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Tradition respectée pour les pompiers du Centre de Secours Principal auxerrois. Ils ont fêté de belle manière leur sainte patronne. Une Sainte-Barbe, sous le signe de la convivialité mais empreinte également de solennité. Le temps notamment d’une remise de médailles à cinq sapeurs distingués pour leurs nombreuses années de service. La cérémonie s’est déroulée devant un parterre d’officiers et hommes du rang, accompagnés de leurs familles, mais aussi d’élus, venus saluer de leur présence l’engagement et le courage des soldats du feu, qu’ils soient professionnels ou volontaires.

 

AUXERRE : Affluence inhabituelle vendredi soir, du côté de l’allée Bourdillat à Auxerre. Pour autant, pas d’alarme incendie au programme ni sortie de véhicule d’urgence, simplement le ballet des véhicules apportant leur lot d’invités à la traditionnelle cérémonie de Sainte-Barbe, organisée par le CSP d’Auxerre.
Peut-on imaginer un monde où le 18 ne répondrait plus ? Un monde où les citoyens que nous sommes seraient livrés à eux-mêmes face aux tragédies et accidents de la vie… ?

A l’heure des discours, les propos du colonel Sébastien BERTAU, ont, s’il en était besoin, éveillé les consciences. Que serions-nous si le corps des sapeurs-pompiers n’existait plus ?

« Si nous n’y prenons garde, cela pourrait arriver ! » Rappelant que 80 % des effectifs sont des volontaires, le directeur départemental du SDIS 89 s’est voulu alarmiste : « le contexte général que nous connaissons pousse chacun à l’individualisme et à l’intérêt personnel. Devenir sapeur-pompier, c’est participer à la vie de la cité, mais aujourd’hui, le modèle est menacé. A chacun, d’être l’ambassadeur de cet engagement citoyen, regardez autour de vous qui pourrait rejoindre nos rangs. Peut-être vous ou l’un de vos proches. Ce n’est pas la taille ni la force qui comptent, c’est la personne, c’est toi ! ». 

 

 

 

Une vocation aux origines juvéniles, celle de Lorenzo !

 

Lorenzo BARJOT n’a pas eu besoin de cet appel pour se découvrir une vocation. C’est à l’âge de 7 ans, alors qu’il participait à une journée « Yonne Tour Sports » organisée par le Département, qu’il se prit de passion pour le métier. S’il lui fallut attendre sa douzième année pour intégrer le corps des Jeunes Sapeurs-Pompiers (JSP), il n’a eu de cesse depuis, d’enchaîner exercices pratiques et cours théoriques, pour se former, avec l’objectif de décrocher le brevet à la fin de l’année. Est déjà programmé aux vacances prochaines un stage pour avoir le droit d’embarquer dans le véhicule de secours et d’assistance aux victimes. Sa seule déception : ne pas avoir réussi à motiver d’autres copains de classe pour le rejoindre. Il est vrai qu’il faut de l’abnégation et du courage pour passer tous ses mercredis après-midi au centre de secours plutôt que devant un écran ! A la question de savoir ce qu’il pense faire plus tard, un large sourire éclaire le visage juvénile de Lorenzo. Nul doute que le SDIS 89 ne devrait pas tarder à voir une nouvelle recrue rejoindre ses rangs et ce, pour la plus grande fierté de ses parents présents : « nous l’avons encouragé dans sa démarche, pensant qu’après les parents et l’école, cela fait partie de la continuité de la formation et de l’éducation. C’est une chance que les centres de secours ouvrent ainsi leurs portes pour leur apprendre les gestes leur permettant dès aujourd’hui de sauver des gens… ».

 

 

 

Une équipe de malinois prête à sauver des vies en Ukraine

 

A la tête de l’équipe cynotechnique au sein du Corps départemental, l’adjudant-chef Franck JACOB et son équipe ont également été mis à l’honneur au cours de la soirée pour l’objectif qu’ils se sont fixés depuis un an, de former des chiens à la recherche de personnes dans les décombres et les rendre opérationnels avant de les envoyer en Ukraine où hélas, leur nombre fait défaut. Au détail près que ces chiens malinois n’ont pas été achetés dans un élevage mais récupérés au fil de missions dans toute la France : « des chiens qui étaient tombés dans de mauvaises familles, qui ont beaucoup subi de la vie et qui malgré tout, donneraient aujourd’hui leur vie pour en sauver d’autres… ». Plus de renseignements sur l’opération « Chiens de secours pour l’Ukraine », en se rendant sur Facebook et Instagram.  

 

 

Vu et entendu…

Commandant Alexandre BONNETON, chef de la compagnie et du CSP d’Auxerre : « Je suis fier de commander cette unité dans laquelle il y a une ambiance et une atmosphère qui sont saines. Quelques soient les statuts et les origines des uns et des autres, c’est une caserne où il fait bon vivre… ».

Sébastien DOLOZILEK, adjoint au maire d’Auxerre : « Selon les statistiques officielles, il y a environ une intervention toutes les 6,5 secondes, soit près de 5 millions chaque année… Les pompiers en France sont des héros locaux… ».

Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental et président du SDIS 89 : « Depuis deux ans, l’inflation sur l’énergie et le carburant, a représenté une hausse des dépenses de plus d’1,5 million d’euros pour le SDIS 89… A un moment donné, nous sommes obligés aussi de discuter avec nos financeurs, que ce soit le département ou les communes, derrière, ce sont les impôts de tous les citoyens. Nous devons sans cesse trouver un équilibre pour que tout puisse avancer correctement pour l’ensemble des citoyens… ».

Jean-Baptiste LEMOYNE, sénateur de l’Yonne :
« Les JSP, ce devrait être « presque » pour tous. Si tous les jeunes avaient ce type de formation de transmission des valeurs, la société se porterait sans doute beaucoup mieux… ».

Clémence CHOUTET, directrice de cabinet et sous-préfète :
« 20 ans de service, 30 ans pour certains, cela en dit beaucoup sur le sens du mot engagement et du dévouement… ».

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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De l’avis général, c’était génial ! Sans doute était-ce imputable au charisme et à l’humilité qui se dégageaient des trois intervenants, conviés par BGE Nièvre Yonne, à venir discuter le bout de gras avec les chefs d’entreprises, confirmés ou en herbe ! Soutenue par la Région, le Grand Sénonais et la Ville de Sens, l’opération s’articulait autour d’entrepreneurs et de sportifs, assidus dans le combat permanent mené au cours de leur existence. In fine, ce fut une belle rencontre qui forge de beaux souvenirs…

 

SENS : Avant le traditionnel exercice de réseautage et d’échange de cartes de visite – le socle des rencontres du Club BGE, réunissant les entreprises de l’Yonne qui sont cornaquées par les conseillers de la structure -, il y eut, en guise de succulent hors d’œuvre, une causerie. Avec trois intervenants, autour d’une thématique souvent plébiscitée, faisant le parallèle entre le milieu du sport et celui tout aussi dynamique de l’entrepreneuriat !

Trois orateurs (dont des références dans le monde du sport départemental) étaient donc conviés à faire part de leurs vécus et expériences au détour de cet échange qui n’avait rien d’anodin en soi. L’athlète, originaire du Congo, Franck ELEMBA – un beau bébé à la musculature impressionnante ! – narra ses antécédents de lanceur de poids et de sa participation parmi les plus grands championnats d’athlétisme. Mondiaux comme continentaux.

A ses côtés, Marouane MARCHOUD ne se fit pas prier pour parler de son ascension. Une ascension professionnelle pour le jeune startupeur qui évoqua son projet entrepreneurial depuis sa concrétisation jusqu’à son attachement au territoire sénonais. Il racontera en toute transparence les étapes déterminantes qui lui ont permis de se surpasser et de réussir à lever des fonds (le nerf de la guerre de toutes entreprises !), et d’optimiser sa communication afin d’intégrer le cercle très hermétique du monde du numérique.

 

 

 

Tout est dans le mental !

 

Aujourd’hui, le nouveau CEO de la startup ResaCare est établi à Sens. Mais, il a précédemment exploré diverses régions du globe, du Luxembourg, en passant par Barcelone et les États-Unis pour réaliser son projet. Le garçon met en application sa riche expérience pour développer sa structure depuis la prestigieuse Station F.

Restait Abderrazzak EL BADAOUI – lui, on ne le présente plus après ses exploits en gagnant à pied son village natal de Bzou au Maroc ou ses innombrables marathons disputés aux quatre coins de la planète ! – qui passionna l’auditoire.

Souriant, détendu, accessible, pédagogue, le garçon explicita son parcours, faisant le lien avec la préparation d’un projet (faire un prévisionnel), les embûches rencontrées (faire face aux problèmes et rebondir) comme une blessure, être entouré des bonnes personnes (se faire accompagner pour son projet), trouver des sponsors (prospecter). Bref, un sportif qui raisonne comme un entrepreneur, avec le mental en plus !

Alors que la capitale des Sénons est labellisée « Terre de Jeux », il était légitime que BGE Nièvre Yonne s’interroge sur cette récurrente thématique faisant la part belle à la comparaison entre sportifs et chefs d’entreprises. Un vrai challenge en somme !  

 

Thierry BRET

 

 


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La fracture numérique ne prendra pas le dessus, c’est sûr ! La Poste, dans un esprit citoyen et actrice de l’inclusion numérique éthique via le plan France Relance, s’engage à la résorber ! Et de belle manière, en y installant dans l’un de ses bureaux, près d’Auxerre, une conseillère ad hoc ! Ancienne factrice et guichetière, Mélanie G’SSIR est cette personne qui fera montre dorénavant de pédagogie et d’écoute, venant en aide aux habitants…

 

MONETEAU : Belle reconversion que celle-là ! Autrefois factrice et guichetière, Mélanie G’SSIR officie désormais en qualité de conseillère numérique pour le compte de la grande maison postale. Celle qui est proche de la population. Celle qui déploie son supplément d’âme pour apporter pédagogie, service et proximité. Comme c’est le cas dans le bureau de la commune périphérique d’Auxerre.

C’est ici, dans le fief de la conseillère départementale et édile des lieux, Arminda GUIBLAIN, que le Groupe au logo jaune vient d’ouvrir un espace spécifique, « l’Etape numérique ». On dirait presque l’appellation d’un cyber café où l’on se sustenterait de choses gourmandes au palais en sirotant un petit noir tout en surfant sur la toile !

Ici, tout est connecté ! Lutte contre l’illectronisme, oblige ! L’espace, des plus cosy et confortable, peut accueillir jusqu’à huit personnes. Mais, aussi et uniquement sur rendez-vous, en individualité afin d’y recevoir des conseils personnalisés.

C’est l’antre de Mélanie. C’est jour de fête pour la jeune femme, au centre de beaucoup d’intérêts ! Logique, la direction régionale, pilotée par une Sylvie GUILLAUME au top de sa forme, a mis les petits plats dans les grands pour expliquer en long, en large et en travers au cours d’une cérémonie protocolaire le rôle et les missions qui incombent à la nouvelle conseillère. Même le président de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT), Gilles DEMERSSEMAN, écoute avec grande satisfaction les explicatifs.

 

Réduire la fracture numérique : un enjeu capital !

 

Elle a dû suivre une formation particulière, Mélanie G’SSIR pour occuper la fonction. Sans doute, avec une phase de psychologie poussée car il n’est pas aussi simple pour les personnes désireuses d’en connaître davantage sur le numérique et ses innombrables opportunités d’évoquer leurs carences et leurs fragilités. Car, c’est bien de cela dont il s’agit. De cette fracture numérique que jadis évoquait déjà dans ses propos, à l’instar de la fracture sociale, – le corollaire existe aussi manifestement – le regretté Jacques CHIRAC.

Mélanie, elle, doit identifier ces difficultés numériques qui concernent bon nombre de citoyens. Les invisibles de l’emploi et de la couverture sociale comme les seniors ou les personnes en situation de handicap. Sans oublier, les ressortissants étrangers qui ne maîtrisent pas forcément bien notre langue. Les initier aux usages pratico-pratiques du quotidien – non, elle n’en fera pas des programmateurs avérés ! – est son bâton de maréchal !

Elle le dit d’ailleurs : « Je suis heureuse d’accompagner et d’aider les usagers pour une satisfaction client optimale ». Un discours, un brin marketing entre les lignes, mais tellement vrai dans son application quotidienne dans la bouche de la responsable de l’espace médiation numérique local !

 

 

Accompagner chaque année un million de nos concitoyens…

 

Quant à la déléguée territoriale de La Poste dans l’Yonne, Christine MORANGE, elle embraie sur le même registre vocal : « cette « Etape numérique » est une excellente opportunité pour Monéteau et ses environs afin de pouvoir profiter d’ateliers numériques gratuits, ainsi que des accompagnements individualisés… ».

A ceci près que la déléguée territorial a lâché le mot magique : la gratuité !

Fin novembre 2023 : La Poste avait installé une centaine de ces espaces dédiés sur l’Hexagone, privilégiant les zones rurales et les quartiers prioritaires de la ville. Comprenant bureaux, ordinateurs et grand écran. En parfaite cohérence avec son engagement en faveur de l’inclusion numérique. Prévoyant de créer via ce dispositif judicieux 4 000 places de conseillers numériques à l’image de Mélanie. In fine, le groupe hexagonal envisage l’accompagnement chaque année d’un million de personnes en déshérence numérique. Un sacré plus que ne manquent pas de relayer les collectivités locales, comme Monéteau, afin d’en informer le public. Soit à l’accueil de la mairie ou sur des panneaux électroniques. Un sacré challenge, en vérité…

 

 

En savoir plus :

L’Etape numérique de Monéteau propose :

  • L’accompagnement et la formation aux outils essentiels du monde numérique : découverte des fonctionnalités simples d’une tablette ou d’un ordinateur, création d’adresses mail, prise de RDV médicaux en ligne…
  • L’apprentissage des usages du numérique : premiers pas dans la programmation informatique, sensibilisation aux bonnes pratiques sur les réseaux sociaux….
  • La formation aux compétences numériques professionnelles : accompagner le retour à l’emploi et la réinsertion professionnelle (outils collaboratifs et bonnes pratiques du numérique dans le monde professionnel…).

Outre l’Etape Numérique du bureau de Poste de Monéteau, Mélanie G’SSIR se déplace également dans les bureaux de poste d’Auxerre ZAC Saint-Simon, Toucy, Champs-sur-Yonne et Saint-Georges-sur-Baulche pour exercer sa mission. 

Rappel de l’horaire d’ouverture du bureau postal : du mardi au vendredi de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00.

 

Thierry BRET

 

 


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Une nouvelle installation, c’est un grand moment dans la vie d’une entreprise. Micro bien calé devant son visage, Lionel MION déroule, sans trop sourciller, son discours qu’il propose aux nombreuses personnes présentes à cette soirée inaugurale. Celle d’un nouveau bâtiment. Ergonomique, bien conçu et évidemment fonctionnel. Le nouveau siège de ID’EES 89, filiale du groupe éponyme, et référence structurelle dans le milieu de l’insertion depuis son avènement en 1990, méritait bien une cérémonie…

 

MONETEAU : Séquence nostalgie : elle est déjà loin, la première expérience entrepreneuriale vécue dans la rue Camille Desmoulins. Quelques clichés de l’époque, en noir et blanc, exposés sur les murs de la grande pièce faisant office de hall d’entrée confirment les dires du directeur de l’antenne icaunaise de l'entreprise ID’EES 89, Lionel MION. « Vous pouvez le voir, il se faisait déjà de très belles choses à l’époque ! ».

Puis, il y eut l’installation de l’entité dans des locaux de la rue Gérot, sur le site historique des anciennes usines GUILLIET à Auxerre. Un univers de 5 000 mètres carrés, un tantinet vétuste mais qui fera office de très belle vitrine pour ce spécialiste de l’agencement et de la menuiserie, employant une majorité de collaborateurs en insertion professionnelle.

Désormais, c’est au 43 avenue de Paris, dans la localité voisine de la capitale de l’Yonne que l’entreprise trouve sa place, avec ces locaux flambants neufs, à l’impeccable esthétique.

 

La genèse de ce concept novateur, encouragé par beaucoup

 

Aux côtés de nombreuses personnalités du sérail, de la maire de la localité d’accueil, Arminda GUIBLAIN, de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, et de Patrick CHOUX, directeur général du groupe et cheville ouvrière de son développement, Lionel MION lance ainsi la soirée protocolaire, agrémentée d’une courte vidéo de présentation – un court métrage plutôt bien ficelé et rythmé – lui permettant de poser le décor.

Si les patronymes de quelques fervents acteurs et supporters historiques de la société d’insertion résonnent dans la salle par le biais des enceintes (celui de Jean-Pierre SOISSON, notamment, qui aura toujours soutenu la belle initiative permettant aux défavorisés de l’emploi de retrouver une salvatrice porte de sortie…), Lionel MION n’en oublie pas de revenir au présent, expliquant la genèse de cet emménagement dans ces locaux admirés en ce jour inaugural par le public. Et des indéfectibles acteurs économiques de l’enseigne, en les citant, Pierre CHOUX, Patrick CHOUX, directeur général ou encore Christophe MATHEY, directeur administratif et financier.

Sans omettre un nécessaire salut à l’ensemble des collaborateurs qui ont su réaliser des prouesses homériques en assurant un déménagement pendant que l’unité de production demeurait opérationnelle.

 

 

Se servir des expériences réussies sur la Côte d’Or…

 

Employant aujourd’hui 107 salariés, 24 permanents et 83 salariés en CDD insertion, ID’EES 89 fait aussi de la place pour former des alternants, au nombre de deux à date. Deux domaines d’activités justifient sa présence dans le monde du travail : les services dont le secteur nettoyage et propreté des locaux professionnels, particuliers et collectivités ainsi que le secteur tri et valorisation des déchets depuis 2015 sur le site d’Ormoy pour le compte de la COVED PAPREC. La télérelève des compteurs d’eau fait également son apparition au bénéfice de SUEZ

« On s’appuie sur les compétences qui ont été déployées sur la Côte d’Or avec ID’EES 21 afin d’optimiser nos interventions sur le territoire de l’Yonne, ajoute Lionel MION, démontrant la parfaite symétrie entre les différentes structures que possède ce groupe d’envergure régional. Cela nous permet d’appréhender les nouveaux marchés avec beaucoup de sérénité ! ».

Puis, le responsable de l’antenne de l’Yonne évoqua l’autre axe prioritaire du groupe : le bâtiment. Celui-ci comprend cinq secteurs d’activité : un atelier de menuiserie, servant à la fabrication et la conception de mobiliers servant ensuite à l’agencement de locaux professionnels mais aussi pour les collectivités sur appel d’offres, un atelier qui pratique à bon escient les principes vertueux de l’économie circulaire avec des matériaux de récupération de chantiers. La pose de menuiserie (portes, fenêtres, huisseries…) mais aussi de cuisines, la peinture, plâtrerie et cloisons, le carrelage et la faïence constituent les autres déclinaisons de ce pôle bâtiment, décidément en verve.

Cette réorientation des champs d’application du groupe sur son territoire date de 2022. Elle sera naturellement confortée avec l’appui de ce nouveau bâtiment qui recevra en son antre d’ici quelques semaines un show-room illustratif, permettant à la société de présenter son savoir-faire en accueillant davantage de public.

« Un show-room qui sera utile afin de valoriser les compétences et le savoir-faire des salariés, y compris ceux qui sont en insertion professionnelle, explique Lionel MION,

Ce projet pédagogique et entrepreneurial au service de l’insertion est un moyen d’accéder à l’emploi durable… ».

En sus, la coordination de tous les acteurs intervenants sur les chantiers est également assurée par ID’EES 89 : une incontestable plus-value pour mieux se démarquer à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 


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Dans un précédent article, nous avions fait un rêve. Un seul état qui unirait Israël à la Palestine. Une utopie, en somme. Mais qu’est-ce qu’une utopie ? Du vent ? Une belle pensée irréaliste? Existe-t-il dans notre histoire des utopies qui sont devenues réalité ? N’oublions jamais que des utopies ont fait avancer l’humanité et parfois, l’ont fait reculer. Au cours des siècles, bien des érudits, des prophètes ou des illuminés (selon les observateurs) ont décrit des utopies qui parfois sont devenues réalité, pour le bonheur ou le malheur de l’humanité ! Ces utopistes se sont distingués de leurs semblables, par des projections brillantes et fulgurantes.

 

TRIBUNE : Le premier à raconter l’histoire d’une utopie fut Platon. Dans « le Timée » puis « le Critias », Platon nous décrit une Atlantide qui regroupe les caractéristiques des mondes utopiques. Mythe platoniste ? Utopie d’explorateurs ? L’Atlantide demeure aujourd’hui l’un des plus grands mystères de notre monde. Elle fascine avec la même ferveur explorateurs et historiens du monde entier depuis des siècles. Longtemps considérée comme une simple fable issue de l’imagination du penseur, ce continent imaginaire, dont les rois seraient les descendants directs de Poséidon, trouve écho chez certains géologues, scientifiques et historiens, qui croient en une civilisation exceptionnelle. Celle qui attend inlassablement au fond de l’océan que l’on perce enfin les secrets de son existence.

 

Mais, il est où le bonheur ?

 

Le bonheur est un sentiment, un état, un bien que désirent posséder tous les hommes. Mais est-ce possible d’être heureux quand nous avons l’impression de n’être pas libre de nos actions, de nos pensées, de nos relations, de notre vie ? Occuper un poste qui ne nous correspond pas forcément, se morfondre dans un mariage que nous ne désirions pas, se faire des ennemis, être obligé de faire la manche, mourir dans la rue lorsque nous n’avons pas accès aux soins médicaux, se voir déposséder de tous ses biens lors d’un vol, être assassiné à cause de sa religion, se suicider lorsque nous n’avons pas su nous adapter à notre société… Comment trouver le bonheur parmi tant d’insécurité ? Comment se satisfaire quand notre vie ne nous appartient pas ? Quand nous nous sentons réglés comme des pantins, condamnés à occuper une place qui ne nous correspond pas ?

Or, le cadre de vie dans lequel évoluent les hommes est déterminant pour parvenir à entretenir le bonheur en toute liberté. Ce cadre, c’est tout simplement le lieu d’existence d’un individu et tout ce qui l’inclut : sa famille, ses voisins, ses amis, ses supérieurs, ses gouvernants, la société qui l’entoure en somme. Au-delà du bonheur personnel de chacun, une bonne société permettrait, en satisfaisant tout le monde, de supprimer les maux et les vices qui corrompent les hommes, et engendrent toutes sortes d’atrocités.

 

 

Autres époques, autres mœurs…

 

Une société idéale qui contribuerait à rendre l’homme meilleur, en lui redonnant toutes ses qualités, et ses vertus, c’est ce qu’ont tenté d’imaginer des penseurs comme Platon, Érasme, Marivaux, Thomas More, Jules Verne, François Rabelais, Jonathan Swift, et une foule d’autres encore. Parmi les auteurs cités ci-dessus, il est question plus particulièrement, des idées de Platon, de Thomas More, et de François Rabelais. Ayant tous les trois grandi dans des univers très différents, ils ont chacun développé leur propre idéal d’organisation politique. Il devient donc intéressant de voir à quel point leurs idées peuvent être éloignées, mais aussi à combien elles se rejoignent et se complètent.

Les trois sociétés de Thomas More, Platon, et Rabelais, sont bien souvent idéalisées en contraste avec les mœurs des époques respectives des auteurs. Elles invitent par-là, le lecteur à faire le lien avec sa propre société qui l’entoure.

 

Un regard de l’autre qui ressemble à Big Brother…

 

Ces trois sociétés décrites et considérées comme utopiques à des niveaux différents posent la question de la société parfaite, idéale : a-t-elle l’ambition de s’appuyer sur la réalité ? Existe-t-il une vraisemblance entre société utopique et société réelle ? Est-elle vraiment réalisable ? Enfin, est-elle réellement souhaitable ? Le regard collectif semble jouer le rôle d’une oppression, car chacun vit sous la contrainte de l’autre.

Alors, l’utopie se rapproche de la dystopie de George ORWELL. En effet, « le regard de l’autre » ressemble étrangement à « Big Brother », car ce regard fait office de surveillance. 

L’Atlantide est présentée comme une société évoluée, quasi paradisiaque, puissante et avancée sur le plan technologique. L’évolution technologique, va de pair, avec le cheminement de la pensée et l’évolution spirituelle.

Aussi excentrique et extraordinaire (dans son sens premier : « qui fait peur »), soit-elle, l’utopie demeure en complet décalage avec le temps et en dehors de la doxa ambiante.

Plus simplement, ces utopistes, penseurs différents, échappent aux préoccupations et aux enjeux de leurs contemporains. En conséquence, l’utopie ne devrait pas avoir lieu d’être...

 

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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