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Le Centre Interprofessionnel de Formation d’Apprentis (C.I.F.A) d’Auxerre possède au total sept cycles pédagogiques au pôle mécanique. L’un d’entre eux s’y est ajouté sous la forme d’une mention. Elle propose l’étude des systèmes embarqués et se réalise en douze mois.

 

AUXERRE : Le pôle automobile et mécanique vient de connaître un sérieux coup de lifting. Objectif : créer un environnement qui se rapproche au plus près des situations professionnelles réelles. L’établissement de l’Yonne a investi 5 millions d’euros en 2019 et en 2020 dont 200 000 euros pour l’acquisition du matériel mécanique.

Ce pôle se décompose en trois bâtiments de plus de 1 000 mètres carrés consacrés à l’apprentissage des élèves. Une salle est réservée à la peinture et celle plus spécifique de la peinture de carrosserie, une autre aux espaces vert et agricole. Enfin, un autre espace accueille l’atelier mécanique.

La formation, depuis 2017, a augmenté de 70 % sa capacité d’accueil en élèves. Avec des classes allant de 10 à 15 jeunes, le CIFA dispose d’environ trente véhicules en statique pour approfondir les connaissances des jeunes pousses à la motorisation.

Certaines de ces automobiles ont été récupérées sous la forme de dons qui sont parfois anciens ou neufs. C’est environ 150 jeunes qui sont ainsi formés chaque année dans les métiers de la mécanique auto. Mais aussi en poids lourds et engins agricoles. Le centre auxerrois bénéficie d’un parc d’équipements pointus tel qu’un laboratoire pour les systèmes embarqués, une station de dépannage des véhicules électriques, etc.

 

Un accompagnement complet pour les jeunes…

 

L’objectif du CIFA étant dans un premier temps la réussite de ses élèves, il a alors mis en place de nombreux dispositifs afin que les jeunes gens puissent apprendre au mieux.

Avec la crise de la COVID-19, de nombreuses formations ont été interrompues. Et ce, notamment lors du confinement allant de mars à mai 2020. Le CIFA consacre ses enseignements à des matières générales mais surtout de la pratique dans l’établissement et en entreprise, l’arrêt de l’école était pour eux compliqué.

 

 

Le centre a dû à l’instar des autres formations générales ou professionnelles de France passés en « e-learning », un apprentissage en ligne. Avec « E-CIFA », les élèves ont pu suivre leurs différents cours depuis chez eux. Les matières pratiques n’ont alors pas été délaissées car des schémas explicatifs de pièces de moteur par exemple ont été mis à leurs dispositions pour continuer d’apprendre dans de meilleures conditions.

 

 

Une boutique virtuelle à la haute technologie pour créer des situations réelles...

 

Malgré les cours à suivre en présentiel, le CIFA a choisi de conserver le concept de l’enseignement à distance au cas où un élève éprouverait le besoin de compléter sa leçon s’il n’avait pas bien compris la séance de la journée.

Quant au un magasin virtuel, le « Clic’Store », il a été mis en place sur une surface de 80 mètres carrés. Développé avec Le concours de la société IDXPROD, ce projet a été créé en 2017. Il représente une nouveauté unique en France.

Celui-ci permet de mettre les élèves en situation réelle avec huit contextes différents : l’habillement, le sport, l’art de la table, etc.

Les Bac Pro mécanique véhicules auto (MVA) ayant une partie livraison peuvent eux aussi profiter de ce concept à la technologie avant-gardiste grâce au contexte automobile qui les immerge dans une boutique de vente.

Ces huit contextes sont changés à partir d’une tablette. Elle permet de modifier la situation choisie en zoomant sur un siège automobile pour la vente de voitures, par exemple.

Le CIFA pousse également les élèves à évoluer grâce à des concours. C’est le cas de Sonny DOIN, apprenti en BAC Pro Maintenance automobile. Il a terminé à la première place du concours général des métiers du jeune espoir professionnel à Lille en 2017 dans la catégorie maintenance automobile.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La place de la femme dans la société a souvent été remise en cause. Aujourd’hui, elles luttent pour obtenir une réelle égalité avec les hommes. Création d’entreprises, PDG, les femmes décident. Selon l’INSEE, en 2020, c’est 39 % des nouvelles entreprises individuelles qui ont été créé par des femmes. Ces chiffres sont en évolution depuis les vingt dernières années. Mais, les corps de métiers restent, eux, assez restreint.

 

TRIBUNE : Les femmes sont plus souvent assignées à effectuer un travail administratif ou dans le domaine de l’éducation. Celles-ci sont moins représentées dans les postes à responsabilités. Elles sont souvent moins prises au sérieux que les hommes et ce, davantage dans le secteur de l’entreprenariat et de l’économie. Selon l’INSEE, « en 2017, en France, les femmes salariées du secteur privé gagnent en moyenne 16,8 % de moins que les hommes en équivalent temps plein ».[1]

 

Un changement progressif des mentalités…

 

Les femmes sont toujours aussi déterminées à obtenir l’égalité entre elles et les hommes. Elles veulent faire entendre leur voix et elles sont aidées. C’est le cas avec Elisabeth MORENO, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

En effet, elle a lancé un appel à projet afin de permettre d’aider la création de l’entreprenariat féminin. Elle l’a annoncé le 22 avril dernier lorsqu’elle a rencontré Julia CATTIN qui à seulement 34 ans est la PDG de FIMM, un concepteur et fabricant français de solutions de manutention à Joigny. La ministre déléguée y invite toutes les femmes qui souhaitent créer leur entreprise ou bien alors relancer cette dernière. La représentante de l’Etat vise pleinement une indépendance économique pour les femmes.

Celles-ci sont aussi aidées par d’autres femmes. « L-start » – La réussite au féminin[2], est une plateforme en ligne totalement dédiée à la création d’entreprise. Conçue par deux femmes, Dominique DESCAMPS et Sophie COURTIN-BERNARDO qui ont construit depuis presque trente ans, une expérience entrepreneuriale. Elles ont alors imaginé « L-Start » qui va apporter des outils pratiques, des formations, des méthodologies validées aux femmes qui veulent se lancer. Tout ceci sous la forme d’abonnement mensuel sans engagement.

63 % des femmes considèrent qu’il est plus motivant pour elles de créer leur propre entreprise plutôt qu’être salariée. Leurs motivations sont claires : « concrétiser une idée personnelle (47 %) », « donner du sens à leur vie professionnelle (46 %) » et « gagner en liberté (34 %) ».

C’est ce qu’à montrer le sondage réalisé par OpinionWay en 2020 pour France Active et BPI France.[3]

Aujourd’hui, les femmes osent. Le monde est porté par le numérique et notamment avec les réseaux sociaux. De ce fait, les femmes ont le pouvoir de se faire entendre, de véhiculer une information et d’être soutenue. Cela n’était pas forcément le cas avant l’arrivée de toutes ces technologies ; elles n’avaient pas la possibilité d’être soutenue.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4514861

[2] https://l-start.com

[3] https://www.franceactive.org/wp-content/uploads/2018/03/CP-Femmes-entrepreneurs-Etude-France-Active-Bpifrance-V7.pdf


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Paradoxe que celui-ci ! On peut être l’un des poids lourds de la grande distribution à l’échelle européenne et s’offrir le luxe d’accueillir sa clientèle dans une petite boutique de proximité, aux allures d’épicerie des siècles derniers ! Bienvenue au drive piéton à l’estampille LECLERC au cœur de la capitale de l’Yonne…

AUXERRE : Le concept a été étrenné à la fin du mois de janvier 2021. Quatre mois plus tard, le bilan en termes de fréquentation n’en est que plus que satisfaisant pour le directeur du magasin Jérôme CHAUFOURNAIS.

Le projet a séduit une frange croissante de consommateurs de l’hyper centre, voire même d’ailleurs !

Dans ce lieu propice à l’exercice d’une activité commerçante (il y avait jadis la fameuse boutique de vêtements « Jack »), le drive aux caractéristiques piétonnières reçoit les chalands désireux d’acheter différemment. C’est-à-dire sur Internet en passant ses commandes.

C’est au comptoir de cette boutique agréablement agencée qui évoque les épiceries fines d’antan avec ses pots et ses récipients flanqués de messages publicitaires que la clientèle peut récupérer les provisions choisies depuis son domicile. Soit une offre de services forte de quinze mille références ! Joindre l’utile à l’agréable semble être le bon credo de ce concept encore peu implanté dans les agglomérations de province…

 

Thierry BRET

 


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Environ deux mètres de plus ! C’est le niveau de surélévation, désormais nécessaire, pour construire le futur centre aquatique de Puisaye-Forterre à Toucy. Obligatoires pour garantir la pérennité du projet, les études géotechniques viennent de délivrer leur verdict pertinent. Elles ont décelé la présence d’une nappe phréatique à un niveau très proche de la surface du sol. Entraînant de facto une contrainte budgétaire supplémentaire qui est estimée à 620 000 euros hors taxes…

 

TOUCY: C’est un comble pour la construction d’un complexe aquatique. Sa future édification est perturbée par la présence d’une nappe d’eau dans le sol ! Un peu fort de café !  

L’emplacement du centre aquatique intercommunal qui a été validé le 17 décembre 2017 par le conseil communautaire de Puisaye-Forterre se situe en effet précisément sur une zone géologique où une nappe phréatique se trouve à proximité de la surface. On nomme cette caractéristique si particulière, « zone classée en nappe sub-affleurante ».

La découverte de ce liquide indésirable à moins de trois mètres de la surface du sol contrarie quelque peu les plans des concepteurs de l’édifice. Elle est la résultante d’études géotechniques poussées, obtenues au fil de ces dernières semaines, dans le cadre de l’avant-projet.

Des analyses obligatoires, on s’en doute, avant d’entreprendre les moindres travaux qui permettent de garantir la pérennité de l’ouvrage.

Les conclusions de cette étude de cas qui n’avait rien de virtuelle sont péremptoires. Le futur bâtiment accueillant la piscine et ses équipements annexes ne peut être envisagé autrement qu’en étant rehaussé d’environ deux mètres au-dessus du niveau projeté jusqu’alors.

Naturellement, il est exclu de ne pas tenir compte de ces conclusions plus que sérieuses et non hâtives. Conserver le schéma initial du projet d’implantation conduirait à créer une inévitable interférence entre le niveau de la nappe phréatique et les bassins enterrés. Que d’eau, que d’eau, pourrait-on dire alors en cas d’hypothétiques soucis !

 

 

 

L’autofinancement du projet par la CCPF n’est pas modifié…

 

Mais, de cela, il n’y aura pas. Il est prévu justement un rehaussement de l’infrastructure. Prévoyants, les instigateurs de ce dossier ont provisionné 300 000 euros hors taxes pour le poste des fondations spéciales dont une rampe qui favoriserait l’accessibilité des personnes à mobilité réduite.

Toutefois, l’impact budgétaire inhérent à ces probables modifications s’élève à 620 420 euros hors taxes.

Lors d’une conférence de presse qui précédait la tenue du conseil communautaire accueilli à Bléneau au soir du 26 avril, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI s’est voulu rassurant sur ce dernier point : « Ce dépassement de budget ne modifiera pas l’autofinancement de l’intercommunalité ».

Celui-ci s’élève à plus de 3,9 millions d’euros alors que le montant total du projet coûte près de 7,9 millions, englobant les études, la maîtrise d’œuvre et les travaux.

Le complément financier proviendra d’une aide exceptionnelle au titre de la DETR (Dotation d’équipement des Territoires Ruraux) de l’ordre de 100 000 euros, obtenue dans le cadre du plan de relance.

 

 

En sus, la Ville de Toucy a voté une enveloppe complémentaire de 250 000 euros pour faire face aux dépenses connexes liées à cet investissement.

Soucieux de préserver l’équilibre global de ce projet malgré la modification de son plan de financement, le président communautaire a revu le programme initial.

Il a ainsi placé en aparté la présence des jeux aqualudiques extérieurs dans une corbeille optionnelle portée à la consultation des entreprises et à ses résultats.

En terme clair, ces auxiliaires de distraction supplémentaires ne pourraient être réalisés qu’en fonction du verdict de l’appel d’offres lancé prochainement auprès des artisans.

Sachant que cette plaine aqualudique requiert a minima une enveloppe de 150 000 euros pour son élaboration.

 

Thierry BRET

 

 


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Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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