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Associée à son partenaire WIZBII, plateforme professionnelle spécialiste de l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes, la Banque Verte reconduit le judicieux concept « Premier stage, premier job ». Une nouvelle déclinaison de ce dispositif se déroulera le 11 décembre à Dijon, sous la forme d’un job dating. Lors de sa première édition, l’année dernière, l’initiative a fait largement ses preuves. 83 % des entreprises participantes ont envisagé, voire entamé, depuis un processus de recrutement. Tandis que 71 % des jeunes gens sensibilisés par cette mise en relation directe avec les services RH des entreprises, devaient la trouver fort utile dans leur recherche d’emploi…

DIJON (Côte d’Or) : Initié à l’échelle de l’hexagone, le concept « Premier stage, premier job » se révèle être un réel succès pour ses organisateurs. Traduite par le déroulement de 80 opérations de « job dating », déclinées entre septembre 2017 et juin 2018, l’initiative portée conjointement par le Crédit agricole et WIZBII, a fait ses preuves.

L’animation a su séduire à la fois les jeunes en quête d’un précieux sésame leur permettant d’intégrer la vie active mais aussi les entreprises. Par le biais de leurs responsables des ressources humaines qui n’ont jamais boudé leur plaisir d’assister à ce type de rencontres.

A chaque rendez-vous, ce sont entre 60 et 80 candidats qui se réunissent dans un lieu convivial autour d’un apéritif dînatoire pour échanger avec les dirigeants et cadres d’entreprises. Des moments privilégiés qui permettent aux jeunes d’obtenir des contacts directs avec les recruteurs de la région.

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Briser le cadre traditionnel d’un entretien classique

Ce travail de proximité et de réseau comporte de sérieux avantages pour les interlocuteurs des deux parties. Les codes ordinaires des entretiens professionnels volent en éclat. Réunis dans des lieux insolites (musées, bars, opéras, châteaux, stades de football et même aquarium !), les participants se déconnectent avec volontarisme d’un protocole cérémonial superfétatoire pour présenter leurs arguments en toute convivialité. Le bilan est plutôt surprenant : cela fonctionne parfaitement bien !

La saison dernière, à l’échelon national, 102 manifestations ont ainsi été proposées. Elles ont permis l’accueil de plus de 6 600 candidats, préalablement sélectionnés, et 825 entreprises. Le nombre de postes à pouvoir s’élevait, quant à lui, à 1 800 offres.

Alors que 34 caisses régionales du Crédit agricole ont rejoint l’initiative, celle de Champagne Bourgogne a opté dès 2017 son choix d’être un acteur essentiel de ce concept dynamique.

Trois opérations de job dating ponctuèrent le calendrier 2017/2018, à Auxerre, Dijon et Troyes. 170 candidats y prenaient part. Ils ont eu l’opportunité de pouvoir rencontrer 25 entreprises de la région.

Le 11 décembre, la capitale de Bourgogne Franche-Comté accueillera le premier des rendez-vous proposés cette saison. Une dizaine d’entreprises ont déjà confirmées leur présence. Parmi celles-ci, Super U ou le Crédit agricole. Elles y dévoileront leur stratégie en matière de recrutement, recherchant de futurs collaborateurs.

Des postes de développeurs informatiques, responsables HSE, responsables achats, responsables communication et marketing, attachés commerciaux, mais aussi de commerciaux de terrain, conseillers commerciaux, managers et employés commerciaux ou hôtes de caisse seront à pourvoir.

Les candidats doivent obligatoirement s’enregistrer sur le lien suivant (https://bit.ly/2Pm8x25) pour y prendre part. Il est possible de contacter la plateforme WIZBII (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) ou le lien téléphonique, 06.69.67.10.87.

 


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Paraphée ce jeudi 29 novembre dans l’hémicycle de la Région, la convention de partenariat engageant l’exécutif régional et le partenaire historique en matière d’énergie porte sur trois axes prioritaires : la transition énergétique, le développement économique et l’emploi ainsi que l’innovation. Via l’apport de solutions intelligentes en vue d’améliorer le bien-vivre dans les territoires. Cela représente les domaines spécifiques de ce nouveau contrat moral. A terme, la Bourgogne Franche-Comté deviendra une référence nationale sur les questions de transition énergétique, notamment dans les territoires ruraux…

DIJON (Côte d’Or) : Effervescence à l’Hôtel de la Région en ce jeudi 29 novembre. Devant une assistance bien garnie d’élus et de représentants des milieux économiques et institutionnels, la présidente de la Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, apposait sa signature sur les documents officiels, une liasse de papiers importants, placés devant elle. A ses côtés, et respectant un rituel identique, le président-directeur-général du groupe EDF, Jean-Bernard LEVY, procédait avec la même dextérité à ce geste capital.

Entérinée peu avant midi, la ratification de cette convention de partenariat scelle dorénavant les deux structures vers des objectifs similaires. Construire parmi plusieurs domaines, nés de la nécessaire transition énergétique, la Bourgogne Franche-Comté de demain.

Devenir une région bas carbone à terme…

On le sait l’un des vœux de la présidente de la Région est de placer son territoire de prédilection au firmament de cette transition écologique et énergétique, indispensable désormais à la sauvegarde de la planète. Pour y arriver, la responsable de l’exécutif régional a tablé sur trois axes stratégiques majeurs, clés de voûte de son mandat.

Sa politique volontariste s’articule autour de ce précepte qui l’anime : propulser la Bourgogne Franche-Comté parmi les références nationales de ces territoires à énergie positive et zéro déchet à horizon 2050.

Il apparaissait logique qu’elle s’allie avec l’incontournable leader de la distribution et production d’énergie de France, à savoir le groupe EDF. C’est donc son président national en personne, Jean-Bernard LEVY, qui est venu depuis Paris, conforter ce choix politique et environnemental.

Un message fort, en faveur de l’énergie renouvelable, source d’emploi et d’innovation technologique, adressé à tous les détracteurs de cette cause !

Dans un premier temps, l’objectif de ce partenariat est d’optimiser la transition énergétique dans les zones rurales. Plusieurs axes de travail ont ainsi été retenus : le développement des énergies renouvelables, notamment le solaire ; la mise en place du SPEE (service public de l’efficacité énergétique) et son application concrète dans les bâtiments ; l’essor de la mobilité énergétique et l’amélioration de l’acceptabilité des projets d’énergie renouvelables électriques au sein des territoires.

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Une succession de pistes exploitables dans les prochains mois…

En second lieu, le volet emploi figure parmi les vecteurs essentiels de ce plan de développement à plusieurs années. Ainsi, l’emploi local sera développé pour répondre aux attentes de la filière énergie. Le renforcement de l’attractivité de la filière industrielle deviendra une évidence.

L’insertion et la conversion professionnelles, à l’instar de la promotion des compétences de la filière énergie gagneront en efficience. Des exemples de projets ont déjà été cités comme la création de l’école de production de Chalon sur Saône à l’initiative d’EDF, avec le soutien de la Région, ou la formation des jeunes pousses aux métiers de la maintenance des parcs solaires, dispensée au lycée de Montbard en Côte d’Or.

Reste le troisième point de cet accord bipartite. Il concerne la promotion et le déploiement de solutions énergétiques intelligentes et alternatives en particulier la structuration d’une filière hydrogène régionale.

Jean-Bernard LEVY a, par ailleurs, confirmé que le groupe EDF apporterait sa contribution et son expertise à l’expérimentation et au déploiement de ces solutions. On pense notamment à l’axe de la mobilité écologique et son corollaire avec la déclinaison ferroviaire via les TER.

Enfin, la mise en exergue de démarches novatrices articulant la gestion de l’eau, la biodiversité et le tourisme durable représente une autre piste que les deux partenaires désirent privilégier à l’avenir.

 

 


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Inscrit dans sa politique de gestion du risque, le déploiement de services d’accompagnement en santé pour favoriser la prévention et l’organisation du parcours de soins est devenu l’un des axiomes essentiels de la Caisse primaire de l’assurance maladie en France. Près de 15 millions de personnes souffrent aujourd’hui de pathologies chroniques, dont plusieurs milliers sur le seul département de l’Yonne. En s’engageant aux côtés des patients, l’organisme veut apporter une aide tangible aux assurés afin qu’ils deviennent les véritables acteurs de leur santé…

AUXERRE : Depuis une décade, l’engagement mené par les services de la C.P.A.M. n’a jamais faibli d’un iota. Au contraire. Face à la hausse croissante des maladies chroniques observées à travers l’Hexagone et les risques de complication inhérents à ces pathologies, l’Assurance maladie ne cesse d’intervenir auprès des assurés pour les alerter sur les dangers bien réels qu’ils encourent en cas de manquements.

Plusieurs programmes de santé sont ainsi déclinés désormais. De prime abord, ils favorisent la prévention. Mais, surtout, ils facilitent l’organisation du parcours de soins. En garantissant une pérennisation de celui-ci aux assurés bénéficiaires tout au long de leur existence.

Dix ans après la mise en exergue des premiers accompagnements, l’Assurance maladie renforce son dispositif. Elle l’a élargi à la prévention primaire. La grippe, le diabète, l’asthme, les problèmes bucco-dentaires sont autant de thématiques importantes qui ont complété le nécessaire dépistage du cancer, le retour à domicile après une hospitalisation, l’aide au sevrage tabagique ou la vaccination.

SOPHIA diabète : des répercussions positives sur le suivi des  patients…

Apparu en 2008, le programme d’accompagnement des personnes diabétiques SOPHIA recense à ce jour 4 627 adhérents. Soit plus d’une personne sur trois concernées sur le territoire de l’Yonne par cette insidieuse pathologie. Ce service offre un bilan positif de son action. Non seulement, le suivi de la patientèle a gagné en efficience, mais en outre, le coût de sa prise en charge pour la collectivité est moindre.

Ombre au tableau sur un aspect purement statistique, on est encore loin du compte au niveau de la mobilisation globale des malades. 12 031 personnes sont éligibles à ce service. Il reste encore un long travail d’information et de sensibilisation pour la C.P.A.M. qui se veut philosophe vis-à-vis de cette situation.

Ces efforts de communication se muent par un élargissement des canaux. Les inscriptions en ligne, par le biais des outils numériques, se sont multipliées après juin 2017 grâce au support, ameli.fr.

SOPHIA asthme : des débuts prometteurs dans l’Yonne

Etendu aux patients asthmatiques dès le printemps dernier, le service SOPHIA asthme enregistre 196 bénéficiaires. Pour un total de 2 263 personnes éligibles. Optimistes, les responsables de la Caisse primaire de l’assurance maladie s’attendent à une recrudescence des adhésions dans les mois à venir. Notamment, auprès de la tranche d’âge des 18/44 ans.

Repérés parmi les fichiers de santé, les inscriptions, sous le sceau du volontariat, demeurent gratuites pour les assurés.

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Grâce à la structure TAB’AGIR, l’accompagnement au sevrage tabagique permet d’obtenir également de bons résultats parmi la population icaunaise. L’opération « Mois sans tabac », relayée par les médias, contribue à la réussite de ces animations.

Conséquence, plus de 400 personnes ont été ainsi sensibilisées aux accueils de la C.P.A.M. et du C.E.S. (le centre d’examens de santé) de l’Yonne à Auxerre. Une soixantaine d’entre elles se sont inscrites à une consultation formelle de lutte contre les effets tabagiques.

Une nouvelle phase a d’ailleurs été franchie en 2018 avec le passage du forfait d’aide au sevrage de 150 euros par an et par assuré, à une prise en charge de droit commun des traitements nicotiniques de substitution.

Le retour à domicile soutenu par le programme PRADO

Depuis 2010, il existe trois volets à ce programme. Ils ont été mis en place pour accompagner le retour des personnes après une hospitalisation. Ainsi, les jeunes mamans après leur séjour à la maternité.

1 578 bénéficiaires de ce service ont pu profiter de cet accompagnement dans l’Yonne à fin septembre. Dont 157 mères qui ont pu être suivies dans le cadre d’une sortie précoce. PRADO concerne les jeunes mamans ayant accouché par césarienne depuis 2014.

Qu’il s’agisse d’opérations orthopédiques, digestives, gynécologiques ou autres, les interventions chirurgicales entrent dans le champ d’application de ce programme. 195 personnes ont été concernées cette année dans ce cadre précis.

On peut y ajouter aussi les pathologies chroniques (insuffisance cardiaque, bronchopneumopathie, plaies…) : elles se sont rapportées à 132 patients.

Grâce à ce système qui favorise le maillage territorial et la complémentarité offerte par l’ensemble des professionnels de santé, PRADO obtient des résultats très encourageants. Le taux de mortalité est d’ailleurs impacté et ramené à 2,9 % au lieu de 3,5 % dans le cas où on s’approprie ce programme de reconduction à domicile dans un cadre largement optimisé.

Dans l’Yonne, 2 062 assurés avaient bénéficié de ce processus à fin septembre.

Le Centre d’examens de santé (C.E.S.) : le bras armé de la C.P.A.M.

Complémentaire à la médecine de ville, le rôle du C.E.S., opérationnel depuis 1968, est de préserver la santé des personnes fragiles et précaires. Si la structure réalise plus de 8 400 bilans annuels, elle assure en parallèle des contrôles habituels le rattrapage vaccinal, opération qui est proposée dans le cadre du bilan de santé depuis cette année.

L’éducation thérapeutique des personnes vulnérables s’inscrit parmi ses priorités. Le centre travaille en s’appuyant sur des unités mobiles (celles d’Avallon, de Sens et de Tonnerre) afin de renforcer son action.

Enfin, pour être tout à fait sur ses missions, le C.E.S. est également intégré dans le dispositif de dépistage du renoncement aux soins.

 

 


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Ce fut un registre d’intervention inhabituel pour BGE Nièvre Yonne mais ô combien essentiel à la réflexion et au développement de nouvelles approches économiques. La structure associative régionale a garni les travées de l’amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre, lundi soir, où près de deux cents personnes, issues du sérail entrepreneurial et institutionnel, ont pu apprécier à leur juste valeur les messages forts, relayés par le long-métrage, « La Terre vue du cœur ». Une table ronde, pertinente quant à la thématique abordée, en résultera. Plus que jamais économie et écologie doivent être à l’unisson à l’avenir afin d’éviter un scénario catastrophe…

AUXERRE : Un créateur d’entreprise ne peut plus décemment se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sans être préoccupé par les questions d’environnement et d’écologie. Quel que soit son appétence sectorielle.

Alors que la transition écologique se rappelle au bon souvenir de nos concitoyens, surtout à travers le prisme de la mobilité énergétique et de notre dépendance aux énergies fossiles, le public, convié à découvrir les images de cette production cinématographique de bel aloi (« La Terre vue du cœur »), aura pris bonne note de ce qu’il faut faire et surtout ne pas faire dans ce nécessaire processus de sauvegarde de la planète.

Sortant de son cadre d’intervention habituel (la formation et l’accompagnement de porteurs de projets en vue de leur émancipation professionnelle), BGE Nièvre Yonne s’est donc muée en caisse de résonance intellectuelle, à la cause de l’adoption de préceptes écologiques.

Fiscalité, règlementation, actualité : tout ou presque concorde aujourd’hui pour que la transition écologique s’applique derechef au sein même des entreprises. Partant de ce simple postulat, les responsables de BGE Nièvre Yonne se sont rapprochés de quelques exégètes en la matière pour sensibiliser le commun des mortels de la TPE/PME locale.

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Un excellent vecteur introductif avec le film…

Grand bien leur en a pris : ce qui aurait pu être une soirée délicate à organiser, au vu du contexte conjoncturel du moment et l’émergence inattendue des « Gilets jaunes », pour la plupart réfractaires aux idéologies écologistes, s’est transformé en une pleine réussite côté auditoire.

Refusant du monde aux accès de l’amphithéâtre, BGE a enregistré près de deux cents spectateurs pour sa grande première.

Conçu autour de la personnalité charismatique de l’astrophysicien Hubert REEVES et du philosophe Frédéric LENOIR, le film concocté par Iolande CADRIN-ROSSIGNOL interpella la salle sur la menace insidieuse qui pèse sur la biodiversité.

Largement diffusé à travers l’Hexagone depuis sa sortie initiale, le 13 avril dernier, « La Terre vue du Cœur » représentait un excellent vecteur introductif à la table ronde qui devait suivre.

Celle-ci réunissait, outre le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, le vice-président en charge de l’environnement au sein de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Denis ROYCOURT, et trois responsables du milieu professionnel, Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord Bourgogne au sein de VEOLIA Eau, Abdel Malik OUACHEN, créateur de la TPE INDHYA et le régional de l’étape, Pierre NAUDET, l’un des cadres dirigeants de la société familiale des Pépinières NAUDET à CHEU.

Interrogés par Benjamin LEMAIRE, lui-même créateur de l’agence évènementielle « Le Vin, Tout simplement », les intervenants purent exposer leurs points de vue personnels en apportant de multiples exemples concrets.

Parmi les sujets phare qui auront servi de trames à leurs propos : l’importance de l’eau, ressource vitale à l’existence de l’humanité, la préservation des arbres et forêts, la mise en place du pôle environnemental de l’Yonne (une création programmée en 2019 à Auxerre), le poids des nouvelles méthodologies en matière de gouvernance d’entreprises avec le management libérateur et les entreprises libérées.

Cette soirée riche en thèmes ne pouvait laisser personne dans l’indifférence.


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A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…

TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la  jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.

Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.

Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.

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Faire ressurgir la mémoire des êtres…

Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.

Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.

Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.

Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…

Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.

Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.

 


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