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Lundi 30 mai, au matin, « the place to be » : c’était Auxerre ! Même « Miss Grenouille », au comptoir, s’est régalée en lisant la « une » de la presse régionale, relatant les exploits des footballeurs de l’AJA ! Bravo aux jeunes sportifs pour cette  réussite, qui dépasse largement  le cadre footballistique, et fait du bien à l'Yonne, tout simplement.

 

AUXERRE : On peut penser que désormais, il faut arrêter de regarder dans le rétroviseur de la Peugeot 505 ou celui de la  Renault 30 GTL, en ressassant les gloires passées (Cantona, Blanc, Boli, Roux et les autres…) et se concentrer plutôt sur le pare-brise de cette future saison à venir avec Furlan, Léon le formidable, Touré, Hein et les autres. Car l'avenir de l'AJA, c'est à eux seuls qu'il appartient désormais !

Quittons  le banc de touche, pour ce comptoir plus familier, car, ce matin-là, on ne parle que de ça, et c'est tant mieux finalement. Tels des verres auxerrois,  le bleu et le blanc s'entrechoquent de la plus belle des manières.

 

 

Une belle enseigne à découvrir, tenue par Nadia et Gaëtan…


Il faut un certain courage pour quitter la tenue d'une pizzeria à succès, aux marges financières confortables, et retrouver l'essence même de son noble métier de cuisinier. C'est cela qui a conduit Gaëtan et Nadia, son épouse, dans ce bel angle de rue, non loin d'une école maternelle d'antan. « A la Maison », comme l'indique la belle enseigne, c'est un restaurant. Mais aussi leur lieu de vie tout simplement. Sitôt la grille franchie, un sentiment d'élégance certaine nous envahit, dont on ne se départira qu'en quittant les lieux : le jardin, la salle, son confort et sa discrète isolation phonique au plafond.

Tout y est à l'unisson. De nos jours, pour pareille réalisation, il faut passer sous les arcanes de normes ubuesques de plus en plus contraignantes. Beaucoup d'énergie - trop peut-être - est dispensée pour ce faire.

Mais, reconnaissons-le : le résultat est à la hauteur des espoirs engagés. Quel joli endroit. La clientèle ne s'y trompe  pas, et ce jour-là, des restaurateurs locaux, ainsi que d’anciens édiles cohabitent paisiblement par fourchette interposée.

 

 

Des toasts au lieu de gougères, cela change !

 

A l'apéritif, des toasts qui changent avec la sempiternelle gougère, bonne pioche ! En entrée, l'œuf est impeccablement poché, velouté d'asperges vertes et de noisettes torréfiées : cela fait un fort bon plat. Le jaune pimpant se mêle à la verdeur prononcée de l'asperge. C'est frais et de saison. Le jambon ibérique  - c'est la mode, mais je le clame d’autant qu’en France, aussi, nous avons d'excellents jambons (le porc noir de Bigorre, l’Ibaïama....) - est ici découpé finement par la « Rolls » des trancheuses : une « Wismer », la préférée de sieur Philippe BULANT, patron de l'entrepôt « Métro », sis à Monéteau ! Un jeune serveur, affable et souriant, s'affaire alors à nous débarrasser.

 

 

Des plats équilibrés et structurés, à la saveur certaine…

 

Les plats arrivent alors. Pour votre serviteur, un suprême de poulet jaune fermier, sauce à l'orange. Une belle assiette, avec là aussi quelques fleurs, heureusement comestibles !  La sauce est bonne, bien équilibrée, même si dans sa globalité, l'assiette paraît manquer, d'un je ne sais trop quoi...Et en dessert, la tarte au citron déstructurée est intéressante, goûteuse et point trop sucrée. 
Avec le café,  une gouttelette de rhum dominicain, je crois, s'interpose avec élégance !  Le rhum, c'est vraiment l'alcool du moment, songeais-je alors, tandis que lorsque j'étais gosse, cet alcool semblait n'être dévolu qu'à la pâtisserie et autres pâtes à crêpes !

 

 

Quiétude et cuisine se donnent rendez-vous…



En traversant le joli jardin où les enfants peuvent jouer tranquillement, pendant que leurs parents prennent l'apéro, chut !..., on se dit en repartant, que voilà une bien jolie table où quiétude et cuisine se donnent rendez-vous. Comme à la maison  en somme ! Mais en ce lundi si particulier, j'allais oublier, encore bravo à l'AJA !


 

En savoir plus :

 

Les - : j'admets volontiers un côté un brin pinailleur, mais je suis certain qu'un plat comme ce suprême de volaille mériterait d'être plus abouti : avec assaisonnement de la viande, que sais-je ? Pas grand-chose, en fait, juste le temps d'y réfléchir, peut-être ?

Les + : la quiétude d'un joli cadre, des chaises confortables, et un agréable moment à table.

 

 

 

Contact

 

Restaurant A la Maison

20, rue Marcellin Berthelot

89000 Auxerre

Téléphone : 03 86 51 00 30

Du jeudi au lundi inclus.

Fermé mardi et mercredi.

Parking facile à proximité. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Fichtre ! Elle ne craint pas d’étaler son intimité et ses pensées artistiques, un tantinet grivoises, à la vue de tous, et dans les formes d’expression créative qui restent les siennes, la photographe plasticienne de l’Yonne, au suave prénom serbe qui évoque ses racines ancestrales. Chantre de l’érotisme « bon chic, bon genre » - ne sombrant jamais dans l’obscène ni la vulgarité mais naviguant toujours à la limite de la gentille provocation et du suggestif -, Silvana VUCIC s’effeuille sur pages d’un vieux « Larousse » interposé !     

 

AUXERRE : Il y avait les « Cinquante nuances de Grey » aux circonvolutions livresques un brin sulfureuses ; place désormais aux « 300 confidences de Silvana », dans leurs versions les plus intimistes ! Mais, pas trop, tout de même ! Juste les épanchements créatifs d’une artiste insolite (et insolente à bien des égards) qui est bien dans son corps, et surtout bien dans sa tête. Et qui ose !

Une habituée de ces rapports à l’intime, fleurant bon l’ambiguïté et l’effervescence imaginative absolue où le « quand dira-t-on n’a plus sa place » - un grand coup de pied au c…à la fausse pudibonderie, sans pour autant tomber dans l’escarcelle du vice.

Que ce soit de la peinture enduite sur la moindre partie de son corps – le body painting dont elle est une pionnière dans la septentrionale Yonne ! – ou ses troublants clichés, composés de montages et de prises de vues photographiques additionnés, jouant avec l’ombre et la lumière autour de silhouettes dénudées, voire le galbe de jambes longilignes, la plus serbe des artistes icaunaises n’hésite jamais à lever le voile sur ses intentions…d’artiste !

 

 

De l’érotisme à l’ésotérique, il n’y a qu’un pas…

 

Cette fois-ci, la « belle » qui ose aussi jouer les cracheuses de feu le temps de spectacles estivaux à la nuit tombée, offre un panorama éclectique de cette poésie érotique dont elle éveille les sens. En grande prêtresse de rituels interdits ?

Il y a un côté ésotérique fortement prononcé dans ces nouvelles créations. Suspendues telles des mobiles tournoyants sur eux-mêmes, au fil d’un souffle de vie éthérée qui passe, elles prennent la forme d’illustrations, de lettres manuscrites, de réalisations calligraphiques amusantes, de dessins et esquisses coquines où l’imaginaire fait le reste, mais aussi de messages sensuels, voire très mystérieux.

L’univers de cette exposition originale s’articule en petits espaces que l’on cheminerait presque nez au vent à l’intérieur de la galerie.

S’il y a bien l’un des cinq sens qui est mis en exergue totale durant cette balade dans le moi profond de Silvana, c’est bien la vue. En haut, à côté, sur les murs, aux cimaises, au-dessus, ou en dessous : les trois cents confidences de cette « accrocheuse d’âmes par le verbe » s’étalent partout et se distillent au rythme doux, voire envoûtant de la contemplation sans fard qui se présente au visiteur.

Ici, il y a l’espace dédié aux sorcières avec ces entrelacements de balais qui vous invitent à regarder de plus près les œuvres. On y retrouve des symboles, on y aperçoit des allégories. On y observe d’étranges figurines, dessinées à qui l’on pourrait prêter existence si Silvana, la rebelle, jetait un sort. L’envoûtement de tant de choses à dire, à lire, à partager aussi sans doute fait son œuvre.

 

 

Un chemin initiatique pour retrouver notre raison d’être…

 

La rencontre avec l’intime pousse le curieux à se rendre à l’autre bout de la salle d’exposition de la galerie MOUV’ART, toujours à la pointe de la qualité dans ses choix artistiques. Là, se trouve un paravent à la blancheur immaculée. Une mention en barre l’accès. Interdit au moins de 18 ans et aux…cardiaques !

N’y tenant plus, les visiteurs veulent lever le voile sur ce mystère où la pudeur est retenue et pénètrent dans cet antre de la sensualité frémissante. Un nouveau voyage dans une autre dimension, où le cœur ne l’entend plus sur la raison ou l’inverse. L’humour, lui, s’invite à outrance avec désinvolture y compris sur les dessins. Il suffit d’en apprécier l’une des œuvres, faisant référence aux légendaires personnages américains, « Bonnie and Clyde » pour comprendre. Tiens, tiens, l’air sulfureux interprété jadis (1968) par Brigitte BARDOT, incarnation absolue de la femme fatale, et du ténébreux, voire irrévérencieux, Serge GAINSBOURG, aurait servi de source inspiratrice à la troublante Silvana ?

« Mon cœur a parlé, explique l’artiste, je désire toucher le vôtre ! ». A l’aide de quelques confidences – en réalité, il y en a plus de trois cents ! – servies en tranche sur d’étranges supports que sont les feuilles arrachées d’un vieux dictionnaire « Larousse » devenu inutile, Silvana VUCIC pousse les retranchements d’un dialogue espéré entre son public (ses aficionados sont nombreux sur la toile) et elle-même.

Créant au passage un nouvel univers entre l’irréel et le réel, l’utopie et la transgression, l’introspection et la psychologie. La sensualité et l’intimité, enfin. Le désir et le plaisir. La vraie raison d’être de notre parcours terrestre, en somme, non ?

 

 

En savoir plus :

 « Elle était une fois…300 confidences » de Silvana VUCIC.

Galerie MOUV’ART

2 Rue de l’Yonne à Auxerre

Exposition jusqu’au 05 juin 2022.

Une nocturne sera proposée ce vendredi 03 juin de 16 h à 22 heures.

Entrée gratuite, exposition-vente.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’emblématique coach de l’AJ Auxerre, victorieuse de l’AS Saint-Etienne au terme d’une rencontre à suspense qui ne s’est achevée que tard dans la soirée dominicale par la sacro-sainte séance des tirs au but, a été longuement ovationné sous un tonnerre d’applaudissements dans la cour ensoleillée de l’Abbaye Saint-Germain. L’occasion pour le maire Crescent MARAULT de lui passer la médaille de la Ville autour du cou…

 

AUXERRE : La casquette à l’estampille de l’AJA bien rivée sur la tête, sans doute un chewing-gum collé au palais afin de mieux le mâcher, Jean-Marc FURLAN, l’air fringuant et ultra décontracté malgré une nuit écourtée par l’évènement footballistique de la saison, a profité des rayons de soleil matinaux ce lundi matin pour se voir remettre, ainsi que la totalité des joueurs et du staff de l’AJ Auxerre, la médaille de la Ville.

La cérémonie où le protocole fleurait bon l’esprit d’initiative cocardière et l’humour bon enfant se déroulait dans la cour de l’Abbaye Saint-Germain, qui n’était pourtant pas pavoisée aux couleurs du club blanc et bleu. Dommage ! Cela aurait donné une ambiance de théâtralisation encore plus importante à ce moment fort de la vie sportive de notre territoire où officiaient les élus auxerrois, Crescent MARAULT, en tête, accompagné dans cet exercice oratoire par Hicham EL MEHDI, en charge des Sports, et Sébastien DOLOZILEK, adjoint à la Sécurité et à la Tranquillité Publique, qui micro en main, assurait le rôle d’animateur, lors de la remise de médailles aux nouveaux promus en Ligue 1.

 

 

Une dynamique collective synonyme de résultats…

 

Comme à son habitude, Jean-Marc FURLAN, le « monsieur remontée » du football hexagonal – il en est à sa cinquième accession de Ligue 2 en Ligue 1 après les expériences réussies de Brest et de Troyes – évoqua dans un large sourire son émotion intense au coup de sifflet final, soit après le dernier tir au but d’un joueur « Vert » qui devait condamner l’ASSE au purgatoire. Et sans doute dans les limbes de l’Enfer, pour un sacré bout de temps, au vu de la pitoyable démonstration de force de supporters déçus qui envahirent la pelouse du stade Geoffroy-Guichard, munis de fumigènes et de feux d’artifice balancés au grand dam des forces de l’ordre vers la tribune des officiels. On ne doute pas que les sanctions de la Ligue professionnelle seront terribles…

Puis, se saisissant du micro, l’ancien défenseur de Bordeaux, reconverti depuis avec brio comme entraîneur, devait saluer et remercier le staff du club et l’ensemble de ses joueurs.

« Pour arriver à ce résultat, devait-il ajouter, il faut créer une dynamique collective très importante. Le système de jeu doit être mis en place et être respecté. Les joueurs ont eu du cran hier soir, avec du courage… ».

 

 

L’émotion à fleur de peau et le souvenir de ses parents…

 

En vingt-cinq années de coaching, devait-il souligner un instant plus tard, « c’est la première fois que j’ai vécu autant d’enthousiasme et d’engouement au cours de ces deux derniers mois… ».

On sent poindre l’émotion à fleur de peau – l’endroit de la cérémonie matinale, l’Abbaye Saint-Germain lui évoque le souvenir de ses parents -, avant que n’apparaisse sur son visage ce sourire franc qui met un terme définitif à cette prise de parole impromptue.

Lui glissant quelques mots de sympathie, avant qu’ils ne se donnent l’accolade, Crescent MARAULT aura eu le temps de passer au-delà la casquette la médaille de la Ville, sous un flot d’applaudissements nourris. Parce que Jean-Marc FURLAN et sa patte personnelle qu’il a su apporter à l’AJ Auxerre le méritent amplement…

 

Thierry BRET

 

 


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Allez encore un petit effort pour la bande à Jean-Marc FURLAN. Le coach auxerrois a su trouver les mots justes durant la mi-temps pour remobiliser ses troupes avant la rencontre à couperet de ce dimanche. L’espoir est entretenu et les fidèles supporters du club auxerrois se prennent à rêver. Pourvu que ce moment onirique ne se transforme pas en cauchemar au soir du 29 mai…

 

 

BILLET

 

Lundi

 

En voilà une idée qu’elle est bonne ! A Grenoble, le rigorisme politico-religieux a eu raison des règles communes et le maire a tranché. Le port du burkini est désormais autorisé dans les piscines municipales de la ville, ainsi que les seins nus. Impossible d’émettre le moindre début de critique visant la première décision sans être taxé d’islamophobie, impensable d’approuver la seconde sans être catalogué de pervers libidineux phallocrate ! Les indécis pourront toujours miser sur un éventuel concours à venir de burkinis mouillés…

  

Mardi

 

Il y a tout juste 31 ans à deux jours près, François MITTERRAND nommait pour la première fois de l’histoire une femme Premier ministre en la personne d’Edith CRESSON. A peine installée, celle-ci dut faire face à un flot d’injures plus sexistes les unes que les autres. Surnommée « la Pompadour » par la droite de l’époque, et « Amabotte » dans le « Bébête Show », l’émission satirique qui faisait alors les beaux jours de TF1 où elle apparaissait en panthère lascive se lovant contre son « Kermitterrand » favori, elle devint très vite la cible de la FNSEA. Le président d’alors du syndicat majoritaire agricole, Raymond LACOMBE, n’hésitant pas à déclarer le jour de sa nomination : « on voit le mépris dans lequel le Président de la République tient l’agriculture puisqu’il a nommé une femme à ce poste… ». No comment ! L’on espère simplement que sa présidente actuelle, Christiane LAMBERT, jugera sur les faits et seulement sur les faits, Elisabeth BORNE, nommée ce jour à Matignon à la suite de Jean CASTEX.

 

 

Mercredi

 

Candidat aux législatives dans la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL présentait hier à la presse ses deux colistiers sur le département. L’occasion pour le porte-parole du Rassemblement National, de formuler ce satisfecit : « moi j’ai beaucoup de défauts, sauf que je peux tout faire à la fois, être sur les vide-greniers et sur « CNews »… ». Une présence médiatique qui n’est pas du goût de tous, à en croire les propos tenus quelques jours auparavant par son adversaire principale sur la circonscription, Michèle CROUZET, dénonçant sans le nommer, ces « personnalités qui n’habitent pas le département et passent leur temps derrière les plateaux TV… ». Ambiance, ambiance… !

 

  

Jeudi

  

Mais qui donc peut en vouloir à ce point au magasin situé en face de cette enseigne commerciale de la rue du Temple à Auxerre, pour voir affiché ce cinglant conseil… ? Une chose est certaine : si Emmanuel MACRON a déclaré un jour qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver un travail, nul besoin d’aller plus loin pour y rencontrer son pire ennemi !

 

Vendredi

 

Au terme d’un match d’anthologie, l’AJA a sorti Sochaux aux penalties dans sa course pour un retour en Ligue 1. Il lui faudra encore pour cela sortir victorieuse des matchs de barrage qui l’opposeront à l’AS Saint-Etienne. Ce supporter croisé dans les allées du parc de l’Arbre-Sec vise déjà plus haut semble-t-il et a déjà décerné le ballon d’or 2022 aux Bourguignons !

 

 

Samedi

 

Le maire d’Auxerre a semble-t-il gravi un échelon supplémentaire quant à sa notoriété si l’on en juge par cette affiche placardée dans les rues par de zélés détracteurs, où il partage ni plus ni moins la vedette avec le président de la République « himself » ! Pour ce qui est du jeu de mot sur son patronyme, il lui faudra sans doute beaucoup d’humour pour en apprécier le sens…

 

 

Dimanche

 

C’était ce dimanche le grand retour sur les quais auxerrois, de « Fleurs de vigne » après quatre ans d’absence pour cause de COVID. L’occasion pour les confréries viticoles du département de défiler dans un quartier jadis dévolu au vin et à sa commercialisation, comme ici, devant la Maison du Coche-d’Eau, édifiée au XVI siècle, qui conserve la mémoire de ce bateau qui transportait depuis Auxerre, hommes et marchandises jusqu’à Paris. Comme un clin d’œil et un salut fraternel à leurs lointains ancêtres, dont les vins devinrent rapidement des incontournables des meilleures tables parisiennes et de la cour royale !

  

Dominique BERNERD

 


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La cité auxerroise, toute parée de bleu et blanc, accueillait de nouveau la fameuse manifestation, fermant deux ans d'une triste parenthèse. Quant à la « fleur de vigne », la vraie, celle des ceps parfois noueux, elle nous prévoit, une fois de plus, des vendanges autour du 25 août...Et dire qu'il n'y a pas si longtemps, elles commençaient début octobre, souvent après la Saint-Michel.

AUXERRE  De jolis stands impeccablement décorés, un public de tous âges qui répond présent, sans oublier un soleil ardent, sont souvent les fruits d'une manifestation réussie.

Au départ, « Fleurs de Vigne », si j'ai bien compris les explications de quelques vignerons-fondateurs, devaient mettre ensuite le cap au nord : une année à Sens, puis l'autre à Montereau, Melun ensuite...avant d'atteindre la capitale, au bord de l'Yonne, hydrologiquement, mais de la Seine nominativement ! 

 

 

 



Il semble donc que l'arrimage n'ait pas eu lieu, et que notre « fleur de vigne » se complaise, chez elle dans l'Yonne ! Quelques nouveautés pour cette édition 2022 avec notamment la première présence de la jeune association « Gourmand'Yonne », au sein d'un stand aussi gourmand que bariolé ! Le vignoble de la Côte Saint-Jacques et alentours qui gagne à être connu, avec entre autres Yann BOISSENET, paysan-vigneron bio sis à Volgré, dont les vins révèlent d'élégantes effluves de cassis !

Il fait bon se promener sur ces jolis quais, où les confréries vineuses (Les Trois Ceps et son nouveau président Joël DURIF, les Piliers Chablisiens...) ont aussi droit de cité ! Longue vie à l'auxerroise « Fleurs de vigne ». Rendez-vous est pris pour 2023 !

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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