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Les images sont affligeantes de vérité. Et se passent de commentaires ! Sans filtre, elles traduisent le mauvais comportement des automobilistes qui multiplient au détour des voies d’accès de notre territoire les infractions en tout genre. Ici, c’est un stop qui n’est pas respecté à une intersection. Là, le conducteur se moque comme de sa première chemise du feu rouge qui doit l’immobiliser. A visionner sans modération…

 

AUXERRE : Le département de l’Yonne possède depuis des lustres des caractéristiques surprenantes dans le domaine de la sécurité routière. Avec un nombre de décès qui dépassait encore les quarante disparus la saison dernière, notre territoire caracole allègrement dans le peloton de tête des bonnets d’âne du non-respect du Code de la Route.

C’est l’un de ces territoires où il est très dangereux de circuler dans l’Hexagone, triste constat.

D’ailleurs, plus de 30 % du nombre d’accidents qui surviennent sur l’une de nos voies de communication, sont imputables au non-respect dudit référent officiel que tout bon automobiliste devrait sinon connaître à la perfection, dûment appliquer au quotidien en le maîtrisant. Or, rien ne vaut le visuel pour observer les faits que l’on nous reproche !

Aussi, la coordination de la Sécurité routière de l’Yonne, avec le concours de la Direction départementale de la Sécurité Publique d’Auxerre a fait le choix pour lutter avec davantage d’efficience contre ce phénomène exponentiel d’année en année de promouvoir une action de sensibilisation différente. Mais, plus réelle et percutante.

 

 

S’appuyant sur la participation de l’Ecole nationale de police de Sens, l’organe qui émane des directives de l’Etat a réalisé un court-métrage contenant des images capturées sur nos routes. Un florilège de situations dangereuses dénuées de tout civisme qui est destiné à favoriser une prise de conscience collective.

Malheureusement, le clip n’a pas lieu d’être dans un bêtiser ou à être classifié parmi les perles rares d’un vidéo-gag. Même si l’on visionne parfois des images pittoresques lorsque deux adolescents empruntent la même trottinette pour se mouvoir sur la route.

S’il faut en passer par là pour réduire le nombre de morts, alors oui : il faut regarder ce documentaire à de multiples reprises et s’en imprégner de manière subliminale. Avant de s’asseoir devant le volant.

Peut-être que la prise de conscience collective passe obligatoirement par ce chemin…

 

En savoir plus :

Le lien pour visionner la vidéo est le suivant :

 https://www.youtube.com/watch?v=Cl3ZtoGx6pQ

 

Thierry BRET

 


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Rares étaient les représentants du sérail politique à soutenir en présentiel l’appel à la mobilisation générale des organisations du spectacle ce jeudi 04 mars sur le parvis du théâtre d’Auxerre. Tout au plus, on dénombrera durant cet exercice protestataire contre l’atteinte aux libertés et à la privation culturelle la participation de deux figures locales : l’écologiste Denis ROYCOURT et le coordinateur départemental des Nouveaux Démocrates, Rachid EL IDRISSI…

 

AUXERRE : Mais où étaient donc passées les élites de la classe politique icaunaise, toutes obédiences confondues, en ce milieu de matinée ce jeudi ? Visiblement, ils avaient mieux à faire ailleurs que de soutenir de manière physique l’évènement contestataire proposé place François Mitterrand, à l’appel unitaire des organisations du spectacle.

L’évènementiel était ouvert aux professionnels de la filière, certes, mais être le plus hétéroclite dans sa représentativité n’était pas incompatible, loin s’en faut, avec son bien-fondé.

On aura beau chercher et scruter parmi la foule d’environ deux cents personnes réunies sous les rayons salvateurs d’un soleil matinal (ce qui conférait un peu de gaîté à l’ensemble), peu de politiques s’y distinguaient réellement pour demander la réouverture des salles de spectacle.

Tout juste, aperçut-on parmi les rangs de ces férus de théâtre, de poésie et de manifestations artistiques en provenance de tout le département deux figures de cette sphère pourtant très représentative d’ordinaire qui brillait curieusement par son absence.

 

 

 

Discutant avec des intermittents du spectacle, l’écologiste Denis ROYCOURT était l’un deux. Il n’hésitera pas à s’avancer vers l’estrade pour être parmi les premiers signataires de la pétition officielle réclamant la réouverture de toutes les salles de spectacle de France et de Navarre.

Lui emboîtant presque le pas, dans une file adjacente, le coordinateur départemental de la nouvelle formation politique, apparue en décembre dernier (les Nouveaux Démocrates), Rachid EL IDRISSI retira un stylo de la poche intérieure de son veston avant d’apposer sa griffe au bas du document qui se noircissait petit à petit de paraphes.

Bref, c’était l’opportunité idéale pour ce nouveau soutien aux idées véhiculées à travers ce mouvement par les députés Aurélien TACHE et Emilie CARIOU de s’illustrer publiquement en soutenant la cause culturelle et la défense de ses valeurs. Un premier engagement public à conserver dans les annales…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une première initiative qui réchauffe le cœur. Même si un sentiment de colère sourde transparaît derrière les propos des différents interlocuteurs. Maître de cérémonie de cette action protestataire qui en appellera d’autres et ce dès le 17 mars, triste anniversaire du premier confinement, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN se satisfait de ce cri du cœur lancé par les artistes. Le public a entendu le message en étant présent, nombreux, à ce rendez-vous…

 

AUXERRE : L’attente synonyme de déprime et d’angoisse est devenue totalement insupportable pour les représentants de la filière artistique. Prise aujourd’hui entre le marteau et l’enclume. Celui de l’immobilisme intolérable qui réduit tous les espoirs à néant au quotidien et ce désir profond de vouloir travailler à tout prix.

Pas la moindre date à se mettre sous la dent et à biffer sur les agendas qui symboliseraient un semblant de reprise des activités culturelles. Pourtant, bon nombre de leurs représentants continuent de travailler sans relâche aux répétitions de leur prochain spectacle.

Besogneux, poussant le sens du professionnalisme jusqu’au bout des ongles, ces femmes et ces hommes qu’ils soient comédiens, techniciens, metteurs en scène, accessoiristes, régisseurs, preneurs de sons ou autres ne savent plus à quels saints se vouer dans ce contexte de crise absolue qu’ils n’avaient jamais rencontrés jusque-là.

 

 

 

Alors quand l’un de leur porte-étendard, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN s’empare du micro pour demander à la foule de moins en moins éparse sur le parvis de l’édifice culturel de prendre la parole et de s’exprimer : les applaudissements fusent de toute part.

Un cri du cœur public pour démontrer aux yeux de tous que les artistes ne sont pas morts et relégués parmi les dernières pages des quotidiens, dans la rubrique des avis d’obsèques.

 

 

 

Un retour à une existence quasi normale au 15 avril ? Une plaisanterie pour le directeur du théâtre…

 

Certes, les situations des uns et des autres sont très disparates au plan économique. Interrogé à ce propos, Pierre KECHKEGUIAN se veut transparent : « C’est sûr, l’intervention de l’Etat n’est pas négligeable avec le financement des institutions culturelles et le report de l’année blanche. Cela nous permet pour l’heure d’amortir le choc. Mais, pour combien de temps encore si la situation à laquelle nous sommes confrontés avec ces fermetures qui s’éternisent perdure ainsi… ».

Sans ambages, le responsable du complexe théâtral dénonce cette absence de réalisme de la part de la gouvernance. Un non-sens qui crée ce ras-le-bol généralisé, se traduisant dans les faits par cette mobilisation importante (environ deux cents personnes) sur la place François Mitterrand.

Pourtant, le porte-parole du gouvernement Gabriel ATTAL a bien signifié à qui voulait l’entendre il y a vingt-quatre heures face aux médias que « la France pourrait reprendre une existence quasi-normale à la mi-avril… ».

 

 

Des arguments qui n’ont pas convaincu le directeur du théâtre auxerrois. Il enchaîne : « Ces propos me font marrer ! Et quand bien même, si cela se réalisait, on ne pourrait jamais rouvrir les lieux culturels au 15 avril ! ».

L’absence de projection, l’ignorance de ce que l’on fera demain pour survivre pèse sur les épaules. Que veulent-ils exactement celles et ceux qui battent le pavé sous un salvateur rayon de soleil ?

« Nous voulons connaître une date butoir, une simple balise qui nous permettrait de prévoir la réouverture de nos établissements dans des délais raisonnables, lâche Pierre KECHKEGUIAN, de manière à la coordonner, à la structurer et surtout à la financer… ».

Bref, cela se nomme tout bonnement dans la vraie vie l’art de l’anticipation. Un antagonisme supplémentaire qui oppose le milieu artistique aux choix stratégiques du gouvernement ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Entre l’antenne régionale de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat, des métiers de service et de la fabrication) et la MAAF (Mutuelle d’Assurance Artisanale de France), il n’y pas l’ombre d’une friture sur la ligne ! Ni le moindre grésillement infime qui serait susceptible de perturber les relations de ces deux entités. Une preuve tangible ? La récente signature d’une convention de partenariat qui auréole d’un ciel azuréen leurs échanges professionnels…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un avis de météo orienté vers le beau fixe qui qualifie la relation existante entre la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté et la MAAF !

Une tendance, on ne peut plus positive. Celle-ci s’est concrétisée le mercredi 03 mars par une signature de convention de partenariat entre Christophe DESMEDT, président de l’honorable organisme chapeautant la filière artisanale et le responsable commercial du groupe assurantiel David LENNE sur le territoire.

L’objet de cet accord est de traduire dans les faits l’organisation d’actions communes qui soient réalisées en faveur du développement des métiers de service et de fabrication.

 

 

Derrière les lignes de ce document, il faut comprendre la promotion et la valorisation de ce secteur d’activité ainsi que la mise en relation de ses professionnels avec les spécialistes de la MAAF.

En outre, l’organisme régional s’emploiera à associer de façon systématique l’acteur de l’assurance et de la prévoyance dans le cadre de ses diverses manifestations qu’elle promeut.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La journée de ce vendredi 05 mars restera à jamais gravée dans les annales de la ville d’Auxerre. Et de manière plus globale dans celles de la Bourgogne Franche-Comté. C’est à dix heures précises que le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI assistera à la signature du bon de commande des premiers trains à hydrogène devant circuler à terme sur notre territoire. Une première nationale…

 

AUXERRE : « C’est une excellente chose pour notre territoire ! ». C’est à brûle-pourpoint le premier commentaire que devait livrer le député Les Républicains Guillaume LARRIVE, dès qu’il a pris connaissance de l’excellente nouvelle ce mercredi après-midi.

La commande originelle des fameux trains à hydrogène sera donc effective en cette veille de week-end. Elle sera actée de manière très protocolaire dans la capitale de l’Yonne ce vendredi à la gare SNCF. Une capitale départementale qui est amplement concernée par l’essor de ce mode d’alimentation novateur pour le transport ferroviaire en France.

D’autres régions ont décidé d’emboîter le pas de la Bourgogne Franche-Comté. Elles sont aujourd’hui au nombre de trois : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est et Occitanie.

Toutefois, la nôtre peut se targuer d’être la première des régions à décliner un écosystème territorial complet pour son exploitation.

C’est ce que ne cesse de marteler depuis longtemps et à raison le premier vice-président de la Région en charge de ce dossier Michel NEUGNOT. Il n’a pas tort dans les faits. Une station favorisant la production de ce gaz sera construite à Auxerre d’ici quelques mois. L’infrastructure répondra à de multiples objectifs : alimenter le train, certes, mais aussi le réseau de bus communautaire, des bennes à ordure, et aussi les moyens de locomotion fluviaux.

 

 

Un bon de commande de près de 52 millions d’euros…

 

Précisons que la mise en circulation des cinq premiers bus à hydrogène est programmée avant le terme de cette année. Tandis que la phase de tests de ces appareils sur le ferroviaire est envisagée dans l’intervalle 2022/2023 : ce sera le prélude à leurs mises en circulation un an et demi plus tard par la SNCF.

Instruit par l’ancienne municipalité, alors pilotée par l’édile socialiste Guy FEREZ, le dossier de candidature d’Auxerre avait été retenu à cette époque lors d’un appel à projet européen en faveur du développement de l’hydrogène.

Les rames de ce type, des TER, devraient desservir les gares des lignes Avallon-Auxerre, Corbigny-Clamecy-Auxerre et favoriser la liaison entre Auxerre et Dijon.

Le bon de commande paraphé ce vendredi en présence de Jean-Baptiste DJEBBARI, ministre délégué en charge des Transports, équivaut à une enveloppe de 51,9 millions d’euros.

Le représentant du gouvernement sera accompagné de Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie.

Par ailleurs, le ministre aura entre-temps signé une convention entre l’Etat et la Région sur le  devenir des petites lignes ferroviaires.

Il aura visité également la gare de triage de Gevrey-Chambertin aux côtés de Jérôme GRAND, directeur territorial de SNCF Réseau.

Avant de clore ce déplacement par la Nièvre où on lui aura présenté les vertus de la navette gratuite électrique « Coursinelle » qui circule à Nevers.

 

Thierry BRET

 


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