de MASSANGIS dans l’est de l’Yonne. Equipé de 700 000 panneaux photovoltaïques, le site produit l’équivalent annuel à la consommation électrique de 26 000 habitants. Soit 56 MW. D’ici 2021, sept éoliennes devraient compléter ce dispositif…

DIJON : D’une capacité de production de 25,2 MW, les sept nouvelles éoliennes, érigées par le groupe EDF sur le territoire de l’Yonne, devraient être opérationnelles d’ici la fin de l’année 2021.

L’ensemble des structures faites de métal et de béton sera réparti sur les communes de MASSANGIS et de GRIMAULT. Dans un secteur où le vent est propice à se manifester avec relative constance.

La filiale du producteur/distributeur d’électricité, EDF Renouvelables, a par ailleurs confirmé avoir d’autres projets de développement de parcs éoliens et de centrales photovoltaïques dans la région.

Sachant en filigrane que le groupe porte l’éolien parmi ses priorités de développement à moyenne échéance.

Depuis 2015, EDF Renouvelables exploite le parc à base d’éoliennes de LOUMONT dans le Doubs. Sa puissance s’élève à 25 MW. Ce site comprend une dizaine d’appareillages de deux mégawatts chacun. Ils occupent un espace géographique compris entre Besançon et Belfort.

Chaque année, la production de ce complexe énergétique représente l’équivalent de la consommation électrique d’environ vingt mille personnes. Toutefois, comme le précisa le directeur EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON, en conférence de presse, « nous sommes en capacité d’installer des machines encore plus puissantes sur site… ».

 

 

Lancement de deux nouveaux projets de centrales solaires…

 

Début mars, deux nouvelles possibilités d’exploitation ont été retenues par la Commission de régulation de l’Energie (CRE). La reconversion de la friche industrielle du quartier de Valmy à Dijon servira de judicieux prétexte à l’implantation de l’une des deux futures centrales solaires de Bourgogne Franche-Comté à l’estampille EDF.

L’ancienne décharge accueillera une zone de production électrique de 16 MW. Elle desservirait les besoins de 8 000 habitants et ce, pour une durée d’une trentaine d’années.

Un autre secteur de Côte d’Or, toujours situé à la périphérie de l’agglomération dijonnaise, est aussi concerné. Celui où l’ancien centre d’enfouissement de Lux se métamorphosera en une centrale solaire de 8,6 MW.

Quant à la mise en place de ces deux structures, elle est prévue pour la fin 2020/début 2021.

Mais, d’autres réalisations pointent déjà le bout de leur nez à brève échéance. Demeurant quelque peu évasif sur les lieux exacts où seront construites ces réalisations, Yves CHEVILLON a précisé toutefois que plusieurs dizaines de projets pourraient voir le jour en Bourgogne Franche-Comté en matière d’éolien et de centrales solaires, à base de panneaux photovoltaïques.

En considérant que le producteur d’électricité souhaite développer à terme un maillage global de 30 000 hectares sur l’Hexagone. Un volume considérable qui représente quatre fois les capacités actuelles de production d’énergie solaire en France.

Précisons pour conclure qu’un projet de construction de quatre éoliennes est dans les starting-blocks du côté de Vermenton à l’orée de 2021. Les machines qui y seraient posées devraient y produire 14,4 MW.

 

 

 


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L’emploi, essentiel à l’essor de ce secteur artisanal, représente un réel motif d’inquiétude pour le parlementaire de l’Yonne. Déjà à l’initiative d’une rencontre novatrice avec les professionnels de la filière en début de semaine afin de leur présenter les solutions existantes en matière de formation et de recrutement, le député de la deuxième circonscription a décidé de prendre le taureau par les cornes. Il vient de solliciter le Premier ministre Edouard PHILIPPE pour que ce dernier lui accorde une audience. Histoire de porter ce récurrent sujet problématique le plus haut possible vers les sommets de l’Etat…

CHABLIS : Dans la catégorie « je pratique l’art et la manière de la langue de bois », pas la peine de rechercher la carte qui identifierait le député de l’UDI de la seconde circonscription de l’Yonne dans ce jeu plutôt trouble et abscons de la scène politique ordinaire.

Adepte coutumier du leitmotiv, « on le dit, on le fait » tout en disant ce qu’il y a à dire, l’élu de l’Yonne le démontre une fois de plus, après son initiative prise, ce lundi 25 novembre, de vouloir rencontrer des entrepreneurs de la filière hôtelière et restauration.

Thématique retenue ce jour-là : l’emploi dans un secteur corporatiste qui peut en proposer à la pelle. Mais, faute de candidats motivés et sérieux, la filière souffre de mille maux à ne plus savoir que faire.

Pour aller encore plus loin dans sa quête altruiste envers ces artisans qui endurent leur quotidien avec grande difficulté, le pensionnaire de l’Assemblée nationale a décidé de pousser le bouchon à son avantage.

C’est-à-dire en prenant la main sur ce dossier délicat et en demandant une audience auprès du Premier ministre afin de s’entretenir avec lui de la pertinence des réflexions qui lui ont été faites durant ce débat de près de deux heures, intense et riche d’enseignements.

Les services d’Edouard PHILIPPE ont pris bonne note de la requête effectuée par le représentant du palais Bourbon. Il ne reste plus qu’à fixer la date et l’horaire du rendez-vous.

 

 

 

Des contrats en alternance qui se résilient en nombre chaque année…

 

Le souhait d’André VILLIERS est de faire toute la lumière avec le Premier ministre sur les raisons de ce manque d’appétence chronique des candidats potentiels à répondre de manière positive aux offres d’emploi (très nombreuses) qui existent. Comble de paradoxe, sur un secteur d’activité, fer de lance de la gastronomie et du tourisme vécu dans l’Hexagone à l’international !

Certes, la filière n’attire plus les jeunes. Et André VILLIERS a su noter toutes les dichotomies et autres dysfonctionnements qui prévalaient depuis des lustres dans le modèle actuel qui aboutit à une parfaite hérésie.

Un seul chiffre en résume la teneur : 28 % des contrats d’alternance vécus dans les hôtels et restaurants de France ont été résiliés au cours de cette saison par les jeunes gens malgré la bonne volonté de leurs tuteurs !

Un chiffre qui ne s’applique pas, malheureusement, aux seuls apprenants de cette filière. Tous les métiers de la branche artisanale sont gangrénés par cette attitude négativiste qui pollue de manière virale une frange importante des apprentis

Fort de ses arguments, et désireux d’obtenir des réponses concrètes de la part du chef du gouvernement, André VILLIERS attend désormais la date et l’horaire de l’audience avec impatience.

Il aura peut-être la possibilité de deviser d’un jour à l’autre avec le Premier ministre sur les causes de ce fléau qui mine aujourd’hui l’économie française : l’inertie inacceptable qui ne cesse de s’accentuer dans le recrutement.

 


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